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Luxure et perversion
Ecrit par Erica
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Je fonçai dans un magasin de chaussures tout proche et jetai mon dévolu sur une paire d’escarpins noirs à talons aiguilles. En réglant la note avec ma carte bleue, je réalisai que j’étais en train de dépenser 120 euros juste pour plaire à une vendeuse qui semblait des plus vicieuses sous de faux airs de timidité. Mon compte en banque soulagé d’une paire de Louboutin, je retournai dans l’arrière salle de la boutique de lingerie. A mon passage, alors que je traversai les rayons, Alyssa, c’était le prénom de la fameuse vendeuse, abandonne presque une cliente pour m’emboiter le pas.
Elle me tendit un corset rouge et noir à lanières. Il soutenait mes seins en laissant mes pointes dardées apparentes. Je m’approchai du miroir et à la vue de mon reflet, le premier mot qui me vint à l’esprit fut le mot « pute ». Je me le répétai à plusieurs reprises dans mon esprit tordu, en silence, et cela m’excitait. Alyssa s’approcha alors de moi et me souffla :
Je compris rapidement la nature de son propos lorsqu’elle déboutonna son chemisier qui libéra une magnifique et opulente poitrine emprisonnée dans le même corset que le mien, seules les nuances de rouge étant remplacées par du blanc. Eurasienne, sa peau légèrement teintée était du coup parfaitement mise en valeur. Ses seins étaient bien plus gros que les miens et contrastaient merveilleusement avec la finesse athlétique du reste de son corps. Elle se voulait tentatrice, aussi je me fis provocatrice.
Passant délicatement la pointe de mon index à la lisière de son corset, je renchéris :
Alyssa n’esquissa pas le moindre mouvement de recul à ce contact sur sa peau. Je détectai même un très léger sourire qui m’encouragea à aller plus loin. Mon impression se confirma lorsque je posai mes lèvres, juste au-dessus de l’aréole de son sein droit pour l’embrasser tendrement.
Sans plus aucune réticence mes dents torturèrent ses tétons tandis que dans le même temps ma main cherchait la fermeture de sa jupe. Sous cette dernière, surprise ! Ni culotte, ni string, mais comme une petite pince sur son clitoris.
Sans me laisser le temps de poursuivre notre discussion, Alyssa glissa son majeur entre les pans de ma culotte pour me branler doucement, puis de plus en plus fort, jusqu’à ce que je commence à ahaner.
Alyssa arrêta net de me masturber, et son sourire tout à l’heure discret illuminait dorénavant pleinement son visage angélique.
Son ton était devenu autoritaire, presque impérieux. J’aurais pu m’en offusquer, mais mon excitation était telle que j’obtempérai de suite et approchai ma bouche de ses jambes écartées avant de poser ma langue sur son sexe luisant. Sa chatte était déjà largement humide et son nectar délicieux. Je m’en délectai avec gourmandise jusqu’au moment où elle décida d’inverser les rôles en commençant par s’occuper de mes seins, avant de glisser sur mon ventre, pour finir par s’approcher de mon bourgeon de femme.
J’étais prête à faire n’importe quoi pour que cela arrive. Je fermai les yeux, et alors que je m’attendais à une suave douceur, c’est une vive douleur qui s’empara de mon sexe. Alyssa venait de me mordre le clitoris à pleine dents et j’eus toutes les peines du monde à ne pas m’écrouler tant mes jambes se mirent à trembler.
Sans répondre, ni encore moins protester, je m’étendis sur le sol en prenant la position souhaitée par mon amante. Se faisant plus douce, plus caressante, Alyssa s’approcha de moi avant de s’asseoir à califourchon sur mon visage.
Sa cramouille se trouvait à quelques centimètres de ma bouche qui ne demandait qu’à démontrer sa bonne volonté. Je me mis à titiller frénétiquement son bijou, lécher son clitoris, laper sa chatte ruisselante, le tout uniquement avec ma langue. Je me risquai même à une tentative entre ses petites fesses toutes fermes qui fut si bien accueillit qu’Alyssa se repositionna. Elle me donna ainsi un plein accès à son anus que je me fis un devoir de fouiller en profondeur. Soudain ma belle eurasienne se releva.
