Jeudi 16 juin 4 16 /06 /Juin 11:25

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Luxure et perversion

Ecrit par Erica

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Soudain elle me demanda de lui retirer les boules de geisha, ce que je fis tout doucement avec les dents. Dès la première sphère sortie, Roxanne m’aspergea de mouille, c’était un vrai geyser. Le visage couvert de cyprine, je m’attelai à un nettoyage attention de son entrecuisse avec ma langue, et sortant la deuxième boule métallique de son vagin, je plaquai ma bouche sur son sexe pour ne pas en perdre une goutte en cas de nouvelle éjaculation. Roxy était haut perchée et je l’aidai à redescendre en remontant lentement sur son corps chaud et en sueur que je couvris de baisers. Quelques instants plus tard, ma cible atteinte, nous entrouvrîmes nos lèvres et nous nous roulâmes une pelle longue et langoureuse agrémentée par le nectar de mon amante encore présent dans ma bouche.

Ce fut alors à moi de profiter de ses faveurs et Roxanne me demanda de m’allonger sur le ventre. Elle entreprit de me caresser avec sa langue, ses seins et ses doigts. Pas un centimètre carré de mon corps n’y échappa. Ses baisers et ses léchouilles sur mes pieds me procurèrent une sensation incroyable. Elle m’écarta tendrement les cuisses, les fesses et du bout de la langue, suivit mon sillon jusqu’à ma chatte en feu. Je me mis à quatre pattes et la suppliai de continuer, chose qu’elle fit sans se faire prier en me dévorant la moule comme une affamée.

Elle alterna savamment durant de longues minutes entre mon sexe en fusion et mon cul qui ne l’était pas moins jusqu’à me faire hurler de plaisir. Avec un tel traitement je ne tardai pas à jouir. Un orgasme puissant que mon amante rendit ravageur en l’accompagnant de sa langue rivée dans mon anus, et surtout de la pénétration forcée des boules de geisha dans mon vagin contracté par le plaisir. A son tour ma peau était couverte de transpiration. Roxanne vint m’embrasser à pleine bouche en me faisant gouter ainsi à mes propres sécrétions. En m’enlaçant elle me susurra :

  • « Touche-moi Erica s’il te plait. Donne-moi encore du plaisir … »
  • « Oui ma chérie … Viens ! Allonge-toi et laisse-toi faire … Je vais m’occuper de toi et te faire jouir … »
  • « Houuu … Oui … Oui ! Fais de moi ce que tu veux ! »

Et je l’enlaçai, la caressant sans cesse, l’embrassant, parcourant son corps luisant et salé avec ma langue gourmande.

  • « Mes seins … Bouffe-moi les nichons … », me souffla Roxanne en me présentant ses magnifiques globes serrés l’un contre l’autre.

Obéissant au moindre de ses désirs je m’attelai à cette tâche loin d’être ingrate, accompagnant celle-ci de deux, puis trois doigts que je lui plantai sans ménagement dans le con.

  • « HAAAAAA !!! Je viens ! Ouiiiiiii … Tu vas me faire jouir ! », cria Roxy pour avertir toute la région de son orgasme à venir.

Prévenue des capacités éjaculatrices de cette dernière, je me mis tête-bêche sur elle et plaquai ma bouche contre son minou. Cette fois-ci point de source jaillissante mais un plaisir violent que mon amante hurla à gorge déployée.

  • « Ne bouge pas Erica … Laisse ton cul au-dessus de mon visage … », me dit Roxanne qui ne prit même pas le temps de reprendre son souffle.

Je n’eus pas le loisir de l’encourager avant de sentir sa langue s’insinuer entre mes lèvres intimes avant de se raidir pour s’attaquer à ma vulve. Elle joua avec la chainette qui pendait de ma chatte et aspira mon clitoris entre ses lèvres.

  • « Oh oui ! Oui ! Continue ! C’est bon ! »
  • « Ca ne te fait pas mal ? », s’enquit-elle quand même entre deux suçons appuyés.
  • « Oh non … Tu me fais prendre mon pied putain ! Mordille-moi autant que tu veux ! »

Roxanne prit ma supplique au pied de la lettre et ses dents se refermèrent alternativement sur mes lèvres et sur mon bouton d’amour gonflé de désir. Soupirant, gémissant de plus belle, je replongeai une main entre les cuisses de mon amie, et d’un majeur habile que j’humidifiai dans sa chatte, glissai sur son anus pour lui prodiguer un intense massage.

  • « Houuu ouiiiii ! Vas-y Erica ! Enfonce-le moi dans le cul ! »

Comme si ses paroles ne suffisaient pas à me faire comprendre son envie, Roxanne m’écarta les fesses pour me coller sa langue sur la rondelle. Chaque action entraînait une réaction encore plus forte de l’autre. Lorsque j’enfonçai mon doigt dans son conduit serré, sa langue se faufila autant qu’elle le put dans mon anus. Lorsque je lui plantai deux autres doigts de ma main libre dans le con et lui ramonai ainsi les deux trous, elle me retira violement les boules de geisha de la chatte pour les remplacer par quatre de ses doigts. Seuls nos deux nouveaux orgasmes presque simultanés l’empêchèrent de m’enfoncer la main entière dans le ventre.

