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Luxure et perversion
Ecrit par Erica
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Lorsque je me réveillai, le soleil comme Roxanne étaient déjà levés et un adorable petit déjeuner préparé en mon honneur m’attendait. Une belle journée se profilait devant nous. Après être passées à la douche, je proposai à mon invitée une promenade histoire de profiter du temps beaucoup plus clément que la veille.
Nous remontâmes dans ma chambre, et alors que je farfouillai dans mon armoire à la recherche de son bonheur, Roxanne ramassa un petit objet par terre.
Elle était tombée sur l’une des pinces que j’avais utilisée dans la nuit. Gênée, je devais être rouge comme une tomate lorsque je lui répondis :
Mais je suis sûre que Roxanne n’était pas aussi naïve qu’elle voulut le laisser paraître et qu’elle se douta bien de l’usage que j’avais pu en faire.
J’en profitai pour me changer moi aussi et optai pour un short en jean moulant et une légère chemise nouée sur le devant. Quelques victuailles dans un sac, de l’eau, une carte et nous voilà parties sur les sentiers. Tout en discutant de tout et de rien, je ne pouvais m’empêcher de penser à la pince à sein que Roxanne avait trouvé dans ma chambre. Elle ne fit aucune allusion à ce sujet et nous continuâmes notre chemin. La forêt était magnifique, le soleil brillant et la pluie de la veille avait laissé dans l’air un parfum de terre humide. Nous étions bien et j’avais l’impression que nous n’avions jamais été aussi proches. Roxanne avait changé, elle était plus spontanée. Elle n’avait jamais été coincée, loin s’en faut, mais je la trouvais plus libre, plus confiante qu’avant. Je lui montrai une petite clairière au milieu d’une sapinière qu’on ne pouvait atteindre qu’en passant à travers les broussailles.
Nous nous installâmes pour nous rassasier puis Roxanne, s’allongeant sur l’herbe, se mit à rêvasser. La rejoignant au pays des songes, nous goutâmes à la douce caresse du vent sous le ciel azur, le bonheur ! Après un moment, je me tournai pour voir si elle était réellement endormie. Ses yeux fermés et son souffle ralentit m’encouragèrent à me laisser aller à bronzer un peu. J’ôtai donc mon short et ma chemise pour me retrouver en string, me passai de la crème solaire puis me rallongeai. Je n’avais pas sommeil et dès que Roxy se réveillerait il me suffirait d’enfiler mon haut. Mais mes bonnes résolutions ne furent pas suivies d’effet et je me m’endormie sans demander mon reste. Ce fut le bruit d’un vêtement qu’on froisse qui me réveilla en sursaut. Je me redressai brutalement et vis Roxanne, devant moi, en train d’étaler consciencieusement de la crème protectrice sur ses seins. Elle était simplement vêtue d’une culotte.
Encore un peu dans les vapes, je la regardai se passer de la lotion sur sa peau qui devenait de plus en plus luisante. C’était magnifique, sensuel, et pourtant si naturel. J’aurais donné un œil pour pouvoir moi-même lui enduire le corps.
Nous explosâmes de rire.
Joignant le geste à la parole, Roxanne étala à nouveau de la crème sur sa poitrine. Une douce chaleur m’envahit progressivement à force de contempler ce corps somptueux et je dus me retenir pour ne pas lui sauter dessus. Lorsqu’elle s’assoupie, je pus l’admirer à mon aise. Admirer ses seins qui se soulevaient à chaque aspiration, ses petites aréoles brunes, sa bouche entrouverte, les gouttes de sueur qui perlaient sur son front. Je la détaillai sans scrupules des pieds à la tête. Seul son entrejambe était masqué par cette maudite culotte qui m’empêchait de voir son pubis que je devinai complètement imberbe, comme le mien.
N’y tenant plus, je laissai mon majeur se faufiler entre mes cuisses pour se poser sur mon sexe. Malgré l’obstacle formé par le tissu de mon string je sentis que j’étais trempée. Ne voulant surtout pas la réveiller, je me caressai doucement, langoureusement, le regard rivé sur son corps. J’avais envie d’elle mais pas comme j’avais envie d’Alyssa, c’était différent. Roxy je voulais la prendre dans mes bras, la caresser tendrement, la cajoler. Je me levai discrètement, et prenant le prétexte de me passer de la crème, je me caressai sans retenue. Les yeux naviguant de sa bouche à son ventre en passant par ses seins, je m’accroupie à ses côtés et me masturbai allègrement.
