JOURNAL D'UN COUPLE LIBERTIN

Mercredi 15 juin 3 15 /06 /Juin 12:50

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Samedi 11 juin 2016

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  • « Bon… On n’a toujours pas décidé ce qu’on faisait ce soir. », dis-je juste avant de monter dans la voiture alors que nous venons de déposer Charlotte chez son père.
  • « Déjà on va aller manger un truc parce que j’ai la dalle et puis après on avisera bébé. », me répond Franck.

Effectivement, il est 15h20 et nous n’avons toujours pas déjeuné.

  • « C’est une bonne idée. Après si tu tiens vraiment à manger quelque-chose… »

Sur ces bonnes paroles accompagnées d’un sourire malicieux, me voilà en train de déboutonner mon jean que je baisse à mi-cuisses, exposant ainsi ma culotte blanche te rose. Franck explose de rire devant cette gentille provocation, manquant au passage de griller un feu rouge.

  • « Une tarte à la cyprine ça me paraît être un bon dessert. », rétorque-t-il en glissant entre mes jambes une main taquine.

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Ses doigts courent un moment sur le tissu qui protège l’accès à ma grotte chaude et déjà légèrement moite. Lorsque je jette un œil à droite afin de voir où en est le feu, mon regard croise celui d’un motard, la visière de son casque relevée, qui n’en perd pas une miette.  Et au moment où Franck retire sa main pour passer la première, j’adresse à mon bref voyeur un large sourire. 

  • « Par contre bébé, je m’arrêterais bien dans un magasin pour m’acheter une petite robe. Histoire de me changer… »
  • « Carrément ! On pourrait tout simplement repasser par chez Sonia tu sais, Roxy. », me répond mon homme qui n’est pas dupe.
  • « On risque de tomber dans les embouteillages, tu sais chéri. »
  • « Ben voyons… Aller, t’as gagné ! »
  • « On va à C&A ? Il y a toujours des trucs sympas. »
  • « C’est parti. Et puis c’est bien connu, il n’y a pas de bouchon du côté d’Opéra… »

On explose de rire tous les deux tandis que je remonte mon jean. Arrivés tant bien que mal dans le quartier, nous voilà en train de traverser le boulevard, prenant la direction du magasin recherché. Main dans la main, nous déambulons au milieu des divers rayons du rez-de-chaussée où s’étalent les nouvelles collections d’été. Après un rapide coup d’œil (enfin rapide selon l’unité de temps d’une nana qui fait du shopping dirait Franck), me voilà décidée pour une petite robe bordeaux en lin au décolleté largement ouvert entouré par des motifs orientaux dorés et brodés.

  • « Qu’est-ce que tu en penses chéri ? Pas mal non ? », demandai-je à mon homme en plaçant la dite robe devant mon corps.
  • « Ouais sympa. Ça fait un peu bohème sexy. Te reste plus qu’à l’essayer. », valida Franck.

Me voilà rapidement dans le secteur des cabines. Lorsque je demande à mon mec de rester à l’extérieur de la salle réservée aux essayages alors qu’il aurait pu rentrer, cela ne l’offusque ni ne l’intrigue plus que ça. Il doit se dire que mon choix est déjà fait et que mon passage derrière l’un des rideaux n’est qu’une formalité destinée à vérifier la taille.

Sa surprise est donc totale quand quelques « discrètes » exclamations le sortent de la concentration dans laquelle la consultation de son portable l’a plongé.

  • « Bébé… Tu peux aller voir s’il y a la taille en dessous s’il te plaît ? Je ne me vois pas y aller comme ça. », fais-je en lui tendant la robe.
  • « Euh… Ouais… Bien sûr… Pas de souci… », bégaya-t-il presque en guise de réponse.

Connaissant le goût prononcé de Franck pour l’exhibition dans des lieux qui ne sont pas destinés à ce genre de pratique, comme vous l’aurez deviné, j’ai volontairement omis de me rhabiller avant de sortir de la cabine, me retrouvant juste en petite culotte. J’avoue bien volontiers que sentir sur moi ces regards tantôt offusqués, tantôt amusés, est loin de me laisser indifférente.

Le temps que mon homme ne revienne avec la bonne taille de robe, je retourne dans la cabine en laissant le rideau ouvert. Certains hommes deviennent alors très serviables envers leurs moitiés respectives en les accompagnant sans rechigner durant leurs séances d’essayage. Bien entendu cela les oblige à passer devant moi qui patiente adossée à la cloison, les nichons à l’air avec un petit sourire aux lèvres.

  • « Tiens bébé… Elle devrait t’aller celle-ci. Après si tu préfères rester comme ça tu peux aussi. », me taquine mon homme.