Suivant ses directives je m’installai face au mur, cambrée, la croupe bien relevée. Je vis mon reflet dans le miroir qu’elle avait placé justement dans ce but. C’était à peine croyable ! J’étais habillée comme une pute de luxe en train de me faire doigter par une fille magnifique. Celle-ci m’enfonça des doigts dans le con et me fis les lécher une fois bien imbibé de cyprine. Ensuite elle tenta, elle aussi, l’aventure entre mes fesses d’un index inquisiteur qui reçut le même accueil que le mien dans son propre fondement quelques instants plus tôt.
Au comble de notre excitation mutuelle nous nous retrouvâmes en 69, par terre, Alyssa en dessous et moi sur elle. Nous nous déchaînâmes l’une sur l’autre, nous rendant « coup pour coup ». A ce jeu mon amante l’emporte lorsqu’elle se saisit de l’une de mes chaussures pour m’en planter le talon aiguille dans la chatte, puis dans le cul.
Après un orgasme puissant dont j’étouffai la manifestation orale en plaquant ma bouche sur sa foufoune, je la terminai en la branlant comme si ma vie en avait dépendue. Repues, épuisées par notre voilent coït, nous nous embrassâmes longuement avant qu’elle ne me demande si nous pouvions nous revoir. Heureuse de cette proposition que je lui aurais moi-même faite de toute manière, nous échangeâmes nos numéros de portables avant que je ne m’habille rapidement. Je n’oubliai pas de ranger les dessous que finalement elle m’offrit.
Il ne me restait plus qu’une heure pour mes courses, et me rendant au supermarché du centre commercial, je remplis à la va vite mon caddie sans oublier la liste un peu particulière que j’avais faite dans ma tête. Celle de tous ces objets ou aliments susceptibles de visiter mes orifices en cas de pénurie temporaire de bonnes grosses bites bien en chair.
J’arrivai à la gare pile à l’heure prévue, mais comme souvent avec la SNCF, le train eut « un peu » de retard. Pour patienter, je me remémorai mes dernières sorties avec Roxanne. Cela faisait un bail en fait, un bail depuis que nous nous étions rencontrées dans un bar du quartier Saint Michel. Nous avions tout de suite sympathisées et nous étions passées bien vite du statut de simples copines à celui d’amies sincères. Même si mes études dans mon pays d’origine m’avaient éloignée d’elle, j’avais suivi la naissance de son idylle avec Jean. J’avoue qu’elle m’avait même parfois saoulée au cours de nos discussions internet avec son prince charmant, car à la lire il était formidable, beau, drôle, intelligent et j’en passe. Je me rappelle d’ailleurs lui avoir conseillé de ne pas mettre la charrue avant les bœufs mais ce fut peine perdue. Pour moi, leur histoire n’avait aucune chance de bien se terminer. Comme moi, Roxanne était bien trop exubérante et active pour un mec comme Jean qui était tout le contraire. Calme, taciturne, je le trouvais même, pour ma part, mou. Je sus tout de suite que ma Roxy allait l’épuiser, et ce fut sans surprise qu’à mon retour en France j’encaissai la nouvelle de leur séparation.
Revenant sur le cas de ma petite personne, je repensais à ces derniers jours et comptais sur Roxanne pour me remettre, un peu, sur le droit chemin de la normalité. Comme je l’ai déjà dit, je suis loin d’être puritaine, mais j’avoue qu’avec un peu de recul je me sentis un peu honteuse d’avoir baisé avec des partenaires qui m’étaient totalement inconnus l’instant d’avant. Je dis bien « baisé » car pas question d’employer l’expression « faire l’amour » pour caractériser mes dernières expériences avec Quentin, Fred, et plus tard Alyssa. Et ceci même si je me jugeais jusqu’à présent assez ouverte en matière de sexe, aimant varier les plaisirs ailleurs que sur le classique lit. Même au niveau de mes pratiques j’adore faire ma petite cochonne. J’aime tailler des pipes, me faire sauter comme une chienne, me faire enculer et finir la bouche pleine de foutre ou les gougouttes maculées de jute. Mais depuis trois jours je me découvre en plus des penchants pour le saphisme, l’exhibitionnisme, la douleur, voir même l’humiliation. C’était loin de me déplaire, mais je trouvais que cela allait trop vite et avais peur de l’évolution de tout ceci si je ne mettais pas un coup de frein pour prendre un peu de recul.