Nous passâmes le reste de la journée ensemble, nous enlaçant et nous embrassant avec fougue et passion à la moindre occasion. Insatiables, nous étions déjà accros l’un à l’autre et plus aucune gêne ne venait ternir nos ébats. Tout était prétexte à des jeux plus ou moins coquins. Roxanne me demanda de lui raser le sexe. Elle avait soi-disant peur de se blesser en le faisant toute seule. Je l’invitai donc à s’allonger sur la table, jambes écartées, et lui demandai pourquoi elle voulait que je lui fasse ça.

  • « Ta foufoune est si douce Erica. J’ai envie d’avoir la même. »
  • « Tu sais, moi j’aime bien ta petite raie de poils. En plus on la voit à peine. », lui fis-je remarquer en passant mes doigts dessus.
  • « Alors rase-moi juste au niveau des lèvres ? »
  • « Ça marche ! Ecarte bien les cuisses et ne bouge pas. »

J’enduisis son entrejambe de mousse et lui demandai de s’écarter aussi les fesses afin d’y retirer aussi deux ou trois poils disgracieux. Glissant un doigt entre ses lèvres pour bien tendre la peau, je passai délicatement la lame autour de son intimité avant de rincer la mousse avec une éponge pour la laisser admirer le travail. 

  • « Voilà, t’as l’abricot tout lisse ! Comment te sens-tu ? »
  • « C’est beau mais je vais voir ça dans la salle de bain. »

Elle disparut en se dirigeant vers le fond du couloir. Quelques instants plus tard, Roxanne me rappela à la cuisine. Elle était toujours à poil, appuyée contre la table sur laquelle je l’avais rasée, et me demanda ce que j’avais fait comme courses.

  • « Tu as faim ? », demandai-je faussement naïve.
  • « Oui … J’ai très envie de me caler avec quelque chose de consistant … Pas toi ? »
  • « Je crois que j’ai ce qu’il te faut par ici … Tu veux la goûter ? », lui répondis-je sur un ton provocateur en lui exhibant une carotte longue et fine.
  • « Avec plaisir … »

Roxanne s’approcha lentement et passa sa langue sur le légume avant que la mienne ne l’y rejoigne. Puis elle monta sur la table et se mit à quatre pattes.

  • « Je vois ce que tu veux ma salope … Tu mouilles déjà d’envie que je te la mette ! », assénai-je juste avant de lui enfoncer dans la chatte.
  • « HOOOOOO ! Oui ! Branle-moi bien chérie ! »
  • « T’inquiète pas Roxy … Je vais bien te faire reluire ! Mais la carotte est un peu petite pour ta chatte, non ? »
  • Sans lui laisser le temps de répondre, je crachai sur son anus avant d’étaler la salive que je venais d’y répandre avec de savants coups de langue.
  • « Houuu … Attention … Pas trop fort … »
  • « Ne t’inquiète pas bébé … Je serai toute douce … », la rassurai-je au moment de poser le bout le plus étroit sur sa rondelle lubrifiée.
  • « J’ai confiance … »
  • « Détends-toi mon amour … »

Et j’enfonçai délicatement la carotte dans son petit cul tout doré. Dès les premiers centimètres que ses fesses aspirèrent, les gémissements de Roxanne me prouvèrent qu’elle avait l’air d’aimer ça. Je la sodomisai avec précaution quelques secondes puis m’éloignai en la laissant là, à quatre pattes sur la table, une carotte planté dans le fion.

  • « Où vas-tu ? Reste ! », s’exclama Roxy surprise.
  • « Je reviens ! Ne bouge pas … »

Je partis à toute vitesse chercher un nouvel instrument que j’avais acheté pour me satisfaire, mais qui pour le coup, donnerait du plaisir à Roxanne. Je revins presque aussi vite que je m’étais éclipsée avec une belle lampe de poche que je tendis à mon amante, lui recommandant de bien la lécher. L’objet était de taille moyenne et semblait, comme avec les deux garçons au bord de la rivière il y a quelques jours, être faite pour un double usage.

  • « Ça t’excite de me voir comme ça ma cochonne ? Regarde ce que je suis prête à faire pour toi … », me lança une Roxanne aguicheuse à souhait qui joua avec la lampe comme si elle était en train de tailler une pipe à un mec.
  • « Oh oui j’aime te voir comme ça ma salope ! Vas-y … Exhibe-toi pour moi … »

Mes yeux n’en perdirent pas une miette alors qu’elle passa la lampe par-dessous son ventre, pour d’un trait, se la fourrer dans la chatte. Au rythme effréné avec lequel Roxanne se branla, la carotte ne tarda pas à être expulsée de son cul. Quittant ma béate contemplation, je m’apprêtai à la ramasser pour lui remettre entre les fesses, mais elle m’interrompit.

  • « Viens t’occuper de mes nichons Erica … », me demanda-t-elle en profitant de la libération de son fondement pour se retourner et s’allonger sur le dos.

Je savais qu’à mon instar, elle était très sensibles des seins, aussi je me fis un devoir de martyriser ses tétons. Je les lui mordillai, les pinçai, les faisant rouler entre mes doigts à l’en rendre dingue.

