----------
Après s'être bien chauffé un couple baise dans un parc public...
----------
----------
Format Wmv - 16.15 minutes
----------
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
----------
Après s'être bien chauffé un couple baise dans un parc public...
----------
----------
Format Wmv - 16.15 minutes
----------
----------
Les soeurs jumelles s'en donnent à nouveau à coeur joie...
----------
----------
Format Mp4 - 1.00.16 heure
----------
----------
Une jeune femme sert d'objet sexuel et de vide couilles à deux hommes...
----------
----------
Format Mp4 - 1.11.18 heure
----------
----------
La partie de poker
Ecrit par Roxanne
----------
Que dire sur moi ? Que j’aime écrire mais pas me décrire serait un peu léger allez-vous me dire. Pourtant il est vrai que l’auto description a toujours été pour moi un exercice compliqué.
Au moment où j’écris ses mots j’ai 27 ans. Du haut de mes 1m66 pour 60kgs on me trouve généralement plutôt mignonne. Châtain blonde aux yeux verts je n’ai pas à me plaindre de mon succès. Je suis conseillère commerciale dans une agence de voyages. C’est un métier passionnant mais très frustrant lorsqu'on pense aux destinations vers lesquelles j'envoyais les clients ; aussi mes passions sont assez limitées et se résument au rock, au cinéma, à ma Harley et à la mode. Bon, pas si limitées que ça j’en conviens, mais comme je vous l’ai dit je suis nulle pour me décrire.
Ah oui ! Petite chose à rajouter : j’adore le sexe ! Adorer est même un mot faible. La seule différence entre une nymphomane et moi c’est que, pour ma part, j’y prends du plaisir et pas qu’un peu ! Maintenant je suis en couple avec un homme qui me comble à tout point de vue en ayant le même appétit surdimensionné que le mien. Mais avant de le rencontrer je multipliais les partenaires hommes comme femmes.
Entre quatre et six orgasmes quotidiens, parfois plus mais rarement moins, sont ma dose quotidienne indispensable à mon bien être. Franck, mon mec que j’aime plus que tout, est le pourvoyeur principal de mes plaisirs bien entendu. Il y a aussi Alyssa, notre soumise à temps plein ; Annabelle, ma sœur adorée avec David, son homme ; Sonia et Servane, mes deux meilleurs amies ; et d’autres membres du cercle libertin auquel nous appartenons toutes et tous, plus occasionnellement. Et puis si cela ne me suffit pas, il y a mon éternelle partenaire indéfectible, ma main, agrémentée le plus souvent d’objets aussi divers que variés.
Pour tout vous dire c’est d’ailleurs le cas en ce moment même. Les gardes de nuit au foyer éducatif où je travaille sont longues et comme il faut éviter de s’endormir malgré que l’on mette à notre disposition un lit, les petites séances de branlette sont le meilleur moyen de garder le corps et l’esprit éveillés.
Assise à mon bureau devant un bon café encore fumant, j’ai le jean sur les chevilles et la culotte baissée au niveau des genoux. La lourde porte coupe-feu verte claire est fermée à clé comme les volets de la fenêtre qui donne sur le boulevard Mortier. Il faut juste que je fasse attention à d’éventuels bruits provenant d’au-dessus où sont situées les chambres des jeunes dont je m’occupe. De mon côtés de dois aussi clamer mes ardeurs pour ne pas réveiller toute la maison. C’est pour moi toujours un défi tellement j’ai le plaisir sonore habituellement. Je ne hurle pas non plus comme une truie qu’on égorge mais bon, mes orgasmes ne passent pas inaperçus.
Je suis déjà toute moite. Mes doigts qui se baladent sur ma fente sont rendus luisants par ma mouille odorante et délicieuse. Les talons aiguille de mes bottes claquent sur le parquet stratifié recouvrant le sol à chaque fois que je prends mon clitoris dardés de désir pour cible. Adossée au fauteuil d’ordinateur en toile rouge, je ferme les yeux et laisse vaquer mon esprit à la recherche de fantasmes ou de souvenirs prompts à me faire jouir …
Je me retrouve une dizaine d’années plus tôt. J’avais 17 ans, presque 18. Mon anniversaire est au mois d’aout et cet été là il faisait une chaleur étouffante. L’un de mes potes de l’époque avait récupéré la maison de ses grands parents pour les vacances et avait invité toute une petite bande pour l’occasion.