Je ne savais pas trop comment j’allais retrouver Roxanne. Allait-elle être au bout du rouleau ? Anéantie par sa séparation ? Cela n’a jamais trop été dans son caractère de se laisser aller à se morfondre, mais avec les peines de cœur on ne sait jamais. La seule chose dont j’étais certaine c’est que de toute manière elle pourrait compter sur moi.
Le train entra en gare et j’essayai de la chercher à travers les vitres des wagons qui défilaient devant mes yeux. Après un dernier crissement métallique strident, il s’immobilisa et j’aperçue enfin Roxanne avec un gros sac en bandoulière. Moi qui étais habituées à ses tenues presque trop décontractées, je la trouvai vêtue d’un tailleur assez sobre et de chaussures à talons. Elle avait toujours ses cheveux châtains et longs ainsi que son air rieur, mais je la trouvai changée. A tel point que lorsqu’elle se dirigea vers moi en souriant, je mis quelques secondes à réagir avant de la prendre dans mes bras.
Elle semblait aller pas trop mal et je me dis qu’il serait préférable de la laisser me parler elle-même de ses mésaventures amoureuses si elle en sentait le besoin.
Nous nous dirigeâmes vers la voiture, discutant du beau temps, de son voyage et des perspectives de balades. Le trajet fut assez long et il faisait particulièrement lourd. La chaleur était étouffante, et bien sûr je n’avais pas la clim. J’avais terriblement chaud et j’imaginai que Roxanne, vue sa tenue, devait être en train de cuir. Elle avait retiré sa veste et son chemisier collait à sa peau.
Je ne crus pas si bien dire puisqu’elle prit la forme d’un mur d’eau qui tomba du ciel lorsque nous arrivâmes. Coincées comme deux gourdes dans la bagnole, nous ne savions pas comment faire pour éviter d’être complètement trempées. Je proposai à Roxanne de tout laisser dans le coffre pour l’instant et de courir comme des folles jusqu’à la terrasse couverte qui n’étaient finalement pas si loin. Nous prîmes alors notre courage à deux mains, et après un joli sprint nous rejoignîmes l’abri de la maison en ayant limité autant que faire ce peut les dégâts. La pluie avait quand même eut le temps de faire son œuvre, nos pieds étant couverts de boue et nos vêtements collés à nos peaux. Je vis par transparence le soutien-gorge de Roxanne et me dis que forcément, dans le sens inverse, elle pouvait certainement constater que je ne portais rien sous ma robe.
En attendant je décidai de faire chauffer de l’eau pour un bon café. Mes pieds étaient encore plein de boue et je ressortis pour les rincer sous la gouttière de la tarasse. L’eau était froide mais c’était agréable. Il pleuvait tellement que même à l’abri je recevais des projections. Trouvant cela amusant, je me mis sous l’averse orageuse et laissai le liquide glacé couler sur mon corps. Courageuse mais pas téméraire, le froid me ramena vite à l’intérieur, et pour ne pas tout abimer autour de moi, j’ôtai ma robe dans l’entrée avant de l’accrocher à une patère. Puis je me dirigeai vers le placard jouxtant la salle de bain pour prendre des serviettes, une pour moi et une pour Roxanne. J’étais à mi-chemin lorsqu’elle sortit de la pièce encore toute habillée. A en juger par la couleur de ses joues, me voir ainsi entièrement nue fut une surprise totale.
