Jeudi 16 juin 4 16 /06 /Juin 10:53

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Luxure et perversion

Ecrit par Erica

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Comme chaque année je profitais de la petite maison de vacances de mes parents dans le sud de la France, aux alentours d’Aix en Provence pour être plus précise. Un joli mas entouré de verdure où je pouvais profiter pleinement du calme et du bon air de la montagne. J’avais proposé à une amie de venir me rejoindre afin qu’elle se change un peu les idées à la suite d’une rupture difficile qui l’avait mise au bout du rouleau.

En attendant son coup de fil, je me prélassais au soleil en me disant que je pouvais bien me passer de mon maillot de bain. La rangée de thuyas entourant le terrain me protégerait de tout regard mal intentionné éventuel. Je n’hésitai donc pas longtemps et mon bikini se retrouva bien vite à côté de la serviette sur laquelle je m’assoupie. Réveillée par la sonnerie de mon portable, je ne me rendis pas compte, ou plutôt ne me souvenais plus, que j’étais entièrement nue lorsque je m’élançai vers la terrasse en courant. Ce n’est qu’au moment de décrocher que je constatai ma nudité dans le reflet de la porte fenêtre. Bredouillant une excuse bison, je me glissai par réflexe de préservation de ma vertu à l’intérieur.

C’était Roxanne qui m’informait de son arrivée pour le surlendemain. Elle voulait savoir si je pourrais aller la cherche à la gare d’Aix pour lui éviter d’avoir à prendre un car ou un taxi qui lui coûterait un bras. Evidemment j’acceptai bien volontiers de lui rendre ce service en me disant, qu’en plus, j’en profiterais pour faire quelques courses.

Après avoir raccroché, loin de me rhabiller, je me rendis compte qu’il était très agréable de se promener à poil et de sentir une légère brise me lécher ainsi la peau. Ce n’était pas la première fois que je faisais du bronzage intégral à l’abri d’une haie, je n’ai jamais été particulièrement pudique, mais il est vrai qu’au moindre bruit j’ai toujours eu tendance à sauter prestement dans mon maillot. Heureusement pour ma tension artérielle, ici il n’y avait que peu de passage, le chemin longeant la propriété n’étant quasiment jamais emprunté par les promeneurs qui préfèrent prendre le GR contournant le hameau voisin. Je décidai donc de rejoindre ma serviette en tenue d’Eve. La sensation fut assez bizarre car la première fois, n’étant pas consciente de ma nudité, je ne m’étais pas rendue compte que la distance à parcourir était aussi importante. Je parcouru cette dernière en regardant dans tous les sens, et ce n’est qu’une fois sur ma serviette que je me rassurai un peu. En même temps, je me dis qu’il faudrait vraiment le vouloir pour pouvoir m’apercevoir. Et puis après tout j’étais chez moi et j’avais le droit de faire ce que bon me semble.

Le soleil tapait dur, et après avoir remis de la crème solaire, je tentai de me rendormir. Mais je n’avais pas sommeil, rien à faire, car je dois bien avouer que cette situation m’avait excitée. Du coup je décidai de me lancer un défi consistant à retourner dans la maison pour me chercher un verre d’eau fraiche, puis à revenir, mais cette fois en prenant tout mon temps. Une fois debout je marchai d’un pas lent vers la terrasse. J’eus l’impression que toutes mes terminaisons nerveuses étaient devenues hyper-sensibles. Je sentais la douce caresse du soleil, le léger vent tiède, les petits gravillons de l’allée ou encore les planches disjointes de la véranda. Dans la cuisine, j’ouvris le frigo pour prendre une bouteille d’Evian et fus saisie par un froid intense, le contraste de température agissant sur mon corps comme un coup de fouet. Après m’être servie un verre je refermai la porte et repartis dans le sens inverse, encore plus doucement, pour ne pas renverser le précieux breuvage. Cette sensation de liberté obtenue grâce à mon absence de vêtements et la légère inquiétude de me faire surprendre me titillait.

Ma soif étanchée et à nouveau étendue je repensai à tout cela en posant, sans m’en rendre compte, la main droite sur mon ventre. Elle était glacée, comme l’eau contenue dans le verre. Pourtant le frisson que ce contact me provoqua fut un frisson de plaisir. Lancée comme je l’étais, je remontai vers mes seins pour caresser mes tétons qui ne tardèrent pas à pointe. Mes nichons sont toujours très sensibles, et une fois encore ils ne dérogèrent pas à la règle qui veut que je fonde littéralement lorsqu’une bonne âme daigne s’en occuper, même la mienne. Trempant mes doigts dans l’eau encore froide mon verre, j’accentuai ma caresse mammaire en ciblant particulièrement mes pointes que je vrillai à m’en faire mal. Mais c’était tellement bon !