Tout commença par un dîner copieusement arrosé qui se poursuivit tard dans la soirée. La température et le taux d’humidité étant largement élevés malgré l’heure tardive, tout le monde était habillé légèrement. Je ne portais pour ma part qu’un tee-shirt moulant dont je ne me souviens plus de la couleur et un short en jean dessinant tout autant mes formes. Mes seins et mes fesses étaient ainsi parfaitement mis en valeur. Comme le plus souvent lors de soirées alcoolisées entre adolescents bourrés d’hormones, les discussions dévièrent inévitablement vers le sexe et les esprits s’échauffèrent jusqu’à ce que le maître de maison, l’ami qui m’avait invitée, ne propose une partie de strip-poker.
Sans surprise tous les garçons furent enthousiasmés par l’idée tandis que la majorité des filles beaucoup moins. Mais l’ambiance était bonne et, au final, même la plus réticente se laissa convaincre. Cinq garçons et trois filles, dont moi, prirent place autour de la table tandis que les plus timides qui avaient refusé l’invitation restèrent tout près pour profiter du spectacle sans courir le moindre risque d’avoir à dévoiler leur corps. Cette proposition n’avait en fait pour unique objectif de découvrir les filles totalement nues. Nous n’étions pas dupes et ils ne furent pas déçus.
Le jeu commença et rapidement les premiers perdants s’effeuillèrent. Entre gêne et excitation, tout le monde était fébrile. Trichèrent-ils ou fut-ce uniquement de la chance ? Le fait étant que les garçons eurent rapidement de meilleures mains que nous. Je fus celle qui s’en sortit le mieux tandis que l’une des filles, à mes côtés, avait déjà dû quitter son top, sa jupe et son soutif et tentait de s’accrocher tant bien que mal à sa culotte, pas très sexy soit dit au passage.
Les yeux des mecs étaient d’avantage attirés par l’autre nana qui arborait fièrement un coordonné noir en dentelles composé d’un magnifique soutien-gorge à balconnet et d’un tanga. Pour ma part j’avais encore mon tee-shirt et, vu que je ne m’étais pas levée pour retirer mon short que j’avais perdu avec une paire de valet, personne n’avait encore remarqué que, comme souvent, je portais un string plutôt minimaliste et transparent.
Mais, jusqu’à là plutôt chanceuse, le sort s’acharna sur moi. Les mecs n’attendaient que ça et le tour suivant fut fatal à mon haut. Non seulement je dû exhiber mes seins parfaitement soutenus par une fine dentelle blanche mais, du coup, mon mini string assorti apparu aux yeux de tous. Ce fut d’ailleurs l’une des filles ne participant pas à la partie qui, assise derrière moi, vendit la mèche.
Les garçons firent un bon pour regarder par-dessous la table. Après un court silence certainement dû à la surprise, tous y allèrent de leurs compliments. Certains se levèrent et firent le tour pour admirer mes fesses si peu habillées. Les filles aussi me regardèrent avec insistance, comme étonnées que l’on puisse porter ce genre de lingerie aussi naturellement. Je me sentis fière de provoquer autant d’émoi dans l’assistance ; émoi d’ailleurs assez visible chez ces messieurs qui, pour certains déjà en caleçon, purent encore moins cacher leurs érections que leurs comparses toujours en jean.
La partie continua dans une ambiance surchauffée et la fille qui ne portait plus que sa culotte perdit une nouvelle fois, devant du coup se résigner à la quitter. Rouge comme une pivoine elle la fit glisser sur ses fesses et le long de ses jambes en se soulevant le moins possible de sa chaise, finissant par la poser sur la table à côtés des autres vêtements. Sous les sifflets des garçons déçus de n’avoir qu’à peine entrevu le début de la toison, la solidarité féminine s’organisa. L’autre nana et moi-même rappelâmes à ces messieurs les règles édictées au début. On se dévêtit, d’accord, mais il n’a jamais été question de s’exhiber nue devant tout le monde. Les sifflets se firent à nouveau entendre en guise de réponse. Nous leurs rétorquâmes qu’ils feraient moins les malins si l’un d’entre eux perdait et qu’il était obligé de se montrer à poil, le sexe probablement en érection, devant nous.
