Vendredi 17 juin 5 17 /06 /Juin 16:44

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Annika Albrite se fait baiser par son amant black dans le même lit que son mari pendant qu'il regarde...

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Format Avi - 28.47 minutes

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Par Decadent Laboratory - Publié dans : x - Anikka Albrite
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Vendredi 17 juin 5 17 /06 /Juin 16:33

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Cécilia Vega passe un bon weekend parisien à se faire défoncer le cul...

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Format Avi - 1.36.00 heure

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Par Decadent Laboratory - Publié dans : x - Cécilia Vega
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Vendredi 17 juin 5 17 /06 /Juin 16:24

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Gabriella Paltrova teste une balance pour se faire baiser...

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Format Mp4 - 43.53 minutes

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Par Decadent Laboratory - Publié dans : x - Gabriella Paltrova
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Jeudi 16 juin 4 16 /06 /Juin 11:25

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Luxure et perversion

Ecrit par Erica

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Soudain elle me demanda de lui retirer les boules de geisha, ce que je fis tout doucement avec les dents. Dès la première sphère sortie, Roxanne m’aspergea de mouille, c’était un vrai geyser. Le visage couvert de cyprine, je m’attelai à un nettoyage attention de son entrecuisse avec ma langue, et sortant la deuxième boule métallique de son vagin, je plaquai ma bouche sur son sexe pour ne pas en perdre une goutte en cas de nouvelle éjaculation. Roxy était haut perchée et je l’aidai à redescendre en remontant lentement sur son corps chaud et en sueur que je couvris de baisers. Quelques instants plus tard, ma cible atteinte, nous entrouvrîmes nos lèvres et nous nous roulâmes une pelle longue et langoureuse agrémentée par le nectar de mon amante encore présent dans ma bouche.

Ce fut alors à moi de profiter de ses faveurs et Roxanne me demanda de m’allonger sur le ventre. Elle entreprit de me caresser avec sa langue, ses seins et ses doigts. Pas un centimètre carré de mon corps n’y échappa. Ses baisers et ses léchouilles sur mes pieds me procurèrent une sensation incroyable. Elle m’écarta tendrement les cuisses, les fesses et du bout de la langue, suivit mon sillon jusqu’à ma chatte en feu. Je me mis à quatre pattes et la suppliai de continuer, chose qu’elle fit sans se faire prier en me dévorant la moule comme une affamée.

Elle alterna savamment durant de longues minutes entre mon sexe en fusion et mon cul qui ne l’était pas moins jusqu’à me faire hurler de plaisir. Avec un tel traitement je ne tardai pas à jouir. Un orgasme puissant que mon amante rendit ravageur en l’accompagnant de sa langue rivée dans mon anus, et surtout de la pénétration forcée des boules de geisha dans mon vagin contracté par le plaisir. A son tour ma peau était couverte de transpiration. Roxanne vint m’embrasser à pleine bouche en me faisant gouter ainsi à mes propres sécrétions. En m’enlaçant elle me susurra :

  • « Touche-moi Erica s’il te plait. Donne-moi encore du plaisir … »
  • « Oui ma chérie … Viens ! Allonge-toi et laisse-toi faire … Je vais m’occuper de toi et te faire jouir … »
  • « Houuu … Oui … Oui ! Fais de moi ce que tu veux ! »

Et je l’enlaçai, la caressant sans cesse, l’embrassant, parcourant son corps luisant et salé avec ma langue gourmande.

  • « Mes seins … Bouffe-moi les nichons … », me souffla Roxanne en me présentant ses magnifiques globes serrés l’un contre l’autre.

Obéissant au moindre de ses désirs je m’attelai à cette tâche loin d’être ingrate, accompagnant celle-ci de deux, puis trois doigts que je lui plantai sans ménagement dans le con.

  • « HAAAAAA !!! Je viens ! Ouiiiiiii … Tu vas me faire jouir ! », cria Roxy pour avertir toute la région de son orgasme à venir.

Prévenue des capacités éjaculatrices de cette dernière, je me mis tête-bêche sur elle et plaquai ma bouche contre son minou. Cette fois-ci point de source jaillissante mais un plaisir violent que mon amante hurla à gorge déployée.

  • « Ne bouge pas Erica … Laisse ton cul au-dessus de mon visage … », me dit Roxanne qui ne prit même pas le temps de reprendre son souffle.

Je n’eus pas le loisir de l’encourager avant de sentir sa langue s’insinuer entre mes lèvres intimes avant de se raidir pour s’attaquer à ma vulve. Elle joua avec la chainette qui pendait de ma chatte et aspira mon clitoris entre ses lèvres.

  • « Oh oui ! Oui ! Continue ! C’est bon ! »
  • « Ca ne te fait pas mal ? », s’enquit-elle quand même entre deux suçons appuyés.
  • « Oh non … Tu me fais prendre mon pied putain ! Mordille-moi autant que tu veux ! »

Roxanne prit ma supplique au pied de la lettre et ses dents se refermèrent alternativement sur mes lèvres et sur mon bouton d’amour gonflé de désir. Soupirant, gémissant de plus belle, je replongeai une main entre les cuisses de mon amie, et d’un majeur habile que j’humidifiai dans sa chatte, glissai sur son anus pour lui prodiguer un intense massage.

  • « Houuu ouiiiii ! Vas-y Erica ! Enfonce-le moi dans le cul ! »

Comme si ses paroles ne suffisaient pas à me faire comprendre son envie, Roxanne m’écarta les fesses pour me coller sa langue sur la rondelle. Chaque action entraînait une réaction encore plus forte de l’autre. Lorsque j’enfonçai mon doigt dans son conduit serré, sa langue se faufila autant qu’elle le put dans mon anus. Lorsque je lui plantai deux autres doigts de ma main libre dans le con et lui ramonai ainsi les deux trous, elle me retira violement les boules de geisha de la chatte pour les remplacer par quatre de ses doigts. Seuls nos deux nouveaux orgasmes presque simultanés l’empêchèrent de m’enfoncer la main entière dans le ventre.

Nous passâmes le reste de la journée ensemble, nous enlaçant et nous embrassant avec fougue et passion à la moindre occasion. Insatiables, nous étions déjà accros l’un à l’autre et plus aucune gêne ne venait ternir nos ébats. Tout était prétexte à des jeux plus ou moins coquins. Roxanne me demanda de lui raser le sexe. Elle avait soi-disant peur de se blesser en le faisant toute seule. Je l’invitai donc à s’allonger sur la table, jambes écartées, et lui demandai pourquoi elle voulait que je lui fasse ça.

  • « Ta foufoune est si douce Erica. J’ai envie d’avoir la même. »
  • « Tu sais, moi j’aime bien ta petite raie de poils. En plus on la voit à peine. », lui fis-je remarquer en passant mes doigts dessus.
  • « Alors rase-moi juste au niveau des lèvres ? »
  • « Ça marche ! Ecarte bien les cuisses et ne bouge pas. »

J’enduisis son entrejambe de mousse et lui demandai de s’écarter aussi les fesses afin d’y retirer aussi deux ou trois poils disgracieux. Glissant un doigt entre ses lèvres pour bien tendre la peau, je passai délicatement la lame autour de son intimité avant de rincer la mousse avec une éponge pour la laisser admirer le travail. 

  • « Voilà, t’as l’abricot tout lisse ! Comment te sens-tu ? »
  • « C’est beau mais je vais voir ça dans la salle de bain. »

Elle disparut en se dirigeant vers le fond du couloir. Quelques instants plus tard, Roxanne me rappela à la cuisine. Elle était toujours à poil, appuyée contre la table sur laquelle je l’avais rasée, et me demanda ce que j’avais fait comme courses.

  • « Tu as faim ? », demandai-je faussement naïve.
  • « Oui … J’ai très envie de me caler avec quelque chose de consistant … Pas toi ? »
  • « Je crois que j’ai ce qu’il te faut par ici … Tu veux la goûter ? », lui répondis-je sur un ton provocateur en lui exhibant une carotte longue et fine.
  • « Avec plaisir … »

Roxanne s’approcha lentement et passa sa langue sur le légume avant que la mienne ne l’y rejoigne. Puis elle monta sur la table et se mit à quatre pattes.

  • « Je vois ce que tu veux ma salope … Tu mouilles déjà d’envie que je te la mette ! », assénai-je juste avant de lui enfoncer dans la chatte.
  • « HOOOOOO ! Oui ! Branle-moi bien chérie ! »
  • « T’inquiète pas Roxy … Je vais bien te faire reluire ! Mais la carotte est un peu petite pour ta chatte, non ? »
  • Sans lui laisser le temps de répondre, je crachai sur son anus avant d’étaler la salive que je venais d’y répandre avec de savants coups de langue.
  • « Houuu … Attention … Pas trop fort … »
  • « Ne t’inquiète pas bébé … Je serai toute douce … », la rassurai-je au moment de poser le bout le plus étroit sur sa rondelle lubrifiée.
  • « J’ai confiance … »
  • « Détends-toi mon amour … »

Et j’enfonçai délicatement la carotte dans son petit cul tout doré. Dès les premiers centimètres que ses fesses aspirèrent, les gémissements de Roxanne me prouvèrent qu’elle avait l’air d’aimer ça. Je la sodomisai avec précaution quelques secondes puis m’éloignai en la laissant là, à quatre pattes sur la table, une carotte planté dans le fion.

  • « Où vas-tu ? Reste ! », s’exclama Roxy surprise.
  • « Je reviens ! Ne bouge pas … »

Je partis à toute vitesse chercher un nouvel instrument que j’avais acheté pour me satisfaire, mais qui pour le coup, donnerait du plaisir à Roxanne. Je revins presque aussi vite que je m’étais éclipsée avec une belle lampe de poche que je tendis à mon amante, lui recommandant de bien la lécher. L’objet était de taille moyenne et semblait, comme avec les deux garçons au bord de la rivière il y a quelques jours, être faite pour un double usage.

  • « Ça t’excite de me voir comme ça ma cochonne ? Regarde ce que je suis prête à faire pour toi … », me lança une Roxanne aguicheuse à souhait qui joua avec la lampe comme si elle était en train de tailler une pipe à un mec.
  • « Oh oui j’aime te voir comme ça ma salope ! Vas-y … Exhibe-toi pour moi … »

Mes yeux n’en perdirent pas une miette alors qu’elle passa la lampe par-dessous son ventre, pour d’un trait, se la fourrer dans la chatte. Au rythme effréné avec lequel Roxanne se branla, la carotte ne tarda pas à être expulsée de son cul. Quittant ma béate contemplation, je m’apprêtai à la ramasser pour lui remettre entre les fesses, mais elle m’interrompit.

  • « Viens t’occuper de mes nichons Erica … », me demanda-t-elle en profitant de la libération de son fondement pour se retourner et s’allonger sur le dos.

Je savais qu’à mon instar, elle était très sensibles des seins, aussi je me fis un devoir de martyriser ses tétons. Je les lui mordillai, les pinçai, les faisant rouler entre mes doigts à l’en rendre dingue.

  • « Mets … Mets-moi tes pinces ! »

Je ne rajoutai rien et me contentai d’aller les chercher. Je n’en revenais pas ! Elle était aussi perverse que moi ! Et lorsqu’à mon retour dans la cuisine je la trouvai en train de se distendre les tétons en tirant dessus comme une malade, je n’eus plus aucun doute sur le fait que je venais de trouver ma parfaite moitié.

  • « Tu sais que c’est douloureux ma chérie ? »,la prévins-je quand même.
  • « Je sais … Mets-les moi ! N’aies pas peur … »

Le prenant aux mots, j’installai ces délicieux objets de torture sur les tétons turgescents érigés devant moi. Tout d’abord à peine serrées, je pris un plaisir sadique à tourner les molettes progressivement afin de connaître le seuil de tolérance de Roxanne. Et ce n’est qu’après que ses pointes soient devenues toutes violettes qu’elle émit un hurlement caverneux qui résonna dans la pièce.

  • « BRANLE-MOI ! PUTAIN DEFONCE-MOI EN MEME TEMPS !!! », me supplia Roxy dans un cri où se mêlèrent douleur et plaisir.

Prise par la situation et surexcitée par ses hurlements, je saisi le bout apparent de la lampe toujours fichée dans son sexe et lui ramona la chatte à m’ne donner une crampe dans le bras.

  • « HAAAAAAAAA !!! JOUIR … JE VAIS JOUIR !!! »

A ces mots beuglés comme une truie qu’on égorge, je retirai la torche brusquement et un puissant jet de mouille éclaboussa la table et une partie du carrelage. Décidément, je découvrais à chaque minute de cette somptueuse journée que Roxanne se rapprochait toujours plus de mes propres fantasmes dont j’étais honteuse.

La tension redescendit petit à petit. Roxy avait les larmes aux yeux, aussi je l’embrassai et la câlinai tendrement. Mais alors que je m’apprêtai à lui enlever les pinces qui la firent tant souffrir il y a à peine quelques minutes, elle arrêta mon geste. Elle était si belle allongée ainsi, elle semblait si fragile. Je regardais sa poitrine se soulever doucement, ses tétons meurtris par les petits étaux étaient violacés. Sur la table une flaque translucide stagnait entre ses jambes toujours écartées. J’avais souvent été gênée lorsque mes propres éjaculations incontrôlées surprenaient mes amants, aussi étais-je soulagée de ne pas être la seule « femme fontaine » que je connaissais dorénavant.

  • « Viens, on va faire un petit somme. Tu veux ? », proposai-je à mon amour qui avait l’air épuisée après cette intense séance.
  • « Oui, avec plaisir … J’en peux plus ! Tu m’as tuée ! »

Sur ce elle se leva, et c’est main dans la main que nous rejoignîmes ma chambre pour nous allonger, enlacées amoureusement.

  • « Dis-moi … Quand tu jouis, tu éjacules toujours comme ça ? », lui demandai-je tout en passant mes doigts dans sa chevelure humide de transpiration.
  • « Heu … Ca m’arrive oui, mais pas tout le temps. Tu trouves ça dégueulasse ? », répliqua Roxanne un peu honteuse.
  • « Non, pas du tout mon ange ! Au contraire, je trouve ça beau. Je suis juste rassurée de ne pas être la seule à qui ça arrive. »
  • Je lui adressai un clin d’œil en même temps que ma confession et nous explosâmes d’un rire complice.
  • « Pendant que nous abordons les sujets sexuels … Tu aimes les pénétrations anales ? », m’interrogea Roxanne.
  • « Plutôt oui … Bon ok ! J’adore ça en fait ! », avouai-je finalement.
  • « Hé bien c’est toi qui m’a dépucelée de ce côté-là. Je n’avais jamais essayé … »
  • « Noooon ?!? », m’exclamai-je surprise autant que fière.
  • « Et si … Bravo mon Erica ! »
  • « C’est vrai que tu es serrée. Et Jean, il n’a jamais essayé de te sodomiser ? »
  • « Non ! Il était trop gros ! »
  • « Hein ? A ce point ?!? », fis-je interloquée.
  • « A tel point que je n’arrivais pas à le sucer entièrement. Je pouvais seulement emboucher son gland. »
  • « Et donc maintenant il est libre … », murmurai-je en sifflotant d’un air taquin.
  • « Salope ! »

Roxanne ponctua sa dernière intervention d’une claque sur ma fesse droite avant que nous explosions de rire une nouvelle fois. Après une séance de chahut bien innocente, ma divine amante s’endormit blottie contre moi. Sa respiration se ralentissant petit à petit, je posai doucement ma main sur son sexe encore humide avant de la porter à mon visage. L’odeur de Roxanne était délicieuse, je le goûtai et m’enivrai de sa liqueur au point de sombrer à mon tour dans le sommeil.

Après une sieste réparatrice, je me réveillai toujours dans les bras de mon amour qui me regardait. Il faisait terriblement chaud et quelques gouttes de sueur ruisselaient sur son front.

  • « Tu as bien dormi ? », me demanda-t-elle avec un tendre sourire.
  • « Oh oui ! Et toi mon cœur ? »
  • « Comme un bébé chérie … Ça te dit qu’on aille se promener ? »
  • « Bonne idée ! Une douche et on est parties ! »
  • « Non, pas la peine … On pourrait retourner au même endroit qu’hier et prendre un bain ? »
  • « Ca va faire un peu loin … Mais on peut s’en rapprocher pas mal en voiture remarque. »

Quelques instants plus tard, nous nous retrouvâmes dans la bagnole surchauffée par le soleil. La sueur collait nos robes à nos peaux et emplissait l’habitacle d’une forte odeur de transpiration teintée de sexe. Je jetai un rapide coup d’œil sur ma droite pour contempler une Roxanne toute luisante, avec au niveau de la poitrine, déformant le tissu, deux petites bosses formées par les pinces qu’elle portait toujours. Après quinze minutes de route, nous arrivâmes sur un petit chemin que j’empruntai prudemment, et au bout de trois cent mètres, j’arrêtai la voiture.

Roxy sortit, elle avait retiré ses chaussures, n’étant plus vêtue que de la petite robe d’été se boutonnant sur le devant que je lui avais prêtée. Soudain elle fit sauter les quelques boutons la maintenant encore fermée et en écarta les pans.

  • « Tu veux bien m’enlever les pinces Erica ? », me demanda-t-elle en exposant impudiquement sa poitrine.
  • « Bien sûr ma puce … »

Je m’approchai alors d’elle, et le plus délicatement possible, je dévissai les petits étaux. Roxanne avait le souffle coupé. Ses pointes gardaient une forme aplatie et une couleur violacée. Je ne savais pas quoi faire pour la soulager.

  • « Lèche-moi doucement s’il te plait bébé … », me dit-elle en constatant ma perplexité.
  • « Tu as mal chérie ? »
  • « Oui c’est douloureux. Je sens mes tétons qui palpitent depuis tout à l’heure. »

Approchant mon visage, je me fis la plus douce possible lorsque ma langue se mit à caresser les pointes de ses seins chacune leur tour. Elle semblait apprécier la tendresse dont je fis preuve et bombait le torse afin d’aller encore plus à la rencontre de ma bouche.

La séance de « soins » terminée nous nous mîmes en route. Pour rejoindre la plage nous avions, à peu près, dix minutes de marche à travers la forêt. Roxanne n’ayant pas refermé sa robe, elle se promena les nichons à l’air. Elle m’excitait en paraissant totalement libre, sûre d’elle. J’avais une terrible envie d’elle lorsque nous arrivâmes le long de la rivière. Roxy me demanda alors de l’attendre quelques instants. Ce faisant, je me retournai et la vis accroupie, les jambes écartées, en train de satisfaire à un besoin naturel. La vision féérique d’un puissant jet d’urine sortant de sa chatte pour éclabousser ses pieds me coupa le souffle. Mon ange me sourit.