  • « Mets … Mets-moi tes pinces ! »

Je ne rajoutai rien et me contentai d’aller les chercher. Je n’en revenais pas ! Elle était aussi perverse que moi ! Et lorsqu’à mon retour dans la cuisine je la trouvai en train de se distendre les tétons en tirant dessus comme une malade, je n’eus plus aucun doute sur le fait que je venais de trouver ma parfaite moitié.

  • « Tu sais que c’est douloureux ma chérie ? »,la prévins-je quand même.
  • « Je sais … Mets-les moi ! N’aies pas peur … »

Le prenant aux mots, j’installai ces délicieux objets de torture sur les tétons turgescents érigés devant moi. Tout d’abord à peine serrées, je pris un plaisir sadique à tourner les molettes progressivement afin de connaître le seuil de tolérance de Roxanne. Et ce n’est qu’après que ses pointes soient devenues toutes violettes qu’elle émit un hurlement caverneux qui résonna dans la pièce.

  • « BRANLE-MOI ! PUTAIN DEFONCE-MOI EN MEME TEMPS !!! », me supplia Roxy dans un cri où se mêlèrent douleur et plaisir.

Prise par la situation et surexcitée par ses hurlements, je saisi le bout apparent de la lampe toujours fichée dans son sexe et lui ramona la chatte à m’ne donner une crampe dans le bras.

  • « HAAAAAAAAA !!! JOUIR … JE VAIS JOUIR !!! »

A ces mots beuglés comme une truie qu’on égorge, je retirai la torche brusquement et un puissant jet de mouille éclaboussa la table et une partie du carrelage. Décidément, je découvrais à chaque minute de cette somptueuse journée que Roxanne se rapprochait toujours plus de mes propres fantasmes dont j’étais honteuse.

La tension redescendit petit à petit. Roxy avait les larmes aux yeux, aussi je l’embrassai et la câlinai tendrement. Mais alors que je m’apprêtai à lui enlever les pinces qui la firent tant souffrir il y a à peine quelques minutes, elle arrêta mon geste. Elle était si belle allongée ainsi, elle semblait si fragile. Je regardais sa poitrine se soulever doucement, ses tétons meurtris par les petits étaux étaient violacés. Sur la table une flaque translucide stagnait entre ses jambes toujours écartées. J’avais souvent été gênée lorsque mes propres éjaculations incontrôlées surprenaient mes amants, aussi étais-je soulagée de ne pas être la seule « femme fontaine » que je connaissais dorénavant.

  • « Viens, on va faire un petit somme. Tu veux ? », proposai-je à mon amour qui avait l’air épuisée après cette intense séance.
  • « Oui, avec plaisir … J’en peux plus ! Tu m’as tuée ! »

Sur ce elle se leva, et c’est main dans la main que nous rejoignîmes ma chambre pour nous allonger, enlacées amoureusement.

  • « Dis-moi … Quand tu jouis, tu éjacules toujours comme ça ? », lui demandai-je tout en passant mes doigts dans sa chevelure humide de transpiration.
  • « Heu … Ca m’arrive oui, mais pas tout le temps. Tu trouves ça dégueulasse ? », répliqua Roxanne un peu honteuse.
  • « Non, pas du tout mon ange ! Au contraire, je trouve ça beau. Je suis juste rassurée de ne pas être la seule à qui ça arrive. »
  • Je lui adressai un clin d’œil en même temps que ma confession et nous explosâmes d’un rire complice.
  • « Pendant que nous abordons les sujets sexuels … Tu aimes les pénétrations anales ? », m’interrogea Roxanne.
  • « Plutôt oui … Bon ok ! J’adore ça en fait ! », avouai-je finalement.
  • « Hé bien c’est toi qui m’a dépucelée de ce côté-là. Je n’avais jamais essayé … »
  • « Noooon ?!? », m’exclamai-je surprise autant que fière.
  • « Et si … Bravo mon Erica ! »
  • « C’est vrai que tu es serrée. Et Jean, il n’a jamais essayé de te sodomiser ? »
  • « Non ! Il était trop gros ! »
  • « Hein ? A ce point ?!? », fis-je interloquée.
  • « A tel point que je n’arrivais pas à le sucer entièrement. Je pouvais seulement emboucher son gland. »
  • « Et donc maintenant il est libre … », murmurai-je en sifflotant d’un air taquin.
  • « Salope ! »

Roxanne ponctua sa dernière intervention d’une claque sur ma fesse droite avant que nous explosions de rire une nouvelle fois. Après une séance de chahut bien innocente, ma divine amante s’endormit blottie contre moi. Sa respiration se ralentissant petit à petit, je posai doucement ma main sur son sexe encore humide avant de la porter à mon visage. L’odeur de Roxanne était délicieuse, je le goûtai et m’enivrai de sa liqueur au point de sombrer à mon tour dans le sommeil.

Après une sieste réparatrice, je me réveillai toujours dans les bras de mon amour qui me regardait. Il faisait terriblement chaud et quelques gouttes de sueur ruisselaient sur son front.