Après un instant de réflexion et de concertation masculine, notre hôte reprit la parole :
Les filles et moi nous nous regardâmes en nous disant que c’était surement la seule chance de voir les garçons nus et de leur faire fermer ainsi leur gueule. La pauvre dû donc s’exécuter et se lava sous les acclamations pour entamer son tour de table. Bien que taillé pour ne pas déborder, sa foufoune était très touffue et noire. De moins en moins softs, les remarquent fusèrent.
J’en passe et des meilleurs. La pauvre mit heureusement fin rapidement à son gage et se rassit toute honteuse. Tout le monde avait bien rit, les filles tout autant que les mecs. Moi la première d’ailleurs puisque j’avais rapidement remarqué que sa toison était effectivement humide. Comme quoi derrière une gêne apparente l’excitation n’est jamais loin. Quant aux garçons, c’était tout à fait clair, tous bandaient et ne s’en cachaient plus.
Ma voisine se rhabilla et la partie reprit de plus belle. Les mecs se montrèrent encore plus impatients de nous voir, l’autre nana et moi, nues à notre tour. Pourtant, après avoir perdu deux fois consécutivement, ce fut le meilleur ami de Djibril, notre hôte, qui dû se plier à la même sanction. Par vengeance, la gente féminine, nous nous en donnâmes à cœur joie lorsqu’il entama son service la queue en l’air.
Sa verge était de taille tout à fait normale mais nous savions à quel point les hommes attachent de l’importance à la taille de leur sexe. Nous tenions ainsi notre revanche.
Après de nouveaux rires collégiaux la partie continua. Deux autres tournées de Côte de Provence avaient été consommées rendant l’atmosphère de plus en plus électrique. La réussite choisit alors définitivement son sexe et nous nous retrouvâmes, mes deux voisines et moi, rapidement en culotte. Les hommes voulaient de la nouveauté et concentrèrent leurs efforts sur ma personne afin de me faire perdre mon dernier léger vêtement. Leur objectif atteint, ils ouvrirent de grands yeux projetant des éclairs de testostérone lorsque je me levai pour ôter mon string.
J’étais effectivement excitée. L’alcool avait fait voler en éclat mes dernières inhibitions pour peu que j’en ai déjà eu un jour. Je n’eu aucune réticence à me balader à poil devant mon pote et ses amis qui me matèrent à s’en décoller les rétines tout le long de mon tour de table. J’avoue même bien volontiers avoir fait exprès de me pencher de manière abusive lorsque je versai le breuvage enivrant dans chaque verre afin de faire admirer à qui le désira mes lèvres intimes toutes lisses. Les filles aussi furent étonnées par mon épilation intégrale. Il faut dire qu’à l’époque et à nos âges ce genre de soin esthétique était beaucoup moins répandu que maintenant.
Les garçons bandaient comme des fous. Les deux plus téméraires tentèrent quelques discrètes caresses sur mes fesses et ma foufoune à mon passage sans que je cherche plus que ça les esquiver. Je n’eus pas le temps de faire le tour complet avant que la bouteille de vin ne soit vide et dû faire un détour par la cuisine afin d’aller en chercher une nouvelle. A mon retour j’entendis que les garçons continuaient leurs commentaires sur mon sexe et plus généralement sur mon corps totalement exposé à leurs regards lubriques. Apparemment sous le charme, les propositions se succédèrent. Chacun vanta ses qualités en sur-enrichissant un éventuel programme pour s’attirer mes faveurs.
A la demande générale et sous l’effet d’une ivresse prononcée je me mis face à eux, fléchis un peu les genoux, pris l’une des bouteilles vides et après avoir ôté le papier brillant entourant le goulot, fis glisser ce dernier dans mon sexe trempé. Il me pénétra sans aucune résistance tellement j’étais mouillée. Sous les applaudissements et les encouragements des mâles en rut je fis faire quelques allers retours dans mon vagin à la bouteille avant de la ressortir pour la poser sur la table. Dissimulant un petit sourire de fierté, je repris alors ma place comme si de rien n’était.