  • « Le bruit de la rivière c’est terrible ! C’est comme les fontaines d’intérieur. »
  • « C’est clair ! Moi aussi ça me donne envie de pisser. »

Et je m’accroupie à mon tour avec l’idée d’en faire de même.

  • « Allez ! La première à l’eau a gagné ! », s’exclama Roxanne qui enleva le peu qui restait de sa robe tout en se précipitant vers le torrent.
  • « Non ! Mais … Attends ! »

Même si je n’avais pas fini, je me levai et me mis à courir. Je sentais un ruissèlement chaud sur l’intérieur de mes jambes au moment où je plongeai dans l’eau en éclaboussant Roxy.

  • « C’est pas du jeu ! T’as triché ! », me mis-je à vociférer en riant à gorge déployée.
  • « C’est vrai ? Il faut que je te dédommage alors … »

Ce faisant, elle vint se coller tout contre moi, m’enlaça, avant de m’embrasser à pleine bouche.

  • « Hummm … Délicieux dédommagement … J’adore ! Mais en même temps c’est toi qui as gagné malgré tout. Tu as gagné quoi d’ailleurs ? », demandai-je innocemment en lui caressant tendrement la joue.
  • « Je ne sais pas … Toi peut-être ? »
  • « Moi ? »
  • « Oui, toi … », insista Roxanne qui attendait une réponse de ma part avec un regard qui me fit fondre.
  • « Ca fait déjà un moment que tu m’as gagnée mon amour … »

Nous nous embrassâmes de nouveau, mais cette fois avec toute la douceur et tout le poids de nos sentiments enfin ouvertement déclarés. C’était le bonheur, jamais je n’aurais pensé pouvoir me sentir aussi bien. Elle était tendre, attentionnée, mais également passionnée et délicieusement perverse, ce qui ne gâchait rien. Le reste du monde n’existait plus à cet instant. Nous barbotâmes encore quelques minutes puis nous sortîmes de l’eau. La fin de journée approchant, je commençai à avoir la dalle.

  • « On va rentrer ma chérie ? »
  • « Oui, il est temps. Mais reste comme ça bébé. J’adore te voir toute nue … », me dit-elle alors que je ramassai mes affaires pour me rhabiller.
  • « D’accord … Après tout je suis à toi … Je dois t’obéir, non ? », acceptai-je en accompagnant mes mots d’un clin d’œil.

Je glissai alors mes fringues dans mon petit sac à dos. Roxanne fit de même et nous partîmes à travers bois, à poil, main dans la main. Arrivant près de la voiture, mon ange stoppa brutalement et me fit un signe. Du doigt elle me montra un homme accroupi à côté de son vélo en train de pester. Manifestement, il était en pleine réparation d’un pneu crevé et ça ne le remplissait pas de joie, c’était le moins que l’on puisse dire. Roxy se serra contre moi alors que nous étions cachées par un rempart de buissons, le soir commençait à tomber doucement. Elle m’embrasse, me caressa, et soudain me demanda :

  • « Tu es à moi ? Vraiment ? »
  • « Heu … Oui … Bien sûr. Je t’appartiens … », répondis-je un peu surprise par la question.
  • « Alors va le réconforter … »
  • « Hein ?!? »
  • « Ne lui dis rien, pas un mot. Je veux juste que tu t’approches de lui et que tu le fasses jouir. Tu peux le branler, le sucer, mais interdiction qu’il te baise. »
  • « Non mais t’es une grande malade toi ! T’es pire que moi en fait ! », pouffai-je doucement.
  • « Vas-y ! Et fais-le éjaculer sur ton visage et tes seins. Après tu viens me retrouver ici. »

Le ton qu’utilisa Roxanne et le regard qu’elle posa sur moi en me transmettant ses consignes me firent comprendre qu’elle était tout à fait sérieuse. Tout d’abord interloquée, stupéfaite, je finis par me prendre au jeu.

  • « D’accord … », soufflai-je sans vraiment m’en rendre compte.

Je fis tomber mon sac sur le sol, me redressai et m’avançai, tout nue, vers l’homme en question. Il venait de réussir à refixer sa roue lorsqu’il me vit.

  • « Heu … Bonjour … », m’accueillit-il en se relevant.
  • « … »
  • « Heu … Beau temps pour une balade, non ? », reprit-il hébété.
  • « … »
  • « Ça va ? », insista-t-il devant mon silence alors que j’étais maintenant toute proche de lui.
  • « … »

Arrivée à quelques centimètres de ma cible, je lui pris les mains et les lui posai sur mes nichons. Abandonnant l’idée que je lui réponde un jour, il ne se démonta pas et se mit à me pétrir les seins avant de glisser l’une de ses mains sur ma chatte. Il dû vite se rendre compte à quel point j’étais trempée mais je ne lui laissai pas le temps d’en profiter, d’autant que cet afflux de cyprine n’était pas de son fait. Je m’accroupie devant lui et embrassai son sexe qui déformait allègrement son short. Ce dernier ne me résista pas longtemps avant de se retrouver, avec le slip, en route pour s’enrouler autour des chevilles de leur propriétaire, libérant de toute contrainte une bite fièrement dressée. Mes yeux plantés dans ceux de ma victime consentante, je déposai des baisers tout le long de sa verge. Il avait assez attendu, ses râles trahissaient son impatience de sentir mes lèvres se refermer sur son gland. Ma bouche aspira entièrement cette queue de taille moyenne et je me mis à le pomper comme une affamée. Quelques minutes de ce traitement suffirent à le faire craquer, et quand je sentis les premières contractions annonciatrices de son éjaculation toute proche, je me reculai.

  • « Ah putain ! Je viens ! », grommela ce promeneur inconnu que j’étais en train de finir à la main.

Sagement agenouillée à ses pieds, ce fut sans esquisser le moindre mouvement de recul que je reçu en pleine gueule un premier jet de jus de couilles, bientôt suivit d’un second qui s’étala sur mes cheveux, puis d’un troisième qui s’écrasa sur mes seins.

Toujours sans un mot, je me relevai et repartis vers la forêt. L’homme tenta bien de me retenir d’un gentil « merci, c’était merveilleux », mais celui-ci resta sans réponse. Le pauvre devait se demander sur quelle tarée il avait bien pu tomber, mais je m’en foutais. Non seulement il n’avait pas à se plaindre de s’être fait tailler une pipe mais, en plus, Roxanne m’attendait en se doigtant allègrement appuyée contre un arbre. Elle ne s’arrêta que pour s’approcher de moi et plaquer ses nibards contre les miens afin d’étaler le foutre encore chaud de l’inconnu.

  • « Tu l’as laissé te juter dans la bouche ? », me demanda-t-elle après un voluptueux baiser.
  • « Heu … Non … Je l’ai juste nettoyé. »
  • « Tu sens le foutre ma chérie. Rentrons … »
  • « Bébé … Tu ne peux pas me laisser dans cet état ? J’ai trop envie de toi ! », me plaignis-je aussi surprise que frustrée par ce volte-face.

Mais Roxanne se dirigeait déjà vers la voiture pour y repasser sa robe, et me tendit la mienne sans un mot. Comme à l’aller, le tissu collait à nos poitrines gluantes, mais cette fois-ci la sueur n’y était pour rien. Arrivées à la maison, alors que je m’attendis à retrouver mon tendre amour, Roxanne me surprit une nouvelle fois en m’ordonnant de me mettre à poil à peine sorties de la bagnole. Son ton ne prêtant à aucune contestation, je me retrouvai debout, toute nue, à côté du véhicule garé dans l’allée.

  • « Mets les mains sur la tête ! Je vais m’occuper de tes nichons … »

J’obéis en prenant la posture ordonnée, ce qui fit ressortir ma poitrine. Roxanne me lécha goulument chaque sein pour me débarrasser des dernières traces de sperme presque séché qui les ornaient.

  • « Hooooo oui ! C’est bon bébé … Continue … », commençai-je à gémir.
  • « Tu n’as pas été sage ! Tu ne m’as pas écoutée ! Je ne voulais pas que tu le goûtes avant moi ! »
  • « Je suis désolée … Je ne voulais pas te décevoir … »

Sans un mot de plus, Roxanne tourna les talons avant d’entrer dans la maison. Elle me demanda de rester dans l’entrée et de l’y attendre. Il lui fallut bien vingt minutes pour réapparaitre à mes yeux brillants de mille étoiles. Elle s’arrêta devant moi, vêtue de bas noirs, d’escarpins à talons aiguilles, du soutien-gorge qu’Alyssa m’avait offert et d’un collier que je n’avais jamais vu.

  • « Je crois que je vais devoir te punir … », m’annonça brutalement celle qui faisait battre mon cœur.
  • « Mais pourquoi ? », répliquai-je passablement tendue mais terriblement excitée.
  • « Parce que tu ne m’as pas écoutée comme je te l’ai déjà dit ! »
  • « Mais … Mais … Je suis désolée mon amour ! »

Pourtant, intérieurement, je priai pour qu’elle ne me pardonne rien. Ma curiosité ainsi que ma libido me poussaient à vouloir découvrir jusqu’où elle pouvait aller, ce qu’elle désirait me faire subir. D’un claquement de doigts, elle me désigna ses pieds.

  • « A quatre pattes ! Lèche ! »
  • « Mais … »
  • « LECHE JE T’AI DIS !!! », hurla-t-elle.

Cette fois c’est tétanisée que j’approchai ma langue de ses chaussures. Je les avais déjà léchées, mais avec le pied de mon amante dedans, le plaisir était décuplé, à tel point que je m’appliquai consciencieusement sur chaque centimètre carré de cuir. Elle d’assit sur le fauteuil et leva sa jambe. Je compris de suite, sans qu’elle n’ait besoin de le dire, ce qu’elle voulait que je fasse. C’est ainsi que plantant mon regard dans le sien, je me mis à sucer son talon comme je l’avais fait avec la queue de l’inconnu que nous avions croisées. Malgré l’air sévère qu’elle voulait se donner, Roxanne ne put réprimer un petit sourire complice en me voyant faire.

  • « Ne bouge pas ! Je reviens … », me dit-elle soudain en se levant pour se diriger vers la cuisine.

Elle revint peu de temps après en me tendant mes chaussures qu’elle venait juste d’aller chercher.

  • « Que dois-je faire ? », lui demandai-je un peu circonspecte.
  • « Tu vas te masturber avec les objets que je te propose. Si tu m’excites assez, je te récompenserai. Sinon … »

Je pris alors mes escarpins et commençai à me caresser. Avec l’un des talons je visitai ma chatte, tandis qu’avec l’autre je maltraitai sans ménagement mes tétons. Roxanne n’en perdait pas une miette tout en s’adonnant à une séance de plaisir solitaire qui me donne confiance quant à son état d’excitation.

  • « Stop ! Mets tes chaussures et assieds-toi à ma place ! »

Mon ange se leva et je la remplaçai dans le fauteuil. Accroupie devant moi, elle fit subir à mes pieds et à mes chaussures le même traitement que j’avais fait subir aux siens. Sa langue fit des merveilles jusqu’à ce qu’elle se cale l’une de mes jambes entre ses cuisses et commence à s’y frotter langoureusement. Je sentis son sexe ruisselant baver contre la fine peau de mon tibia, puis sur le haut de mon pied, avant de disparaître sur le cuir brillant de mon escarpin. Au bord de l’orgasme, elle me retira ma chaussure sur laquelle elle se masturbait et, m’écartant les cuisses, elle en posa délicatement le talon aiguille sur ma vulve.

  • « Houuu … Ouiiii … », gémis-je de me sentir ainsi pénétrée.
  • « Tu aimes ? »
  • « Oh oui putain ! »

Afin de confirmer ma réponse par le geste, je plaçai mes mains sous mes genoux pour me surélever les jambes en les écartant au maximum. Roxy, me voyant ainsi en pleine extase, déchaussa mon autre pied et utilisa mon deuxième talon de la même manière dans son propre sexe. Soudain elle s’arrêta net, et me prenant par la main, elle m’attira sans que je puisse protester dans la cuisine.

  • « Viens me doigter bébé … Viens vite … », me supplia Roxanne en montant sur la table pour s’y mettre à quatre pattes.

Je m’avançai pour le lécher, le nez collé dans la raie de ses fesses, et dardai ma langue pour lui titiller la vulve.

  • « Tes doigts … Tes doigts putain ! »

Mon amante avait envie d’être pénétrée, elle allait être servie. Non contente de lui planter quatre doigts dans le con, je lui enfonçai précautionneusement le talon d’un de mes escarpins dans l’anus. Elle adorait ça, me hurlait de continuer à la défoncer, pour bientôt exploser et m’asperger de sa cyprine toujours aussi abondante. Celle-ci coulait sur ses bas, jusqu’à sur la table, à l’endroit même où l’une de ses précédents éruptions orgasmiques avait tâché le bois.

  • « Va me cherche mon téléphone Erica chérie … »
  • « Ton téléphone ? Pourquoi ? »
  • « Pour prendre des photos … Ca nous fera des souvenirs, non ? », me dit-elle avec un clin d’œil.
  • « Pourquoi pas, tiens … », acceptai-je en lui retournant un sourire complice.

Un aller-retour dans le salon plus tard, nous commençâmes notre petite séance de pose. J’immortalisai Roxy à quatre pattes sur la table avec un talon aiguille planté dans le fion, puis en train de se masturber de deux doigts dans le sexe, assise sur le bord avec les cuisses écartées. Par la suite, ce fut à mon tour de jouer les modèles. Elle me photographia alors que je léchai l’une de mes chaussures ou que je nettoyai la table et le sol maculés de sa mouille avec la langue.

  • « Tu as aimé Erica ? », me demanda Roxanne tout en regardant le résultat des prises de vue sur son smartphone.
  • « Oh oui ! J’adore te faire jouir bébé. Dans n’importe qu’elle circonstance … »

Elle esquissa un sourire complice et tendre avant de reprendre.

  • « Mais tu n’as pas jouis mon cœur au fait ! Approche bébé, je vais m’occuper de toi. »

Une fois près de mon amante, cette dernière me contourna. D’un coup tout devint noir. Mon amour venait de me bander les yeux avec ce que je devinai être un torchon.

  • « Mais … Que fais-tu ? », lui demandai-je sans pour autant être le moins du monde inquiète.
  • « Détends-toi mon ange … Je vais te donner du plaisir … »

Et je me retrouvai attachée en croix sur la table, Roxanne m’ayant lié les poignets et les chevilles à chacun des quatre pieds du meuble. Je l’avais laissée faire avec délice, excitée et heureuse de m’offrir à elle, d’être totalement à sa merci. Elle passa alors quelque chose de rugueux sur mes seins que je sentis se comprimer à leurs bases. L’afflux de sang provoqué par ce qui devait être une corde les rendit palpitants. Quelques coups de langue et autant de pincements sur mes pointes turgescentes, sans la plus petite protestation de ma part, firent comprendre à ma tortionnaire d’amour que j’étais prête à aller plus loin, aussi loin qu’elle le désirerait. Aussi ce fut sans surprise qu’une vive douleur se diffusa dans tout mon corps en partant de mes tétons martyrisés par le métal de ces pinces devenues habituelles.

Roxanne me laissa un moment pour que je m’habitue à cette sensation, profitant de ce répit pour immortaliser la scène. C’est en tous cas ce que je crus en entendant un léger clic à moins de deux mètres de moi. Puis mon amante posa, sur mon front, ses lèvres qui ne quittèrent plus ma peau avant d’atteindre mon sexe qu’elle lécha longuement avec tendresse. J’haletai de plus en plus, mes liens m’empêchant de me contorsionner dans tous les sens sous cette vague de plaisir sur le point de me submerger.

  • « Haaaa … Oui … Je … Je vais jouir chérie … », laissai-je échapper dans un souffle.

Il n’en fallu pas plus pour que Roxanne ne s’arrête le temps de me laisser redescendre un peu dans les tours. Ne voyant toujours rien, je ne pus qu’imaginer ce qu’elle pouvait bien pendant que j’essayais de me calmer. Est-ce qu’elle se branlait en me regardant ? En me photographiant ? La seule chose dont j’étais sûre c’est qu’elle jouait avec son sexe, le petit bruit de clapotis humide qui arrivait à mes oreilles ne trompait pas.

Ayant perdu toute notion du temps, je ne sus pas combien de minutes s’étaient écoulées quand Roxy décida que la trêve avait assez durée. Le signal m’en fut donné quand je sentis les effluves de son intimité me chatouiller les narines. Si j’étais vulgaire, je pourrais même dire qu’elle puait le sexe. Elle m’avait rejointe sur la table et m’avait enjambée pour poser sa chatte sur ma bouche. Sans attendre une éventuelle demande ou autorisation de sa part, je mis ma langue en action. Je lapai, aspirai, léchai tout ce que je pouvais, lorsqu’un liquide au goût que je ne connaissais pas envahit progressivement ma bouche par petits jets successifs, puis dans un flot plus continu. Je ne pus tout avaler, et bientôt mon visage, mon cou et mes cheveux furent recouverts. Perdue dans mes pensées lubriques, ce n’est qu’à ce moment que je compris que Roxanne était en train de me pisser dessus. J’aurai pu protester, ou tout du moins recracher, mais non, je n’en fis rien. Bien au contraire, je trouvai le goût loin d’être désagréable et la sensation d’être souillée de la sorte par celle dont j’étais amoureuse, pour tout dire, très excitante. Je fus juste étonnée que Roxy s’adonne à ce genre de pratique sans la moindre gêne.

  • « He ben mon amour … je vais de surprise en surprise avec toi ! Ça t’excite de m’uriner dessus comme ça ? », lui lançai-je après que sa source dorée et chaude se soit tarie.

Je m’attendais à une réponse cinglante de sa part, mais il n’y en eut point. A la place, je sentis ma chatte se déchirer sous l’assaut aussi brutal que soudain d’un objet froid, rond, mais surtout énorme.

  • « T’as bien fais d’acheter des courgettes chaton … C’est bon pour la santé il parait ! », me nargua Roxanne le temps de laisser mon vagin épouser la forme du légume.

S’en suivit un défonçage en règle durant lequel je criais presque en continu.

  • « HAAAAAAAAA !!! HAAAAAAA !!! HAAAAAAAA !!! JE VAIS JOUIIIIR !!! »

Je serais bien incapable de raconter les minutes qui suivirent. Mes souvenirs sont flous. Un quart d’heure plus tard, peut-être même une demi-heure, je ne sais plus, je me retrouvai dans les bras de Roxanne. Elle m’avait détachée durant ma « petite » absence et était en train de me câliner, allongée à mes côtés sur la table. Le sourire emplit de tendresse que je lui adressai à ce moment-là eut l’air de la rassurer.