Inévitablement, ma main libre se faufila entre mes jambes légèrement écartées pour se poser sur mon sexe. J’étais trempée et mon index m’arracha un premier soupir en atteignant mon clitoris, puis un gémissement lorsqu’il glissa entre mes lèvres brûlantes. Impudique, les cuisses maintenant largement ouvertes, je continuai de me triturer les seins d’une main tout en me masturbant de l’autre. Je devenais folle, me déchaînais, allant jusqu’à me fourrer quatre doigts dans la chatte. Je ne me contrôlais plus et me mis à quatre pattes, la croupe en l’air, pour me finir dans un puissant orgasme que j’étouffai en mordant ma serviette à pleines dents.

Malgré ce plaisir intense je restai sur ma faim et tentai d’analyser les raisons de mon excitation. Je me souvenais que des fois, lorsque l’un de mes amants me bandait les yeux avant de me faire l’amour, mes sensations s’en trouvaient décuplées. Ce fut l’un d’eux qui, en plus de me faire découvrir les joies d’être complètement entravées par des liens pendant l’amour, m’offrit mes premières boules de geisha. Je ne les avais encore jamais utilisées et me demandai du coup, vu mon état, quel effet cela pourrait bien faire me faire de me promener avec ce genre de sphères dans le vagin. N’étais-ce pas le meilleur endroit pour tester leur efficacité ?

N’aillant malheureusement pas pensé à les prendre en partant, je retéléphonai à Roxanne afin de lui demander de bien vouloir passer à mon appartement afin de me ramener ma petite trousse de toilette qui était dans la salle de bain. J’espérai qu’elle ne soit pas trop curieuse et qu’elle n’irait pas voir dans le fond mais bon, tant pis, de toute façon elle n’avait rien d’une sainte nitouche qui se choquerait pour si peu. Au pire elle les essaierait, me dis-je en esquissant un sourire en raccrochant.

Après une nuit agitée, je décidai de poursuivre mon expérience du nudisme en passant, dans la mesure du possible, la journée entière à poil. Un brin de toilette plus tard, je m’aperçue pourtant que je n’avais plus de pain. Bien évidemment, je dus interrompre mon programme car je ne pouvais aller à la boulangerie ainsi. Je passai donc rapidement un string, une légère robe d’été, des sandales à lanières s’enroulant autour des chevilles et enfourchai mon vélo. La boutique n’étant pas loin, je ne tardai pas à me remettre en chemin avec quelques victuailles. Une fois sortis du hameau, je remarquai que ma robe était très sensible au moindre courant d’air, ce qui expliqua les regards ravis des jeunes promeneurs que je venais de croiser. Loin de me choquer, au contraire cela m’amusa. Après tout il est plutôt agréable de se sentir visuellement appréciée, ne soyons pas hypocrite.

Une fois de retour à la maison, comme prévu à mon réveil, je me débarrassai rapidement de mes quelques vêtements et rangeai mes courses en attendant que le café chauffe. Je n’avais jamais pris de petit déjeuner toute nue, mais je me dis déjà que l’allais souvent retenter l’expérience à partir de maintenant. Le contact du banc en bois sur le haut de mes cuisses et sur mes fesses était nouveau. J’écartai légèrement les jambes afin de sentir la rugosité de cette noble matière sur mon sexe et, oubliant mon ptit dej, commençai à me caresser en me frottant sur mon siège. Bien que délicieuse cette sensation fut rapidement insuffisante et je m’allongeai de tout mon long pour me masturber, imaginant qu’un promeneur bien monté entendrait mes gémissements de plus en plus intenses. Après un orgasme incroyable, je me demandai avec un large sourire aux lèvres si je ne devenais pas un peu, voir beaucoup, exhibitionniste. Bien loin d’être prude, le sexe m’a toujours intéressée, mais là je me sentais prête à passer à la vitesse supérieure et à donner vie à mes nombreux fantasmes.

Dans l’attente d’une nouvelle éruption de ce volcan qui gronde en moi, je décidai de partir faire une petite balade histoire de me changer les idées et de tuer le temps. Vêtue d’un short et d’un simple tee-shirt, je pris mon sac à dos et chaussai mes baskets. La région ne manquait pas de sentiers en tous genres, et sous le soleil la forêt procurait une fraîcheur bienvenue. Je ne tardai pas à rejoindre des chemins que je connaissais étant enfant, lorsque mes parents étaient tombés amoureux de la France au point de s’y installer. Tout était calme, seul le bruit du vent dans les arbres et le chant des oiseaux troublaient le silence. Après une bonne heure de marche je m’arrêtai pour grignoter un peu, mon petit déjeuner ayant été écourté par mes pulsions.