Non, on ne va quand même pas aller jusque-là, pas tout de suite en tous cas. Aussi après être passés en caisse, gardant la robe sur moi bien sûr, nous voilà en quête d’un endroit pour nous sustenter. En bons carnivores que nous sommes, l’Hippo situé boulevard des Capucines récolte nos deux suffrages, et nous voilà bientôt installés à un table pour deux, juste à côté de la vitre. Ma petite séance d’exhibition improvisée nous ayant bien chauffés tous les deux, le ton est donné pour la soirée et c’est Franck qui lance les hostilités. 

  • « Retire ta culotte bébé, et pose la bien en évidence sur la table. », m’ordonna mon homme sur un ton amusé mais autoritaire.
  • « Monsieur est joueur dis donc… », soufflai-je mutine.
  • « Comme si ça m’arrivait de ne pas l’être chérie quand nous sommes tous les deux. »

Effectivement j’ai perdu une occasion de me taire. Du coup il vaut mieux que je m’exécute et c’est en me pinçant la lèvre inférieure que je me dandine pour attraper de chaque côté l’élastique rose de mon sous-vêtement et le faire glisser le plus discrètement possible le long de mes jambes. Heureusement pour moi, la robe étant très courte, la manœuvre en est grandement facilitée. Du coup, lorsque le serveur revient avec nos cocktails, ma culotte est au milieu de la table de sorte qu’il ne puisse pas la rater.

  • « Vous… Vous… Vous avez choisi… », marmonna-t-il péniblement.

Franck et moi avons du mal à ne pas éclater de rire mais nous réussissons néanmoins à passer notre commande. 

  • « Recule un peu ta chaise et écarte les jambes quand il revient. »
  • « Hummmm… Si ça continu je vais être obligée de t’appeler Maître, non ? », fis-je en obéissant.
  • « Pourquoi pas bébé. Mais on verra ça après. »

Le garçon arrive bientôt avec nos deux T-bone. Je lui laisse le temps de poser les assiettes avant de m’adosser confortablement au dossier du siège et d’écarter largement les cuisses. Le bas de ma robe se relève automatiquement pour dévoiler ma foufoune entièrement épilée et mon sexe luisant d’excitation. Ne sachant pas s’il faisait exprès ou s’il n’avait vraiment rien remarqué, j’attire son attention en lui demandant la bouteille de rosé que nous avions commandé. Cette fois-ci le rougissement de ses joues l’empêche de dissimuler son émotion. Encore une fois le fou rire nous guette mais nous arrivons à le contrôler. 

  • « Le pauvre… Tu vas lui donner une attaque. Il te plaît ? », me demanda Franck.
  • « Moi ? C’est toi qui m’oblige à jouer les vilaines filles ! Et non, il est trop maigre. On dirait un sac d’os. »
  • « Je me doutais que tu allais dire ça, bébé. On trouvera peut-être ton bonheur ailleurs… »
  • « Ah oui ? Tu veux m’offrir ? Intéressant… », fis-je avec un sourire entendu.
  • « Possible… En attendant branle-toi chérie… »
  • « Si je me fais jouir on risque d’avoir un petit problème de discrétion, tu sais ? »
  • « Oui, je sais… »

Ni une, ni deux, je prends mon couteau et découpe préalablement ma viande histoire de garder une main de libre. Cette même main qui quelques instants plus tard se retrouve en train de caresser plus ou moins discrètement ma chatte cette fois trempée. Mon majeur ne tarde pas à trouver l’entrée de ma grotte intime pour y entamer une danse qu’il maîtrise à merveille depuis le temps.

  • « Tu sais que ça me fait grave bander bébé ? », me souffla mon homme histoire de faire grimper encore plus mon excitation.

Je peine à terminer mon assiette tout en essayant de contrôler mon plaisir afin qu’il n’explose pas en plein milieu du resto qui commence à se remplir légèrement. 

  • « Qu’est-ce que je fais chéri ? », demandai-je en voyant le garçon s’approcher afin de débarrasser.
  • « Tu continues ! »
  • « Comme ça ? », continuai-je avec un sourire espiègle.

Bien décidée à reprendre le contrôle des opérations je recule à nouveau ma chaise. Cette fois-ci les yeux du serveur viennent directement se poser sur moi et s’écarquillent en voyant deux de mes doigts aller et venir dans ma chatte. C’en est trop pour lui, il reste bouche bée sans qu’un mot ne puisse sortir.

  • « On va vous prendre un café et l’addition s’il vous plaît. », l’interrompit Franck.
  • « Euh… Oui… Oui monsieur. Je vous amène ça tout de suite. »

On n’a jamais vu un serveur revenir aussi vite près d’une table. Le service est vraiment parfait et le pourboire en conséquence : 2 euros et une petite culotte avec laquelle je viens de m’essuyer. 