  • « Ca va mon amour ? Tu atterries ? », s’enquit-elle en me caressant la joue.
  • « Oh oui … Ca va même très bien mon ange … »
  • « Tant mieux … Je t’aime Erica … », me souffla-t-elle.

Roxy approcha son visage tout doucement, et ce fut les larmes aux yeux que je lui répondis dans un murmure :

  • « Je t’aime Roxanne … »

Et nous nous embrassâmes longuement, avec toute la passion explosant au grand jour dans nos cœurs et nos esprits. De ce jour naquit un amour indéfectible, nous ne nous quittâmes plus jamais. A l’instant où j’écris ces mots, Roxanne est toujours la femme de ma vie et notre libido toujours exacerbée. Complices comme peu de gens ont la chance de l’être, les autres que nous croisons, hommes comme femmes, sont justes des jouets promptes à satisfaire occasionnellement notre appétit sexuel. Seule Alyssa est devenue une amie chère et une partenaire assidue de nos ébats les plus torrides. Il nous arrive même de l’appeler Maîtresse, avec tous les égards qui lui sont dus à ce titre. Mais ça c’est une autre histoire …

FIN


Par Decadent Laboratory - Publié dans : RECITS
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Jeudi 16 juin 4 16 /06 /Juin 11:16

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Luxure et perversion

Ecrit par Erica

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Lorsque je me réveillai, le soleil comme Roxanne étaient déjà levés et un adorable petit déjeuner préparé en mon honneur m’attendait. Une belle journée se profilait devant nous. Après être passées à la douche, je proposai à mon invitée une promenade histoire de profiter du temps beaucoup plus clément que la veille.

  • « Excellente idée Erica ! J’arrive, je n’ai plus qu’à mettre mes chaussures. », me dit une Roxanne enjouée.
  • « Je ne te conseille pas de rester en pantalon ma chérie. Tu vas avoir sacrément chaud sinon. »
  • « Je ne sais pas trop. En plus je n’ai pas de short. »
  • « Pas de souci. Viens avec moi, on va t’en trouver un. »

Nous remontâmes dans ma chambre, et alors que je farfouillai dans mon armoire à la recherche de son bonheur, Roxanne ramassa un petit objet par terre.

  • « C’est quoi ce truc ? »

Elle était tombée sur l’une des pinces que j’avais utilisée dans la nuit. Gênée, je devais être rouge comme une tomate lorsque je lui répondis :

  • « Oh … C’est rien. Un bijou fantaisie sans importance … »

Mais je suis sûre que Roxanne n’était pas aussi naïve qu’elle voulut le laisser paraître et qu’elle se douta bien de l’usage que j’avais pu en faire.

  • « Je te le pose sur la table de nuit. »
  • « Heu … Oui, merci. Tiens, un short pour toi. »
  • « Ho ! C’est court ! Mais tu as raison. Je serai mieux comme ça. Je vais m’habiller. »
  • « On se retrouve en bas ? »
  • « Ok … A tout de suite. »

J’en profitai pour me changer moi aussi et optai pour un short en jean moulant et une légère chemise nouée sur le devant. Quelques victuailles dans un sac, de l’eau, une carte et nous voilà parties sur les sentiers. Tout en discutant de tout et de rien, je ne pouvais m’empêcher de penser à la pince à sein que Roxanne avait trouvé dans ma chambre. Elle ne fit aucune allusion à ce sujet et nous continuâmes notre chemin. La forêt était magnifique, le soleil brillant et la pluie de la veille avait laissé dans l’air un parfum de terre humide. Nous étions bien et j’avais l’impression que nous n’avions jamais été aussi proches. Roxanne avait changé, elle était plus spontanée. Elle n’avait jamais été coincée, loin s’en faut, mais je la trouvais plus libre, plus confiante qu’avant. Je lui montrai une petite clairière au milieu d’une sapinière qu’on ne pouvait atteindre qu’en passant à travers les broussailles.

  • « Je crois qu’on peut s’arrêter là pour manger un morceau. On sera tranquille. », proposai-je.
  • « Bonne idée ! Et on pourra en profiter pour faire une petite sieste au soleil. »
  • « Tu m’ôtes le son de la bouche ! »

Nous nous installâmes pour nous rassasier puis Roxanne, s’allongeant sur l’herbe, se mit à rêvasser. La rejoignant au pays des songes, nous goutâmes à la douce caresse du vent sous le ciel azur, le bonheur ! Après un moment, je me tournai pour voir si elle était réellement endormie. Ses yeux fermés et son souffle ralentit m’encouragèrent à me laisser aller à bronzer un peu. J’ôtai donc mon short et ma chemise pour me retrouver en string, me passai de la crème solaire puis me rallongeai. Je n’avais pas sommeil et dès que Roxy se réveillerait il me suffirait d’enfiler mon haut. Mais mes bonnes résolutions ne furent pas suivies d’effet et je me m’endormie sans demander mon reste. Ce fut le bruit d’un vêtement qu’on froisse qui me réveilla en sursaut. Je me redressai brutalement et vis Roxanne, devant moi, en train d’étaler consciencieusement de la crème protectrice sur ses seins. Elle était simplement vêtue d’une culotte.

  • « Oh … Je ne voulais pas te réveiller ma chérie, désolée. J’ai vu le tube de crème à côté de toi et je te l’ai emprunté. »
  • « Heu … Pas de souci. Tu as bien fait ma belle. »

Encore un peu dans les vapes, je la regardai se passer de la lotion sur sa peau qui devenait de plus en plus luisante. C’était magnifique, sensuel, et pourtant si naturel. J’aurais donné un œil pour pouvoir moi-même lui enduire le corps.

  • « On est tellement bien ici. Tout est calme. Tu viens souvent dans cette clairière pour bronzer ? »
  • « Quand je suis souvent dans le coin, oui très souvent. »
  • « Je n’avais jamais profité du soleil comme ça avant. »
  • « Ah ben fais attention à tes gougouttes alors. Surtout les bouts. Ça cogne fort ! »

Nous explosâmes de rire.

  • « Je vais en rajouter alors ! »

Joignant le geste à la parole, Roxanne étala à nouveau de la crème sur sa poitrine. Une douce chaleur m’envahit progressivement à force de contempler ce corps somptueux et je dus me retenir pour ne pas lui sauter dessus. Lorsqu’elle s’assoupie, je pus l’admirer à mon aise. Admirer ses seins qui se soulevaient à chaque aspiration, ses petites aréoles brunes, sa bouche entrouverte, les gouttes de sueur qui perlaient sur son front. Je la détaillai sans scrupules des pieds à la tête. Seul son entrejambe était masqué par cette maudite culotte qui m’empêchait de voir son pubis que je devinai complètement imberbe, comme le mien.

N’y tenant plus, je laissai mon majeur se faufiler entre mes cuisses pour se poser sur mon sexe. Malgré l’obstacle formé par le tissu de mon string je sentis que j’étais trempée. Ne voulant surtout pas la réveiller, je me caressai doucement, langoureusement, le regard rivé sur son corps. J’avais envie d’elle mais pas comme j’avais envie d’Alyssa, c’était différent. Roxy je voulais la prendre dans mes bras, la caresser tendrement, la cajoler. Je me levai discrètement, et prenant le prétexte de me passer de la crème, je me caressai sans retenue. Les yeux naviguant de sa bouche à son ventre en passant par ses seins, je m’accroupie à ses côtés et me masturbai allègrement.

Soudain ma belle au bois dormant se mit à bouger, et pensant qu’elle ne tarderait pas à se réveiller, je stoppai ma petite branlette et tentai de me redonner une certaine contenance. Je n’avais pas jouis et il était manifestement trop tard puisqu’elle ouvrit les yeux en me souriant.

  • « J’ai dormis longtemps ? », s’inquiéta Roxanne.
  • « Assez oui … Mais je n’osais pas te réveiller. », lui répondis-je en me disant qu’elle aurait pu pioncer cinq minutes plus tard.
  • « Quelle heure est-il ? »
  • « Quinze heure à peu près. On devrait reprendre le chemin de la maison dans pas trop longtemps. »
  • « Oui, t’as raison. On peut y aller … », lança-t-elle en commençant à se rhabiller à mon plus grand regret.
  • « Il n’y a pas le feu non plus … »
  • « Pffff ! J’ai pas envie de remettre mon soutif. Il fait trop chaud. »
  • « Glisse-le dans mon sac si tu veux ? »
  • « Merci. »

Et la voilà qui masqua ses jolis seins avec son tee-shirt.

  • « Si tu veux on peut passer piquer une tête au passage ? Ca nous rafraichira. », proposai-je innocemment.
  • « Heu … Je n’ai pas de maillot … »
  • « Ben tu peux te baigner en culotte. C’est le même genre de coin qu’ici. Il n’y a jamais personne. »

Je ne pus m’empêcher d’esquisser un sourire que je voulu discret en repensant aux deux jeunes garçons qui m’avaient sautée au même endroit deux jours plus tôt.

  • « Ok … On verra quand on y sera. », accepta-t-elle.

Je n’avais qu’une envie, celle de revoir les nichons de mon amie et mon plan pour y parvenir me parut excellent. Nous nous dirigeâmes vers le bras de rivière et chemin faisant, je peaufinai mon stratagème. Une fois arrivées je me déshabillerai entièrement en espérant qu’ainsi elle hésiterait peut-être moins. A destination, je laissai Roxanne admirer le paysage, tandis que comme prévu, je me mis  poil avant de sauter à l’eau. Un peu moins courageuse, Roxanne me demanda :

  • « Elle est bonne ? »
  • « Un peu froide au début mais c’est tellement agréable ! »
  • « J’arrive … Mais tu es sûre qu’il n’y a personne, hein ? », dit-elle en soulevant son tee-shirt.
  • « Attends, je vais voir … »

Je barbotai un peu pour lui prouver que l’endroit était désert, ce qui finit de la convaincre. Au point qu’à ma grande surprise elle enleva aussi sa culotte et m’exposa son mont de Vénus parfaitement lisse.

  • « Elle est glacée ! », vociféra Roxanne en avançant doucement un pied.
  • « Vas-y franchement ! N’hésite pas ma chérie ! »

Elle suivit donc mon exemple et plongea avant de ressortir en se frottant les bras.

  • « Brrr … Je suis gelée ! »
  • « Nage un peu, ça réchauffe. »
  • « Tu as raison. C’est fou ce que ça fait du bien. », me confirma-t-elle alors que ses quelques brasses la conduisirent à se rapprocher de moi.

Moi, ce qui me faisait du bien, c’était de voir ses tétons dressés par le froid tandis que les gouttes ruisselaient sur sa peau. Mes frissons, eux, n’étaient pas dus à la température de la rivière. Ils trahissaient ma frustration de devoir me retenir de sauter au cou de Roxanne au risque de mettre en danger notre amitié. Nous nageâmes encore un moment avant de retourner sur le bord.

  • « Merde, on n’a pas de serviette ! », fit remarquer Roxy.
  • « Pas grave. On boit un coup le temps que le soleil nous sèche. »
  • « On s’installe là-bas ? », désigna-t-elle en me montrant de gros rochers surplombant le torrent.
  • « Ouais ! On peut y accéder par-là. Suis-moi. », lui confirmai-je en commençant à rassembler les affaires.
  • « Hé ! On est toutes nues ! On ne va pas se balader comme ça ?!? »
  • « Mais si … Ça prend juste cinq minutes pour faire le tour. Et ce n’est même pas un chemin. Il n’y aura personne. »
  • « Bon … Je te suis … »

Nous voilà marchant à travers les buissons, en tenue d’Eve, ruisselantes. Arrivées devant un petit sursaut rocheux, je proposai à Roxanne de lui faire la courte échelle pour l’aider à monter. Elle accepta et j’en profitai pour me rincer l’œil avec ses petites fesses rondes. A son tour elle voulut m’aider en s’accroupissant et en me tendant la main. Ce faisant elle m’offrit un superbe cadeau, son minou étant à hauteur de mon visage. Une fois à destination, j’étais déjà excitée comme une puce lorsque Roxanne me demanda de lui rajouter de la crème solaire, ce que je fis avec délices en la massant légèrement.

  • « C’est le pied total ! Continue … »
  • « A charge de revanche … », répondis-je en rigolant sans me faire prier pour continuer à laisser mes mains œuvrer sur sa peau.
  • « Pas de souci … Allonge-toi sur le vente. »

Je ne voulu pas rater une telle occasion et m’interrompant, lui offrit mon corps dans la position souhaitée.

  • « Je suis toute à toi ! », lui lançai-je en pensant au double sens volontaire de mes mots.
  • « Tu vas voir mon Erica … Je vais te faire un truc de dingue ! »

Roxanne étala de la crème sur mon dos, passant même sur mes fesses, le long de mes jambes, pour commencer à me masser les pieds.

  • « C’est divin ! Je crois que je suis au paradis … »
  • « Retourne-toi, on continue … »

Bien sûr j’obéis. J’étais nue, en face de Roxanne qui reprit par mes épaules, mes seins, mon ventre, effleurant ma foufoune pour descendre sur mes jambes. Ses gestes étaient fermes mais d’une douceur incroyable. Mes pieds eurent à nouveau droit à ses faveurs tandis qu’elle me souleva les jambes l’une après l’autre. Elle devait avoir une vue imprenable sur mon abricot suintant de cyprine mais elle ne laissa rien paraître.

  • « Voilà ! Tu as eu ta revanche … », termina-t-elle avec un baiser sur la plante de mon pied droit.

Ce fut grandiose ! Nous étions tellement bien toutes les deux. Je glissai ma main dans la sienne, elle ne dit rien, aussi je l’y laissai. Je ne voulu pas aller trop vite et prendre le risque de briser cet instant de bonheur. Cependant, toute bonne chose ayant une fin, nous fûmes obligées de nous remettre en route. Tout le long du trajet nous bavardâmes gaiement, je la regardai souvent et admirai ses formes. J’étais en train de devenir raide dingue de Roxanne mais n’osai pas le lui faire comprendre en lui reprenant la main.

Enfin de retour à la maison, Roxanne étant sous la douche, j’en profitai pour consulter ma messagerie. Alyssa m’avait envoyé un cliché sur lequel je me vis en train de lécher le talon aiguille de mon amie. J’en fus presque honteuse, comme si je l’avais trahie, jugeant mes fantasmes incompatibles avec mon attrait pour elle qui était  si pure, si douce.

  • « Coucou … Tu rêves ? », me fit sursauter Roxy qui se trouvait juste derrière moi.
  • « Hein ?!? »
  • « Ca fait cinq minutes que tu contemples ton phone. Ça va ? »
  • « Heu … Oui … Juste un message étrange, c’est tout. », expliquai-je en rangeant mon téléphone prestement.
  • « Vas te doucher pendant que je nous prépare un apéro. »
  • « Excellente idée … »

Je me sauvai vers la salle de bain. Emotionnellement submergée, je commençai à pleurer en maudissant mes folies de ces derniers jours. Il me fallut un bon quart d’heure sous l’eau tiède pour me calmer, et rejoignant ma chambre, j’enfilai à la va vite une petit robe grise boutonnée sur le devant. Roxanne avait préparé un petit en-cas et nous nous installâmes sur la terrasse. Elle portait une jupe en toile kaki, un petit gilet croisé et était pieds nus. Après quelques verres la discussion devint un peu plus axées sur nos expériences réciproques et j’avouai à mon amie que je la trouvais beaucoup plus sûre d’elle.

  • « Tu trouves ? »
  • « Franchement, oui. Jamais je n’aurais imaginé que tu quittes tes vêtements pour te baigner. »
  • « Tu étais nue toi aussi. Je me suis dit qu’il n’y aurait rien de gênant à me mettre dans la même tenue. En même temps j’avoue que c’était assez agréable comme sensation d’être toute nue au milieu de nulle part. »
  • « C’est vrai qu’on se sent libre ! »
  • « Libre, pas tout à fait. Je ne peux pas m’empêcher de me sentir épiée. J’avais l’impression que quelqu’un nous regardait. »
  • « Ah ? Remarque, ça rend la chose un peu plus excitante, non ? »
  • « Peut-être … »
  • « Tu sais, l’autre jour j’ai pris un bain de soleil derrière les thuyas et je me suis déshabillée complètement. C’était vraiment génial de sentir le soleil et le vent sur ma peau. Tu devrais essayer … »
  • « Pourquoi pas. J’y penserai … »
  • « A propos de ça, je repense à tout à l’heure. Je te suis redevable. »
  • « De quoi ? »
  • « De ton massage des pieds. Il était divin. Tu veux bien m’apprendre ? »
  • « Heu … Pourquoi pas. Tu as de l’huile de massage ? », me demanda Roxanne légèrement surprise.
  • « Non, malheureusement … »
  • « Sinon on peut prendre de la crème Nivea. J’en ai vu dans la salle de bain. Le principal c’est que ça glisse. »

Je partis chercher le flacon en question et revint sur la terrasse aussi vite que j’en étais partie. Roxanne était accroupie et me montra la chaise en face d’elle.

  • « Assieds-toi et fais bien attention. »

Elle me retira mes tongues avant de mettre une noix de crème dans ses mains et de commencer à me masser. 

  • « C’est absolument fou comme sensation ! Où as-tu appris ça ? », l’interrogeai-je pendant que ses mains, tantôt douces, tantôt fermes, glissaient sur mes pieds et mes jambes.
  • « C’est Jean. Comme quoi il m’a servie au moins à quelque chose … »
  • « Tu as pris le meilleur de lui en tous cas ! » dis-je en riant.
  • « Il n’y avait rien d’autre à prendre de toute manière. Allez, maintenant à toi ! On change de place. »

Je m’accroupie à mon tour devant Roxanne qui s’installa confortablement. Dire que j’étais aux anges est un faible mot. Comme elle me l’avait montré, je passais mes mains sur ses pieds. Elle me guida de temps en temps, m’indiquant d’insister à tel ou tel endroit. J’enserrai presque entièrement ses chevilles délicates et elle semblait apprécier mes caresses, se laissant même aller à fermer les yeux. Soudain je repensai à la position qu’elle avait adoptée sur le rocher et essayai d’en faire de même. Je lui soulevai donc doucement un pied en tentant de voir plus loin. Voulu-t-elle me faciliter la tâche ou fit-elle seulement un mouvement involontaire ? En tous cas elle écarta très légèrement les jambes, ce qui me permit d’apercevoir sa culotte. Ses soupirs de bien-être me rassurèrent, aussi je m’arrangeai pour que la pointe de ses orteils frôle mes seins en plaçant son pied presque contre mon ventre. Après avoir déposé un baiser dessus, je pris l’autre et recommençai le même manège. Un long moment plus tard, elle rouvrit les yeux et me demanda d’intervertir à nouveau les rôles.