Elle rentra dans la salle d’eau et je l’entendis fouiller à l’endroit que je lui avais indiqué avant que le chauffe-eau ne se mette en marche. Vu l’état dans lequel je me trouvai, je me dis que je ferais aussi bien d’aller chercher les affaires qui étaient restées dans la voiture avant de prendre une douche à mon tour. J’enfilai donc à nouveau ma robe transformée en éponge et partis en quête des provisions et des bagages de Roxanne. L’eau ruisselait sur ma peau et je pus ressentir l’impact de chaque goutte. Après trois allers-retours j’avais vidé le coffre et pus m’apprêter à passer le reste de la journée au chaud sans avoir besoin de ressortir. Me déshabillant à nouveau, je pensai cette fois à m’envelopper dans une serviette avant de toquer à la porte de la salle de bain.
Je frappai plus mais elle ne me répondit toujours pas. J’entrouvris donc doucement la porte pour déposer le linge sur une chaise. Roxanne était couverte de mousse et se lavait les cheveux, les yeux fermés, ne pouvant donc pas me voir. Ce fut la première fois que je la vis nue, et franchement cette vision était merveilleuse. Sa peau légèrement dorée ressortait encore mieux sous la lumière blanche de la pièce. Sa poitrine était, à peu près, de la même taille que la mienne mes ses seins en forme de poire avaient l’air délicieusement fermes et ses tétons naturellement dardés. Quant à son magnifique petit cul bombé il devait être un véritable piège à mecs. Pas que d’ailleurs puisqu’il me fallut une bonne dose d’auto-persuasion afin d’arrêter de flasher sur ma copine et sortir de la pièce en silence. Après quelques instants elle en fit de même, emmitouflée dans une serviette éponge. Ses épaules et ses jambes nues étaient recouvertes de gouttelettes qui lui donnaient un charme encore plus ravageur.
Je l’amenai à sa chambre qui se trouvait à l’étage. Bien qu’aménagée assez simplement, les poutres apparentes et la mansarde lui donnaient un certain cachet.
A mon tour je filai à la salle de bain. Roxanne avait laissé ses affaires trempées sur le rebord de la baignoire et je les ramassai pour les mettre au sale. Curieuse, je les détaillai pour trouver ses sous-vêtements. Comme je l’avais deviné tout à l’heure après notre périple sous la flotte, son soutif était blanc avec une légère dentelle. Sa culotte, bien qu’assortie, était assez classique. Cela ne m’empêcha pas de la porter « machinalement » à mon nez pour sentir son odeur intime, différente de la mienne ou de celle d’Alyssa, la vendeuse de lingerie de tout à l’heure.
L’excitation montant rapidement, la tête me tourne et j’ouvris le mitigeur à fond pour me calmer un peu. Après un bon quart d’heure de ce traitement je me sentis revigorée, et ayant revêtu une robe et un pull, j’allai à la cuisine pour préparer le fameux repas que j’avais promis à mon invitée. Roxanne était déjà descendue et m’apparue dans un ensemble sweat et jean qui collait beaucoup mieux au souvenir que je pouvais avoir d’elle. Elle sirotait son café en regardant la pluie tomber.
Je préparai un petit diner aux chandelles, digne d’une soirée de retrouvailles. Une fois la table dressée j’ouvris une bouteille de champagne et nous trinquâmes à nos vacances qui commençaient. Roxanne avait l’air heureuse d’être là et nous passâmes une agréable soirée à discuter. Ce ne fut qu’une fois assises dans le canapé, armées d’un digestif, que nous abordâmes le sujet qui me valait la visite de mon amie. Après un bon moment à dire du mal de Jean, ça fait tellement de bien de dire du mal, je compris qu’il était temps de changer l’orientation de notre discussion.
Roxanne revint sur le fait de m’avoir vue à poil un peu plus tôt. En fait ce ne fut pas tellement ma nudité qui l’avait surprise, mais plutôt le fait que je me sentis aucunement gênée, que cela semblait naturel pour moi. Essayant de lui fournir une explication plausible tout en évitant de lui raconter le détail de mes dernières journées, je me rendais compte que je m’enfonçais un peu plus à chaque mot prononcé. Soudain, tel un coup de gong salvateur, mon portable sonna. Il était plus de 23h et je me demandai qui pouvait bien m’appeler.