Les garçons comprirent qu’un palier venait d’être franchit par mes soins. L’air ambiant déjà lourd devint rapidement irrespirable. Aussi lorsque je me saisis de la bouteille pleine que je venais d’aller chercher pour la déboucher une nouvelle demande se fit entendre.
Pour seule réponse je réitérai ma performance, plus brièvement cette fois-ci.
Cette réponse précipita tout le monde dans la folie et cette requête ne resta pas bien longtemps sans réponse.
Certains pensèrent-ils que j’allai me dégonfler ? Leurs doutes se dissipèrent de suite lorsque j’acceptai l’invitation et me retrouvai à quatre pattes sur le meuble de jardin avec les fesses devant le nez de Djibril. Je n’oubliai pas de me cambrer légèrement pour bien lui faire comprendre qu’il se devait de joindre dorénavant le geste à la parole. Je n’eu nul besoin d’insister puisqu’il posa immédiatement ses mains sur mes deux globes charnus avant de coller sa langue dardée sur mon anus. Je fermai les yeux et me laissai faire ; surtout quand il déborda largement de ma rosette pour faire un tour sur mes lèvres trempées de sève intime. Pendant plusieurs minutes il alterna ainsi entre mes deux orifices aussi sensibles l’un que l’autre. Djibril avait l’air de se régaler tout autant que moi jusqu’à ce que l’un des spectateurs ne nous rappelle à l’ordre.
Djibril s’en saisit, colla le goulot sur mon œillet brun et poussa doucement la bouteille entre mes fesses avec un léger mouvement rotatif. Le contact du verre froid sur mon anus rendu terriblement chaud par de savants coups de langue me fit sursauter. Pourtant je réussi à garder la position durant la progression de l’objet dans mes entrailles en l’accompagnant de légers soupirs.
Djibril passa alors la main à son voisin de droite avant de partir en courant vers l’entrée de la cuisine. Son remplaçant remua la bouteille de façon plus intense. Il fit ressortir entièrement cette dernière pour admirer la dilatation de mon anus avant de l’y replonger.
Entre temps mon ami était revenu avec une autre bouteille à la main et le tissu de son caleçon tendu vers le ciel. Il s’approcha de moi et apposa le goulot perlé de buée glacée sur ma vulve qui rentra d’un seul coup en m’arrachant, cette fois-ci, largement plus qu’un soupir.
N’ayant pas eu à subir de ma part le moindre refus jusqu’à présent, les deux garçons s’enhardirent.
Il fit alors rapidement le tour de la table et baissa tout aussi rapidement son caleçon avant de me présenter son beau sexe de black devant mon nez. J’entrouvris les yeux toujours en proie au plaisir des pénétrations vaginales et anales et regardai le gland turgescent qui palpitait à quelques centimètres de mon visage. Puis je le pris entre mes lèvres, passai ma langue tout autour pour récolter les premières gouttes de précum que j’aime tant avant de l’avaler presque entièrement. A ce contact dont il ne devait pas avoir autant l’habitude que ça, Djibril poussa plusieurs râles caverneux tout en prenant ma tête entre ses mains afin de contrôler la cadence. Je me laissai faire sans réticence, totalement offerte aux assauts de mes deux amants.
Depuis le temps que son désir grandissait, l’excitation de notre hôte atteignit rapidement son paroxysme. Il ne résista pas plus de deux ou trois minutes à ma fellation avant de décharger son sperme chaud en abondance dans ma bouche. Il faut dire qu’à l’époque, déjà, ma réputation de tailleuse de pipe experte n’était plus à faire.
La pauvre s’attira les huées de la gente masculine sans pour autant être défendue avec férocité par ses consœurs.
Le malheureux garçon qui tenait jusqu’à là les deux bouteilles les retira d’un coup avant de venir se placer devant moi, le caleçon sur les chevilles. Avec un sourire lui faisant comprendre que j’allais bien m’occuper de son cas je pris sa queue dans ma main pour la branler doucement, puis ouvris grand la bouche et engloutis son gland gonflé au maximum par tant d’attente. Mon cul et ma chatte délaissés, je pus me concentrer pleinement sur ma fellation. L’effet fut quasi immédiat et, sentant qu’il allait venir, je me mis à le masturber frénétiquement en le regardant droit dans les yeux. Cette fois-ci je gardai les lèvres closes et pris le plus gros des giclées de foutre en pleine gueule, même sur les cheveux : le reste allant sur mon épaule et dans mon cou.