  • « Tu te débrouilles très bien ma chérie. A moi maintenant … »

Abandonnant mes pieds, Roxanne reprit son massage plus haut, sur mes mollets pour remonter sur mes cuisses.

  • « Attends, je suis mal installée … », dis-je en voyant que ma robe la gênait.

Je soulevai alors cette dernière et m’assis directement sur le siège. Le contact du bois sur mes fesses était doux et chaud. Je ne portai pas de string mais Roxanne n’en parue pas choquée.

  • « C’est mieux comme ça, tu as raison. Maintenant détends-toi et laisse-moi faire … »

Sans mauvais jeu de mot, c’était le pied total. Tant de douceur, tant de tendresse dans ses gestes. Je baissai les yeux et la vis absorbée par ce qu’elle faisait, totalement concentrée. Parfois, le bout de ses doigts arrivaient presque au niveau de mon sexe. Je ne savais pas si cette approche était intentionnelle mais je commençai à mouiller sérieusement. Roxanne m’écarta doucement les jambes afin de se placer entre elles. Partant de mes pieds elle remonta jusqu’à mon ventre qu’elle massa avec des gestes d’une lenteur exquise qui m’envoyèrent loin, loin dans les nuages. Il faisait maintenant nuit noire et nous n’étions plus éclairées que par la douce lumière tamisée diffusée par le lampe surplombant la terrasse.

Totalement prise par cette atmosphère envoutante, je déboutonnai lentement ma robe dont Roxanne écarta les pans pour découvrir mes seins qui pointaient fièrement. Tout en reprenant ses caresses elle les effleura brièvement, m’arrachant un soupir d’aise. Puis ce fut son pouce qui frôla mon mont de Venus. Elle ne pouvait plus ignorer mon état, le visage à quelques centimètres de mon corps, d’autant que je ne faisais plus rien pour le cacher. La pénombre l’empêchait peut-être de voir que ma chatte était trempée, mais il ne fait aucun doute qu’elle le savait. Collée à moi, je sentais la chaleur de sa poitrine à travers son haut lorsqu’elle se leva.

  • « Ne bouge pas … », me dit-elle.
  • « Plutôt mourir que de bouger … », lui répondis-je sur un ton plein de sous-entendus.

Une fois debout elle défit son gilet croisé qui laissa apparaître sa poitrine dorée. Puis elle s’agenouilla pour couvrir mes jambes de tendres baisers et de douces caresses.

  • « Houuu … Roxanne … C’est délicieux … », soufflai-je.
  • « Je sais Erica … Je vois … »

Après un sourire complice elle m’embrassa les seins chacun leur tour avant de se relever.

  • « Il fait un peu froid non ? On rentre ? », me demanda-t-elle après m’avoir laissée atterrir quelques instants en me contemplant.
  • « Heu … Oui … Bien-sûr … »

Je ne sus pas trop comment réagir. Etait-ce une proposition à aller plus loin ou non ? Mais elle repassa son gilet, ne me laissant pas trop d’espoir quant à la poursuite de la soirée. Devinant ma déception, Roxanne me rassura.

  • « Tu sais Erica, c’était vraiment merveilleux. J’ai beaucoup aimé te caresser … »
  • « Tu es tellement tendre … »
  • « Jean m’a appris pas mal de choses dans ce domaine. Comme tu as dit, je garde les bons côtés de notre relation. »
  • « C’est lui qui t’a appris tout ça ? », relançai-je tandis qu’elle vint s’asseoir à mes côtés sur le canapé.
  • « Plus ou moins … Cette histoire avec lui m’a surtout apprit à me laisser aller et à faire ce que je voulais sans attendre qu’on le fasse à ma place. Avec lui j’aurais pu attendre longtemps ! », me répondit-elle avec un air sarcastique.
  • « Dis-moi … C’est la première fois que tu caresses une femme ? »
  • « Oui et non, mais je ne préfère pas en parler … Mais je crois en fait que j’aime donner du plaisir. Même si ce n’est pas sexuel. »
  • « C’est réussi ! Jamais je n’avais passé un tel moment. Tu as vraiment changée. En bien je précise … »
  • « Je ne me reconnais pas moi-même. C’est pour ça que je ne veux pas brusquer les choses. »

Nous discutâmes encore un bon moment, puis Roxanne me dit qu’elle avait besoin de se reposer. Nous nous levâmes du canapé et je me retrouvai devant elle, ma robe déboutonnée laissant voir les parties les plus intimes de mon corps. Roxy me déposa un baiser sur les lèvres, aussi doux que bref, avant de rejoindre sa chambre. Montant moi aussi quelques minutes plus tard, complètement détendue, je ne tardai pas à m’endormir.

Je me réveillai tôt, en sueur, me souvenant que j’avais rêvé d’Alyssa. J’étais debout, nue au milieu de son magasin. Elle était en face de moi et fixait des pinces placées sur mes tétons qui me faisaient un mal de chien. Elle les vissait toujours plus tandis que je la suppliais d’arrêter en tombant à genoux devant elle. Ce fut cette douleur inconsciente qui me sortie de mon sommeil en sursaut. Une main plaquée sur mon sein je me dis que j’avais dû me pincer en dormant. Je n’osai pas regarder sur la table de nuit où Roxanne avait posé la pince qu’elle avait trouvé par terre car j’aurais été bien incapable de résister. Pour me calmer je descendis aux toilettes et me passai le visage sous l’eau froide. En remontant, je pris mon téléphone et constatai que des messages avaient été laissés. Des photos plus exactement … Des clichés de mes seins, de ma bouche, de mon sexe ou de mon anus. J’étais terriblement mal à l’aise mais en même temps, je dois bien l’avouer, très excitée. Je me saisis alors de l’une des pinces en forme de petit étau et la plaçai, sans la serrer, sur mon clitoris. Je pris une photo que j’envoyai aussitôt à Alyssa. Mon phone ne tarda pas à sonner.

  • « Alors on s’amuse avec ses jouets ? Roxanne est endormie ? »
  • « Je pense … Mais je ne peux pas parler trop fort. Je ne veux pas la réveiller. »
  • « Alors sors et trouve un endroit où nous pourrons parler. »
  • « D’accord … »
  • « Mais n’enlève pas ton bijou ! »
  • « Bien … »

Je sortis de la maison, il faisait frais, presque froid, et je gagnai rapidement l’appentis.

  • « Alors raconte-moi tout Erica. Je veux savoir comment elle est, si elle embrasse bien, je veux tous les détails ! »
  • « Non, ce n’est pas ça … »
  • « Ne me mens pas ! »
  • « Tu es jalouse ? »
  • « Non, curieuse et excitée. Caresse-toi en même temps. »

Je m’exécutai, lui racontant en même temps ma journée de la veille avec Roxanne. Je décrivis en détail son corps et ce faisant, je rattrapai le retard de mes orgasmes manqués. Alyssa m’excitait en m’obligeant à imaginer que Roxy me possédait.

  • « Tu l’imagines en train de te lécher les seins ? Peut-être qu’elle est aussi vicieuse que toi ? Peut-être même plus ? », me dit-elle pour me provoquer.
  • « Non … Laisse-la en dehors de ça … »
  • « On verra. Mais il faudra être sage ! »
  • « Oui, je te le promets … »
  • « Alors voilà les consignes. Jamais de culotte. Tu ne portes que des robes ou des jupes. Jamais de pantalons ou de shorts. De plus je veux que tu portes les bijoux que je t’ai offert au moins quinze minutes par jour, même en présence de ton amie. »
  • « Bien … »
  • « Bien ? »
  • « Oui, je te le promets … »
  • « Parfait … Maintenant je veux que tu te fasses jouir en me racontant ce que tu fais. »
  • « Je me pince les nichons en faisant tourner mes tétons entre mes doigts … »
  • « Ça fait mal ? »
  • « Un peu … »
  • « Alors tourne plus fort ! »
  • « Attends … J’ai une idée … »

Je pris les pinces à linge qui m’avaient servis la dernière fois et en plaçai une sur chacune de mes pointes.

  • « Tu es vraiment une belle salope ! », grogna Alyssa en regardant la photo que je venais de lui adresser.
  • « Je me doigte … »
  • « Combien de doigts ? »
  • « Un … Mon majeur … »
  • « Mets-en plus ! »
  • « Oui … »

Avec un nouveau cliché je lui montrai que je me faisais reluire à l’aide de trois doigts.

  • « Ton cul maintenant … A quatre pattes petite pute ! »
  • « Voilà … Je m’enfonce deux doigts dans l’anus … »
  • « Ça t’excite ? »
  • « Oh oui putain … »
  • « Tourne la pince sur ton clito ! »
  • « AHHHHHHH … JE JOUIIIIIIS !!! », hurlai-je alors que la brusque douleur avait agi comme un détonateur.
  • « Maintenant va rejoindre Roxanne dans sa chambre. »
  • « Mais … Non … Je ne peux pas … »
  • « Va simplement la réveiller. Tu peux retirer tes bijoux cette fois. Je te laisse mais je te fais confiance. »

Elle raccrocha aussi brutalement que la fois précédente. Je retournai dans la maison et remontai après avoir enlevé les pinces. Arrivée au premier, je trouvai Roxy sur le pas de ma porte. Vêtue d’une courte nuisette, elle me sourit.

  • « Tu viens ? »
  • « J’arrive … J’étais aux toilettes. »

Tout naturellement nous nous blottîmes l’une contre l’autre avant de rejoindre ma couette sous laquelle je me rendormis paisiblement.

Encore une fois ce fut en sursaut que je me réveillai, mais cette fois-ci il n’était plus question de rêves agités. Le contact doux et chaud que je ressentis était bien réel. Roxanne était devant moi, toute nue, les jambes légèrement écartées, et elle appuyait ma main sur son sexe. Sans quitter son entrecuisse, je me levai face à elle. Surprise, je sentis comme une petite chaînette entre mes doigts. Roxy me regarda et s’approcha un peu plus de moi. Nos poitrines se touchèrent juste avant que je ne l’embrasse, doucement, profitant de chaque seconde de ce moment magique. Sa langue était brûlante. Je descendis légèrement sur mes jambes pour m’occuper de ses seins. Elle gémit sous l’action de mes lèvres gourmandes en me caressant la tête. Tout en appuyant délicatement sur cette dernière, Roxanne posa son pied sur le rebord du lit, m’encourageant ainsi à aller goûter son fruit interdit. Enfin il était à ma portée, juteux à souhait. Tout de suite je reconnue la petite chaine que j’avais touché. Il s’agissait de celle reliant mes boules de geisha que je lui avais demandé de me ramener. Je tirai doucement dessus pour la faire passer sur ses lèvres gonflées. Puis j’embrassai son sexe, posant ma bouche grande ouverte sur celui-ci pour jouer de ma langue que je fis danser sur son petit bouton.

Roxanne n’en pouvait plus de subir mes assauts dans cette position, aussi l’aidai-je à s’allonger sur le lit. Elle écarta les jambes afin de me permettre de continuer mon œuvre. Son goût était exquis, une peu salé, et je la voyais se caresser les nichons en les pressant l’un contre l’autre. Abandonnant son minou, au moins provisoirement, je m’allongeai à ses pieds que j’entrepris de masser avec mes seins comme elle me l’avait fait la veille. J’embrassai ses chevilles, je léchai ses jambes sur toute leur longueur, remontant vers sa foufoune sans y toucher. Elle devenait folle, se contorsionnait, les jambes écartées et relevées vers ses épaules, offrant à ma vue sa fente trempée et son petit trou plissé. Ce fut alors son sexe qui attira l’attention de mes seins, et prenant l’un de me mes tétons entre mes doigts, je le pointais sur sa vulve déjà largement ouverte.

  • « Ta langue … Chérie viens mettre ta langue dans ma chatte … », me supplia Roxanne.

Me pliant volontiers à sa demande, je plaquai ma langue sur sa cramouille et me mis à la laper de bas en haut. Elle gémit, soupira, s’écarta elle-même les cuisses en les tenant par-dessous pour me montrer à quel point elle appréciait ce que je lui faisais. Devant autant de gestes d’encouragement je recommençai de plus belle, léchant même sa rondelle palpitante.

A suivre : Luxure et perversion - Part 4


Par Decadent Laboratory - Publié dans : RECITS
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Jeudi 16 juin 4 16 /06 /Juin 10:59

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Luxure et perversion

Ecrit par Erica

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Je fonçai dans un magasin de chaussures tout proche et jetai mon dévolu sur une paire d’escarpins noirs à talons aiguilles. En réglant la note avec ma carte bleue, je réalisai que j’étais en train de dépenser 120 euros juste pour plaire à une vendeuse qui semblait des plus vicieuses sous de faux airs de timidité. Mon compte en banque soulagé d’une paire de Louboutin, je retournai dans l’arrière salle de la boutique de lingerie. A mon passage, alors que je traversai les rayons, Alyssa, c’était le prénom de la fameuse vendeuse, abandonne presque une cliente pour m’emboiter le pas.

  • « Alors ? Montrez-moi ce que cela donne avec vos nouvelles chaussures. », me lança-t-elle sans arriver à masquer son impatience.
  • « Et voilà ! », m’exclamai-je en abandonnant le plus naturellement du monde ma robe devant Alyssa qui ne pouvait pas ne pas remarquer la turgescence de mes tétons.
  • « Essayez ça aussi si vous le souhaitez … »

Elle me tendit un corset rouge et noir à lanières. Il soutenait mes seins en laissant mes pointes dardées apparentes. Je m’approchai du miroir et à la vue de mon reflet, le premier mot qui me vint à l’esprit fut le mot « pute ». Je me le répétai à plusieurs reprises dans mon esprit tordu, en silence, et cela m’excitait. Alyssa s’approcha alors de moi et me souffla :

  • « Nous sommes bien assorties ainsi … »

Je compris rapidement la nature de son propos lorsqu’elle déboutonna son chemisier qui libéra une magnifique et opulente poitrine emprisonnée dans le même corset que le mien, seules les nuances de rouge étant remplacées par du blanc. Eurasienne, sa peau légèrement teintée était du coup parfaitement mise en valeur. Ses seins étaient bien plus gros que les miens et contrastaient merveilleusement avec la finesse athlétique du reste de son corps. Elle se voulait tentatrice, aussi je me fis provocatrice.

  • « Ça a l’air serré. Ça ne vous fait pas mal ? », lui demandai-je.
  • « Non ça va, je suis habituée. Loin de moi l’idée de vouloir paraître prétentieuse mais j’aime mettre mes seins en valeur. »
  • « Vous auriez toutes les raisons de l’être et avez toutes les raisons de le faire … »

Passant délicatement la pointe de mon index à la lisière de son corset, je renchéris :

  • « Vos seins ont l’air tout simplement somptueux … »

Alyssa n’esquissa pas le moindre mouvement de recul à ce contact sur sa peau. Je détectai même un très léger sourire qui m’encouragea à aller plus loin. Mon impression se confirma lorsque je posai mes lèvres, juste au-dessus de l’aréole de son sein droit pour l’embrasser tendrement.

  • « Houuu … Oui … C’est bon … Mordillez-moi les pointes … Plus fort ! Haaaa … Oui … Comme ça ! », se mit-elle à gémir rapidement.

Sans plus aucune réticence mes dents torturèrent ses tétons tandis que dans le même temps ma main cherchait la fermeture de sa jupe. Sous cette dernière, surprise ! Ni culotte, ni string, mais comme une petite pince sur son clitoris.

  • « Mais qu’est-ce que c’est ? », demandai-je en titillant l’objet métallique.
  • « Un bijou intime. C’est un peu douloureux mais les sensations sont incroyables. Au magasin je ne peux pas porter de pinces aux seins, alors celle-ci est plus discrète. Et pour tout vous dire, beaucoup plus efficace … », m’expliqua-t-elle en prononçant ses derniers mots dans un soupir provocateur.

Sans me laisser le temps de poursuivre notre discussion, Alyssa glissa son majeur entre les pans de ma culotte pour me branler doucement, puis de plus en plus fort, jusqu’à ce que je commence à ahaner.

  • « Tu sais … Oh oui … Je … Je n’ai encore jamais fais ça avec une fille … Putain c’est bon ! »
  • « C’est si bon que ça ? »
  • « Oh oui … OUIIII ! »

Alyssa arrêta net de me masturber, et son sourire tout à l’heure discret illuminait dorénavant pleinement son visage angélique.

  • « Mon impression était donc la bonne. Dès que tu as franchis la porte du magasin j’ai su que j’avais à faire à une bonne petite salope ! Viens me lécher ! »

Son ton était devenu autoritaire, presque impérieux. J’aurais pu m’en offusquer, mais mon excitation était telle que j’obtempérai de suite et approchai ma bouche de ses jambes écartées avant de poser ma langue sur son sexe luisant. Sa chatte était déjà largement humide et son nectar délicieux. Je m’en délectai avec gourmandise jusqu’au moment où elle décida d’inverser les rôles en commençant par s’occuper de mes seins, avant de glisser sur mon ventre, pour finir par s’approcher de mon bourgeon de femme.

  • « Tu es toute excitée … Tu aimerais que je te lèche hein ? », me demanda-t-elle en torturant mon minou avec un léger souffle qui me rendit folle de frustration.
  • « Je t’en prie … Oui … Bouffe-moi la chatte … »

J’étais prête à faire n’importe quoi pour que cela arrive. Je fermai les yeux, et alors que je m’attendais à une suave douceur, c’est une vive douleur qui s’empara de mon sexe. Alyssa venait de me mordre le clitoris à pleine dents et j’eus toutes les peines du monde à ne pas m’écrouler tant mes jambes se mirent à trembler.

  • « Allonge-toi et écarte les cuisses salope ! », m’ordonna-t-elle en relâchant mon intimité de son étreinte mordante.

Sans répondre, ni encore moins protester, je m’étendis sur le sol en prenant la position souhaitée par mon amante. Se faisant plus douce, plus caressante, Alyssa s’approcha de moi avant de s’asseoir à califourchon sur mon visage.

  • « T’as intérêt à t’appliquer petite pute ! », grommela-t-elle en accompagnant ses paroles d’une petite caresse sur ma joue qui se transforma bien vite en une violente gifle.

Sa cramouille se trouvait à quelques centimètres de ma bouche qui ne demandait qu’à démontrer sa bonne volonté. Je me mis à titiller frénétiquement son bijou, lécher son clitoris, laper sa chatte ruisselante, le tout uniquement avec ma langue. Je me risquai même à une tentative entre ses petites fesses toutes fermes qui fut si bien accueillit qu’Alyssa se repositionna. Elle me donna ainsi un plein accès à son anus que je me fis un devoir de fouiller en profondeur. Soudain ma belle eurasienne se releva.

  • « Appuie-toi là et garde les cuisses écartées ma cochonne. Je vais te récompenser … », m’annonça-t-elle.