  • « On tente le Beverley ce soir bébé ? Depuis le temps qu’on en parle. », proposai-je une fois dans la rue.
  • « Pourquoi pas mais cette fois c’est moi qui vais devoir passer par la maison pour me changer. Pas sûr que je puisse rentrer fringué comme ça. »
  • « Ok… Ca me permettra de prendre quelques joujoux. Je les ai laissés dans mon autre sac. L’œuf vibrant m’a manqué… », fais-je avec un déhanchement provocateur.

Malheureusement la malédiction du Beverley continuant, Franck reçoit un appel de son club juste avant de monter dans la voiture. Appel qui va devoir l’obliger à s’absenter durant cette soirée qui avait pourtant si bien commencée. Un mélange de frustration et d’excitation, le tout accompagné de mon célèbre caractère volcanique donne un « Putain ! Fais chier ! » qui résonne dans tout le parking.

Le temps du trajet n’est pas de trop pour que je me calme un peu et une fois arrivés, alors que Franck enfourche sa Harley, je lui saute au cou pour lui rouler une pelle qui va l’accompagner toute la nuit.

  • « Reviens le plus vite possible mon amour… », le suppliai-je alors que nous reprenons notre souffle.
  • « Promis Roxy. Je t’aime mon amour… Et putain ce que j’ai envie de toi ! »

Après un dernier baiser le voilà parti dans le vacarme typique du V-Twin. Quelques heures plus tard, au tout petit matin il a tenu sa promesse en me prouvant à quel point son envie de moi était vraie. Et je ne vous parle pas de la réciproque ! La matinée fut délicieuse !

Ecrit par Roxanne

Par Decadent Laboratory - Publié dans : JOURNAL D'UN COUPLE LIBERTIN
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Samedi 4 juin 6 04 /06 /Juin 10:14

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Mercredi 2 juin

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L’alcool est un puissant désinhibiteur, en tous cas c’est ce que Franck et moi espérons alors que nous arrivons chez Alyssa qui nous a invités pour dîner ce soir. Alyssa est une magnifique eurasienne, amie de mon homme, d’origine américaine. Quand je dis magnifique le mot est faible ! Mis à part ses cheveux noirs, ses yeux de la même couleur légèrement bridés et sa bouche discrète mais pulpeuse, il est facile de deviner un corps sculptural doté d’une poitrine imposante mais ferme.

 Se revendiquant lesbienne de son état, Alyssa semble de plus en plus tentée par une expérience hétérosexuelle. En effet, depuis quelques temps, elle nous fait sur Facebook de petites réflexions laissant entendre qu’elle souhaiterait franchir le pas avec nous. Le fait que nous soyons un couple et, qui plus est, que nous nous connaissions doit être prompte à la rassurer. J’avoue que ce n’est pas pour me déplaire, loin s’en faut, car à l’instar de Franck, je me verrais très bien lui faire subir les derniers outrages.

 L’accueil de notre hôtesse est chaleureux mais sans plus. Il ne fait pas non plus apparaitre la moindre tension qui pourrait laisser présager de la suite ou non des évènements. L’apéritif, certes alcoolisé, n’apportera pas plus d’élément à notre interrogation : Alyssa est-elle vraiment décidée à franchir le pas ? Nous discutons de tout, sauf de ça. Notre recherche de maison, mon boulot trouvé il y a deux jours, son boulot à elle et j’en passe et des meilleurs.

 Ce n’est qu’au milieu du dîner, la deuxième bouteille de rosé ouverte, que les sujets de conversations se font un peu plus libidineux. Nous parlons de notre vie de couple débridée avec Franck, nous revenons bien sûr sur la genèse un peu apocalyptique de notre union, puis nous abordons un peu plus le milieu du libertinage. Alyssa a l’air très intéressée par nos histoires et par nos expériences respectives et communes. Ses questions se font plus précises alors que ses regards se posant sur moi sont de plus en plus appuyés. Je savais que je n’aurais personnellement pas de mal à la dévergonder, mais le but ultime est de savoir si elle va réussir à se laisser aller avec Franck.

 Le dessert terminé, le digestif que nous prenons dans le salon donne le signal du début des festivités, en tous cas pour moi. Le manque d’expérience de notre hôtesse nous oblige, mon homme et moi, à prendre le contrôle des opérations. D’un regard en coin nous nous comprenons et je prends place sur le canapé à côté d’Alyssa tandis que Franck s’assoit sur l’un des deux fauteuils qui nous font face. 

  • « Un petit joint ça vous dit les filles ? », proposa mon homme.
  • « Volontiers… Pour l’ambiance ça sera idéal. », répondis-je de mon côté.
  • « Oui, histoire de faire tomber mes dernières barrières… », renchérit Alyssa avec un petit sourire malicieux mais tendu.

 C’est l’invitation sous-entendue que j’attendais. 