  • « Tu as bien dormi ? », me demanda-t-elle avec un tendre sourire.
  • « Oh oui ! Et toi mon cœur ? »
  • « Comme un bébé chérie … Ça te dit qu’on aille se promener ? »
  • « Bonne idée ! Une douche et on est parties ! »
  • « Non, pas la peine … On pourrait retourner au même endroit qu’hier et prendre un bain ? »
  • « Ca va faire un peu loin … Mais on peut s’en rapprocher pas mal en voiture remarque. »

Quelques instants plus tard, nous nous retrouvâmes dans la bagnole surchauffée par le soleil. La sueur collait nos robes à nos peaux et emplissait l’habitacle d’une forte odeur de transpiration teintée de sexe. Je jetai un rapide coup d’œil sur ma droite pour contempler une Roxanne toute luisante, avec au niveau de la poitrine, déformant le tissu, deux petites bosses formées par les pinces qu’elle portait toujours. Après quinze minutes de route, nous arrivâmes sur un petit chemin que j’empruntai prudemment, et au bout de trois cent mètres, j’arrêtai la voiture.

Roxy sortit, elle avait retiré ses chaussures, n’étant plus vêtue que de la petite robe d’été se boutonnant sur le devant que je lui avais prêtée. Soudain elle fit sauter les quelques boutons la maintenant encore fermée et en écarta les pans.

  • « Tu veux bien m’enlever les pinces Erica ? », me demanda-t-elle en exposant impudiquement sa poitrine.
  • « Bien sûr ma puce … »

Je m’approchai alors d’elle, et le plus délicatement possible, je dévissai les petits étaux. Roxanne avait le souffle coupé. Ses pointes gardaient une forme aplatie et une couleur violacée. Je ne savais pas quoi faire pour la soulager.

  • « Lèche-moi doucement s’il te plait bébé … », me dit-elle en constatant ma perplexité.
  • « Tu as mal chérie ? »
  • « Oui c’est douloureux. Je sens mes tétons qui palpitent depuis tout à l’heure. »

Approchant mon visage, je me fis la plus douce possible lorsque ma langue se mit à caresser les pointes de ses seins chacune leur tour. Elle semblait apprécier la tendresse dont je fis preuve et bombait le torse afin d’aller encore plus à la rencontre de ma bouche.

La séance de « soins » terminée nous nous mîmes en route. Pour rejoindre la plage nous avions, à peu près, dix minutes de marche à travers la forêt. Roxanne n’ayant pas refermé sa robe, elle se promena les nichons à l’air. Elle m’excitait en paraissant totalement libre, sûre d’elle. J’avais une terrible envie d’elle lorsque nous arrivâmes le long de la rivière. Roxy me demanda alors de l’attendre quelques instants. Ce faisant, je me retournai et la vis accroupie, les jambes écartées, en train de satisfaire à un besoin naturel. La vision féérique d’un puissant jet d’urine sortant de sa chatte pour éclabousser ses pieds me coupa le souffle. Mon ange me sourit.

  • « Le bruit de la rivière c’est terrible ! C’est comme les fontaines d’intérieur. »
  • « C’est clair ! Moi aussi ça me donne envie de pisser. »

Et je m’accroupie à mon tour avec l’idée d’en faire de même.

  • « Allez ! La première à l’eau a gagné ! », s’exclama Roxanne qui enleva le peu qui restait de sa robe tout en se précipitant vers le torrent.
  • « Non ! Mais … Attends ! »

Même si je n’avais pas fini, je me levai et me mis à courir. Je sentais un ruissèlement chaud sur l’intérieur de mes jambes au moment où je plongeai dans l’eau en éclaboussant Roxy.

  • « C’est pas du jeu ! T’as triché ! », me mis-je à vociférer en riant à gorge déployée.
  • « C’est vrai ? Il faut que je te dédommage alors … »

Ce faisant, elle vint se coller tout contre moi, m’enlaça, avant de m’embrasser à pleine bouche.

  • « Hummm … Délicieux dédommagement … J’adore ! Mais en même temps c’est toi qui as gagné malgré tout. Tu as gagné quoi d’ailleurs ? », demandai-je innocemment en lui caressant tendrement la joue.
  • « Je ne sais pas … Toi peut-être ? »
  • « Moi ? »
  • « Oui, toi … », insista Roxanne qui attendait une réponse de ma part avec un regard qui me fit fondre.
  • « Ca fait déjà un moment que tu m’as gagnée mon amour … »

Nous nous embrassâmes de nouveau, mais cette fois avec toute la douceur et tout le poids de nos sentiments enfin ouvertement déclarés. C’était le bonheur, jamais je n’aurais pensé pouvoir me sentir aussi bien. Elle était tendre, attentionnée, mais également passionnée et délicieusement perverse, ce qui ne gâchait rien. Le reste du monde n’existait plus à cet instant. Nous barbotâmes encore quelques minutes puis nous sortîmes de l’eau. La fin de journée approchant, je commençai à avoir la dalle.

  • « On va rentrer ma chérie ? »
  • « Oui, il est temps. Mais reste comme ça bébé. J’adore te voir toute nue … », me dit-elle alors que je ramassai mes affaires pour me rhabiller.
  • « D’accord … Après tout je suis à toi … Je dois t’obéir, non ? », acceptai-je en accompagnant mes mots d’un clin d’œil.