Cette promenade me faisait le plus grand bien et je ne pensais plus vraiment à ma journée de la veille ni à mon activité matinale. Repartie, je tentai de retrouver un petit bras de rivière où je me baignais étant gamine. Ma mémoire ne me fit pas défaut et je pus m’y rendre facilement. Ici aussi tout était calme, le bruit de l’eau qui s’écoule des plus apaisant. Je me dis qu’il était dommage que je n’ai pas amené un maillot de bain, j’aurais pu profiter de ce petit torrent. Et puis après tout, dans mes souvenirs, je n’avais jamais vu personne dans le coin et je ne risquais rien à me mettre à poil. Une fois de plus je me retrouvai nue et redécouvris cette si agréable sensation. Sans perdre une seconde, je plongeai et barbotai dans l’eau froide lorsque j’aperçu sur l’autre rive les deux promeneurs de ce matin se dirigeants vers la petite anse qui faisait face à l’endroit où j’avais laissé mes affaires. Ils riaient de bon cœur et ne semblaient pas m’avoir vue. Par contre, si je sortais de l’eau, cela ne manquerait pas d’arriver, et ce dans le plus simple appareil. Je restai donc accroupie, immergée jusqu’aux épaules, espérant qu’ils passeraient leur chemin. Malheureusement ils avaient l’air d’être des familiers de « mon » coin de paradis et posèrent leurs affaires.

J’étais en train de me demander comment j’allais bien pouvoir les esquiver quand l’un d’eux, sortant une gourde de l’un de leurs sacs, me fit un signe de la main. Je lui répondis poliment, un peu gênée quand même, bien qu’il ne puisse se rendre compte de ma nudité. C’est alors qu’il s’approcha vers le bord et me demanda :

  • « Elle est bonne ? Vous êtes courageuse car elle a l’air d’être froide. »
  • « Un peu au début mais ça va. Il faut y aller progressivement. »
  • « Vous êtes du coin ? Peu de gens connaissent cet endroit. Il ne figure même pas sur les cartes. »
  • « Oui, je viens souvent en vacances ici et vous ? »
  • « Nous on est originaires du coin, même si on est au lycée à Aix. On fait un petit retour aux sources. »

Son copain, jusqu’à là resté sur la plage, s’approcha à son tour, et après avoir retiré ses grosses chaussures de rando, trempa ses pieds dans l’eau.

  • « On est con d’avoir oublié nos maillots de bain. En plus on savait qu’on passerait par là. », lança ce dernier.

Ayant de plus en plus froid à force de ne pas bouger, je me sentais mal à l’aise. Je ne savais pas trop quoi leur dire, mais je ne pouvais plus rester comme ça, immobile et immergée.

  • « Excusez-moi les garçons, mais en fait je suis toute nue. Vous pourriez vous retourner le temps que je sorte et que je me rhabille ? »

Rouge comme une tomate, le premier bafouilla qu’il n’avait pas du tout remarqué et qu’il était désolé. Les deux se retournèrent, et rassurée d’être tombée sur deux jeunes sympas, je sortis de la rivière pour enfiler mon string et mon tee-shirt.

  • « Merci vous êtes cools ! Je commençais à avoir froid. »
  • « Pas de quoi. On ne voulait pas vous déranger. »
  • « Vous ne me dérangez pas. J’avais simplement tellement envie de me baigner que je n’ai pas su résister. Sinon je m’appelle Erica. »
  • « Moi c’est Fred. »
  • « Et moi c’est Quentin. »

Pour éviter d’avoir à hurler, je traversai le bras du torrent et me retrouvai au soleil, assise dans l’herbe à côté d’eux. La chaleur était agréable d’autant que mon tee-shirt était trempé. Je me mis à penser à l’état de ma poitrine que le froid a tendance à faire réagir de manière assez visible. Effectivement mes tétons pointaient allègrement à travers le tissu humide de mon vêtement tandis que j’essayai, tant bien que mal, de cacher ce phénomène en croisant les bras. Quentin, qui s’était sans doute rendu compte de ma situation, rougit un peu mais ne le mentionna pas. Nous passâmes un bon moment en discutant des vacances et en partageant nos idées de balades dans le coin. Soudain Fred dit :

  • « J’ai vraiment trop envie de piquer une tête ! J’y vais en caleçon et ceux qui veulent me suivent ! »

Joignant le geste à la parole, il commença à se déshabiller. Quentin ne semblait pas enclin à le suivre, quant à moi je me demandai comment j’allais bien pouvoir faire. Me disant, qu’après tout, j’avais déjà fait du topless sur la plage, je retirai mon tee-shirt et sautai à nouveau dans l’eau. Quentin changea de couleur en me voyant faire alors que son pote, certainement moins coincé, m’éclaboussa en riant. Voyant que nous nous amusions comme des fous, le troisième larron se joignit finalement à nous.

Une fois sortis de l’eau, je constatai que mon haut n’était toujours pas complètement sec et décidai donc de rester en string. Fred et Quentin avaient passé leur short et faisaient sécher leur caleçon sur un rocher. Cette fois-ci Fred n’était plus du tout à l’aise et évitait, autant que faire se peut, de me regarder. Cette situation m’amusa et je leur lançai :

  • « Eh ben les garçons, soyez pas timides. Vous n’avez jamais vu une fille à poil ? »
  • « Ben si … Mais t’es vachement jolie et ça fait bizarre … », répondit Quentin.
  • « C’est vrai. On ne se connaît pas et on te voit presque nue … »
  • « Surtout que mon string ne cache pas grand-chose, c’est ça ? »
  • « Houlala ! Arrête ! Sinon on va te sauter dessus ! », fit Fred en pouffant de rire.