Les autres mecs assistant à la scène n’osèrent pas bouger. Leurs copines étant présentes, aucun ne prit l’initiative de venir me rejoindre. J’étais pourtant sûre qu’ils en mourraient d’envie.
Le ton menaçant de la fille n’eut aucun effet sur la libido mise à vif de son copain. Ni une, ni deux, ce dernier se dirigea vers moi la queue à l’air et bien dressée. Pour plus de confort je l’attirai vers le canapé de jardin posé à quelques mètres de la table sur laquelle nous avions joués à tous les sens du terme. Je m’y assis, bien adossée et les fesses juste au bord et écartai les jambes en grand. Il me suivit et, le sexe bandé comme une figure de proue, s’apprêta à me pénétrer directement en voyant ma position. Je le repoussai gentiment mais d’une main néanmoins ferme. Sans préservatif seule ma bouche est accessible, le reste est interdit. Malheureusement pour lui il n’en avait pas. Son air décontenancé m’attrista légèrement même si aucune négociation n’est possible ; aussi je lui pris la main et la dirigeai vers mon abricot.
Le mec hésita une seconde mais à défaut de pouvoir me sauter il choisit de ne pas mettre en danger son couple et retourna vers sa nana qui se mit à le sucer devant tout le monde, même à contrecœur.
Ce fut à mon tour de prendre un air dépité tout en lançant des appels du regard à qui voudrait bien s’occuper de moi. Les deux garçons à qui j’avais déjà vidé les couilles étaient, à priori, les deux seuls célibataires puisqu’ils se dévouèrent pour remettre ça.
Leur manière de me faire comprendre ce qu’ils désiraient me fit partir dans un fou rire dans lequel ils me suivirent. C’est bien ce dont j’avais envie aussi mais, pourtant, je les arrêtai dans leur élan.
Ils se regardèrent tous les deux et, en bon maître de maison, Djibril plongea sa tête entre mes cuisses pour m’arracher un long et puissant soupir de bien-être. Je fermai les yeux afin de profiter pleinement de cette langue en train de titiller mon petit bouton de femme. L’autre se mit à genoux sur le meuble en osier, juste à ma gauche, et présenta son braquemart à ma bouche. J’ouvris cette dernière dès le premier contact de son gland sur mes lèvres et le gobai entièrement.
Les plus timorés, en véritables voyeurs, eurent le spectacle qu’ils attendaient depuis un moment. Une folle de sexe qui se faisait bouffer la chatte par un mec tandis qu’elle en suçait un deuxième et une autre fille nue en train de tailler une pipe à son homme. Pourtant aucun ni aucune ne se lancèrent, se contentant de tourner la tête de temps en temps pour passer d’une scène à l’autre. Mais tous se tournèrent vers moi lorsque, sous les coups de langues appuyés de mon bel amant d’ébène, je me mis à jouir sans aucune discrétion.
Les deux garçons destinés à s’occuper de moi se relevèrent de concert afin de me laisser un peu reprendre mes esprits.
Les spectateurs continuèrent à me regarder tandis que j’attendais mes amants en me caressant lascivement. La boite de capotes fut rapidement ouverte et les deux garçons enfilèrent prestement les malheureuses mais indispensables protections. De mon côté, la tête en arrière et les cuisses écartées, ma vulve béante clamait son envie de se faire pourfendre. Djibril, toujours le plus rapide à réagir des deux, se jeta quasiment sur moi pour présenter sa bite à l’entrée de mon vagin en s’agrippant au dossier du canapé. Il me fourra d’un coup son engin jusqu’à la garde en m’arrachant un cri tout autant de surprise que d’intense plaisir. Je relevai les jambes au maximum afin de la sentir encore plus profondément et, sous ses assauts prenant la forme de puissants coups de reins, je m’abandonnai complètement.