Suivant ses directives je m’installai face au mur, cambrée, la croupe bien relevée. Je vis mon reflet dans le miroir qu’elle avait placé justement dans ce but. C’était à peine croyable ! J’étais habillée comme une pute de luxe en train de me faire doigter par une fille magnifique. Celle-ci m’enfonça des doigts dans le con et me fis les lécher une fois bien imbibé de cyprine. Ensuite elle tenta, elle aussi, l’aventure entre mes fesses d’un index inquisiteur qui reçut le même accueil que le mien dans son propre fondement quelques instants plus tôt.

  • « Oh putain ! Oui ! Mets-en un autre ! Défonce-moi la rondelle ! », gémis-je alors que ma peau se couvrait progressivement de sueur.
  • « Tu es vraiment une grosse salope toi ! Je suis ravie de t’avoir rencontrée ! »

Au comble de notre excitation mutuelle nous nous retrouvâmes en 69, par terre, Alyssa en dessous et moi sur elle. Nous nous déchaînâmes l’une sur l’autre, nous rendant « coup pour coup ». A ce jeu mon amante l’emporte lorsqu’elle se saisit de l’une de mes chaussures pour m’en planter le talon aiguille dans la chatte, puis dans le cul.

Après un orgasme puissant dont j’étouffai la manifestation orale en plaquant ma bouche sur sa foufoune, je la terminai en la branlant comme si ma vie en avait dépendue. Repues, épuisées par notre voilent coït, nous nous embrassâmes longuement avant qu’elle ne me demande si nous pouvions nous revoir. Heureuse de cette proposition que je lui aurais moi-même faite de toute manière, nous échangeâmes nos numéros de portables avant que je ne m’habille rapidement. Je n’oubliai pas de ranger les dessous que finalement elle m’offrit.

Il ne me restait plus qu’une heure pour mes courses, et me rendant au supermarché du centre commercial, je remplis à la va vite mon caddie sans oublier la liste un peu particulière que j’avais faite dans ma tête. Celle de tous ces objets ou aliments susceptibles de visiter mes orifices en cas de pénurie temporaire de bonnes grosses bites bien en chair.

J’arrivai à la gare pile à l’heure prévue, mais comme souvent avec la SNCF, le train eut « un peu » de retard. Pour patienter, je me remémorai mes dernières sorties avec Roxanne. Cela faisait un bail en fait, un bail depuis que nous nous étions rencontrées dans un bar du quartier Saint Michel. Nous avions tout de suite sympathisées et nous étions passées bien vite du statut de simples copines à celui d’amies sincères. Même si mes études dans mon pays d’origine m’avaient éloignée d’elle, j’avais suivi la naissance de son idylle avec Jean. J’avoue qu’elle m’avait même parfois saoulée au cours de nos discussions internet avec son prince charmant, car à la lire il était formidable, beau, drôle, intelligent et j’en passe. Je me rappelle d’ailleurs lui avoir conseillé de ne pas mettre la charrue avant les bœufs mais ce fut peine perdue. Pour moi, leur histoire n’avait aucune chance de bien se terminer. Comme moi, Roxanne était bien trop exubérante et active pour un mec comme Jean qui était tout le contraire. Calme, taciturne, je le trouvais même, pour ma part, mou. Je sus tout de suite que ma Roxy allait l’épuiser, et ce fut sans surprise qu’à mon retour en France j’encaissai la nouvelle de leur séparation.

Revenant sur le cas de ma petite personne, je repensais à ces derniers jours et comptais sur Roxanne pour me remettre, un peu, sur le droit chemin de la normalité. Comme je l’ai déjà dit, je suis loin d’être puritaine, mais j’avoue qu’avec un peu de recul je me sentis un peu honteuse d’avoir baisé avec des partenaires qui m’étaient totalement inconnus l’instant d’avant. Je dis bien « baisé » car pas question d’employer l’expression « faire l’amour » pour caractériser mes dernières expériences avec Quentin, Fred, et plus tard Alyssa. Et ceci même si je me jugeais jusqu’à présent assez ouverte en matière de sexe, aimant varier les plaisirs ailleurs que sur le classique lit. Même au niveau de mes pratiques j’adore faire ma petite cochonne. J’aime tailler des pipes, me faire sauter comme une chienne, me faire enculer et finir la bouche pleine de foutre ou les gougouttes maculées de jute. Mais depuis trois jours je me découvre en plus des penchants pour le saphisme, l’exhibitionnisme, la douleur, voir même l’humiliation. C’était loin de me déplaire, mais je trouvais que cela allait trop vite et avais peur de l’évolution de tout ceci si je ne mettais pas un coup de frein pour prendre un peu de recul.

Je ne savais pas trop comment j’allais retrouver Roxanne. Allait-elle être au bout du rouleau ? Anéantie par sa séparation ? Cela n’a jamais trop été dans son caractère de se laisser aller à se morfondre, mais avec les peines de cœur on ne sait jamais. La seule chose dont j’étais certaine c’est que de toute manière elle pourrait compter sur moi.

Le train entra en gare et j’essayai de la chercher à travers les vitres des wagons qui défilaient devant mes yeux. Après un dernier crissement métallique strident, il s’immobilisa et j’aperçue enfin Roxanne avec un gros sac en bandoulière. Moi qui étais habituées à ses tenues presque trop décontractées, je la trouvai vêtue d’un tailleur assez sobre et de chaussures à talons. Elle avait toujours ses cheveux châtains et longs ainsi que son air rieur, mais je la trouvai changée. A tel point que lorsqu’elle se dirigea vers moi en souriant, je mis quelques secondes à réagir avant de la prendre dans mes bras.

  • « Salut Erica ! »
  • « Roxy ? Putain j’ai faillis ne pas te reconnaître ! Je ne t’ai jamais vu en tailleur. »
  • « C’est pour le boulot. J’avais une réunion importante et pour être sûre de ne pas rater mon train je ne me suis pas changée. »
  • « Côte à côte, ça fait rat des villes et rat des champs … », m’exclamai-je en pouffant de rire.

Elle semblait aller pas trop mal et je me dis qu’il serait préférable de la laisser me parler elle-même de ses mésaventures amoureuses si elle en sentait le besoin.

  • « Pffff … M’en parle pas ! J’ai qu’une envie, celle de prendre une bonne douche et de mettre un jean et un tee-shirt ! », soupira-t-elle.
  • « Alors allons-y ! Et un peu d’air pur te fera le plus grand bien ! »

Nous nous dirigeâmes vers la voiture, discutant du beau temps, de son voyage et des perspectives de balades. Le trajet fut assez long et il faisait particulièrement lourd. La chaleur était étouffante, et bien sûr je n’avais pas la clim. J’avais terriblement chaud et j’imaginai que Roxanne, vue sa tenue, devait être en train de cuir. Elle avait retiré sa veste et son chemisier collait à sa peau.

  • « Quelle chaleur ! Je sens qu’un orage se prépare. Avec un peu de chance il ne va pas tarder à nous rafraîchir un peu. »
  • « J’en peux plus ! Je suis en nage ! », dis Roxanne en retirant ses escarpins.
  • « Courage ma chérie, on arrive ! La douche salvatrice est proche. »

Je ne crus pas si bien dire puisqu’elle prit la forme d’un mur d’eau qui tomba du ciel lorsque nous arrivâmes. Coincées comme deux gourdes dans la bagnole, nous ne savions pas comment faire pour éviter d’être complètement trempées. Je proposai à Roxanne de tout laisser dans le coffre pour l’instant et de courir comme des folles jusqu’à la terrasse couverte qui n’étaient finalement pas si loin. Nous prîmes alors notre courage à deux mains, et après un joli sprint nous rejoignîmes l’abri de la maison en ayant limité autant que faire ce peut les dégâts. La pluie avait quand même eut le temps de faire son œuvre, nos pieds étant couverts de boue et nos vêtements collés à nos peaux. Je vis par transparence le soutien-gorge de Roxanne et me dis que forcément, dans le sens inverse, elle pouvait certainement constater que je ne portais rien sous ma robe.

  • « Entre et fais comme chez toi. Si tu veux prendre une vraie, la salle de bain est au fond. Je t’apporte une serviette. », lui proposai-je en ouvrant la porte.
  • « Ok, merci. J’y vais, ça va me faire du bien. »

En attendant je décidai de faire chauffer de l’eau pour un bon café. Mes pieds étaient encore plein de boue et je ressortis pour les rincer sous la gouttière de la tarasse. L’eau était froide mais c’était agréable. Il pleuvait tellement que même à l’abri je recevais des projections. Trouvant cela amusant, je me mis sous l’averse orageuse et laissai le liquide glacé couler sur mon corps. Courageuse mais pas téméraire, le froid me ramena vite à l’intérieur, et pour ne pas tout abimer autour de moi, j’ôtai ma robe dans l’entrée avant de l’accrocher à une patère. Puis je me dirigeai vers le placard jouxtant la salle de bain pour prendre des serviettes, une pour moi et une pour Roxanne. J’étais à mi-chemin lorsqu’elle sortit de la pièce encore toute habillée. A en juger par la couleur de ses joues, me voir ainsi entièrement nue fut une surprise totale.

  • « Heu … Je voulais juste du shampoing … Tu en as ? », bafouilla-t-elle.
  • « Il me semble qu’il y en a un flacon neuf dans le petit meuble sous le lavabo. », répondis-je sans même chercher à me cacher.
  • « Heu … Merci … Je vais voir … »

Elle rentra dans la salle d’eau et je l’entendis fouiller à l’endroit que je lui avais indiqué avant que le chauffe-eau ne se mette en marche. Vu l’état dans lequel je me trouvai, je me dis que je ferais aussi bien d’aller chercher les affaires qui étaient restées dans la voiture avant de prendre une douche à mon tour. J’enfilai donc à nouveau ma robe transformée en éponge et partis en quête des provisions et des bagages de Roxanne. L’eau ruisselait sur ma peau et je pus ressentir l’impact de chaque goutte. Après trois allers-retours j’avais vidé le coffre et pus m’apprêter à passer le reste de la journée au chaud sans avoir besoin de ressortir. Me déshabillant à nouveau, je pensai cette fois à m’envelopper dans une serviette avant de toquer à la porte de la salle de bain.

  • « Roxy ? Je t’apporte une serviette ma belle. »

Je frappai plus mais elle ne me répondit toujours pas. J’entrouvris donc doucement la porte pour déposer le linge sur une chaise. Roxanne était couverte de mousse et se lavait les cheveux, les yeux fermés, ne pouvant donc pas me voir. Ce fut la première fois que je la vis nue, et franchement cette vision était merveilleuse. Sa peau légèrement dorée ressortait encore mieux sous la lumière blanche de la pièce. Sa poitrine était, à peu près, de la même taille que la mienne mes ses seins en forme de poire avaient l’air délicieusement fermes et ses tétons naturellement dardés. Quant à son magnifique petit cul bombé il devait être un véritable piège à mecs. Pas que d’ailleurs puisqu’il me fallut une bonne dose d’auto-persuasion afin d’arrêter de flasher sur ma copine et sortir de la pièce en silence. Après quelques instants elle en fit de même, emmitouflée dans une serviette éponge. Ses épaules et ses jambes nues étaient recouvertes de gouttelettes qui lui donnaient un charme encore plus ravageur.

  • « Tu fais star de ciné en sortant de la douche comme ça. »,  plaisantai-je en lui désignant une tasse de café chaud.
  • « J’en parlerai à mon producteur … Tu peux me prêter des fringues en attendant ? », me répondit Roxanne en souriant.
  • « Ton sac est là, j’ai tout ramené. Je vais te montrer ta chambre si tu veux. »
  • « Je te suis. T’as été courageuse de te sacrifier pour ramener nos affaires. »
  • « Bah … Mouillée pour mouillée … », lui rétorquai-je avec un clin d’œil.

Je l’amenai à sa chambre qui se trouvait à l’étage. Bien qu’aménagée assez simplement, les poutres apparentes et la mansarde lui donnaient un certain cachet.

  • « Wahou ! C’est superbe ! », s’exclama Roxanne en écarquillant les yeux.
  • « C’est pas la pièce la plus grande mais c’est sympa. Je te laisse t’habiller et on se retrouve en bas ? »
  • « Ça marche. A tout de suite. Et merci pour ton invitation Erica … »
  • « De rien ma chérie … Et puis tu me remercieras après le diner. T’as pas idée de ce que je te prépare ce soir ! »
  • « Je peux deviner ? Je n’ai même pas de robe de soirée … », me lança mon amie avec un clin d’œil.
  • « Tu verras … Mets-toi à l’aise. A tout de suite. »

A mon tour je filai à la salle de bain. Roxanne avait laissé ses affaires trempées sur le rebord de la baignoire et je les ramassai pour les mettre au sale. Curieuse, je les détaillai pour trouver ses sous-vêtements. Comme je l’avais deviné tout à l’heure après notre périple sous la flotte, son  soutif était blanc avec une légère dentelle. Sa culotte, bien qu’assortie, était assez classique. Cela ne m’empêcha pas de la porter « machinalement » à mon nez pour sentir son odeur intime, différente de la mienne ou de celle d’Alyssa, la vendeuse de lingerie de tout à l’heure.

L’excitation montant rapidement, la tête me tourne et j’ouvris le mitigeur à fond pour me calmer un peu. Après un bon quart d’heure de ce traitement je me sentis revigorée, et ayant revêtu une robe et un pull, j’allai à la cuisine pour préparer le fameux repas que j’avais promis à mon invitée. Roxanne était déjà descendue et m’apparue dans un ensemble sweat et jean qui collait beaucoup mieux au souvenir que je pouvais avoir d’elle. Elle sirotait son café en regardant la pluie tomber.

  • « Ton portable a sonné pendant que tu étais sous la douche. Je l’ai laissé sonner. Tu dois avoir un message … », m’annonça Roxy.
  • « Oh tu peux répondre ma belle. Pas de souci. »
  • « Je peux t’aider pour le repas ? »
  • « Non ! Sinon ce ne sera plus une surprise … »
  • « Ok … Alors je vais continuer à rêvasser. »

Je préparai un petit diner aux chandelles, digne d’une soirée de retrouvailles. Une fois la table dressée j’ouvris une bouteille de champagne et nous trinquâmes à nos vacances qui commençaient. Roxanne avait l’air heureuse d’être là et nous passâmes une agréable soirée à discuter. Ce ne fut qu’une fois assises dans le canapé, armées d’un digestif, que nous abordâmes le sujet qui me valait la visite de mon amie. Après un bon moment à dire du mal de Jean, ça fait tellement de bien de dire du mal, je compris qu’il était temps de changer l’orientation de notre discussion.

Roxanne revint sur le fait de m’avoir vue à poil un peu plus tôt. En fait ce ne fut pas tellement ma nudité qui l’avait surprise, mais plutôt le fait que je me sentis aucunement gênée, que cela semblait naturel pour moi. Essayant de lui fournir une explication plausible tout en évitant de lui raconter le détail de mes dernières journées, je me rendais compte que je m’enfonçais un peu plus à chaque mot prononcé. Soudain, tel un coup de gong salvateur, mon portable sonna. Il était plus de 23h et je me demandai qui pouvait bien m’appeler.

  • « Allo ? », fis-je un peu inquiète que ce soit une mauvaise nouvelle.
  • « Erica ? »
  • « Oui … »
  • « C’est Alyssa. Je t’ai appelée tout à l’heure mais tu ne m’as pas répondu. »
  • « Ah ? J’avais laissé mon téléphone dans la voiture … Comment vas-tu ? »

Elle avait l’air déçue ou fâchée. Quant à moi j’étais mal à l’aise et ne savais pas trop quoi dire.

  • « Bien … Je voulais savoir ce que tu faisais. »
  • « Je suis avec une amie. Elle est venue passer quelques jours ici pour se changer les idées. »
  • « Ah … Je te dérange alors ? »
  • « Non, pas du tout. »
  • « Tu as repensé à cet après-midi ? »
  • « Oui … Bien sûr … C’était très sympa … »
  • « Tu es bizarre. Tu ne peux pas parler ? »
  • « Oui, absolument. C’est ça. »

Alyssa avait compris ma gêne. Elle devint du coup plus amicale en ayant l’air de d’en amuser.

  • « Alors réponds par oui ou par non. Ok ? »
  • « D’accord … »
  • « T’as jouis avec moi ? »
  • « Oui … »

Les effluves d’alcool aidant, je me sentis rapidement un peu chaude et émoustillée.

  • « Tu as aimé me bouffer la chatte ? »
  • « C’était fantastique … »
  • « Avec qui es-tu ? Décris la moi ! »

Alyssa me piégea en me posant brutalement la question. Ne pouvant y couper j’essayai de donner la description de quelqu’un que nous aurions connues.

  • « A peu près ma taille, tu te souviens ? Les cheveux longs et les yeux verts … »
  • « Comment s’appelle-t-elle ? »

J’étais coincée, incapable de répondre, jusqu’au moment où j’eus une idée.

  • « Roxanne … Elle était dans l’autre groupe de TD. Tu vois maintenant ? »
  • « Tu es maligne. Je peux te rappeler plus tard ? Tu me manques … »
  • « Oui bien sûr … »
  • « Parfait ! Quand tu seras seule je veux que tu m’envoie une photo de toi nue pour me prévenir. »
  • « D’accord … A tout à l’heure … »
  • « J’embrasse ta belle foufoune en attendant. »
  • « Moi aussi … »,  conclu-je en sentant mes joues s’empourprer.

Roxanne sembla curieuse de ce coup de téléphone et me demanda si elle connaissait la personne qui m’avait appelée. Je lui mentis en prétextant qu’il s’agissait d’une ancienne copine de lycée et que je pensais que nous nous étions déjà vues toutes les trois. Un peu fatiguée, Roxy n’insista pas et monta dans sa chambre pour faire un tour de cadran. Je débarrassai la table et montai rejoindre la mienne en prenant soin de bien fermer la porte.

Me déshabillant entièrement, je pris mon smartphone avant de constater le manque de lumière et décidai de redescendre pour chercher une autre lampe. Toute nue, j’empruntai les escaliers et pris un spot allogène qui ferait parfaitement l’affaire. De retour dans ma piaule, je sentis que cette escapade ne m’avait pas laissée indifférente et qui douce moiteur naissait progressivement entre mes cuisses. Tendant bien le bras, je pris alors le cliché demandé et l’envoyai à Alyssa. Quelques instants plus tard, un bip et une vibration m’avertirent de l’arrivée d’une autre photo. C’était mon amante. Elle était à poil, allongée sur une surface blanche, ses seins reliés entre eux par une petite chaînette et deux pinces à tétons. Excitée comme pas possible par ce petit jeun je décidai de surenchérir en lui en expédiant une de mon sexe en gros plan. A peine cinq secondes plus tard le téléphone sonna.