Je ne sais pas pourquoi mais je leur faisais confiance. C’est peut-être pour ça que je n’étais pas inquiète de la tournure que prenaient les évènements.

  • « A vous de voir … En vous regardant je pense que vous n’avez jamais vu une fille entièrement nue. Je me trompe ? »
  • « Ben … Heu … »

Sans hésitation je me levai, et devant eux, baissai mon string en les fixant droit dans les yeux. Ils ne savaient plus trop quoi faire ni où regarder, aussi je les rassurai : 

  • « N’ayez pas honte. Vous savez, vous devriez en profiter. Les Australiennes ne sont pas réputées pour avoir froid aux yeux … »
  • « Ah … C’est de là alors cette petite pointe d’accent ? Tu parles vachement bien le français. », dit Quentin en essayant maladroitement de changer de sujet.

Je remarquai immédiatement une bosse déformant leur short respectif, ce qui rendit la situation des plus excitantes. La perspective de faire l’amour avec deux mecs me plaisait, et pour le leur faire comprendre, je me mis à me caresser les tétons tout en bombant le torse.

  • « Regardez comme c’est sensible … Ils sont tous durs … »

Fred s’approcha et me demanda s’il pouvait les embrasser. Pour seule réponse, je surélevai mes seins en guise d’offrande. Aussitôt il m’embrassa les pointes tout en jouant de sa langue sur mes aréoles. Il se montra efficace et doué au point de m’arracher mon premier soupir. Son copain le rejoignit pour poser ses lèvres sur mon autre nichon qu’il aspira goulument. Plus entreprenant que son compère, il posa une main sur mon ventre haletant et la fit descendre entre mes cuisses. Cette séance de caresse, pour le moins délicieuse, cibla ma poitrine durant un long moment. Mais cela ne me suffit bientôt plus.

  • « Vous vous occupez aussi de mon petit minous les chatons ? Il adore ça … », leur susurrai-je dans un soupir.

Mes deux jeunes amants ne se firent pas prier et ils s’accroupirent devant moi. Ecartant les jambes pour leur faciliter l’accès à mon sexe, je sentis quelques coups de langues, qui bien que maladroits, me firent mouiller de plus en plus.

  • « Retirez vos shorts les garçons. Sinon vos braguettes vont exploser … », leur lançai-je en ne tenant plus à l’idée de voir leur verge.

La surprise fut à la hauteur de mon attente lorsque je découvris deux belles queues raides comme des poteaux. Nous intervertîmes alors nos positions, et tandis que je les invitai à se mettre debout, je m’agenouillai pour les prendre en bouche à tour de rôle. Je devais avoir l’air de la pire des nympho tellement je mis d’entrain à leur lécher les burnes tout en les branlant.

  • « Putain ce qu’elles sont bonnes vos bites mes chatons ! J’adore vous sucer mais je vais encore plus aimer quand vous allez me baiser ! »

J’allais en rajouter dans ma provocation verbale mais n’eus pas le temps.

  • « Attention … Fais gaffe … Je … Je vais jouir ! », m’avertit Fred qui retira prestement sa queue de ma bouche.

C’était très galant de sa part, mais vu mon goût plus que prononcé pour le sperme, cela m’encouragea au contraire à lui offrir une fellation frénétique jusqu’à ce qu’il se répande en de longs jets de foutre chaud au fond de ma gorge.

  • « Viens me baiser bébé … », demandai-je à Quentin en m’allongeant dans l’herbe.
  • « Fais chier ! J’ai pas de capote Erica. Je ne peux pas … », grommela-t-il alors que la déception déformait son visage.

Son acolyte, en sauveur, fila chercher sa trousse de secours dont il sortit un petit sachet en plastique qu’il tendit à Quentin avec un grand sourire. Ni une, ni deux, ce dernier enfila le préservatif, et une fois protégé, vint sur moi pour me pénétrer d’un trait jusqu’à la garde. Surexcité et inexpérimenté il me lima comme une bête alors que j’essayai tant bien que mal de le guider afin qu’il ralentisse un peu et que je puisse en profiter plus de dix secondes.

Entre deux hurlements de plaisir, je vis que Fred était à nouveau au garde à vous, aussi je lui fis signe de venir me recoller son chibre dans la bouche. C’était incroyablement bon de sentir ces deux sexes en moi. D’être sautée comme ça sur l’herbe, ma peau chauffée par un doux soleil, et je ne tardai pas à jouir.