Je glissai alors mes fringues dans mon petit sac à dos. Roxanne fit de même et nous partîmes à travers bois, à poil, main dans la main. Arrivant près de la voiture, mon ange stoppa brutalement et me fit un signe. Du doigt elle me montra un homme accroupi à côté de son vélo en train de pester. Manifestement, il était en pleine réparation d’un pneu crevé et ça ne le remplissait pas de joie, c’était le moins que l’on puisse dire. Roxy se serra contre moi alors que nous étions cachées par un rempart de buissons, le soir commençait à tomber doucement. Elle m’embrasse, me caressa, et soudain me demanda :

  • « Tu es à moi ? Vraiment ? »
  • « Heu … Oui … Bien sûr. Je t’appartiens … », répondis-je un peu surprise par la question.
  • « Alors va le réconforter … »
  • « Hein ?!? »
  • « Ne lui dis rien, pas un mot. Je veux juste que tu t’approches de lui et que tu le fasses jouir. Tu peux le branler, le sucer, mais interdiction qu’il te baise. »
  • « Non mais t’es une grande malade toi ! T’es pire que moi en fait ! », pouffai-je doucement.
  • « Vas-y ! Et fais-le éjaculer sur ton visage et tes seins. Après tu viens me retrouver ici. »

Le ton qu’utilisa Roxanne et le regard qu’elle posa sur moi en me transmettant ses consignes me firent comprendre qu’elle était tout à fait sérieuse. Tout d’abord interloquée, stupéfaite, je finis par me prendre au jeu.

  • « D’accord … », soufflai-je sans vraiment m’en rendre compte.

Je fis tomber mon sac sur le sol, me redressai et m’avançai, tout nue, vers l’homme en question. Il venait de réussir à refixer sa roue lorsqu’il me vit.

  • « Heu … Bonjour … », m’accueillit-il en se relevant.
  • « … »
  • « Heu … Beau temps pour une balade, non ? », reprit-il hébété.
  • « … »
  • « Ça va ? », insista-t-il devant mon silence alors que j’étais maintenant toute proche de lui.
  • « … »

Arrivée à quelques centimètres de ma cible, je lui pris les mains et les lui posai sur mes nichons. Abandonnant l’idée que je lui réponde un jour, il ne se démonta pas et se mit à me pétrir les seins avant de glisser l’une de ses mains sur ma chatte. Il dû vite se rendre compte à quel point j’étais trempée mais je ne lui laissai pas le temps d’en profiter, d’autant que cet afflux de cyprine n’était pas de son fait. Je m’accroupie devant lui et embrassai son sexe qui déformait allègrement son short. Ce dernier ne me résista pas longtemps avant de se retrouver, avec le slip, en route pour s’enrouler autour des chevilles de leur propriétaire, libérant de toute contrainte une bite fièrement dressée. Mes yeux plantés dans ceux de ma victime consentante, je déposai des baisers tout le long de sa verge. Il avait assez attendu, ses râles trahissaient son impatience de sentir mes lèvres se refermer sur son gland. Ma bouche aspira entièrement cette queue de taille moyenne et je me mis à le pomper comme une affamée. Quelques minutes de ce traitement suffirent à le faire craquer, et quand je sentis les premières contractions annonciatrices de son éjaculation toute proche, je me reculai.

  • « Ah putain ! Je viens ! », grommela ce promeneur inconnu que j’étais en train de finir à la main.

Sagement agenouillée à ses pieds, ce fut sans esquisser le moindre mouvement de recul que je reçu en pleine gueule un premier jet de jus de couilles, bientôt suivit d’un second qui s’étala sur mes cheveux, puis d’un troisième qui s’écrasa sur mes seins.

Toujours sans un mot, je me relevai et repartis vers la forêt. L’homme tenta bien de me retenir d’un gentil « merci, c’était merveilleux », mais celui-ci resta sans réponse. Le pauvre devait se demander sur quelle tarée il avait bien pu tomber, mais je m’en foutais. Non seulement il n’avait pas à se plaindre de s’être fait tailler une pipe mais, en plus, Roxanne m’attendait en se doigtant allègrement appuyée contre un arbre. Elle ne s’arrêta que pour s’approcher de moi et plaquer ses nibards contre les miens afin d’étaler le foutre encore chaud de l’inconnu.

  • « Tu l’as laissé te juter dans la bouche ? », me demanda-t-elle après un voluptueux baiser.
  • « Heu … Non … Je l’ai juste nettoyé. »
  • « Tu sens le foutre ma chérie. Rentrons … »
  • « Bébé … Tu ne peux pas me laisser dans cet état ? J’ai trop envie de toi ! », me plaignis-je aussi surprise que frustrée par ce volte-face.

Mais Roxanne se dirigeait déjà vers la voiture pour y repasser sa robe, et me tendit la mienne sans un mot. Comme à l’aller, le tissu collait à nos poitrines gluantes, mais cette fois-ci la sueur n’y était pour rien. Arrivées à la maison, alors que je m’attendis à retrouver mon tendre amour, Roxanne me surprit une nouvelle fois en m’ordonnant de me mettre à poil à peine sorties de la bagnole. Son ton ne prêtant à aucune contestation, je me retrouvai debout, toute nue, à côté du véhicule garé dans l’allée.