  • « Allo ? »
  • « Oui, c’est moi … »
  • « Je te propose un jeu … »
  • « Oui, je t’écoute Alyssa. »
  • « Je vais te guider et tu vas me raconter ce que tu fais. »
  • « Ok … »
  • « Je te demanderai de m’envoyer quelques photos pour vérifier que tu obéis. »
  • « Bien … »

Je ne savais pas où je mettais les pieds mais sa voix m’hypnotisait. Je ne pouvais pas refuser, et pour être honnête, je mouillais comme une fontaine.

  • « Tu as vu mes seins ? »
  • « Oui … Ils sont magnifiques … »
  • « Tu aimerais que je te mordille les tétons comme hier ? »
  • « Oui … Ca fait mal mais c’est terriblement bon … »
  • « Tu aimerais que je te ponce le clitoris comme hier mais encore plus fort ? »
  • « Je ne sais pas … »
  • « Réponds ! »
  • « Oui … J’aimerais ... Mais j’ai un peu peur … »
  • « Pince tes seins entre tes doigts. »
  • « Bien … »

Et je serrai entre mon majeur et mon pouce, tour à tour, assez fort, chacun de mes tétons qui réagirent en se dressant au maximum.

  • « Lèche-les maintenant. Et envois-moi une photo avec ta langue sur un de tes nichons. »

Obtempérant, je lui envoyai le cliché de ma langue posée sur mon sein étiré. 

  • « Maintenant tu vas prendre le paquet que je t’ai donné au magasin. »
  • « Il est encore dans la voiture … »
  • « Alors sors ! »

Je descendis chercher le sac oublié plus tôt et pris une photo de moi nue, dehors, que j’envoyai à Alyssa.

  • « C’est très bien … Non, ne rentre pas tout de suite. Promène-toi un peu. »
  • « Il fait froid … », dis-je en commençant le tour de la maison.
  • « Justement … Ça te fera le plus grand bien à une chaudasse comme toi ! »
  • « Je suis devant la porte. Que dois-je faire ? »
  • « Entre et retourne dans ta chambre. »
  • « J’y suis … », la prévins-je quelques instants plus tard.
  • « Ouvre le paquet ! »
  • « Je l’ouvre … »

Il y avait d’autres objets mélangés à ma commande initiale, et bien en évidence, des petites pinces semblables à celles que j’avais vues sur la poitrine d’Alyssa.

  • « Tu sais ce qu’il te reste à faire ? », me lança-t-elle en devinant que j’avais trouvé les petits « cadeaux » supplémentaires qu’elle m’avait fait.
  • « Oui, je m’en doute … Je pose le téléphone quelques instants. »

J’étais comme envoutée par ces petits bouts de métal froids. Je savais que la douleur serait importante mais Alyssa m’avait tellement excitée que je m’en foutais. Saisissant mes pointes dures, je plaçai les pinces que je laissai se refermer dessus dans un claquement. La souffrance fut immédiate, la chaleur dans tout mon corps aussi, et dans un mouvement devenu rituel j’immortalisai la preuve de mon obéissance que j’envoyai à mon amante.

  • « Je suis fière de toi Erica. Tu es très belle … »
  • « Merci … »
  • « Tu as mal ? »
  • « Oui, mais c’est bon. J’aime ça … »
  • « Tire dessus et prends une photo ! »
  • « Ohhhh ! Putain, ça fait mal ! »

Je m’exécutai et quelques secondes plus tard, Alyssa put contempler l’un de mes tétons distendu au maximum.

  • « C’est très bien ! Maintenant allonge-toi par terre et branle toi ! »
  • « Merci pour ta permission … J’en avais trop envie … »
  • « Tu as deux trous à remplir, n’oublie pas ! »
  • « Oh oui … Je me branle la chatte et le cul … J’alterne avec mes doigts … »
  • « Tu aimerais bien me lécher, hein ? »
  • « Oh oui putain !!! »
  • « Tu aimerais que je te doigte moi-même ? »
  • « Arrête ! J’en peux plus … »
  • « Souviens-toi comment je t’ai godée avec le talon de ta chaussure salope ! »
  • « Attends … Je vais les chercher … »
  • « Oui mais continue à te faire reluire en même temps ! »

Je repris les escaliers menant au rez-de-chaussée. Chaque marche, chaque pas faisaient tressauter mes pinces et je dus me retenir pour ne pas pousser de petits cris de douleur. Je ne savais plus où j’avais bien pu ranger mes escarpins.

  • « Je ne les trouve pas … »
  • « Cherche ! »
  • « Attends … Il y a celles de mon amie … »
  • « Bonne idée ! Montre-moi à quoi elles ressemblent. »

Ayant reçue le cliché, Alyssa reprit :

  • « Très bien ! Maintenant lèche-les ! Suce-les comme tu le fais avec les bites qui passent dans ta bouche ! »
  • « Bien … »

Et je lui envoyai une photo sur laquelle elle put me voir avec les talons aiguilles au fond de la gorge.

  • « Maintenant tu sais où te les fourrer ? »
  • « Oui … »
  • « Où ? »
  • « Dans la chatte et dans le cul … », répondis-je en lui demandant si je pouvais m’enfermer dans la salle de bain du bas pour ne pas risquer de réveiller Roxanne.
  • « Non ! Bâillonne-toi ! Prends une culotte et mets-la dans ta bouche ! »
  • « Je peux prendre la culotte sale de Roxanne ? »
  • « Tu sais que tu as de très bonnes idées ma salope ? Va la chercher ! »

Je me mis à fouiller dans le panier de linge pour en sortir les sous-vêtements qu’elle avait portés toute la journée. Après m’être enivrée de ce parfum intime délicieusement fort, je pris une photo de moi avec la culotte de Roxy dans la bouche.

  • « Gode-toi maintenant espèce de petite pute ! »

Jamais je n’avais obéis à un ordre aussi facilement et noyais Alyssa sous les clichés de mon plaisir montant. Sur l’un j’avais les deux talons dans le con, sur un autre je les avais dans le fion, et je jouis comme une tarée en ne pensant plus à Roxanne qui dormait juste au-dessus. Alyssa me tenait. Elle avait ouvert ma boite de Pandore et j’étais devenue comme un vulgaire jouet entre ses mains. Elle m’ordonna de la faire jouir par téléphone en lui racontant tout ce que je rêvais qu’elle me fasse, et l’orgasme obtenu, elle raccrocha sans même un au revoir. Après avoir tout rangé, je regagnai ma chambre et m’endormis comme une masse.

A suivre : Luxure et perversion - Part 3


Par Decadent Laboratory - Publié dans : RECITS
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Jeudi 16 juin 4 16 /06 /Juin 10:53

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Luxure et perversion

Ecrit par Erica

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Comme chaque année je profitais de la petite maison de vacances de mes parents dans le sud de la France, aux alentours d’Aix en Provence pour être plus précise. Un joli mas entouré de verdure où je pouvais profiter pleinement du calme et du bon air de la montagne. J’avais proposé à une amie de venir me rejoindre afin qu’elle se change un peu les idées à la suite d’une rupture difficile qui l’avait mise au bout du rouleau.

En attendant son coup de fil, je me prélassais au soleil en me disant que je pouvais bien me passer de mon maillot de bain. La rangée de thuyas entourant le terrain me protégerait de tout regard mal intentionné éventuel. Je n’hésitai donc pas longtemps et mon bikini se retrouva bien vite à côté de la serviette sur laquelle je m’assoupie. Réveillée par la sonnerie de mon portable, je ne me rendis pas compte, ou plutôt ne me souvenais plus, que j’étais entièrement nue lorsque je m’élançai vers la terrasse en courant. Ce n’est qu’au moment de décrocher que je constatai ma nudité dans le reflet de la porte fenêtre. Bredouillant une excuse bison, je me glissai par réflexe de préservation de ma vertu à l’intérieur.

C’était Roxanne qui m’informait de son arrivée pour le surlendemain. Elle voulait savoir si je pourrais aller la cherche à la gare d’Aix pour lui éviter d’avoir à prendre un car ou un taxi qui lui coûterait un bras. Evidemment j’acceptai bien volontiers de lui rendre ce service en me disant, qu’en plus, j’en profiterais pour faire quelques courses.

Après avoir raccroché, loin de me rhabiller, je me rendis compte qu’il était très agréable de se promener à poil et de sentir une légère brise me lécher ainsi la peau. Ce n’était pas la première fois que je faisais du bronzage intégral à l’abri d’une haie, je n’ai jamais été particulièrement pudique, mais il est vrai qu’au moindre bruit j’ai toujours eu tendance à sauter prestement dans mon maillot. Heureusement pour ma tension artérielle, ici il n’y avait que peu de passage, le chemin longeant la propriété n’étant quasiment jamais emprunté par les promeneurs qui préfèrent prendre le GR contournant le hameau voisin. Je décidai donc de rejoindre ma serviette en tenue d’Eve. La sensation fut assez bizarre car la première fois, n’étant pas consciente de ma nudité, je ne m’étais pas rendue compte que la distance à parcourir était aussi importante. Je parcouru cette dernière en regardant dans tous les sens, et ce n’est qu’une fois sur ma serviette que je me rassurai un peu. En même temps, je me dis qu’il faudrait vraiment le vouloir pour pouvoir m’apercevoir. Et puis après tout j’étais chez moi et j’avais le droit de faire ce que bon me semble.

Le soleil tapait dur, et après avoir remis de la crème solaire, je tentai de me rendormir. Mais je n’avais pas sommeil, rien à faire, car je dois bien avouer que cette situation m’avait excitée. Du coup je décidai de me lancer un défi consistant à retourner dans la maison pour me chercher un verre d’eau fraiche, puis à revenir, mais cette fois en prenant tout mon temps. Une fois debout je marchai d’un pas lent vers la terrasse. J’eus l’impression que toutes mes terminaisons nerveuses étaient devenues hyper-sensibles. Je sentais la douce caresse du soleil, le léger vent tiède, les petits gravillons de l’allée ou encore les planches disjointes de la véranda. Dans la cuisine, j’ouvris le frigo pour prendre une bouteille d’Evian et fus saisie par un froid intense, le contraste de température agissant sur mon corps comme un coup de fouet. Après m’être servie un verre je refermai la porte et repartis dans le sens inverse, encore plus doucement, pour ne pas renverser le précieux breuvage. Cette sensation de liberté obtenue grâce à mon absence de vêtements et la légère inquiétude de me faire surprendre me titillait.

Ma soif étanchée et à nouveau étendue je repensai à tout cela en posant, sans m’en rendre compte, la main droite sur mon ventre. Elle était glacée, comme l’eau contenue dans le verre. Pourtant le frisson que ce contact me provoqua fut un frisson de plaisir. Lancée comme je l’étais, je remontai vers mes seins pour caresser mes tétons qui ne tardèrent pas à pointe. Mes nichons sont toujours très sensibles, et une fois encore ils ne dérogèrent pas à la règle qui veut que je fonde littéralement lorsqu’une bonne âme daigne s’en occuper, même la mienne. Trempant mes doigts dans l’eau encore froide mon verre, j’accentuai ma caresse mammaire en ciblant particulièrement mes pointes que je vrillai à m’en faire mal. Mais c’était tellement bon !

Inévitablement, ma main libre se faufila entre mes jambes légèrement écartées pour se poser sur mon sexe. J’étais trempée et mon index m’arracha un premier soupir en atteignant mon clitoris, puis un gémissement lorsqu’il glissa entre mes lèvres brûlantes. Impudique, les cuisses maintenant largement ouvertes, je continuai de me triturer les seins d’une main tout en me masturbant de l’autre. Je devenais folle, me déchaînais, allant jusqu’à me fourrer quatre doigts dans la chatte. Je ne me contrôlais plus et me mis à quatre pattes, la croupe en l’air, pour me finir dans un puissant orgasme que j’étouffai en mordant ma serviette à pleines dents.

Malgré ce plaisir intense je restai sur ma faim et tentai d’analyser les raisons de mon excitation. Je me souvenais que des fois, lorsque l’un de mes amants me bandait les yeux avant de me faire l’amour, mes sensations s’en trouvaient décuplées. Ce fut l’un d’eux qui, en plus de me faire découvrir les joies d’être complètement entravées par des liens pendant l’amour, m’offrit mes premières boules de geisha. Je ne les avais encore jamais utilisées et me demandai du coup, vu mon état, quel effet cela pourrait bien faire me faire de me promener avec ce genre de sphères dans le vagin. N’étais-ce pas le meilleur endroit pour tester leur efficacité ?

N’aillant malheureusement pas pensé à les prendre en partant, je retéléphonai à Roxanne afin de lui demander de bien vouloir passer à mon appartement afin de me ramener ma petite trousse de toilette qui était dans la salle de bain. J’espérai qu’elle ne soit pas trop curieuse et qu’elle n’irait pas voir dans le fond mais bon, tant pis, de toute façon elle n’avait rien d’une sainte nitouche qui se choquerait pour si peu. Au pire elle les essaierait, me dis-je en esquissant un sourire en raccrochant.

Après une nuit agitée, je décidai de poursuivre mon expérience du nudisme en passant, dans la mesure du possible, la journée entière à poil. Un brin de toilette plus tard, je m’aperçue pourtant que je n’avais plus de pain. Bien évidemment, je dus interrompre mon programme car je ne pouvais aller à la boulangerie ainsi. Je passai donc rapidement un string, une légère robe d’été, des sandales à lanières s’enroulant autour des chevilles et enfourchai mon vélo. La boutique n’étant pas loin, je ne tardai pas à me remettre en chemin avec quelques victuailles. Une fois sortis du hameau, je remarquai que ma robe était très sensible au moindre courant d’air, ce qui expliqua les regards ravis des jeunes promeneurs que je venais de croiser. Loin de me choquer, au contraire cela m’amusa. Après tout il est plutôt agréable de se sentir visuellement appréciée, ne soyons pas hypocrite.

Une fois de retour à la maison, comme prévu à mon réveil, je me débarrassai rapidement de mes quelques vêtements et rangeai mes courses en attendant que le café chauffe. Je n’avais jamais pris de petit déjeuner toute nue, mais je me dis déjà que l’allais souvent retenter l’expérience à partir de maintenant. Le contact du banc en bois sur le haut de mes cuisses et sur mes fesses était nouveau. J’écartai légèrement les jambes afin de sentir la rugosité de cette noble matière sur mon sexe et, oubliant mon ptit dej, commençai à me caresser en me frottant sur mon siège. Bien que délicieuse cette sensation fut rapidement insuffisante et je m’allongeai de tout mon long pour me masturber, imaginant qu’un promeneur bien monté entendrait mes gémissements de plus en plus intenses. Après un orgasme incroyable, je me demandai avec un large sourire aux lèvres si je ne devenais pas un peu, voir beaucoup, exhibitionniste. Bien loin d’être prude, le sexe m’a toujours intéressée, mais là je me sentais prête à passer à la vitesse supérieure et à donner vie à mes nombreux fantasmes.

Dans l’attente d’une nouvelle éruption de ce volcan qui gronde en moi, je décidai de partir faire une petite balade histoire de me changer les idées et de tuer le temps. Vêtue d’un short et d’un simple tee-shirt, je pris mon sac à dos et chaussai mes baskets. La région ne manquait pas de sentiers en tous genres, et sous le soleil la forêt procurait une fraîcheur bienvenue. Je ne tardai pas à rejoindre des chemins que je connaissais étant enfant, lorsque mes parents étaient tombés amoureux de la France au point de s’y installer. Tout était calme, seul le bruit du vent dans les arbres et le chant des oiseaux troublaient le silence. Après une bonne heure de marche je m’arrêtai pour grignoter un peu, mon petit déjeuner ayant été écourté par mes pulsions.

Cette promenade me faisait le plus grand bien et je ne pensais plus vraiment à ma journée de la veille ni à mon activité matinale. Repartie, je tentai de retrouver un petit bras de rivière où je me baignais étant gamine. Ma mémoire ne me fit pas défaut et je pus m’y rendre facilement. Ici aussi tout était calme, le bruit de l’eau qui s’écoule des plus apaisant. Je me dis qu’il était dommage que je n’ai pas amené un maillot de bain, j’aurais pu profiter de ce petit torrent. Et puis après tout, dans mes souvenirs, je n’avais jamais vu personne dans le coin et je ne risquais rien à me mettre à poil. Une fois de plus je me retrouvai nue et redécouvris cette si agréable sensation. Sans perdre une seconde, je plongeai et barbotai dans l’eau froide lorsque j’aperçu sur l’autre rive les deux promeneurs de ce matin se dirigeants vers la petite anse qui faisait face à l’endroit où j’avais laissé mes affaires. Ils riaient de bon cœur et ne semblaient pas m’avoir vue. Par contre, si je sortais de l’eau, cela ne manquerait pas d’arriver, et ce dans le plus simple appareil. Je restai donc accroupie, immergée jusqu’aux épaules, espérant qu’ils passeraient leur chemin. Malheureusement ils avaient l’air d’être des familiers de « mon » coin de paradis et posèrent leurs affaires.

J’étais en train de me demander comment j’allais bien pouvoir les esquiver quand l’un d’eux, sortant une gourde de l’un de leurs sacs, me fit un signe de la main. Je lui répondis poliment, un peu gênée quand même, bien qu’il ne puisse se rendre compte de ma nudité. C’est alors qu’il s’approcha vers le bord et me demanda :

  • « Elle est bonne ? Vous êtes courageuse car elle a l’air d’être froide. »
  • « Un peu au début mais ça va. Il faut y aller progressivement. »
  • « Vous êtes du coin ? Peu de gens connaissent cet endroit. Il ne figure même pas sur les cartes. »
  • « Oui, je viens souvent en vacances ici et vous ? »
  • « Nous on est originaires du coin, même si on est au lycée à Aix. On fait un petit retour aux sources. »

Son copain, jusqu’à là resté sur la plage, s’approcha à son tour, et après avoir retiré ses grosses chaussures de rando, trempa ses pieds dans l’eau.

  • « On est con d’avoir oublié nos maillots de bain. En plus on savait qu’on passerait par là. », lança ce dernier.

Ayant de plus en plus froid à force de ne pas bouger, je me sentais mal à l’aise. Je ne savais pas trop quoi leur dire, mais je ne pouvais plus rester comme ça, immobile et immergée.

  • « Excusez-moi les garçons, mais en fait je suis toute nue. Vous pourriez vous retourner le temps que je sorte et que je me rhabille ? »

Rouge comme une tomate, le premier bafouilla qu’il n’avait pas du tout remarqué et qu’il était désolé. Les deux se retournèrent, et rassurée d’être tombée sur deux jeunes sympas, je sortis de la rivière pour enfiler mon string et mon tee-shirt.