  • « T’inquiète pas ma belle. Je vais m’occuper de tes barrières, moi. »

Délicatement, du bout des ongles, je caresse sa cuisse laissée nue par sa jupe, profitant de ce frisson qui la paralyse pour approcher doucement mon visage du sien. Alyssa se laisse faire sans bouger. Elle tourne juste la tête afin d’accueillir ma bouche entrouverte qui part à sa conquête. Nos lèvres se scellent, nos langues chacune ornées d’un piercing se trouvent. Le baiser est langoureux, sensuel, et ma main remonte sur son corps pour enfin caresser sa poitrine que l’on devine magnifique.

La découverte qui s’en suit est au-delà de mes espérances. Après un bref effeuillage, ses seins m’apparaissent dans toute leur splendeur, aussi beaux à regarder que doux et fermes au toucher. Alors que les premiers effluves d’herbe taquinent nos narines, la belle eurasienne tombe le masque. Celle que l’on croyait timide et réservée me pousse à m’allonger sur le divan avant de me faire ouvrir les jambes. 

  • « Ah ouais… Tu veux la jouer comme ça ? », dis-je en écartant de façon provocante l’entrejambe de mon string. « Alors viens me bouffer la chatte, chérie… »
  • « Mais j’y compte bien. » 

Joignant le geste à la parole sa langue frétillante s’intéresse de suite à mon clitoris gonflé. Je laisse Alyssa œuvrer quelques minutes avant de l’interrompre brièvement pour retirer cette mini-robe qui m’empêche de m’occuper pleinement de mes nichons. 

  • « Putain elle est chaude ta copine ! Tu ne m’avais pas dit ça, bébé. », en profitai-je pour lancer à Franck avec amusement.
  • « Mais je ne la connaissais pas sous ce jour, chérie. », me répondit-il d’un air souriant. 

A la reprise des hostilités les doigts fins et habiles d’Alyssa ont rejoint sa langue pour un ballet endiablé qui m’arrache soupirs et gémissements. Mon petit bourgeon de femme mordillé, trituré, léché et aspiré m’envoie des ondes de plaisir dans tout le corps. Mon vagin visité par un index et un annulaire aussi frétillants l’un que l’autre décuple la sensation. Et je décolle comme une fusée lorsque mon anus cède sous la pression d’un majeur inquisiteur qui s’enfonce dans mon cul. 

  • « Waouh ! Comment tu fais pour être célibataire alors que tu broutes les minous comme ça ? », fis-je en me redressant après un fabuleux orgasme.
  • « C’est justement parce que j’attends qu’on m’en fasse autant ! », rétorqua Alyssa d’un air malicieux. 

A ce moment je fais signe à Franck d’approcher avec le deuxième joint qu’il vient de rouler, le premier ayant été consommé par ce dernier pendant notre coït lesbien, et tire deux fois dessus avant de le tendre à notre hôtesse. 

  • « J’ai bien l’intention de te rendre la pareille ma belle… Mais on ne peut tout de même pas laisser Franck sur le carreau. Ca ne serait pas très chrétien, non ? », lançai-je en commençant à masser l’entrejambe déjà largement gonflé de mon homme.
  • « J’avais cru comprendre que tu étais athée comme Franck… » 

Merde… Piégée ! Mais alors que nous cherchions une autre manière d’amener Alyssa à réfléchir à l’éventualité d’une première expérience hétéro, celle-ci nous coupe l’herbe sous le pied. 

  • « Mais je peux commencer par un petit travail manuel pour te préparer pour ta femme et puis advienne que pourra. Dans le feu de l’action on ne sait jamais… », souffla-t-elle à mon chéri.
  • « Ca me paraît être une idée des plus raisonnable… », lui répondit son ami. 

Quelques instants plus tard, après que chacun se soit déshabillé en quatrième vitesse, me voilà agenouillée sur la moquette la tête entre les cuisses d’une Alyssa assise sur le canapé. Ma langue occupée à léchée ce juteux abricot surmonté d’une fine raie de poils, je lève les yeux pour voir une main tout d’abord hésitante se saisir de la queue déjà raide comme la justice de Franck. 

  • « Vas-y ma belle… Branle-le bien… Lâche-toi… », soufflai-je entre deux coups de langue. 

C’est au tour de mon homme de s’enhardir en prenant à pleine main le sein droit d’Alyssa qui le laisse faire. 

  • « Viens me sucer Roxy… J’ai trop envie d’une bouche… », grogna mon mec qui se rendait compte qu’Alyssa allait avoir besoin d’aide pour se lâcher complètement. 

Me redressant, je remplace ma langue par mes doigts afin de ne pas laisser se refroidir la foufoune de notre belle américaine et avance mes lèvres entrouvertes vers le gland gonflé de mon homme. Il est déjà bien humide et mes papilles se régalent immédiatement de ce goût si enivrant. 