Le deuxième se retrouva avec l’air un peu penaud de celui qui doit attendre son tour. Il bandait fort, avait son préservatif déjà en place mais devait malgré tout me regarder en train de me faire sauter sauvagement par son pote.
Un brouhaha dans lequel se mélangèrent autant de commentaires d’admiration que de dégoût se fit entendre autour de nous.
Djibril se retira alors de mon sexe en m’arrachant un dernier soupir. Il me saisit par le bras pour m’aider à me relever avant de s’asseoir exactement à la place que j’occupais juste avant. Je l’enjambai afin de positionner ma chatte juste au-dessus de son chibre et m’y empalai avec gourmandise, l’aspirant à nouveau au plus profond de mon vagin.
Aussitôt je m’agenouillai sur le canapé, les jambes repliées, les genoux posés sur des coussins pour éviter de me les blesser sur l’osier et me mis à bouger sur la bite d’ébène de mon ami. Ce dernier accompagna mes mouvements en posant ses mains sur mes hanches jusqu’à ce que j’en sente deux autres sur mes fesses et un doigt s’immiscer dans mon anus. Je pris cela comme l’annonce de l’arrivée prochaine de quelque chose de plus gros, aussi j’arrêtai de m’agiter et me pencha au maximum en avant. L’autre garçon qui avait attendu depuis assez longtemps son tour en profita pour aligner parfaitement son gland plastifié sur ma rondelle. Encore dilatée par le travail de la bouteille de vin il n’eut pas à forcer beaucoup, vu la taille de sa verge, pour que mes entrailles ne l’aspirent entièrement.
Déjà à l’époque j’étais complètement dingue des doubles pénétrations ; pratique que j’avais découverte quelques mois avant cette soirée. Du coup je me mis à jouir immédiatement lorsque mon fion s’ouvrit. Remplie de partout j’étais comblée et je ne me fis pas prier pour le faire savoir à toute l’assistance.
Mes deux amants s’arrêtèrent net sous mes hurlements de plaisir stridents.
Je me mis une grande claque sur la fesse droite pour accentuer mes propos et les encourager à reprendre leurs mouvements. De toutes manières, à mon grand bonheur, ils n’avaient en fait aucune envie de s’arrêter en si bon chemin. Ils se mirent à bouger en moi en alternance tandis que de mon côté j’accentuai mes sensations en donnant de savants coups de bassin d’avant en arrière. Accrochée maintenant au cou de Djibril j’étais déchaînée, comme dans un état second.
Les garçons concernés par ma supplique lancèrent des regards interrogateurs à leurs copines respectives. Elles ne surent en fait pas trop quoi dire, complètement dépassées qu’elles étaient par les évènements. L’un d’eux se décida et les autres suivirent, les filles tétanisées me laissant le champ libre.
Rapidement nus, ils arboraient tous une gaule parfaitement déployée. Trois nouvelles queues se présentèrent à moi. J’en pris une en main pour la masturber énergiquement alors que j’étais toujours animée par mes deux amants qui me pilonnaient les trous de plus en plus férocement. Mon autre main se glissa sur les couilles du mec que j’étais en train de branler, les serra doucement avant que je n’attire le gland luisant à ma bouche. Un coup de langue, un seul, puis j’avalai entièrement ce chibre pour le sucer de toute mon énergie en mode gorge profonde.
Les deux autres nouveaux arrivants en voulurent aussi et s’approchèrent plus près de moi de peur que je ne les oublie. J’eus juste le temps de commencer à astiquer l’un d’eux avant que je ne sente les premières convulsions de celui à qui je taillais une pipe. Il se retira par réflexe, certainement conditionné en cela par le refus habituel de sa nana d’avaler, et m’aspergea le haut de la poitrine ainsi que les seins de sperme épais et compact.
Ce fut au tour de Djibril, quasiment dans l’instant, de défaillir. Je sentis son corps se raidir et tentai de m’immobiliser malgré la sodomie que je continuais à subir pour contracter les parois de mon vagin et ainsi décupler ses sensations au moment où il remplit la capote de sa semence.
Puis ce fut la bite qui m’enculait qui rendit l’âme dans un dernier coup de rein désespéré prompt à me perforer le fion.