Elle avait l’air déçue ou fâchée. Quant à moi j’étais mal à l’aise et ne savais pas trop quoi dire.
Alyssa avait compris ma gêne. Elle devint du coup plus amicale en ayant l’air de d’en amuser.
Les effluves d’alcool aidant, je me sentis rapidement un peu chaude et émoustillée.
Alyssa me piégea en me posant brutalement la question. Ne pouvant y couper j’essayai de donner la description de quelqu’un que nous aurions connues.
J’étais coincée, incapable de répondre, jusqu’au moment où j’eus une idée.
Roxanne sembla curieuse de ce coup de téléphone et me demanda si elle connaissait la personne qui m’avait appelée. Je lui mentis en prétextant qu’il s’agissait d’une ancienne copine de lycée et que je pensais que nous nous étions déjà vues toutes les trois. Un peu fatiguée, Roxy n’insista pas et monta dans sa chambre pour faire un tour de cadran. Je débarrassai la table et montai rejoindre la mienne en prenant soin de bien fermer la porte.
Me déshabillant entièrement, je pris mon smartphone avant de constater le manque de lumière et décidai de redescendre pour chercher une autre lampe. Toute nue, j’empruntai les escaliers et pris un spot allogène qui ferait parfaitement l’affaire. De retour dans ma piaule, je sentis que cette escapade ne m’avait pas laissée indifférente et qui douce moiteur naissait progressivement entre mes cuisses. Tendant bien le bras, je pris alors le cliché demandé et l’envoyai à Alyssa. Quelques instants plus tard, un bip et une vibration m’avertirent de l’arrivée d’une autre photo. C’était mon amante. Elle était à poil, allongée sur une surface blanche, ses seins reliés entre eux par une petite chaînette et deux pinces à tétons. Excitée comme pas possible par ce petit jeun je décidai de surenchérir en lui en expédiant une de mon sexe en gros plan. A peine cinq secondes plus tard le téléphone sonna.
Je ne savais pas où je mettais les pieds mais sa voix m’hypnotisait. Je ne pouvais pas refuser, et pour être honnête, je mouillais comme une fontaine.
Et je serrai entre mon majeur et mon pouce, tour à tour, assez fort, chacun de mes tétons qui réagirent en se dressant au maximum.
Obtempérant, je lui envoyai le cliché de ma langue posée sur mon sein étiré.
Je descendis chercher le sac oublié plus tôt et pris une photo de moi nue, dehors, que j’envoyai à Alyssa.
Il y avait d’autres objets mélangés à ma commande initiale, et bien en évidence, des petites pinces semblables à celles que j’avais vues sur la poitrine d’Alyssa.
J’étais comme envoutée par ces petits bouts de métal froids. Je savais que la douleur serait importante mais Alyssa m’avait tellement excitée que je m’en foutais. Saisissant mes pointes dures, je plaçai les pinces que je laissai se refermer dessus dans un claquement. La souffrance fut immédiate, la chaleur dans tout mon corps aussi, et dans un mouvement devenu rituel j’immortalisai la preuve de mon obéissance que j’envoyai à mon amante.
Je m’exécutai et quelques secondes plus tard, Alyssa put contempler l’un de mes tétons distendu au maximum.
Je repris les escaliers menant au rez-de-chaussée. Chaque marche, chaque pas faisaient tressauter mes pinces et je dus me retenir pour ne pas pousser de petits cris de douleur. Je ne savais plus où j’avais bien pu ranger mes escarpins.
Ayant reçue le cliché, Alyssa reprit :
Et je lui envoyai une photo sur laquelle elle put me voir avec les talons aiguilles au fond de la gorge.
Je me mis à fouiller dans le panier de linge pour en sortir les sous-vêtements qu’elle avait portés toute la journée. Après m’être enivrée de ce parfum intime délicieusement fort, je pris une photo de moi avec la culotte de Roxy dans la bouche.