  • « Hannnnn putain ! Vas-y suce-moi bien bébé… » 

Je sais à quel point il aime que je lui taille des pipes aussi y mets-je tout mon cœur, arrêtant cependant avant d’atteindre le point de non-retour. 

  • « Tu veux essayer ? », fis-je à Alyssa qui n’en perdait pas une miette alors que mes doigts la laissaient volontairement aux portes du nirvana sans jamais les lui faire franchir.
  • « Non… La fellation je ne crois pas que j’y arriverais pour l’instant. Par contre le reste me tente pas mal… » 

Sur ce fait la voilà qui se dégage de mon emprise pour prendre une boite de capotes encore sous plastique qui était dans son sac à main. 

  • « Désolée pour toi Francky… Je crois savoir que tu n’aimes pas ça mais tu te doutes que je ne prends pas la pilule. »
  • « Pas de souci Lyssa. Oui je m’en doutais un peu. », répondit mon homme en riant. 

La position que prend Alyssa ne laisse planer aucun doute sur ce qu’elle attend. Les coudes posés sur le dossier du divan et cambrée comme une diablesse, elle offre une vue imprenable sur la croupe tendue. 

  • « Dis donc… Je ne te saurais pas gouine, je dirais que t’as bien envie que mon mec te mette un bon coup de bite ! », lui dis-je assez sèchement en accompagnant mes paroles d’une retentissante claque sur sa fesse gauche.
  • « Haaaaaa ! C’est de votre faute aussi avec vos récits et vos histoires. Ça m’excite ! », me rétorque-t-elle alors qu’elle passe une main entre ses jambes pour se caresser.
  • « Tu vas voir… C’est meilleur qu’un gode ma belle. »
  • « Et ça le sera encore plus le jour où tu y gouteras sans ces satanés capotes ! », renchérit Franck qui venait de finir de dérouler le préservatif sur sa queue. 

Je laisse mon homme prendre place derrière Alyssa et me laisse glisser au sol, dos au canapé, entre les jambes de Franck. Dans cette position je ne rate rien du gland enveloppé de latex qui se pose sur la fente de notre belle geisha. Franck est prévenant, il guette le moindre signe de changement d’avis brutale de son amante qui s’apprête à découvrir le monde merveilleux de la bisexualité. Le premier contact passé, il s’enfonce délicatement en elle. Ses lèvres intimes s’écartent sous la poussée du membre dressé, puis c’est sa vulve. La progression est lente et je me redresse afin que ma langue excite le clitoris d’Alyssa.

 Franck est enfin entièrement dans son vagin. Il reste un moment immobile avant d’entamer des vas et viens. Ses mains saisissent les hanches de sa maitresse qu’il commence à limer avec insistance. Les miaulements d’Alyssa m’excitent ! Voir mon mec baiser une autre que moi m’excite encore plus ! C’est à mon tour de plaquer une main entre mes cuisses pour me branler frénétiquement.

Quelques minutes plus tard Alyssa hurle son plaisir provoqué pour la première fois par une vraie bite. Elle jouit et en redemande, mais là c’est à mon tour d’en profiter… Non mais ! Après tout c’est quand même MON mec ! D’ailleurs pour me remercier de le lui prêter elle pourrait s’harnacher de l’un de ses godes ceintures pour m’offrir l’un de mes péchés mignons : une double pénétration. Ça serait charitable, non ?

Et je vous confirme, Alyssa est très charitable… Ce dépucelage valait vraiment le coup ! 

Ecrit par Roxanne

A suivre : Samedi 11 juin 2016


Par Decadent Laboratory - Publié dans : JOURNAL D'UN COUPLE LIBERTIN
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Samedi 28 mai 6 28 /05 /Mai 12:26

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Jeudi 26 mai

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Lorsque le désir devient incontrôlable, lorsqu’il ne peut plus être contenu et qu’il explose sous une certaine forme de bestialité, certaines appelleraient ça de la violence, moi de l’amour à l’état pur. Quoi de plus excitant que de sentir que l’on rend fou d’envie l’homme de sa vie ? Franchement, rien !

Encore plus quand on ne s’y attend pas du tout. En fin de matinée nous avions fait l’amour longuement, tendrement et avec passion. Les mots doux entrecoupaient nos baisers fougueux alors que de douces caresses accompagnaient la verge de Franck qui allait et venait dans mon ventre en feu.

Bien qu’il nous arrive souvent de remettre le couvert dans la journée ou le plus souvent le soir, je ne m’attendais pas à ce qui allait se passer dans l’après-midi alors que nous rentrions d’un voyage dans l’ouest des Hauts-de-Seine à la recherche de notre future maison. Sur le chemin du retour, nous avions discuté tranquillement du résultat de notre quête sans que la moindre allusion au sexe ne vienne s’insinuer dans notre échange, ce qui est rare.