Soudain ma belle au bois dormant se mit à bouger, et pensant qu’elle ne tarderait pas à se réveiller, je stoppai ma petite branlette et tentai de me redonner une certaine contenance. Je n’avais pas jouis et il était manifestement trop tard puisqu’elle ouvrit les yeux en me souriant.
Et la voilà qui masqua ses jolis seins avec son tee-shirt.
Je ne pus m’empêcher d’esquisser un sourire que je voulu discret en repensant aux deux jeunes garçons qui m’avaient sautée au même endroit deux jours plus tôt.
Je n’avais qu’une envie, celle de revoir les nichons de mon amie et mon plan pour y parvenir me parut excellent. Nous nous dirigeâmes vers le bras de rivière et chemin faisant, je peaufinai mon stratagème. Une fois arrivées je me déshabillerai entièrement en espérant qu’ainsi elle hésiterait peut-être moins. A destination, je laissai Roxanne admirer le paysage, tandis que comme prévu, je me mis poil avant de sauter à l’eau. Un peu moins courageuse, Roxanne me demanda :
Je barbotai un peu pour lui prouver que l’endroit était désert, ce qui finit de la convaincre. Au point qu’à ma grande surprise elle enleva aussi sa culotte et m’exposa son mont de Vénus parfaitement lisse.
Elle suivit donc mon exemple et plongea avant de ressortir en se frottant les bras.
Moi, ce qui me faisait du bien, c’était de voir ses tétons dressés par le froid tandis que les gouttes ruisselaient sur sa peau. Mes frissons, eux, n’étaient pas dus à la température de la rivière. Ils trahissaient ma frustration de devoir me retenir de sauter au cou de Roxanne au risque de mettre en danger notre amitié. Nous nageâmes encore un moment avant de retourner sur le bord.
Nous voilà marchant à travers les buissons, en tenue d’Eve, ruisselantes. Arrivées devant un petit sursaut rocheux, je proposai à Roxanne de lui faire la courte échelle pour l’aider à monter. Elle accepta et j’en profitai pour me rincer l’œil avec ses petites fesses rondes. A son tour elle voulut m’aider en s’accroupissant et en me tendant la main. Ce faisant elle m’offrit un superbe cadeau, son minou étant à hauteur de mon visage. Une fois à destination, j’étais déjà excitée comme une puce lorsque Roxanne me demanda de lui rajouter de la crème solaire, ce que je fis avec délices en la massant légèrement.
Je ne voulu pas rater une telle occasion et m’interrompant, lui offrit mon corps dans la position souhaitée.
Roxanne étala de la crème sur mon dos, passant même sur mes fesses, le long de mes jambes, pour commencer à me masser les pieds.
Bien sûr j’obéis. J’étais nue, en face de Roxanne qui reprit par mes épaules, mes seins, mon ventre, effleurant ma foufoune pour descendre sur mes jambes. Ses gestes étaient fermes mais d’une douceur incroyable. Mes pieds eurent à nouveau droit à ses faveurs tandis qu’elle me souleva les jambes l’une après l’autre. Elle devait avoir une vue imprenable sur mon abricot suintant de cyprine mais elle ne laissa rien paraître.
Ce fut grandiose ! Nous étions tellement bien toutes les deux. Je glissai ma main dans la sienne, elle ne dit rien, aussi je l’y laissai. Je ne voulu pas aller trop vite et prendre le risque de briser cet instant de bonheur. Cependant, toute bonne chose ayant une fin, nous fûmes obligées de nous remettre en route. Tout le long du trajet nous bavardâmes gaiement, je la regardai souvent et admirai ses formes. J’étais en train de devenir raide dingue de Roxanne mais n’osai pas le lui faire comprendre en lui reprenant la main.
Enfin de retour à la maison, Roxanne étant sous la douche, j’en profitai pour consulter ma messagerie. Alyssa m’avait envoyé un cliché sur lequel je me vis en train de lécher le talon aiguille de mon amie. J’en fus presque honteuse, comme si je l’avais trahie, jugeant mes fantasmes incompatibles avec mon attrait pour elle qui était si pure, si douce.