Sans me laisser le temps de reprendre mon souffle, mes deux amants intervertirent leur position et j’arrachai presque la capote de Quentin qui était sur le point d’éjaculer. Je ne fermai même pas les yeux lorsqu’il me déchargea en pleine gueule, inondant mon front, mes cheveux et mon visage d’une onctueuse couche de jute. Cette vision fut de trop pour son pote qui poussa un puissant râle que j’accompagnai en me pinçant fermement les tétons, me faisant ainsi décoller vers un nouvel orgasme.

Lorsqu’il sortit sa bite à moitié molle de mon minou, je récupérai le préservatif remplit de sirop de corps d’homme et le déversai avec un air provocateur sur mes seins. Sous les yeux ébahis par mon comportement des deux lycéens, j’étalai sur ma peau la précieuse semence recueillie par mes soins.

  • « Mais quelle salope ! », s’exclama Quentin.
  • « Et en plus je n’ai plus de préservatif ! », enchaîna l’autre.

Toujours en état de fusion avancée, je les invitai à faire preuve d’imagination en me baisant avec leurs doigts, leur langue, ou tout ce qu’ils pourraient trouver. Quentin prit même l’heureuse initiative de ma masser l’anus.

  • « Houuu oui ! Vas-y ! Occupe-toi de mon cul ! », gémis-je pour le conforter dans son initiative.

Ce n’étaient que deux gosses manquant d’expérience mais ils me rendaient folle. Je n’en pouvais plus tellement je prenais mon pied ! Je branlais leurs bites chacune leur tour entre mes seins que je serrais au maximum tout en leur lapant le gland dès que celui-ci passait à portée de ma langue.

Tandis que c’était au tour de Quentin de profiter de ma branlette espagnole, Fred s’absenta un moment pour revenir avec un grand sourire. Il cachait quelque chose dans son dos.

  • « Qu’est-ce que c’est mon cochon ? », m’enquis-je sans pour autant interrompre la cravate de notaire que j’étais en train de pratiquer.
  • « Devine … », me rétorqua Fred un brin provocateur.
  • « Des capotes ? »
  • « Non, malheureusement. Mais quelque chose qui te réconfortera … », souffla-t-il en me montrant une lampe de poche métallique qui semblait faite pour cela.
  • « Hummm … Bonne initiative bébé ! Par contre elle est grosse alors allez-y doucement. »

Je me mis à quatre pattes, penchée et en appui sur les coudes, la croupe bien relevée. Fred posa le bout de sa lampe sur ma vulve déjà bien ouverte par nos précédents ébats et me l’enfonça, centimètre par centimètre, dans la chatte. C’était absolument divin ! D’autant que Quentin, ne restant pas contemplatif, recommença à s’occuper de ma rondelle.

  • « Oh oui ! Oui ! Encore ! Trouve autre chose que tes doigts pour mon cul putain ! », le suppliai-je tout en criant mon plaisir.

La lampe étant déjà occupée dans mon con, et en l’absence de gel lubrifiant un peu trop grosse pour mes fesses de toute manière, ce fut une canne de marche télescopique dont il avait enlevé le bout en mousse qui fit l’affaire. Sans aucune retenue, sans prendre la moindre précaution, chauffé à blanc par l’excitation du moment, il me déchira l’anus en m’enfonçant d’un coup sec l’objet dans le fion. Mes deux jeunes amants me défoncèrent un long moment les deux orifices avec leurs godes de fortune avant qu’un violent orgasme, suivit immédiatement d’un deuxième tout aussi fulgurant, ne me terrasse. A bout de souffle, complètement ravagée par tant de plaisir, Fred et Quentin me caressèrent encore, mais cette fois tendrement. Ayant repris un peu mes esprits, je me relevai légèrement chancelante et leur dis :

  • « C’était incroyable mes chéris. Ça mérite une dernière récompense … »

Et je me remis à leur tailler une dernière pipe à chacun jusqu’à ce qu’ils balancent une purée devenue beaucoup plus liquide après plusieurs éjaculation rapprochées. Fière du résultat après un nettoyage consciencieux de leurs bites, je m’apprêtais à me jeter à l’eau pour me laver à mon tour lorsque Fred m’interpelle :

  • « Attends ! Tu devrais rester comme ça. Tu garderas ainsi un petit souvenir de nous. Au moins jusqu’à ce que tu rentres chez toi. »
  • « Pourquoi pas … J’adore votre imagination mes chéris. »

Je pris leurs numéros et les quittai après renfilé mes vêtements qui collaient à ma poitrine encore gluante de foutre et à mon entrejambe encore poisseux de cyprine. Généreuse jusqu’au bout, je leur avais laissé mon string en cadeau. Sur le chemin du retour, je ne pus m’empêcher de sentir cette odeur forte de sexe, de sperme en particulier, qui me maintenait dans un état d’excitation terrible. Une fois à la maison je me désapai prestement et filai sous la douche pour me laver. Une fois propre, je regrettai presque de ne pas être restée souillée plus longtemps. Je me mis à fouiller dans la corbeille de linge sale et retrouvai avec délice mon tee-shirt taché de jute que je repassai tout aussi rapidement que je l’avais ôté. Rassurée par cette odeur, je me préparai un dîner frugal avant de m’endormir dans mon hamac, épuisée, une main entre les cuisses.