Jamais je n’avais obéis à un ordre aussi facilement et noyais Alyssa sous les clichés de mon plaisir montant. Sur l’un j’avais les deux talons dans le con, sur un autre je les avais dans le fion, et je jouis comme une tarée en ne pensant plus à Roxanne qui dormait juste au-dessus. Alyssa me tenait. Elle avait ouvert ma boite de Pandore et j’étais devenue comme un vulgaire jouet entre ses mains. Elle m’ordonna de la faire jouir par téléphone en lui racontant tout ce que je rêvais qu’elle me fasse, et l’orgasme obtenu, elle raccrocha sans même un au revoir. Après avoir tout rangé, je regagnai ma chambre et m’endormis comme une masse.
A suivre : Luxure et perversion - Part 3
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Le poids des mots, le choc des photos, l'impact des vidéos !
Pour faire encore plus simple, du sexe, encore du sexe, toujours du sexe et ce sous presque toutes ses formes.
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Notre journal... Celui d'un couple qui aime le sexe et qui l'assume pour une vie épanouie faite de plaisirs et de complicité sans faille.
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Un rubrique faite pour celles et ceux qui pensent que jouer (modestement) avec les mots peut être aussi excitant, voir plus, qu'une suite de photos ou de vidéos.
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Pas vraiment besoin de description pour ce qui suit. Des séries de photos d'amatrices tout simplement.
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De nombreuses vidéos dans de nombreuses catégories qui ne manqueront pas de provoquer une hausse du chiffre d'affaire de Kleenex. Elles ont toutes été choisies par nos soins et visionnées en couple.
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Comme son nom l'indique c'est un petit règlement de compte personnel. Enfin, pour être franche c'est surtoit moi (Roxanne) qui tenait à ce que cette rubrique soit présente. Eh ouais, même si je ne suis pas la principale concernée (quoique j'ai bien mangé quand même), j'ai la rancune plus que tenace.
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ERRATUM
Petite précision qui a son importance concerant la rubrique "Petit règlement de compte entre ami(e)s"... Pour ne pas qu'il y ait de malencontreuses coïncidences, les prénoms des protagonistes ont été changés. Par exemple, le compagnon de la protagoniste principale suce nommée (oui je sais ça ne s'écrit pas comme ça mais ça me fait rire), ou pour être plus précise le "plouc", ne se prénomme pas Laurent et n'habite pas Chaussy dans le Val d'Oise. En tous cas selon les informations fournies par la CAF.
A moins que... Noooooon !!! Des gens si honnêtes et si vertueux que ça ce n'est pas possible ! J'ai vraiment l'esprit mal tourné ! Après, par souci de clarification, si cela pose problème, on peut toujours aller leur demander de procéder à une vérification des pièces justufucatives fournies ? Non ?
Ce point éclaircie, je vous souhaite une bonne lecture... "Amicalement", Roxanne ou chérie coquine.
Couple libertin de région parisienne, vous aurez vite compris que le sexe tient une place primordiale dans notre vie. Pour le reste nos adorons le rock, les Harley, les voyages et plein d'autres choses dont vous vous foutez royalement. Non ? Bandes de menteurs !
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Le libertinage et ses plaisirs n'ont de sens que lorsqu'ils sont vécus au sein d'un couple à la complicité sans faille ... Roxanne (29 ans) et Franck (42 ans), notre indéfectible amour ne nous empêche aucunement d'être des épicuriens convaincus et des adeptes assidus des plaisirs de la chair ... Le feeling, la complicité et la séduction tiennent une place importante dans notre recherche qui s'oriente vers des couples à la partie féminine bisexuelle ou vers des femmes elles aussi tentées ou pratiquant les plaisirs saphiques ... Nous ne ferons pas une liste des pratiques que nous acceptons ou nous refusons, mais n'hésitez à nous contacter afin d'en savoir plus. Cela sera peut-être le début d'une belle amitié et plus si affinité.
Si elle vous intéresse et vous correspond, n'hésitez pas à nous contacter à l'adresse suivante :
decadent.laboratory@outlook.com
Dans le cas contraire, on vous souhaite une bonne visite et surtout : NE SOYEZ PAS SAGES !!!
Roxanne & Franck
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