  • « Mets les mains sur la tête ! Je vais m’occuper de tes nichons … »

J’obéis en prenant la posture ordonnée, ce qui fit ressortir ma poitrine. Roxanne me lécha goulument chaque sein pour me débarrasser des dernières traces de sperme presque séché qui les ornaient.

  • « Hooooo oui ! C’est bon bébé … Continue … », commençai-je à gémir.
  • « Tu n’as pas été sage ! Tu ne m’as pas écoutée ! Je ne voulais pas que tu le goûtes avant moi ! »
  • « Je suis désolée … Je ne voulais pas te décevoir … »

Sans un mot de plus, Roxanne tourna les talons avant d’entrer dans la maison. Elle me demanda de rester dans l’entrée et de l’y attendre. Il lui fallut bien vingt minutes pour réapparaitre à mes yeux brillants de mille étoiles. Elle s’arrêta devant moi, vêtue de bas noirs, d’escarpins à talons aiguilles, du soutien-gorge qu’Alyssa m’avait offert et d’un collier que je n’avais jamais vu.

  • « Je crois que je vais devoir te punir … », m’annonça brutalement celle qui faisait battre mon cœur.
  • « Mais pourquoi ? », répliquai-je passablement tendue mais terriblement excitée.
  • « Parce que tu ne m’as pas écoutée comme je te l’ai déjà dit ! »
  • « Mais … Mais … Je suis désolée mon amour ! »

Pourtant, intérieurement, je priai pour qu’elle ne me pardonne rien. Ma curiosité ainsi que ma libido me poussaient à vouloir découvrir jusqu’où elle pouvait aller, ce qu’elle désirait me faire subir. D’un claquement de doigts, elle me désigna ses pieds.

  • « A quatre pattes ! Lèche ! »
  • « Mais … »
  • « LECHE JE T’AI DIS !!! », hurla-t-elle.

Cette fois c’est tétanisée que j’approchai ma langue de ses chaussures. Je les avais déjà léchées, mais avec le pied de mon amante dedans, le plaisir était décuplé, à tel point que je m’appliquai consciencieusement sur chaque centimètre carré de cuir. Elle d’assit sur le fauteuil et leva sa jambe. Je compris de suite, sans qu’elle n’ait besoin de le dire, ce qu’elle voulait que je fasse. C’est ainsi que plantant mon regard dans le sien, je me mis à sucer son talon comme je l’avais fait avec la queue de l’inconnu que nous avions croisées. Malgré l’air sévère qu’elle voulait se donner, Roxanne ne put réprimer un petit sourire complice en me voyant faire.

  • « Ne bouge pas ! Je reviens … », me dit-elle soudain en se levant pour se diriger vers la cuisine.

Elle revint peu de temps après en me tendant mes chaussures qu’elle venait juste d’aller chercher.

  • « Que dois-je faire ? », lui demandai-je un peu circonspecte.
  • « Tu vas te masturber avec les objets que je te propose. Si tu m’excites assez, je te récompenserai. Sinon … »

Je pris alors mes escarpins et commençai à me caresser. Avec l’un des talons je visitai ma chatte, tandis qu’avec l’autre je maltraitai sans ménagement mes tétons. Roxanne n’en perdait pas une miette tout en s’adonnant à une séance de plaisir solitaire qui me donne confiance quant à son état d’excitation.

  • « Stop ! Mets tes chaussures et assieds-toi à ma place ! »

Mon ange se leva et je la remplaçai dans le fauteuil. Accroupie devant moi, elle fit subir à mes pieds et à mes chaussures le même traitement que j’avais fait subir aux siens. Sa langue fit des merveilles jusqu’à ce qu’elle se cale l’une de mes jambes entre ses cuisses et commence à s’y frotter langoureusement. Je sentis son sexe ruisselant baver contre la fine peau de mon tibia, puis sur le haut de mon pied, avant de disparaître sur le cuir brillant de mon escarpin. Au bord de l’orgasme, elle me retira ma chaussure sur laquelle elle se masturbait et, m’écartant les cuisses, elle en posa délicatement le talon aiguille sur ma vulve.

  • « Houuu … Ouiiii … », gémis-je de me sentir ainsi pénétrée.
  • « Tu aimes ? »
  • « Oh oui putain ! »

Afin de confirmer ma réponse par le geste, je plaçai mes mains sous mes genoux pour me surélever les jambes en les écartant au maximum. Roxy, me voyant ainsi en pleine extase, déchaussa mon autre pied et utilisa mon deuxième talon de la même manière dans son propre sexe. Soudain elle s’arrêta net, et me prenant par la main, elle m’attira sans que je puisse protester dans la cuisine.

  • « Viens me doigter bébé … Viens vite … », me supplia Roxanne en montant sur la table pour s’y mettre à quatre pattes.

Je m’avançai pour le lécher, le nez collé dans la raie de ses fesses, et dardai ma langue pour lui titiller la vulve.

  • « Tes doigts … Tes doigts putain ! »

Mon amante avait envie d’être pénétrée, elle allait être servie. Non contente de lui planter quatre doigts dans le con, je lui enfonçai précautionneusement le talon d’un de mes escarpins dans l’anus. Elle adorait ça, me hurlait de continuer à la défoncer, pour bientôt exploser et m’asperger de sa cyprine toujours aussi abondante. Celle-ci coulait sur ses bas, jusqu’à sur la table, à l’endroit même où l’une de ses précédents éruptions orgasmiques avait tâché le bois.