Du coup, alors que nous venions de poser la voiture dans le parking souterrain en face du loft de Sonia, c’est avec la surprise la plus totale que je me retrouvais collée au mur, la main puissante de Franck serrée autour de ma gorge. Tétanisée, je n’esquissais pas le moindre geste alors que je sentais le rouge me monter aux joues et l’air qui commençait à me manquer. 

  • « Qu’est-ce… Qu’est-ce que tu fais… », arrivais-je péniblement à souffler.
  • « Ferme ta gueule ! J’ai juste envie de te fourrer salope ! », grogna Franck avec un regard dur et glacial. 

De sa main libre mon homme s’attaque à la ceinture de son jean. Je l’entends plus que je ne le vois jusqu’à ce qu’il ne m’oblige à m’agenouiller sur le sol dégueulasse du garage et que je me retrouve avec sa queue à moitié bandée dans la bouche. 

  • « Aller ! Suce, salope ! », hurle-t-il en me saisissant par les cheveux. 

J’obéis sans protestation même si c’est plus lui qui me baise la bouche que moi qui lui taille une pipe. Quelques minutes de ce traitement suffisent à donner à cette queue que j’aime tant une raideur pleine et entière avec laquelle je manque de m’étouffer.

Franck tire alors d’un coup sec sur ma chevelure châtain, m’arrachant au passage un petit cri de surprise teinté de douleur, et m’oblige à me redresser. Il me traîne à l’avant de la voiture qui donne sur l’allée principale, ce qui rend la scène totalement impossible à rater au moindre passage d’une voiture ou d’un piéton.

Après avoir relevé ma jupe maintenant enroulée autour de mes hanches, mon mâle en rut me soulève du sol et me plaque sans ménagement dos contre le capot de la voiture. Les boutons de mon chemisier explosent d’un coup et mes seins sont brutalement extirpés de mon soutien-gorge. Franck s’attarde dessus en les malaxant férocement et termine en tirant violement sur mes pointes dardées. Le cri strident qui vient à ce moment du plus profond de mon être résonne dans tout le parking. 

  • « Gueule autant que tu veux sale pute ! Je sais que t’aime ça et ça m’excite encore plus ! », hurle mon homme alors qu’il me force à écarter les cuisses.   

C’est au tour de ma culotte de faire les frais de sa brutalité pour se retrouver en lambeaux à ses pieds. D’une main experte il guide sa verge vers mon sexe et, une fois son gland posé sur ma vulve, me pénètre jusqu’à la garde. Il a raison, j’adore ça alors qu’il réalise un de mes fantasmes (malsains) ! Difficile de lui faire croire le contraire de toute manière tellement je suis trempée. Il s’est enfoncé en moi comme dans du beurre.

Franck reste fiché un instant au fond de mon ventre le temps de reposer sa main droite sur ma gorge et de serrer fermement. Ceci juste avant d’entamer un ramonage en règle de ma chatte à base de grands coups de bite de plus en plus rapide.

Je suffoque, je manque d’air au point de ne plus pouvoir émettre un son. Pourtant je prends un pied hallucinant ! Moi qui ai tendance à enchaîner les orgasmes une fois le premier passé, là il n’en est pas question. J’en ai un seul et unique mais j’ai l’impression de ne jamais redescendre du nirvana où je suis perchée. Je jouis sans discontinuer ! Je me sens partir très loin ! Soudainement l’air arrive à nouveau à mes poumons. Je retrouve juste assez de conscience pour voir une première giclée de sperme s’écraser sur ma poitrine à moitié nue. Les suivantes atterrissent sur mon ventre puis tâchent ma jupe et ce qu’il reste de mon chemisier. Franck est en train de se vider les couilles sur moi dans un ultime geste d’humiliation qui me rend encore plus folle de lui.

« Traite-moi comme une princesse dans la vie de tous les jours mais baise-moi comme la dernière des putes de temps en temps… ». C’est une phrase que je lui avais soufflée il y a quelques temps alors que nous venions de faire l’amour. Mon Homme avec un grand « H » a prit ma suggestion au pied de la lettre pour mon plus grand bonheur.

Sortir du parking puis traverser la rue complètement débraillée et souillée par son foutre me met dans un état second. Avec son bras aimant autour de mes épaules je sais qu’il ne peut rien m’arriver. Le baiser que nous échangeons en attendant que le feu ne passe au rouge est emplit de tendresse et de volupté. La lisière de mes bas laissée apparente par ma jupe pas tout à fait redescendue attire le regard de quelques passants. Je le sens, je le vois du coin de l’œil. 