Je me sauvai vers la salle de bain. Emotionnellement submergée, je commençai à pleurer en maudissant mes folies de ces derniers jours. Il me fallut un bon quart d’heure sous l’eau tiède pour me calmer, et rejoignant ma chambre, j’enfilai à la va vite une petit robe grise boutonnée sur le devant. Roxanne avait préparé un petit en-cas et nous nous installâmes sur la terrasse. Elle portait une jupe en toile kaki, un petit gilet croisé et était pieds nus. Après quelques verres la discussion devint un peu plus axées sur nos expériences réciproques et j’avouai à mon amie que je la trouvais beaucoup plus sûre d’elle.
Je partis chercher le flacon en question et revint sur la terrasse aussi vite que j’en étais partie. Roxanne était accroupie et me montra la chaise en face d’elle.
Elle me retira mes tongues avant de mettre une noix de crème dans ses mains et de commencer à me masser.
Je m’accroupie à mon tour devant Roxanne qui s’installa confortablement. Dire que j’étais aux anges est un faible mot. Comme elle me l’avait montré, je passais mes mains sur ses pieds. Elle me guida de temps en temps, m’indiquant d’insister à tel ou tel endroit. J’enserrai presque entièrement ses chevilles délicates et elle semblait apprécier mes caresses, se laissant même aller à fermer les yeux. Soudain je repensai à la position qu’elle avait adoptée sur le rocher et essayai d’en faire de même. Je lui soulevai donc doucement un pied en tentant de voir plus loin. Voulu-t-elle me faciliter la tâche ou fit-elle seulement un mouvement involontaire ? En tous cas elle écarta très légèrement les jambes, ce qui me permit d’apercevoir sa culotte. Ses soupirs de bien-être me rassurèrent, aussi je m’arrangeai pour que la pointe de ses orteils frôle mes seins en plaçant son pied presque contre mon ventre. Après avoir déposé un baiser dessus, je pris l’autre et recommençai le même manège. Un long moment plus tard, elle rouvrit les yeux et me demanda d’intervertir à nouveau les rôles.
Abandonnant mes pieds, Roxanne reprit son massage plus haut, sur mes mollets pour remonter sur mes cuisses.
Je soulevai alors cette dernière et m’assis directement sur le siège. Le contact du bois sur mes fesses était doux et chaud. Je ne portai pas de string mais Roxanne n’en parue pas choquée.
Sans mauvais jeu de mot, c’était le pied total. Tant de douceur, tant de tendresse dans ses gestes. Je baissai les yeux et la vis absorbée par ce qu’elle faisait, totalement concentrée. Parfois, le bout de ses doigts arrivaient presque au niveau de mon sexe. Je ne savais pas si cette approche était intentionnelle mais je commençai à mouiller sérieusement. Roxanne m’écarta doucement les jambes afin de se placer entre elles. Partant de mes pieds elle remonta jusqu’à mon ventre qu’elle massa avec des gestes d’une lenteur exquise qui m’envoyèrent loin, loin dans les nuages. Il faisait maintenant nuit noire et nous n’étions plus éclairées que par la douce lumière tamisée diffusée par le lampe surplombant la terrasse.
Totalement prise par cette atmosphère envoutante, je déboutonnai lentement ma robe dont Roxanne écarta les pans pour découvrir mes seins qui pointaient fièrement. Tout en reprenant ses caresses elle les effleura brièvement, m’arrachant un soupir d’aise. Puis ce fut son pouce qui frôla mon mont de Venus. Elle ne pouvait plus ignorer mon état, le visage à quelques centimètres de mon corps, d’autant que je ne faisais plus rien pour le cacher. La pénombre l’empêchait peut-être de voir que ma chatte était trempée, mais il ne fait aucun doute qu’elle le savait. Collée à moi, je sentais la chaleur de sa poitrine à travers son haut lorsqu’elle se leva.
Une fois debout elle défit son gilet croisé qui laissa apparaître sa poitrine dorée. Puis elle s’agenouilla pour couvrir mes jambes de tendres baisers et de douces caresses.
Après un sourire complice elle m’embrassa les seins chacun leur tour avant de se relever.
Je ne sus pas trop comment réagir. Etait-ce une proposition à aller plus loin ou non ? Mais elle repassa son gilet, ne me laissant pas trop d’espoir quant à la poursuite de la soirée. Devinant ma déception, Roxanne me rassura.