  • « Va me cherche mon téléphone Erica chérie … »
  • « Ton téléphone ? Pourquoi ? »
  • « Pour prendre des photos … Ca nous fera des souvenirs, non ? », me dit-elle avec un clin d’œil.
  • « Pourquoi pas, tiens … », acceptai-je en lui retournant un sourire complice.

Un aller-retour dans le salon plus tard, nous commençâmes notre petite séance de pose. J’immortalisai Roxy à quatre pattes sur la table avec un talon aiguille planté dans le fion, puis en train de se masturber de deux doigts dans le sexe, assise sur le bord avec les cuisses écartées. Par la suite, ce fut à mon tour de jouer les modèles. Elle me photographia alors que je léchai l’une de mes chaussures ou que je nettoyai la table et le sol maculés de sa mouille avec la langue.

  • « Tu as aimé Erica ? », me demanda Roxanne tout en regardant le résultat des prises de vue sur son smartphone.
  • « Oh oui ! J’adore te faire jouir bébé. Dans n’importe qu’elle circonstance … »

Elle esquissa un sourire complice et tendre avant de reprendre.

  • « Mais tu n’as pas jouis mon cœur au fait ! Approche bébé, je vais m’occuper de toi. »

Une fois près de mon amante, cette dernière me contourna. D’un coup tout devint noir. Mon amour venait de me bander les yeux avec ce que je devinai être un torchon.

  • « Mais … Que fais-tu ? », lui demandai-je sans pour autant être le moins du monde inquiète.
  • « Détends-toi mon ange … Je vais te donner du plaisir … »

Et je me retrouvai attachée en croix sur la table, Roxanne m’ayant lié les poignets et les chevilles à chacun des quatre pieds du meuble. Je l’avais laissée faire avec délice, excitée et heureuse de m’offrir à elle, d’être totalement à sa merci. Elle passa alors quelque chose de rugueux sur mes seins que je sentis se comprimer à leurs bases. L’afflux de sang provoqué par ce qui devait être une corde les rendit palpitants. Quelques coups de langue et autant de pincements sur mes pointes turgescentes, sans la plus petite protestation de ma part, firent comprendre à ma tortionnaire d’amour que j’étais prête à aller plus loin, aussi loin qu’elle le désirerait. Aussi ce fut sans surprise qu’une vive douleur se diffusa dans tout mon corps en partant de mes tétons martyrisés par le métal de ces pinces devenues habituelles.

Roxanne me laissa un moment pour que je m’habitue à cette sensation, profitant de ce répit pour immortaliser la scène. C’est en tous cas ce que je crus en entendant un léger clic à moins de deux mètres de moi. Puis mon amante posa, sur mon front, ses lèvres qui ne quittèrent plus ma peau avant d’atteindre mon sexe qu’elle lécha longuement avec tendresse. J’haletai de plus en plus, mes liens m’empêchant de me contorsionner dans tous les sens sous cette vague de plaisir sur le point de me submerger.

  • « Haaaa … Oui … Je … Je vais jouir chérie … », laissai-je échapper dans un souffle.

Il n’en fallu pas plus pour que Roxanne ne s’arrête le temps de me laisser redescendre un peu dans les tours. Ne voyant toujours rien, je ne pus qu’imaginer ce qu’elle pouvait bien pendant que j’essayais de me calmer. Est-ce qu’elle se branlait en me regardant ? En me photographiant ? La seule chose dont j’étais sûre c’est qu’elle jouait avec son sexe, le petit bruit de clapotis humide qui arrivait à mes oreilles ne trompait pas.

Ayant perdu toute notion du temps, je ne sus pas combien de minutes s’étaient écoulées quand Roxy décida que la trêve avait assez durée. Le signal m’en fut donné quand je sentis les effluves de son intimité me chatouiller les narines. Si j’étais vulgaire, je pourrais même dire qu’elle puait le sexe. Elle m’avait rejointe sur la table et m’avait enjambée pour poser sa chatte sur ma bouche. Sans attendre une éventuelle demande ou autorisation de sa part, je mis ma langue en action. Je lapai, aspirai, léchai tout ce que je pouvais, lorsqu’un liquide au goût que je ne connaissais pas envahit progressivement ma bouche par petits jets successifs, puis dans un flot plus continu. Je ne pus tout avaler, et bientôt mon visage, mon cou et mes cheveux furent recouverts. Perdue dans mes pensées lubriques, ce n’est qu’à ce moment que je compris que Roxanne était en train de me pisser dessus. J’aurai pu protester, ou tout du moins recracher, mais non, je n’en fis rien. Bien au contraire, je trouvai le goût loin d’être désagréable et la sensation d’être souillée de la sorte par celle dont j’étais amoureuse, pour tout dire, très excitante. Je fus juste étonnée que Roxy s’adonne à ce genre de pratique sans la moindre gêne.

  • « He ben mon amour … je vais de surprise en surprise avec toi ! Ça t’excite de m’uriner dessus comme ça ? », lui lançai-je après que sa source dorée et chaude se soit tarie.