  • « Franck… Je t’aime… Je t’aime comme jamais je n’ai aimé quelqu’un. Je ne veux plus jamais te perdre. Je ne m’en remettrais pas. »

Vue la situation cette supplique peut sembler comme un cheveu dans la soupe mais c’était plus fort que moi. Les cicatrices de ces derniers mois ne sont pas totalement refermées et j’ai besoin de me rassurer alors que je sens que je tombe à chaque instant qui passe encore plus amoureuse de mon homme. Franck ne m’en veut absolument pas et il fait tout pour me donner cette sécurité dont j’ai besoin. 

  • « Roxanne… Tu es la femme dont rêve tout homme normalement constitué. Je me suis égaré pour des chimères vieilles d’une décennie qui ont failli me faire perdre la chance de faire ma vie avec toi. Je ne comprendrai certainement jamais pourquoi j’ai été aussi con, mais une chose est sûre : je sais à quel point je l’ai été. Je t’aime bébé. Et n’aie pas peur de me reposer la question que tu m’as posé il y a quelques temps car la réponse sera : oui, je suis fou amoureux de toi ! », me dit Franck d’une voix posée qu’une main tendre caressant ma joue accompagne.

Cette fois ce sont mon cœur et mon âme qui se liquéfient… Je vis enfin mon rêve resté secret durant des années. 

Ecrit par Roxanne

A suivre : Mercredi 2 juin

Par Decadent Laboratory - Publié dans : JOURNAL D'UN COUPLE LIBERTIN
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Samedi 21 mai 6 21 /05 /Mai 18:32

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Vendredi 20 mai

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La semaine dernière nous avons fait l’acquisition d’un tout nouveau jeu, enfin si l’on peut appeler ça un jeu. En balade dans le marais Franck et moi nous sommes arrêtés dans l’une des boutiques du « Passage du désir ». C’est la version haut de gamme d’un sex-shop, sans les vidéos, les revues etc… Franchement une atmosphère très agréable avec des vendeuses très agréables et très professionnelles. 

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Alors que nous refaisions notre stock d’huiles de massages et lubrifiants en tous genres, voici que notre intérêt se porte vers un coffret noir à l’intitulé aguicheur « 1 an de plaisir version hot ». En gros il s’agit d’un lot de cartes à tirer et à gratter qui renferment chacune un gage coquin. Il y en a 52 en tout, une par semaine, sachant qu’il y en a 26 pour lui et le même nombre pour elle pour une alternance tous les quinze jours.

Une fois de retour à la maison, nous ne résistons pas longtemps à l’envie de tester ce que renferment ces cartes à gratter. Une partie perdue de shifumi plus tard, c’est moi qui m’y colle en tirant la première au sort. Sans anxiété particulière mais avec une excitation non dissimulée, je prends une pièce de un Euro et découvre frénétiquement la surprise qui se cache en-dessous. A la lecture silencieuse du gage un petit sourire se dessine sur mon visage. 

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 « Faites l’amour à votre partenaire en restant uniquement au-dessus et en vous en servant comme jouet sexuel. Soyez dominatrice, tout vous est permis.

 Ah, ah ! Les rôles s’inversent ! L’habituelle soumise lorsque nos envies de BDSM nous prennent devient Maîtresse le temps d’un jeu. J’ai une semaine pour réaliser ce gage, c’est à moi de choisir le moment et il devra s’y plier. Dans mon cerveau libidineux j’imagine déjà plusieurs scénarii afin de surprendre mon homme.

Quelques hésitations plus tard nous voilà vendredi. Franck termine à 23h00, ce qui le fait généralement arriver une demi-heure plus tard, trois quart d’heure au maximum. Il n’aura pas mangé aussi je m’assure qu’une pizza tout juste sortie du four l’attende lorsqu’il franchira la porte. Après un accueil chaleureux (une grosse pelle en somme), je le sers le temps qu’il se mette à l’aise avant de m’éclipser dans la chambre pendant qu’il mange.

Mon homme engloutit sa poulet/barbecue à toute vitesse. Je sais qu’il a terminé car j’entends le bruit du zippo qui claque après qu’il se soit allumé une clope. C’est le signal que j’attendais pour faire mon retour dans le salon. Il a à peine le temps de poser les yeux sur moi que je suis déjà près de lui à lui prendre sa cigarette des mains. Avec mon air le plus provocateur possible je tire une latte et l’écrase dans le cendrier.

  • « Tu fumeras plus tard. Pour le moment tu es à moi, bébé ! »

Sans lui laisser le temps de répondre je fais sauter tous les boutons de sa chemise en l’ouvrant d’un coup sec. Je me saisis des deux pans ainsi dissociés afin d’obliger Franck à me suivre dans la chambre. Marchant à reculons, je vois son regard brûlant me détailler. Un corset seins nus en cuir et des cuissardes mi-cuisses à talons aiguilles en latex pour seuls vêtements, je n’ai aucun mal à deviner son érection naissante qui doit tendre son boxer.