Je me réveillai le lendemain matin, mon tee-shirt collant toujours à ma poitrine. Le sperme ayant séché dans la nuit, la sensation n’était plus aussi agréable que la veille au soir. Je décidai donc d’aller me laver, et en profitai pour parfaire l’épilation de ma foufoune histoire d’être, comme l’aiment mes partenaires en général, lisse et douce à souhait.

Sous la douche je pensai à l’arrivée de Roxanne. Je regrettai presque sa venue qui m’empêcherait certainement de laisser libre cours à mes fantasmes. Après le petit déjeuner, une de mes pulsions me reprit et je me mis en quête d’un quelconque ustensile susceptible de me convenir. N’ayant pas la moindre intention de commencer la journée frustrée, il fallait absolument que j’assouvisse mon envie, et l’appentis au fond du jardin me parut être le meilleur endroit pour trouver mon bonheur.

Le soleil n’était pas encore aussi brillant qu’hier mais la journée promettait quand même d’être belle. Vivre nue ne me dérangeait plus le moins du monde, et ma rencontre avec Fred et Quentin avait fait voler en éclat le peu de barrières qui me restaient. J’aimais le contact un peu rude du gravier sous mes pieds et adorait, le mot est faible, sentir le vent sur les moindres parcelles de mon corps.

L’appentis était utilisé comme atelier, étendoir à linge ou réserve de bois pour la cheminée, et par conséquent il était abrité. Sur le sol en terre battue recouvert de sciure je découvrais de nouvelles sensations dans un lieu où théoriquement, je n’avais rien à faire dans le plus simple appareil. Au milieu se trouvait un billot de bois dans lequel était fichée une hachette destinée à fendre des bûches. Son manche vernis garantissait l’absence d’écharde, ce que je me confirmais en le caressant délicatement comme je l’aurais fait avec un sexe d’homme en pleine érection. M’accroupissant, je m’imaginai devant un solide bûcheron bien membré et le pris en bouche. Un court instant je me dis que j’étais en train de devenir complètement tarée, mais mon excitation était telle que je m’en foutais totalement.

Dans un équilibre précaire, j’enjambai l’outil et me frottai dessus tout en me triturant les seins. Un peu gros, même pour moi, je fus obligée de me retourner pour trouver une position adéquate en me tenant à une corde à linge suspendue au-dessus de moi. Ainsi je pus me placer afin que le bout du manche soit en contact avec ma vulve qui l’aspira en entier. Par contre il m’était devenu impossible de me caresser les nichons. La vue des pinces me donna alors une idée que je mis en pratique en attrapant l’une d’elle. Je n’avais jamais encore essayé, mais bien que j’imaginais cela douloureux, j’étirai mon téton droit sur lequel je refermai la pince. La souffrance fut immédiate, saisissante, me conduisant à faire marche arrière tout de suite. Pourtant cela m’avait fait mouiller comme une fontaine. Je remis donc la pince sur la pointe de mon sein, pus doucement, faisant ensuite de même avec son jumeau. Un sourire irradia mon visage alors que j’imaginai me faire surprendre ainsi. L’image d’une fille se torturant les nénés tout en se godant allègrement sur le manche d’une hachette devait être assez unique en son genre. Un premier orgasme ne tarda pas mais fut insuffisant pour me combler. De plus j’avais envie de sentir quelque chose dans mes petites fesses. Je m’allongeai donc à même le sol, levai les jambes, posai les pieds sur un établi et commençai à me doigter le cul tout en tapotant les pinces à linges toujours rivés à mes gougouttes.

Je découvrais une nouvelle facette de ma sexualité, le plaisir par la douleur, et j’avais l’impression que toutes mes barrières tombaient les unes après les autres tels des dominos. Saisissant une nouvelle pince, un peu usée celle-ci, je la laissai se refermer d’un claquement sur mon clitoris gonflé. Je ne pus éviter de pousser un petit cri strident mais là encore, l’intense chaleur qui s’est instantanément emparée de mon corps me convint de laisser l’objet en place.