Je m’attendais à une réponse cinglante de sa part, mais il n’y en eut point. A la place, je sentis ma chatte se déchirer sous l’assaut aussi brutal que soudain d’un objet froid, rond, mais surtout énorme.

  • « T’as bien fais d’acheter des courgettes chaton … C’est bon pour la santé il parait ! », me nargua Roxanne le temps de laisser mon vagin épouser la forme du légume.

S’en suivit un défonçage en règle durant lequel je criais presque en continu.

  • « HAAAAAAAAA !!! HAAAAAAA !!! HAAAAAAAA !!! JE VAIS JOUIIIIR !!! »

Je serais bien incapable de raconter les minutes qui suivirent. Mes souvenirs sont flous. Un quart d’heure plus tard, peut-être même une demi-heure, je ne sais plus, je me retrouvai dans les bras de Roxanne. Elle m’avait détachée durant ma « petite » absence et était en train de me câliner, allongée à mes côtés sur la table. Le sourire emplit de tendresse que je lui adressai à ce moment-là eut l’air de la rassurer.

  • « Ca va mon amour ? Tu atterries ? », s’enquit-elle en me caressant la joue.
  • « Oh oui … Ca va même très bien mon ange … »
  • « Tant mieux … Je t’aime Erica … », me souffla-t-elle.

Roxy approcha son visage tout doucement, et ce fut les larmes aux yeux que je lui répondis dans un murmure :

  • « Je t’aime Roxanne … »

Et nous nous embrassâmes longuement, avec toute la passion explosant au grand jour dans nos cœurs et nos esprits. De ce jour naquit un amour indéfectible, nous ne nous quittâmes plus jamais. A l’instant où j’écris ces mots, Roxanne est toujours la femme de ma vie et notre libido toujours exacerbée. Complices comme peu de gens ont la chance de l’être, les autres que nous croisons, hommes comme femmes, sont justes des jouets promptes à satisfaire occasionnellement notre appétit sexuel. Seule Alyssa est devenue une amie chère et une partenaire assidue de nos ébats les plus torrides. Il nous arrive même de l’appeler Maîtresse, avec tous les égards qui lui sont dus à ce titre. Mais ça c’est une autre histoire …

FIN


Par Decadent Laboratory - Publié dans : RECITS
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Pas vraiment besoin de description pour ce qui suit. Des séries de photos d'amatrices tout simplement.

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Comme son nom l'indique c'est un petit règlement de compte personnel. Enfin, pour être franche c'est surtoit moi (Roxanne) qui tenait à ce que cette rubrique soit présente. Eh ouais, même si je ne suis pas la principale concernée (quoique j'ai bien mangé quand même), j'ai la rancune plus que tenace.

Petit-reglement-de-compte-entre-ami-e-s-copie-1.jpg

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ERRATUM

Petite précision qui a son importance concerant la rubrique "Petit règlement de compte entre ami(e)s"... Pour ne pas qu'il y ait de malencontreuses coïncidences, les prénoms des protagonistes ont été changés. Par exemple, le compagnon de la protagoniste principale suce nommée (oui je sais ça ne s'écrit pas comme ça mais ça me fait rire), ou pour être plus précise le "plouc", ne se prénomme pas Laurent et n'habite pas Chaussy dans le Val d'Oise. En tous cas selon les informations fournies par la CAF.


A moins que... Noooooon !!! Des gens si honnêtes et si vertueux que ça ce n'est pas possible ! J'ai vraiment l'esprit mal tourné ! Après, par souci de clarification, si cela pose problème, on peut toujours aller leur demander de procéder à une vérification des pièces justufucatives fournies ? Non ?  

Ce point éclaircie, je vous souhaite une bonne lecture... "Amicalement", Roxanne ou chérie coquine.

Nous

Couple libertin de région parisienne, vous aurez vite compris que le sexe tient une place primordiale dans notre vie. Pour le reste nos adorons le rock, les Harley, les voyages et plein d'autres choses dont vous vous foutez royalement. Non ? Bandes de menteurs !

 

Détenteurs d'un compte couple certifié sur Netéchangisme, voici notre annonce :

 

Le libertinage et ses plaisirs n'ont de sens que lorsqu'ils sont vécus au sein d'un couple à la complicité sans faille ... Roxanne (29 ans) et Franck (42 ans), notre indéfectible amour ne nous empêche aucunement d'être des épicuriens convaincus et des adeptes assidus des plaisirs de la chair ... Le feeling, la complicité et la séduction tiennent une place importante dans notre recherche qui s'oriente vers des couples à la partie féminine bisexuelle ou vers des femmes elles aussi tentées ou pratiquant les plaisirs saphiques ... Nous ne ferons pas une liste des pratiques que nous acceptons ou nous refusons, mais n'hésitez à nous contacter afin d'en savoir plus. Cela sera peut-être le début d'une belle amitié et plus si affinité.

 

Si elle vous intéresse et vous correspond, n'hésitez pas à nous contacter à l'adresse suivante :

decadent.laboratory@outlook.com

 

Dans le cas contraire, on vous souhaite une bonne visite et surtout : NE SOYEZ PAS SAGES !!!

 

Roxanne & Franck

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