Nous discutâmes encore un bon moment, puis Roxanne me dit qu’elle avait besoin de se reposer. Nous nous levâmes du canapé et je me retrouvai devant elle, ma robe déboutonnée laissant voir les parties les plus intimes de mon corps. Roxy me déposa un baiser sur les lèvres, aussi doux que bref, avant de rejoindre sa chambre. Montant moi aussi quelques minutes plus tard, complètement détendue, je ne tardai pas à m’endormir.
Je me réveillai tôt, en sueur, me souvenant que j’avais rêvé d’Alyssa. J’étais debout, nue au milieu de son magasin. Elle était en face de moi et fixait des pinces placées sur mes tétons qui me faisaient un mal de chien. Elle les vissait toujours plus tandis que je la suppliais d’arrêter en tombant à genoux devant elle. Ce fut cette douleur inconsciente qui me sortie de mon sommeil en sursaut. Une main plaquée sur mon sein je me dis que j’avais dû me pincer en dormant. Je n’osai pas regarder sur la table de nuit où Roxanne avait posé la pince qu’elle avait trouvé par terre car j’aurais été bien incapable de résister. Pour me calmer je descendis aux toilettes et me passai le visage sous l’eau froide. En remontant, je pris mon téléphone et constatai que des messages avaient été laissés. Des photos plus exactement … Des clichés de mes seins, de ma bouche, de mon sexe ou de mon anus. J’étais terriblement mal à l’aise mais en même temps, je dois bien l’avouer, très excitée. Je me saisis alors de l’une des pinces en forme de petit étau et la plaçai, sans la serrer, sur mon clitoris. Je pris une photo que j’envoyai aussitôt à Alyssa. Mon phone ne tarda pas à sonner.
Je sortis de la maison, il faisait frais, presque froid, et je gagnai rapidement l’appentis.
Je m’exécutai, lui racontant en même temps ma journée de la veille avec Roxanne. Je décrivis en détail son corps et ce faisant, je rattrapai le retard de mes orgasmes manqués. Alyssa m’excitait en m’obligeant à imaginer que Roxy me possédait.
Je pris les pinces à linge qui m’avaient servis la dernière fois et en plaçai une sur chacune de mes pointes.
Avec un nouveau cliché je lui montrai que je me faisais reluire à l’aide de trois doigts.
Elle raccrocha aussi brutalement que la fois précédente. Je retournai dans la maison et remontai après avoir enlevé les pinces. Arrivée au premier, je trouvai Roxy sur le pas de ma porte. Vêtue d’une courte nuisette, elle me sourit.
Tout naturellement nous nous blottîmes l’une contre l’autre avant de rejoindre ma couette sous laquelle je me rendormis paisiblement.
Encore une fois ce fut en sursaut que je me réveillai, mais cette fois-ci il n’était plus question de rêves agités. Le contact doux et chaud que je ressentis était bien réel. Roxanne était devant moi, toute nue, les jambes légèrement écartées, et elle appuyait ma main sur son sexe. Sans quitter son entrecuisse, je me levai face à elle. Surprise, je sentis comme une petite chaînette entre mes doigts. Roxy me regarda et s’approcha un peu plus de moi. Nos poitrines se touchèrent juste avant que je ne l’embrasse, doucement, profitant de chaque seconde de ce moment magique. Sa langue était brûlante. Je descendis légèrement sur mes jambes pour m’occuper de ses seins. Elle gémit sous l’action de mes lèvres gourmandes en me caressant la tête. Tout en appuyant délicatement sur cette dernière, Roxanne posa son pied sur le rebord du lit, m’encourageant ainsi à aller goûter son fruit interdit. Enfin il était à ma portée, juteux à souhait. Tout de suite je reconnue la petite chaine que j’avais touché. Il s’agissait de celle reliant mes boules de geisha que je lui avais demandé de me ramener. Je tirai doucement dessus pour la faire passer sur ses lèvres gonflées. Puis j’embrassai son sexe, posant ma bouche grande ouverte sur celui-ci pour jouer de ma langue que je fis danser sur son petit bouton.