Calmant un peu le jeu, je pris tout mon temps pour me redresser et libérai doucement les deux chibres qui m’avaient si bien baisée. Puis la chatte et le cul béants avec les résidus de sperme coulant toujours sur mes seins, je saisis les deux mecs encore en attente de mes faveurs par leur sexe pleins de virilité et les amenai juste un peu plus loin sur la pelouse. Une fois à quatre pattes, la croupe bien relevée, j’indiquai au plus grand la boite de capote restée sur le canapé.
Je lui laissai le choix tout en me doutant bien qu’il y avait de grandes chances pour que ce quoi mon cul qui prenne. Le temps qu’il enfile son préservatif j’étais déjà en train de sucer son pote qui oublia jusqu’au prénom de sa nana une fois dans ma bouche. Tandis que je lui massai les burnes d’une main, ma bouche œuvra goulument pour lui arracher des râles caverneux de plaisir. Il y en eut un plus appuyé lorsque, sentant quelque chose frotter sur ma rondelle puis s’y engouffrer, je serrai plus fort les doigts sur ses testicules.
Derrière moi le mec se mit à me sodomiser sévèrement. Je gardai le premier en bouche mais utilisa ma main à d’autres fins en la plongeant entre mes cuisses. Mes seins ballotaient au rythme des coups de boutoirs qui claquaient sur mes fesses pendant que je me branlais frénétiquement le clitoris.
Je ravalai aussitôt la pine que j’avais délaissée et me mis à la pomper encore plus fort pour ne pas laisser cette conversation s’installer. C’était la première fois de ma jeune vie que je jouais avec autant de sexes d’hommes en une seule fois et j’adorais ça. Je ne voulais pas qu’une pétasse trop coincée et frustrée vienne me gâcher ce moment.
Je détournai brièvement le regard pour jeter un œil sur mes deux premiers amants de la soirée qui reprenaient des forces sur le canapé. Djibril avait retrouvé une belle érection tandis que l’autre s’astiquait lentement, la verge encore collante de sperme. Du coup je ne fis pas attention lorsque le garçon que je suçais se mit à éjaculer et je fus obligée d’en recracher une bonne partie au risque de m’étouffer.
Ce fut certainement la vision de ce liquide visqueux et blanchâtre dégoulinant de ma bouche qui mit fin à la délicieuse pénétration anale en cours. J’attendis que les contractions de la queue occupant mon fondement s’arrêtent pour me retirer en faisant attention de ne pas emporter la capote remplie avec moi dans mon mouvement.
En sueur, la peau maculée de traces de semences masculines multiples, je me dirigeai impudique vers la table sur laquelle tout avait commencé. Je me servi un verre de rosé que je bu d’un trait avant de débarrasser en envoyant tout valser d’un geste ample du bras. Immédiatement je m’allongeai sur la protection de verre recouvrant l’osier, un pied sur le dossier d’une chaise, l’autre dans le vide et commençai à me masturber en attendant qu’on vienne me rejoindre.
Djibril et son inséparable compère furent les premiers, les autres suivirent en ignorant toujours magnifiquement leurs nanas restées en retrait à me maudire. Ce dont elles ne se doutèrent pas est que les « grosse pute », « sale truie » ou encore « salope » dont elles me gratifièrent allègrement ne firent rien d’autre que de m’exciter encore plus si cela en était possible.
Quelques secondes plus tard une belle et grosse bite d’ébène occupa à nouveau ma chatte de toute sa longueur. Dès que Djibril se mit à me faire reluire je lassai éclater dans la nuit étoilée de puissants gémissements tout en me maltraitant férocement les seins à pleines mains.
Les quatre autres garçons m’entourèrent en cherchant désespérément le réconfort de mes mains, de ma bouche ou encore de mon cul. Puis d’un coup …
Mes souvenirs se brouillent. Je suis maintenant debout, penchée en avant sur le bureau, la chaise d’ordinateur repoussée loin en arrière. Le vibromasseur de secours que j’ai toujours sur moi quand je sors va et vient dans ma chatte avec un léger bourdonnement. Je porte à ma bouche le majeur de ma main libre et le suce un instant avant de me le coller dans le cul pour me finir. Je prends mon pied … Je viens … Je vais jouir putain !