Il ne me restait plus qu’à mettre la main sur un ustensile prompt à me défoncer la rondelle. Rien ne me convenait ici. Tout était soit trop gros sans lubrifiant, soit trop sale pour que je m’encule avec sans protection. Devant ces évidences, je me fis une raison et décidai de retourner dans la maison. Durant le trajet je perdis et remis en place la pince comprimant mon bourgeon intime. En arrivant devant la porte vitrée de la terrasse je me rendis compte que j’étais couverte de sciure des pieds à la tête, même mes cheveux étaient parsemés de copeaux de bois. Mais qu’importe, je ferais le ménage plus tard. Sur l’instant je n’avais qu’une préoccupation, celle de m’occuper de mon cul en feu. Je fouillai dans le compartiment à légumes du frigo sans rien y trouver, me promettant d’acheter carottes, concombres et tout autre aliment de forme phallique à mon prochain passage à l’épicerie. N’en pouvant plus, je me finis avec le manche en plastique d’une spatule trainant sur l’évier que je me fourrais dans le fion comme une sauvage. Je me sodomisai allongée sur le tapis du salon, et chavirée par une incroyable jouissance, m’assoupie par terre.

En faisant un mouvement dans mon sommeil, l’une des pinces à linge se détacha brusquement de l’un de mes seins en provoquant une douleur qui me réveilla encore plus efficacement qu’un seau d’eau froide. Je retirai alors délicatement les autres pinces et massai les zones meurtries de mon corps tout en me maudissant de ne pas avoir amené avec moi l’un de mes godes. Pourtant, en y réfléchissant bien, cela m’excitait de détourner de leur usage premier les objets que je m’enfonçais dans les orifices.

C’est à ce moment-là, alors que j’étais en train d’émerger, que mon portable sonna. C’était Roxanne qui me dit que son train arriverait vers 15h30.

  • « Ca va Erica ? T’as une drôle de voix. », s’inquiéta-t-elle.
  • « Ouais, je suis un peu naze. Je viens de me réveiller. Dis-moi, t’as pensé à ma trousse de toilette ? »
  • « Oui, je suis passée chez toi en allant à la gare. On se retrouve sur le quai ? »
  • « Ok, ma belle. Sans problème. »

Je raccrochai et filai prendre une douche tout en commençant dans ma tête ma liste de courses un peu spéciales. Une fois lavée et bien réveillée, ne sachant pas trop quoi me mettre, je pris la première tenue qui me passa sous la main. Ce fut une petite robe d’été en coton, couleur saumon, mi-cuisses, assez longue pour que je ne porte pas de culotte tout en gardant un minimum de discrétion quant à mon intimité. Je glissai les pieds dans mes tongues en cuir noir et sautai prestement dans ma voiture.

Arrivée dans un centre commercial près de la gare, il ne me restait plus que trois heures avant de retrouver Roxanne. J’optai donc pour une salade niçoise à la terrasse d’une brasserie avant de flâner un peu dans les magasins. Comme de par hasard, je suis sûre que vous me croyez quand je dis que ce fut une pure coïncidence, la première boutique dans laquelle j’entrai fut une boutique de lingerie. Malheureusement, mis à part quelques bas autofixants en promo, rien n’attira plus que ça mon regard exercé, et l’une des vendeuses sembla s’en apercevoir.

  • « Si vous le désirez je peux vous montrer d’autres modèles un peu plus originaux … », me proposa-t-elle en s’approchant de moi.
  • « Pourquoi pas … », répondis-je en lui souriant aimablement.

Je me dis intérieurement que comme cela m’arrive parfois quand je fais du shopping, j’allais ressortir avec n’importe quoi juste parce que je trouvais la vendeuse sympa. Cette dernière me montra effectivement d’autres ensembles un peu plus affriolants, mais persuadée qu’elle pouvait largement faire mieux, je la jouai provocatrice.

  • « Très sensuel, c’est certain. Mais vous n’avez pas plus sexy ? »

Malgré un sourie légèrement gêné, elle m’emmena dans l’arrière-boutique en laissant le magasin à sa collègue. Au beau milieu d’une pile de carton, elle en ouvrit un et me proposa des dessous beaucoup plus osés, allant de culottes échancrées laissant voir le sexe à des ensembles transparents avec porte-jarretelles assortis.

  • « Seules quelques personnes triées sur le volet ont accès à l’arrière-boutique … », me confia la vendeuse en voyant mon air surprit.
  • « Puis-je essayer celui-ci ? », demandai-je en pensant qu’elle allait refuser.
  • « Bien sûr mademoiselle. Je vous laisse. »
  • « Non, vous pouvez rester. Pas de souci. Par contre je n’ai pas de culotte, ça ne vous dérange pas ? », l’avertis-je avec un air teinté d’espièglerie.
  • « Heu non … Allez-y. »
  • « Vous avez déjà essayé ça ? », lui demandai-je en enfilant la culotte.

Ce fut la première fois que je vis une asiatique rougir. Ses joues ainsi enflammées répondirent à sa place, et je la soupçonnai de se livrer à des essayages assez fréquents. En attendant, la robe remontée sur mes hanches, je cherchai un miroir afin de me rendre compte de l’effet visuel provoqué. La sensation était sinon assez agréable en mêlant la caresse de la soie à un sentiment de nudité.