Roxanne n’en pouvait plus de subir mes assauts dans cette position, aussi l’aidai-je à s’allonger sur le lit. Elle écarta les jambes afin de me permettre de continuer mon œuvre. Son goût était exquis, une peu salé, et je la voyais se caresser les nichons en les pressant l’un contre l’autre. Abandonnant son minou, au moins provisoirement, je m’allongeai à ses pieds que j’entrepris de masser avec mes seins comme elle me l’avait fait la veille. J’embrassai ses chevilles, je léchai ses jambes sur toute leur longueur, remontant vers sa foufoune sans y toucher. Elle devenait folle, se contorsionnait, les jambes écartées et relevées vers ses épaules, offrant à ma vue sa fente trempée et son petit trou plissé. Ce fut alors son sexe qui attira l’attention de mes seins, et prenant l’un de me mes tétons entre mes doigts, je le pointais sur sa vulve déjà largement ouverte.
Me pliant volontiers à sa demande, je plaquai ma langue sur sa cramouille et me mis à la laper de bas en haut. Elle gémit, soupira, s’écarta elle-même les cuisses en les tenant par-dessous pour me montrer à quel point elle appréciait ce que je lui faisais. Devant autant de gestes d’encouragement je recommençai de plus belle, léchant même sa rondelle palpitante.
A suivre : Luxure et perversion - Part 4
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Le poids des mots, le choc des photos, l'impact des vidéos !
Pour faire encore plus simple, du sexe, encore du sexe, toujours du sexe et ce sous presque toutes ses formes.
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Notre journal... Celui d'un couple qui aime le sexe et qui l'assume pour une vie épanouie faite de plaisirs et de complicité sans faille.
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Un rubrique faite pour celles et ceux qui pensent que jouer (modestement) avec les mots peut être aussi excitant, voir plus, qu'une suite de photos ou de vidéos.
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Pas vraiment besoin de description pour ce qui suit. Des séries de photos d'amatrices tout simplement.
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De nombreuses vidéos dans de nombreuses catégories qui ne manqueront pas de provoquer une hausse du chiffre d'affaire de Kleenex. Elles ont toutes été choisies par nos soins et visionnées en couple.
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Comme son nom l'indique c'est un petit règlement de compte personnel. Enfin, pour être franche c'est surtoit moi (Roxanne) qui tenait à ce que cette rubrique soit présente. Eh ouais, même si je ne suis pas la principale concernée (quoique j'ai bien mangé quand même), j'ai la rancune plus que tenace.
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ERRATUM
Petite précision qui a son importance concerant la rubrique "Petit règlement de compte entre ami(e)s"... Pour ne pas qu'il y ait de malencontreuses coïncidences, les prénoms des protagonistes ont été changés. Par exemple, le compagnon de la protagoniste principale suce nommée (oui je sais ça ne s'écrit pas comme ça mais ça me fait rire), ou pour être plus précise le "plouc", ne se prénomme pas Laurent et n'habite pas Chaussy dans le Val d'Oise. En tous cas selon les informations fournies par la CAF.
A moins que... Noooooon !!! Des gens si honnêtes et si vertueux que ça ce n'est pas possible ! J'ai vraiment l'esprit mal tourné ! Après, par souci de clarification, si cela pose problème, on peut toujours aller leur demander de procéder à une vérification des pièces justufucatives fournies ? Non ?
Ce point éclaircie, je vous souhaite une bonne lecture... "Amicalement", Roxanne ou chérie coquine.
Couple libertin de région parisienne, vous aurez vite compris que le sexe tient une place primordiale dans notre vie. Pour le reste nos adorons le rock, les Harley, les voyages et plein d'autres choses dont vous vous foutez royalement. Non ? Bandes de menteurs !
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Le libertinage et ses plaisirs n'ont de sens que lorsqu'ils sont vécus au sein d'un couple à la complicité sans faille ... Roxanne (29 ans) et Franck (42 ans), notre indéfectible amour ne nous empêche aucunement d'être des épicuriens convaincus et des adeptes assidus des plaisirs de la chair ... Le feeling, la complicité et la séduction tiennent une place importante dans notre recherche qui s'oriente vers des couples à la partie féminine bisexuelle ou vers des femmes elles aussi tentées ou pratiquant les plaisirs saphiques ... Nous ne ferons pas une liste des pratiques que nous acceptons ou nous refusons, mais n'hésitez à nous contacter afin d'en savoir plus. Cela sera peut-être le début d'une belle amitié et plus si affinité.
Si elle vous intéresse et vous correspond, n'hésitez pas à nous contacter à l'adresse suivante :
decadent.laboratory@outlook.com
Dans le cas contraire, on vous souhaite une bonne visite et surtout : NE SOYEZ PAS SAGES !!!
Roxanne & Franck
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