Cet orgasme n’est-il pas la meilleure description que je puisse faire de moi en fait ?
FIN
COMPTEUR
636
Visites uniques
3 766
Pages vues
GAINS
12 € 24
Le poids des mots, le choc des photos, l'impact des vidéos !
Pour faire encore plus simple, du sexe, encore du sexe, toujours du sexe et ce sous presque toutes ses formes.
----------
Notre journal... Celui d'un couple qui aime le sexe et qui l'assume pour une vie épanouie faite de plaisirs et de complicité sans faille.
----------
Un rubrique faite pour celles et ceux qui pensent que jouer (modestement) avec les mots peut être aussi excitant, voir plus, qu'une suite de photos ou de vidéos.
----------
Pas vraiment besoin de description pour ce qui suit. Des séries de photos d'amatrices tout simplement.
----------
De nombreuses vidéos dans de nombreuses catégories qui ne manqueront pas de provoquer une hausse du chiffre d'affaire de Kleenex. Elles ont toutes été choisies par nos soins et visionnées en couple.
----------
Comme son nom l'indique c'est un petit règlement de compte personnel. Enfin, pour être franche c'est surtoit moi (Roxanne) qui tenait à ce que cette rubrique soit présente. Eh ouais, même si je ne suis pas la principale concernée (quoique j'ai bien mangé quand même), j'ai la rancune plus que tenace.
----------
ERRATUM
Petite précision qui a son importance concerant la rubrique "Petit règlement de compte entre ami(e)s"... Pour ne pas qu'il y ait de malencontreuses coïncidences, les prénoms des protagonistes ont été changés. Par exemple, le compagnon de la protagoniste principale suce nommée (oui je sais ça ne s'écrit pas comme ça mais ça me fait rire), ou pour être plus précise le "plouc", ne se prénomme pas Laurent et n'habite pas Chaussy dans le Val d'Oise. En tous cas selon les informations fournies par la CAF.
A moins que... Noooooon !!! Des gens si honnêtes et si vertueux que ça ce n'est pas possible ! J'ai vraiment l'esprit mal tourné ! Après, par souci de clarification, si cela pose problème, on peut toujours aller leur demander de procéder à une vérification des pièces justufucatives fournies ? Non ?
Ce point éclaircie, je vous souhaite une bonne lecture... "Amicalement", Roxanne ou chérie coquine.
Couple libertin de région parisienne, vous aurez vite compris que le sexe tient une place primordiale dans notre vie. Pour le reste nos adorons le rock, les Harley, les voyages et plein d'autres choses dont vous vous foutez royalement. Non ? Bandes de menteurs !
Détenteurs d'un compte couple certifié sur Netéchangisme, voici notre annonce :
Le libertinage et ses plaisirs n'ont de sens que lorsqu'ils sont vécus au sein d'un couple à la complicité sans faille ... Roxanne (29 ans) et Franck (42 ans), notre indéfectible amour ne nous empêche aucunement d'être des épicuriens convaincus et des adeptes assidus des plaisirs de la chair ... Le feeling, la complicité et la séduction tiennent une place importante dans notre recherche qui s'oriente vers des couples à la partie féminine bisexuelle ou vers des femmes elles aussi tentées ou pratiquant les plaisirs saphiques ... Nous ne ferons pas une liste des pratiques que nous acceptons ou nous refusons, mais n'hésitez à nous contacter afin d'en savoir plus. Cela sera peut-être le début d'une belle amitié et plus si affinité.
Si elle vous intéresse et vous correspond, n'hésitez pas à nous contacter à l'adresse suivante :
decadent.laboratory@outlook.com
Dans le cas contraire, on vous souhaite une bonne visite et surtout : NE SOYEZ PAS SAGES !!!
Roxanne & Franck
Mai 2024 | ||||||||||
L | M | M | J | V | S | D | ||||
1 | 2 | 3 | 4 | 5 | ||||||
6 | 7 | 8 | 9 | 10 | 11 | 12 | ||||
13 | 14 | 15 | 16 | 17 | 18 | 19 | ||||
20 | 21 | 22 | 23 | 24 | 25 | 26 | ||||
27 | 28 | 29 | 30 | 31 | ||||||
|