  • « Merci vous êtes cools ! Je commençais à avoir froid. »
  • « Pas de quoi. On ne voulait pas vous déranger. »
  • « Vous ne me dérangez pas. J’avais simplement tellement envie de me baigner que je n’ai pas su résister. Sinon je m’appelle Erica. »
  • « Moi c’est Fred. »
  • « Et moi c’est Quentin. »

Pour éviter d’avoir à hurler, je traversai le bras du torrent et me retrouvai au soleil, assise dans l’herbe à côté d’eux. La chaleur était agréable d’autant que mon tee-shirt était trempé. Je me mis à penser à l’état de ma poitrine que le froid a tendance à faire réagir de manière assez visible. Effectivement mes tétons pointaient allègrement à travers le tissu humide de mon vêtement tandis que j’essayai, tant bien que mal, de cacher ce phénomène en croisant les bras. Quentin, qui s’était sans doute rendu compte de ma situation, rougit un peu mais ne le mentionna pas. Nous passâmes un bon moment en discutant des vacances et en partageant nos idées de balades dans le coin. Soudain Fred dit :

  • « J’ai vraiment trop envie de piquer une tête ! J’y vais en caleçon et ceux qui veulent me suivent ! »

Joignant le geste à la parole, il commença à se déshabiller. Quentin ne semblait pas enclin à le suivre, quant à moi je me demandai comment j’allais bien pouvoir faire. Me disant, qu’après tout, j’avais déjà fait du topless sur la plage, je retirai mon tee-shirt et sautai à nouveau dans l’eau. Quentin changea de couleur en me voyant faire alors que son pote, certainement moins coincé, m’éclaboussa en riant. Voyant que nous nous amusions comme des fous, le troisième larron se joignit finalement à nous.

Une fois sortis de l’eau, je constatai que mon haut n’était toujours pas complètement sec et décidai donc de rester en string. Fred et Quentin avaient passé leur short et faisaient sécher leur caleçon sur un rocher. Cette fois-ci Fred n’était plus du tout à l’aise et évitait, autant que faire se peut, de me regarder. Cette situation m’amusa et je leur lançai :

  • « Eh ben les garçons, soyez pas timides. Vous n’avez jamais vu une fille à poil ? »
  • « Ben si … Mais t’es vachement jolie et ça fait bizarre … », répondit Quentin.
  • « C’est vrai. On ne se connaît pas et on te voit presque nue … »
  • « Surtout que mon string ne cache pas grand-chose, c’est ça ? »
  • « Houlala ! Arrête ! Sinon on va te sauter dessus ! », fit Fred en pouffant de rire.

Je ne sais pas pourquoi mais je leur faisais confiance. C’est peut-être pour ça que je n’étais pas inquiète de la tournure que prenaient les évènements.

  • « A vous de voir … En vous regardant je pense que vous n’avez jamais vu une fille entièrement nue. Je me trompe ? »
  • « Ben … Heu … »

Sans hésitation je me levai, et devant eux, baissai mon string en les fixant droit dans les yeux. Ils ne savaient plus trop quoi faire ni où regarder, aussi je les rassurai : 

  • « N’ayez pas honte. Vous savez, vous devriez en profiter. Les Australiennes ne sont pas réputées pour avoir froid aux yeux … »
  • « Ah … C’est de là alors cette petite pointe d’accent ? Tu parles vachement bien le français. », dit Quentin en essayant maladroitement de changer de sujet.

Je remarquai immédiatement une bosse déformant leur short respectif, ce qui rendit la situation des plus excitantes. La perspective de faire l’amour avec deux mecs me plaisait, et pour le leur faire comprendre, je me mis à me caresser les tétons tout en bombant le torse.

  • « Regardez comme c’est sensible … Ils sont tous durs … »

Fred s’approcha et me demanda s’il pouvait les embrasser. Pour seule réponse, je surélevai mes seins en guise d’offrande. Aussitôt il m’embrassa les pointes tout en jouant de sa langue sur mes aréoles. Il se montra efficace et doué au point de m’arracher mon premier soupir. Son copain le rejoignit pour poser ses lèvres sur mon autre nichon qu’il aspira goulument. Plus entreprenant que son compère, il posa une main sur mon ventre haletant et la fit descendre entre mes cuisses. Cette séance de caresse, pour le moins délicieuse, cibla ma poitrine durant un long moment. Mais cela ne me suffit bientôt plus.

  • « Vous vous occupez aussi de mon petit minous les chatons ? Il adore ça … », leur susurrai-je dans un soupir.

Mes deux jeunes amants ne se firent pas prier et ils s’accroupirent devant moi. Ecartant les jambes pour leur faciliter l’accès à mon sexe, je sentis quelques coups de langues, qui bien que maladroits, me firent mouiller de plus en plus.

  • « Retirez vos shorts les garçons. Sinon vos braguettes vont exploser … », leur lançai-je en ne tenant plus à l’idée de voir leur verge.

La surprise fut à la hauteur de mon attente lorsque je découvris deux belles queues raides comme des poteaux. Nous intervertîmes alors nos positions, et tandis que je les invitai à se mettre debout, je m’agenouillai pour les prendre en bouche à tour de rôle. Je devais avoir l’air de la pire des nympho tellement je mis d’entrain à leur lécher les burnes tout en les branlant.

  • « Putain ce qu’elles sont bonnes vos bites mes chatons ! J’adore vous sucer mais je vais encore plus aimer quand vous allez me baiser ! »

J’allais en rajouter dans ma provocation verbale mais n’eus pas le temps.

  • « Attention … Fais gaffe … Je … Je vais jouir ! », m’avertit Fred qui retira prestement sa queue de ma bouche.

C’était très galant de sa part, mais vu mon goût plus que prononcé pour le sperme, cela m’encouragea au contraire à lui offrir une fellation frénétique jusqu’à ce qu’il se répande en de longs jets de foutre chaud au fond de ma gorge.

  • « Viens me baiser bébé … », demandai-je à Quentin en m’allongeant dans l’herbe.
  • « Fais chier ! J’ai pas de capote Erica. Je ne peux pas … », grommela-t-il alors que la déception déformait son visage.

Son acolyte, en sauveur, fila chercher sa trousse de secours dont il sortit un petit sachet en plastique qu’il tendit à Quentin avec un grand sourire. Ni une, ni deux, ce dernier enfila le préservatif, et une fois protégé, vint sur moi pour me pénétrer d’un trait jusqu’à la garde. Surexcité et inexpérimenté il me lima comme une bête alors que j’essayai tant bien que mal de le guider afin qu’il ralentisse un peu et que je puisse en profiter plus de dix secondes.

Entre deux hurlements de plaisir, je vis que Fred était à nouveau au garde à vous, aussi je lui fis signe de venir me recoller son chibre dans la bouche. C’était incroyablement bon de sentir ces deux sexes en moi. D’être sautée comme ça sur l’herbe, ma peau chauffée par un doux soleil, et je ne tardai pas à jouir.

Sans me laisser le temps de reprendre mon souffle, mes deux amants intervertirent leur position et j’arrachai presque la capote de Quentin qui était sur le point d’éjaculer. Je ne fermai même pas les yeux lorsqu’il me déchargea en pleine gueule, inondant mon front, mes cheveux et mon visage d’une onctueuse couche de jute. Cette vision fut de trop pour son pote qui poussa un puissant râle que j’accompagnai en me pinçant fermement les tétons, me faisant ainsi décoller vers un nouvel orgasme.

Lorsqu’il sortit sa bite à moitié molle de mon minou, je récupérai le préservatif remplit de sirop de corps d’homme et le déversai avec un air provocateur sur mes seins. Sous les yeux ébahis par mon comportement des deux lycéens, j’étalai sur ma peau la précieuse semence recueillie par mes soins.

  • « Mais quelle salope ! », s’exclama Quentin.
  • « Et en plus je n’ai plus de préservatif ! », enchaîna l’autre.

Toujours en état de fusion avancée, je les invitai à faire preuve d’imagination en me baisant avec leurs doigts, leur langue, ou tout ce qu’ils pourraient trouver. Quentin prit même l’heureuse initiative de ma masser l’anus.

  • « Houuu oui ! Vas-y ! Occupe-toi de mon cul ! », gémis-je pour le conforter dans son initiative.

Ce n’étaient que deux gosses manquant d’expérience mais ils me rendaient folle. Je n’en pouvais plus tellement je prenais mon pied ! Je branlais leurs bites chacune leur tour entre mes seins que je serrais au maximum tout en leur lapant le gland dès que celui-ci passait à portée de ma langue.

Tandis que c’était au tour de Quentin de profiter de ma branlette espagnole, Fred s’absenta un moment pour revenir avec un grand sourire. Il cachait quelque chose dans son dos.

  • « Qu’est-ce que c’est mon cochon ? », m’enquis-je sans pour autant interrompre la cravate de notaire que j’étais en train de pratiquer.
  • « Devine … », me rétorqua Fred un brin provocateur.
  • « Des capotes ? »
  • « Non, malheureusement. Mais quelque chose qui te réconfortera … », souffla-t-il en me montrant une lampe de poche métallique qui semblait faite pour cela.
  • « Hummm … Bonne initiative bébé ! Par contre elle est grosse alors allez-y doucement. »

Je me mis à quatre pattes, penchée et en appui sur les coudes, la croupe bien relevée. Fred posa le bout de sa lampe sur ma vulve déjà bien ouverte par nos précédents ébats et me l’enfonça, centimètre par centimètre, dans la chatte. C’était absolument divin ! D’autant que Quentin, ne restant pas contemplatif, recommença à s’occuper de ma rondelle.

  • « Oh oui ! Oui ! Encore ! Trouve autre chose que tes doigts pour mon cul putain ! », le suppliai-je tout en criant mon plaisir.

La lampe étant déjà occupée dans mon con, et en l’absence de gel lubrifiant un peu trop grosse pour mes fesses de toute manière, ce fut une canne de marche télescopique dont il avait enlevé le bout en mousse qui fit l’affaire. Sans aucune retenue, sans prendre la moindre précaution, chauffé à blanc par l’excitation du moment, il me déchira l’anus en m’enfonçant d’un coup sec l’objet dans le fion. Mes deux jeunes amants me défoncèrent un long moment les deux orifices avec leurs godes de fortune avant qu’un violent orgasme, suivit immédiatement d’un deuxième tout aussi fulgurant, ne me terrasse. A bout de souffle, complètement ravagée par tant de plaisir, Fred et Quentin me caressèrent encore, mais cette fois tendrement. Ayant repris un peu mes esprits, je me relevai légèrement chancelante et leur dis :

  • « C’était incroyable mes chéris. Ça mérite une dernière récompense … »

Et je me remis à leur tailler une dernière pipe à chacun jusqu’à ce qu’ils balancent une purée devenue beaucoup plus liquide après plusieurs éjaculation rapprochées. Fière du résultat après un nettoyage consciencieux de leurs bites, je m’apprêtais à me jeter à l’eau pour me laver à mon tour lorsque Fred m’interpelle :

  • « Attends ! Tu devrais rester comme ça. Tu garderas ainsi un petit souvenir de nous. Au moins jusqu’à ce que tu rentres chez toi. »
  • « Pourquoi pas … J’adore votre imagination mes chéris. »

Je pris leurs numéros et les quittai après renfilé mes vêtements qui collaient à ma poitrine encore gluante de foutre et à mon entrejambe encore poisseux de cyprine. Généreuse jusqu’au bout, je leur avais laissé mon string en cadeau. Sur le chemin du retour, je ne pus m’empêcher de sentir cette odeur forte de sexe, de sperme en particulier, qui me maintenait dans un état d’excitation terrible. Une fois à la maison je me désapai prestement et filai sous la douche pour me laver. Une fois propre, je regrettai presque de ne pas être restée souillée plus longtemps. Je me mis à fouiller dans la corbeille de linge sale et retrouvai avec délice mon tee-shirt taché de jute que je repassai tout aussi rapidement que je l’avais ôté. Rassurée par cette odeur, je me préparai un dîner frugal avant de m’endormir dans mon hamac, épuisée, une main entre les cuisses.

Je me réveillai le lendemain matin, mon tee-shirt collant toujours à ma poitrine. Le sperme ayant séché dans la nuit, la sensation n’était plus aussi agréable que la veille au soir. Je décidai donc d’aller me laver, et en profitai pour parfaire l’épilation de ma foufoune histoire d’être, comme l’aiment mes partenaires en général, lisse et douce à souhait.

Sous la douche je pensai à l’arrivée de Roxanne. Je regrettai presque sa venue qui m’empêcherait certainement de laisser libre cours à mes fantasmes. Après le petit déjeuner, une de mes pulsions me reprit et je me mis en quête d’un quelconque ustensile susceptible de me convenir. N’ayant pas la moindre intention de commencer la journée frustrée, il fallait absolument que j’assouvisse mon envie, et l’appentis au fond du jardin me parut être le meilleur endroit pour trouver mon bonheur.

Le soleil n’était pas encore aussi brillant qu’hier mais la journée promettait quand même d’être belle. Vivre nue ne me dérangeait plus le moins du monde, et ma rencontre avec Fred et Quentin avait fait voler en éclat le peu de barrières qui me restaient. J’aimais le contact un peu rude du gravier sous mes pieds et adorait, le mot est faible, sentir le vent sur les moindres parcelles de mon corps.

L’appentis était utilisé comme atelier, étendoir à linge ou réserve de bois pour la cheminée, et par conséquent il était abrité. Sur le sol en terre battue recouvert de sciure je découvrais de nouvelles sensations dans un lieu où théoriquement, je n’avais rien à faire dans le plus simple appareil. Au milieu se trouvait un billot de bois dans lequel était fichée une hachette destinée à fendre des bûches. Son manche vernis garantissait l’absence d’écharde, ce que je me confirmais en le caressant délicatement comme je l’aurais fait avec un sexe d’homme en pleine érection. M’accroupissant, je m’imaginai devant un solide bûcheron bien membré et le pris en bouche. Un court instant je me dis que j’étais en train de devenir complètement tarée, mais mon excitation était telle que je m’en foutais totalement.

Dans un équilibre précaire, j’enjambai l’outil et me frottai dessus tout en me triturant les seins. Un peu gros, même pour moi, je fus obligée de me retourner pour trouver une position adéquate en me tenant à une corde à linge suspendue au-dessus de moi. Ainsi je pus me placer afin que le bout du manche soit en contact avec ma vulve qui l’aspira en entier. Par contre il m’était devenu impossible de me caresser les nichons. La vue des pinces me donna alors une idée que je mis en pratique en attrapant l’une d’elle. Je n’avais jamais encore essayé, mais bien que j’imaginais cela douloureux, j’étirai mon téton droit sur lequel je refermai la pince. La souffrance fut immédiate, saisissante, me conduisant à faire marche arrière tout de suite. Pourtant cela m’avait fait mouiller comme une fontaine. Je remis donc la pince sur la pointe de mon sein, pus doucement, faisant ensuite de même avec son jumeau. Un sourire irradia mon visage alors que j’imaginai me faire surprendre ainsi. L’image d’une fille se torturant les nénés tout en se godant allègrement sur le manche d’une hachette devait être assez unique en son genre. Un premier orgasme ne tarda pas mais fut insuffisant pour me combler. De plus j’avais envie de sentir quelque chose dans mes petites fesses. Je m’allongeai donc à même le sol, levai les jambes, posai les pieds sur un établi et commençai à me doigter le cul tout en tapotant les pinces à linges toujours rivés à mes gougouttes.

Je découvrais une nouvelle facette de ma sexualité, le plaisir par la douleur, et j’avais l’impression que toutes mes barrières tombaient les unes après les autres tels des dominos. Saisissant une nouvelle pince, un peu usée celle-ci, je la laissai se refermer d’un claquement sur mon clitoris gonflé. Je ne pus éviter de pousser un petit cri strident mais là encore, l’intense chaleur qui s’est instantanément emparée de mon corps me convint de laisser l’objet en place.

Il ne me restait plus qu’à mettre la main sur un ustensile prompt à me défoncer la rondelle. Rien ne me convenait ici. Tout était soit trop gros sans lubrifiant, soit trop sale pour que je m’encule avec sans protection. Devant ces évidences, je me fis une raison et décidai de retourner dans la maison. Durant le trajet je perdis et remis en place la pince comprimant mon bourgeon intime. En arrivant devant la porte vitrée de la terrasse je me rendis compte que j’étais couverte de sciure des pieds à la tête, même mes cheveux étaient parsemés de copeaux de bois. Mais qu’importe, je ferais le ménage plus tard. Sur l’instant je n’avais qu’une préoccupation, celle de m’occuper de mon cul en feu. Je fouillai dans le compartiment à légumes du frigo sans rien y trouver, me promettant d’acheter carottes, concombres et tout autre aliment de forme phallique à mon prochain passage à l’épicerie. N’en pouvant plus, je me finis avec le manche en plastique d’une spatule trainant sur l’évier que je me fourrais dans le fion comme une sauvage. Je me sodomisai allongée sur le tapis du salon, et chavirée par une incroyable jouissance, m’assoupie par terre.

En faisant un mouvement dans mon sommeil, l’une des pinces à linge se détacha brusquement de l’un de mes seins en provoquant une douleur qui me réveilla encore plus efficacement qu’un seau d’eau froide. Je retirai alors délicatement les autres pinces et massai les zones meurtries de mon corps tout en me maudissant de ne pas avoir amené avec moi l’un de mes godes. Pourtant, en y réfléchissant bien, cela m’excitait de détourner de leur usage premier les objets que je m’enfonçais dans les orifices.

C’est à ce moment-là, alors que j’étais en train d’émerger, que mon portable sonna. C’était Roxanne qui me dit que son train arriverait vers 15h30.

  • « Ca va Erica ? T’as une drôle de voix. », s’inquiéta-t-elle.
  • « Ouais, je suis un peu naze. Je viens de me réveiller. Dis-moi, t’as pensé à ma trousse de toilette ? »
  • « Oui, je suis passée chez toi en allant à la gare. On se retrouve sur le quai ? »
  • « Ok, ma belle. Sans problème. »

Je raccrochai et filai prendre une douche tout en commençant dans ma tête ma liste de courses un peu spéciales. Une fois lavée et bien réveillée, ne sachant pas trop quoi me mettre, je pris la première tenue qui me passa sous la main. Ce fut une petite robe d’été en coton, couleur saumon, mi-cuisses, assez longue pour que je ne porte pas de culotte tout en gardant un minimum de discrétion quant à mon intimité. Je glissai les pieds dans mes tongues en cuir noir et sautai prestement dans ma voiture.