  • « Avez-vous un miroir ? »
  • « Non mademoiselle, désolée. Mais il vous va à ravir. Cependant si je peux me permettre un petit conseil … »
  • « Oui ? »
  • « Il est mal ajusté. »
  • « Ah ? Vous pensez ? Et comment dois-je l’ajuster ? »

Je ne fus pas franchement convaincue par l’argument mais eus envie de jouer le jeu. Sur ce elle s’accroupit devant moi et tira un peu le tissu vers le haut, ce qui fit ressortir mes grandes lèvres en les ouvrant légèrement. Dans le mouvement elle effleura mon sexe, ce contact furtif électrisant tout mon corps.

  • « Voilà … Ainsi il fera plus d’effet. », me dit-elle fière du résultat.
  • « Merci … Effectivement c’est agréable. Mais vous n’auriez vraiment pas un miroir ? Ou juste une glace ? », insistai-je.
  • « Attendez, je vais voir si je trouve quelque chose. Je reviens de suite. »

Je profitai de son absence pour glisser un doigt dans ma chatte devenue toute moite, et lorsque la vendeuse revint avec le précieux sésame, elle me trouva avec l’index dans la bouche en train de goûter le fruit de ma récolte. Se douta-t-elle de l’endroit d’où il sortait ? En tous cas elle fit mine de rien.

  • « Voilà ! Vous pouvez vous admirer maintenant. Vous devriez ôter votre robe, vous verriez mieux. »
  • « Bonne idée ! »

Obéissant promptement à son conseil, je me retrouvai vêtue simplement d’une culotte laissant voir ma foufoune, et ce à côté d’une vendeuse qui dissimulait de moins en moins bien le fait qu’elle prenait un plaisir certain à se rincer l’œil.

  • « C’est superbe. Même si ça ne va pas trop avec des tongues. »
  • « C’est vrai, vous avez raison. Si vous voulez bien je file rapidement acheter une autre paire de chaussures plus adéquate. »
  • « Pas de souci, allez-y. Vous pouvez même garder la culotte en attendant. Je vous fais confiance. A tout de suite. »

A suivre : Luxure et perversion - Part 2


Par Decadent Laboratory - Publié dans : RECITS
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Pas vraiment besoin de description pour ce qui suit. Des séries de photos d'amatrices tout simplement.

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Videos-copie-1.jpg

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Comme son nom l'indique c'est un petit règlement de compte personnel. Enfin, pour être franche c'est surtoit moi (Roxanne) qui tenait à ce que cette rubrique soit présente. Eh ouais, même si je ne suis pas la principale concernée (quoique j'ai bien mangé quand même), j'ai la rancune plus que tenace.

Petit-reglement-de-compte-entre-ami-e-s-copie-1.jpg

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ERRATUM

Petite précision qui a son importance concerant la rubrique "Petit règlement de compte entre ami(e)s"... Pour ne pas qu'il y ait de malencontreuses coïncidences, les prénoms des protagonistes ont été changés. Par exemple, le compagnon de la protagoniste principale suce nommée (oui je sais ça ne s'écrit pas comme ça mais ça me fait rire), ou pour être plus précise le "plouc", ne se prénomme pas Laurent et n'habite pas Chaussy dans le Val d'Oise. En tous cas selon les informations fournies par la CAF.


A moins que... Noooooon !!! Des gens si honnêtes et si vertueux que ça ce n'est pas possible ! J'ai vraiment l'esprit mal tourné ! Après, par souci de clarification, si cela pose problème, on peut toujours aller leur demander de procéder à une vérification des pièces justufucatives fournies ? Non ?  

Ce point éclaircie, je vous souhaite une bonne lecture... "Amicalement", Roxanne ou chérie coquine.

Nous

Couple libertin de région parisienne, vous aurez vite compris que le sexe tient une place primordiale dans notre vie. Pour le reste nos adorons le rock, les Harley, les voyages et plein d'autres choses dont vous vous foutez royalement. Non ? Bandes de menteurs !

 

Détenteurs d'un compte couple certifié sur Netéchangisme, voici notre annonce :

 

Le libertinage et ses plaisirs n'ont de sens que lorsqu'ils sont vécus au sein d'un couple à la complicité sans faille ... Roxanne (29 ans) et Franck (42 ans), notre indéfectible amour ne nous empêche aucunement d'être des épicuriens convaincus et des adeptes assidus des plaisirs de la chair ... Le feeling, la complicité et la séduction tiennent une place importante dans notre recherche qui s'oriente vers des couples à la partie féminine bisexuelle ou vers des femmes elles aussi tentées ou pratiquant les plaisirs saphiques ... Nous ne ferons pas une liste des pratiques que nous acceptons ou nous refusons, mais n'hésitez à nous contacter afin d'en savoir plus. Cela sera peut-être le début d'une belle amitié et plus si affinité.

 

Si elle vous intéresse et vous correspond, n'hésitez pas à nous contacter à l'adresse suivante :

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Dans le cas contraire, on vous souhaite une bonne visite et surtout : NE SOYEZ PAS SAGES !!!

 

Roxanne & Franck

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