Arrivée dans un centre commercial près de la gare, il ne me restait plus que trois heures avant de retrouver Roxanne. J’optai donc pour une salade niçoise à la terrasse d’une brasserie avant de flâner un peu dans les magasins. Comme de par hasard, je suis sûre que vous me croyez quand je dis que ce fut une pure coïncidence, la première boutique dans laquelle j’entrai fut une boutique de lingerie. Malheureusement, mis à part quelques bas autofixants en promo, rien n’attira plus que ça mon regard exercé, et l’une des vendeuses sembla s’en apercevoir.

  • « Si vous le désirez je peux vous montrer d’autres modèles un peu plus originaux … », me proposa-t-elle en s’approchant de moi.
  • « Pourquoi pas … », répondis-je en lui souriant aimablement.

Je me dis intérieurement que comme cela m’arrive parfois quand je fais du shopping, j’allais ressortir avec n’importe quoi juste parce que je trouvais la vendeuse sympa. Cette dernière me montra effectivement d’autres ensembles un peu plus affriolants, mais persuadée qu’elle pouvait largement faire mieux, je la jouai provocatrice.

  • « Très sensuel, c’est certain. Mais vous n’avez pas plus sexy ? »

Malgré un sourie légèrement gêné, elle m’emmena dans l’arrière-boutique en laissant le magasin à sa collègue. Au beau milieu d’une pile de carton, elle en ouvrit un et me proposa des dessous beaucoup plus osés, allant de culottes échancrées laissant voir le sexe à des ensembles transparents avec porte-jarretelles assortis.

  • « Seules quelques personnes triées sur le volet ont accès à l’arrière-boutique … », me confia la vendeuse en voyant mon air surprit.
  • « Puis-je essayer celui-ci ? », demandai-je en pensant qu’elle allait refuser.
  • « Bien sûr mademoiselle. Je vous laisse. »
  • « Non, vous pouvez rester. Pas de souci. Par contre je n’ai pas de culotte, ça ne vous dérange pas ? », l’avertis-je avec un air teinté d’espièglerie.
  • « Heu non … Allez-y. »
  • « Vous avez déjà essayé ça ? », lui demandai-je en enfilant la culotte.

Ce fut la première fois que je vis une asiatique rougir. Ses joues ainsi enflammées répondirent à sa place, et je la soupçonnai de se livrer à des essayages assez fréquents. En attendant, la robe remontée sur mes hanches, je cherchai un miroir afin de me rendre compte de l’effet visuel provoqué. La sensation était sinon assez agréable en mêlant la caresse de la soie à un sentiment de nudité.

  • « Avez-vous un miroir ? »
  • « Non mademoiselle, désolée. Mais il vous va à ravir. Cependant si je peux me permettre un petit conseil … »
  • « Oui ? »
  • « Il est mal ajusté. »
  • « Ah ? Vous pensez ? Et comment dois-je l’ajuster ? »

Je ne fus pas franchement convaincue par l’argument mais eus envie de jouer le jeu. Sur ce elle s’accroupit devant moi et tira un peu le tissu vers le haut, ce qui fit ressortir mes grandes lèvres en les ouvrant légèrement. Dans le mouvement elle effleura mon sexe, ce contact furtif électrisant tout mon corps.

  • « Voilà … Ainsi il fera plus d’effet. », me dit-elle fière du résultat.
  • « Merci … Effectivement c’est agréable. Mais vous n’auriez vraiment pas un miroir ? Ou juste une glace ? », insistai-je.
  • « Attendez, je vais voir si je trouve quelque chose. Je reviens de suite. »

Je profitai de son absence pour glisser un doigt dans ma chatte devenue toute moite, et lorsque la vendeuse revint avec le précieux sésame, elle me trouva avec l’index dans la bouche en train de goûter le fruit de ma récolte. Se douta-t-elle de l’endroit d’où il sortait ? En tous cas elle fit mine de rien.

  • « Voilà ! Vous pouvez vous admirer maintenant. Vous devriez ôter votre robe, vous verriez mieux. »
  • « Bonne idée ! »

Obéissant promptement à son conseil, je me retrouvai vêtue simplement d’une culotte laissant voir ma foufoune, et ce à côté d’une vendeuse qui dissimulait de moins en moins bien le fait qu’elle prenait un plaisir certain à se rincer l’œil.

  • « C’est superbe. Même si ça ne va pas trop avec des tongues. »
  • « C’est vrai, vous avez raison. Si vous voulez bien je file rapidement acheter une autre paire de chaussures plus adéquate. »
  • « Pas de souci, allez-y. Vous pouvez même garder la culotte en attendant. Je vous fais confiance. A tout de suite. »

A suivre : Luxure et perversion - Part 2


Par Decadent Laboratory - Publié dans : RECITS
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Mercredi 15 juin 3 15 /06 /Juin 12:50

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Samedi 11 juin 2016

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  • « Bon… On n’a toujours pas décidé ce qu’on faisait ce soir. », dis-je juste avant de monter dans la voiture alors que nous venons de déposer Charlotte chez son père.
  • « Déjà on va aller manger un truc parce que j’ai la dalle et puis après on avisera bébé. », me répond Franck.

Effectivement, il est 15h20 et nous n’avons toujours pas déjeuné.

  • « C’est une bonne idée. Après si tu tiens vraiment à manger quelque-chose… »

Sur ces bonnes paroles accompagnées d’un sourire malicieux, me voilà en train de déboutonner mon jean que je baisse à mi-cuisses, exposant ainsi ma culotte blanche te rose. Franck explose de rire devant cette gentille provocation, manquant au passage de griller un feu rouge.

  • « Une tarte à la cyprine ça me paraît être un bon dessert. », rétorque-t-il en glissant entre mes jambes une main taquine.

Roxy-1--1-.JPG Roxy 1 (2)

Ses doigts courent un moment sur le tissu qui protège l’accès à ma grotte chaude et déjà légèrement moite. Lorsque je jette un œil à droite afin de voir où en est le feu, mon regard croise celui d’un motard, la visière de son casque relevée, qui n’en perd pas une miette.  Et au moment où Franck retire sa main pour passer la première, j’adresse à mon bref voyeur un large sourire. 

  • « Par contre bébé, je m’arrêterais bien dans un magasin pour m’acheter une petite robe. Histoire de me changer… »
  • « Carrément ! On pourrait tout simplement repasser par chez Sonia tu sais, Roxy. », me répond mon homme qui n’est pas dupe.
  • « On risque de tomber dans les embouteillages, tu sais chéri. »
  • « Ben voyons… Aller, t’as gagné ! »
  • « On va à C&A ? Il y a toujours des trucs sympas. »
  • « C’est parti. Et puis c’est bien connu, il n’y a pas de bouchon du côté d’Opéra… »

On explose de rire tous les deux tandis que je remonte mon jean. Arrivés tant bien que mal dans le quartier, nous voilà en train de traverser le boulevard, prenant la direction du magasin recherché. Main dans la main, nous déambulons au milieu des divers rayons du rez-de-chaussée où s’étalent les nouvelles collections d’été. Après un rapide coup d’œil (enfin rapide selon l’unité de temps d’une nana qui fait du shopping dirait Franck), me voilà décidée pour une petite robe bordeaux en lin au décolleté largement ouvert entouré par des motifs orientaux dorés et brodés.

  • « Qu’est-ce que tu en penses chéri ? Pas mal non ? », demandai-je à mon homme en plaçant la dite robe devant mon corps.
  • « Ouais sympa. Ça fait un peu bohème sexy. Te reste plus qu’à l’essayer. », valida Franck.

Me voilà rapidement dans le secteur des cabines. Lorsque je demande à mon mec de rester à l’extérieur de la salle réservée aux essayages alors qu’il aurait pu rentrer, cela ne l’offusque ni ne l’intrigue plus que ça. Il doit se dire que mon choix est déjà fait et que mon passage derrière l’un des rideaux n’est qu’une formalité destinée à vérifier la taille.

Sa surprise est donc totale quand quelques « discrètes » exclamations le sortent de la concentration dans laquelle la consultation de son portable l’a plongé.

  • « Bébé… Tu peux aller voir s’il y a la taille en dessous s’il te plaît ? Je ne me vois pas y aller comme ça. », fais-je en lui tendant la robe.
  • « Euh… Ouais… Bien sûr… Pas de souci… », bégaya-t-il presque en guise de réponse.

Connaissant le goût prononcé de Franck pour l’exhibition dans des lieux qui ne sont pas destinés à ce genre de pratique, comme vous l’aurez deviné, j’ai volontairement omis de me rhabiller avant de sortir de la cabine, me retrouvant juste en petite culotte. J’avoue bien volontiers que sentir sur moi ces regards tantôt offusqués, tantôt amusés, est loin de me laisser indifférente.

Le temps que mon homme ne revienne avec la bonne taille de robe, je retourne dans la cabine en laissant le rideau ouvert. Certains hommes deviennent alors très serviables envers leurs moitiés respectives en les accompagnant sans rechigner durant leurs séances d’essayage. Bien entendu cela les oblige à passer devant moi qui patiente adossée à la cloison, les nichons à l’air avec un petit sourire aux lèvres.

  • « Tiens bébé… Elle devrait t’aller celle-ci. Après si tu préfères rester comme ça tu peux aussi. », me taquine mon homme.

Non, on ne va quand même pas aller jusque-là, pas tout de suite en tous cas. Aussi après être passés en caisse, gardant la robe sur moi bien sûr, nous voilà en quête d’un endroit pour nous sustenter. En bons carnivores que nous sommes, l’Hippo situé boulevard des Capucines récolte nos deux suffrages, et nous voilà bientôt installés à un table pour deux, juste à côté de la vitre. Ma petite séance d’exhibition improvisée nous ayant bien chauffés tous les deux, le ton est donné pour la soirée et c’est Franck qui lance les hostilités. 

  • « Retire ta culotte bébé, et pose la bien en évidence sur la table. », m’ordonna mon homme sur un ton amusé mais autoritaire.
  • « Monsieur est joueur dis donc… », soufflai-je mutine.
  • « Comme si ça m’arrivait de ne pas l’être chérie quand nous sommes tous les deux. »

Effectivement j’ai perdu une occasion de me taire. Du coup il vaut mieux que je m’exécute et c’est en me pinçant la lèvre inférieure que je me dandine pour attraper de chaque côté l’élastique rose de mon sous-vêtement et le faire glisser le plus discrètement possible le long de mes jambes. Heureusement pour moi, la robe étant très courte, la manœuvre en est grandement facilitée. Du coup, lorsque le serveur revient avec nos cocktails, ma culotte est au milieu de la table de sorte qu’il ne puisse pas la rater.

  • « Vous… Vous… Vous avez choisi… », marmonna-t-il péniblement.

Franck et moi avons du mal à ne pas éclater de rire mais nous réussissons néanmoins à passer notre commande. 

  • « Recule un peu ta chaise et écarte les jambes quand il revient. »
  • « Hummmm… Si ça continu je vais être obligée de t’appeler Maître, non ? », fis-je en obéissant.
  • « Pourquoi pas bébé. Mais on verra ça après. »

Le garçon arrive bientôt avec nos deux T-bone. Je lui laisse le temps de poser les assiettes avant de m’adosser confortablement au dossier du siège et d’écarter largement les cuisses. Le bas de ma robe se relève automatiquement pour dévoiler ma foufoune entièrement épilée et mon sexe luisant d’excitation. Ne sachant pas s’il faisait exprès ou s’il n’avait vraiment rien remarqué, j’attire son attention en lui demandant la bouteille de rosé que nous avions commandé. Cette fois-ci le rougissement de ses joues l’empêche de dissimuler son émotion. Encore une fois le fou rire nous guette mais nous arrivons à le contrôler. 

  • « Le pauvre… Tu vas lui donner une attaque. Il te plaît ? », me demanda Franck.
  • « Moi ? C’est toi qui m’oblige à jouer les vilaines filles ! Et non, il est trop maigre. On dirait un sac d’os. »
  • « Je me doutais que tu allais dire ça, bébé. On trouvera peut-être ton bonheur ailleurs… »
  • « Ah oui ? Tu veux m’offrir ? Intéressant… », fis-je avec un sourire entendu.
  • « Possible… En attendant branle-toi chérie… »
  • « Si je me fais jouir on risque d’avoir un petit problème de discrétion, tu sais ? »
  • « Oui, je sais… »

Ni une, ni deux, je prends mon couteau et découpe préalablement ma viande histoire de garder une main de libre. Cette même main qui quelques instants plus tard se retrouve en train de caresser plus ou moins discrètement ma chatte cette fois trempée. Mon majeur ne tarde pas à trouver l’entrée de ma grotte intime pour y entamer une danse qu’il maîtrise à merveille depuis le temps.

  • « Tu sais que ça me fait grave bander bébé ? », me souffla mon homme histoire de faire grimper encore plus mon excitation.

Je peine à terminer mon assiette tout en essayant de contrôler mon plaisir afin qu’il n’explose pas en plein milieu du resto qui commence à se remplir légèrement. 

  • « Qu’est-ce que je fais chéri ? », demandai-je en voyant le garçon s’approcher afin de débarrasser.
  • « Tu continues ! »
  • « Comme ça ? », continuai-je avec un sourire espiègle.

Bien décidée à reprendre le contrôle des opérations je recule à nouveau ma chaise. Cette fois-ci les yeux du serveur viennent directement se poser sur moi et s’écarquillent en voyant deux de mes doigts aller et venir dans ma chatte. C’en est trop pour lui, il reste bouche bée sans qu’un mot ne puisse sortir.

  • « On va vous prendre un café et l’addition s’il vous plaît. », l’interrompit Franck.
  • « Euh… Oui… Oui monsieur. Je vous amène ça tout de suite. »

On n’a jamais vu un serveur revenir aussi vite près d’une table. Le service est vraiment parfait et le pourboire en conséquence : 2 euros et une petite culotte avec laquelle je viens de m’essuyer. 

  • « On tente le Beverley ce soir bébé ? Depuis le temps qu’on en parle. », proposai-je une fois dans la rue.
  • « Pourquoi pas mais cette fois c’est moi qui vais devoir passer par la maison pour me changer. Pas sûr que je puisse rentrer fringué comme ça. »
  • « Ok… Ca me permettra de prendre quelques joujoux. Je les ai laissés dans mon autre sac. L’œuf vibrant m’a manqué… », fais-je avec un déhanchement provocateur.

Malheureusement la malédiction du Beverley continuant, Franck reçoit un appel de son club juste avant de monter dans la voiture. Appel qui va devoir l’obliger à s’absenter durant cette soirée qui avait pourtant si bien commencée. Un mélange de frustration et d’excitation, le tout accompagné de mon célèbre caractère volcanique donne un « Putain ! Fais chier ! » qui résonne dans tout le parking.

Le temps du trajet n’est pas de trop pour que je me calme un peu et une fois arrivés, alors que Franck enfourche sa Harley, je lui saute au cou pour lui rouler une pelle qui va l’accompagner toute la nuit.

  • « Reviens le plus vite possible mon amour… », le suppliai-je alors que nous reprenons notre souffle.
  • « Promis Roxy. Je t’aime mon amour… Et putain ce que j’ai envie de toi ! »

Après un dernier baiser le voilà parti dans le vacarme typique du V-Twin. Quelques heures plus tard, au tout petit matin il a tenu sa promesse en me prouvant à quel point son envie de moi était vraie. Et je ne vous parle pas de la réciproque ! La matinée fut délicieuse !

Ecrit par Roxanne

Par Decadent Laboratory - Publié dans : JOURNAL D'UN COUPLE LIBERTIN
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Notre journal... Celui d'un couple qui aime le sexe et qui l'assume pour une vie épanouie faite de plaisirs et de complicité sans faille.

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Un rubrique faite pour celles et ceux qui pensent que jouer (modestement) avec les mots peut être aussi excitant, voir plus, qu'une suite de photos ou de vidéos.

Recits-copie-1.jpg

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Pas vraiment besoin de description pour ce qui suit. Des séries de photos d'amatrices tout simplement.

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De nombreuses vidéos dans de nombreuses catégories qui ne manqueront pas de provoquer une hausse du chiffre d'affaire de Kleenex. Elles ont toutes été choisies par nos soins et visionnées en couple.

Videos-copie-1.jpg

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Comme son nom l'indique c'est un petit règlement de compte personnel. Enfin, pour être franche c'est surtoit moi (Roxanne) qui tenait à ce que cette rubrique soit présente. Eh ouais, même si je ne suis pas la principale concernée (quoique j'ai bien mangé quand même), j'ai la rancune plus que tenace.

Petit-reglement-de-compte-entre-ami-e-s-copie-1.jpg

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ERRATUM

Petite précision qui a son importance concerant la rubrique "Petit règlement de compte entre ami(e)s"... Pour ne pas qu'il y ait de malencontreuses coïncidences, les prénoms des protagonistes ont été changés. Par exemple, le compagnon de la protagoniste principale suce nommée (oui je sais ça ne s'écrit pas comme ça mais ça me fait rire), ou pour être plus précise le "plouc", ne se prénomme pas Laurent et n'habite pas Chaussy dans le Val d'Oise. En tous cas selon les informations fournies par la CAF.


A moins que... Noooooon !!! Des gens si honnêtes et si vertueux que ça ce n'est pas possible ! J'ai vraiment l'esprit mal tourné ! Après, par souci de clarification, si cela pose problème, on peut toujours aller leur demander de procéder à une vérification des pièces justufucatives fournies ? Non ?  

Ce point éclaircie, je vous souhaite une bonne lecture... "Amicalement", Roxanne ou chérie coquine.

Nous

Couple libertin de région parisienne, vous aurez vite compris que le sexe tient une place primordiale dans notre vie. Pour le reste nos adorons le rock, les Harley, les voyages et plein d'autres choses dont vous vous foutez royalement. Non ? Bandes de menteurs !

 

Détenteurs d'un compte couple certifié sur Netéchangisme, voici notre annonce :

 

Le libertinage et ses plaisirs n'ont de sens que lorsqu'ils sont vécus au sein d'un couple à la complicité sans faille ... Roxanne (29 ans) et Franck (42 ans), notre indéfectible amour ne nous empêche aucunement d'être des épicuriens convaincus et des adeptes assidus des plaisirs de la chair ... Le feeling, la complicité et la séduction tiennent une place importante dans notre recherche qui s'oriente vers des couples à la partie féminine bisexuelle ou vers des femmes elles aussi tentées ou pratiquant les plaisirs saphiques ... Nous ne ferons pas une liste des pratiques que nous acceptons ou nous refusons, mais n'hésitez à nous contacter afin d'en savoir plus. Cela sera peut-être le début d'une belle amitié et plus si affinité.

 

Si elle vous intéresse et vous correspond, n'hésitez pas à nous contacter à l'adresse suivante :

decadent.laboratory@outlook.com

 

Dans le cas contraire, on vous souhaite une bonne visite et surtout : NE SOYEZ PAS SAGES !!!

 

Roxanne & Franck

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