  • « A poil et allonge-toi sur le lit bébé ! », lui lançai-je une fois la porte de la chambre fermée.

Ni une, ni deux, Franck ne se fait pas prier pour obtempérer. Mon impression était la bonne quant à l’effet produit par ma provocation. Il bande comme un âne et sa queue se dresse fièrement vers le plafond une fois étendu sur le lit. Mais son chibre n’est pas mon objectif prioritaire pour le moment, et alors qu’il s’apprête à parler je le fais immédiatement taire en montant sur le lit pour l’enjamber et lui coller ma chatte sur la bouche.

  • « N’oublie pas que t’es mon jouet bébé. Alors lèche-moi ! »

Encore une fois mes ordres sont pris au pied de la lettre et sa divine langue se met en action. Je laisse mon homme œuvrer à sa guise tellement il a l’art de me faire reluire. La pointe de sa langue taquine l’entrée de ma vulve en écartant doucement mes lèvres intime, puis il lui fait suivre le sillon de ma fente jusqu’à s’enrouler autour de mon clitoris dardé d’excitation. Une bonne dizaine de minutes de ce traitement m’amène aux portes de l’orgasme.

Juste avant de jouir une première fois je fais un demi-tour et me retrouve devant la verge de mon homme qui n’a pas ramollie, bien au contraire. Je décolle dans un râle de plaisir intense que j’étouffe en prenant son sexe en bouche. Franck ne me laisse pas redescendre, il continu à me lécher jusqu’à ce que ses doigts ne prennent le relai. Notre 69 devient endiablé, ce sera à qui se montrera le plus bestial. Ma main droite sur ses couilles, je lui taille une pipe des plus voraces.

Il se raidit, soupir de plus en plus fort, je le sens sur le point d’exploser dans ma bouche. Non ! La liqueur de corps d’homme dont je raffole ça sera pour plus tard. Je le laisse au bord de l’éjaculation et me retire.

  • « Tu ne crois pas que j’allais te faire jouir aussi facilement, bébé ? », lui-dis en m’allongeant à ses côtés.
  • « Mais je n’en espérais pas moins, chérie… », me répondit-il avec un sourire carnassier. 

Un joint et une discussion sur le pourquoi du comment de la dérive de la société libérale vers le capitalisme plus tard (non je déconne pour la deuxième…) j’enjambe à nouveau mon homme transformé par la magie d’une carte en jouet sexuel, et après une savante masturbation qui lui redonne toute sa vigueur, m’empale délicatement sur mon braquemart dressé.

Non ce n’est pas de la magie, mais sans bouger le moins du monde je lui arrache des soupirs de contentement qui n’ont rien d’anodin. Enfin quand je dis sans bouger, c’est extérieurement parlant, car à l’intérieur mon vagin se fait malicieux et terriblement pervers. Voir Franck dans cet état me fait sourire car je sais à quel point les contractions de ma chatte que je diffuse à volonté de haut en bas, puis de bas en haut, le rendent fou. C’est comme un étau chaud, humide et moelleux qui se serre puis se desserre sans discontinuer le long de sa verge. 

  • « Tu sais que je peux te faire éjaculer comme ça, bébé ? », lui soufflai-je dans un murmure provocateur.
  • « Oh putain ! Oui je sais Rox ! », grommela-t-il en essayant de se contenir au maximum.
  • « Non… Pas comme ça… »

Je me dégage de sa délicieuse bite autant pour le laisser reprendre son souffle que pour me saisir du tube de lubrifiant qui est habituellement dans le tiroir de la table de nuit. Mon anus ainsi enduit d’une noix de gel je reprends position au-dessus de mon homme avant de diriger sa queue entre mes fesses d’une main experte. Son gland idéalement positionné, je me laisse tout doucement glisser et sentir mon cul se dilater.

Je commence à bouger doucement, puis de plus en plus vite, montant et descendant sur cette bite qui me sodomise. Joignant l’agréable à l’agréable, l’index et le majeur de ma main droite s’enfoncent sans retenue dans mon fourreau trempé. A ce rythme il ne me faut pas longtemps pour toucher à nouveau les étoiles et c’est cette fois une large coulée de cyprine qui dégouline de ma chatte pour s’étaler sur le ventre de mon amant et amour.

  • « Oui ! Ouiiiii !!! Putainnn tu me fais jouir !!! », hurlai-je presque en oubliant que nous ne sommes pas seuls à la maison.

L’orgasme était si violent que je m’écroule toute tremblante sur Franck, expulsant par la même sa queue de mes fesses. A ce moment sa tendresse et ses baisers sont les bienvenus et me permettent de redescendre tout en douceur lovée contre son corps.

Mon mec n’ayant pas éjaculé, si je veux réussir mon gage, je vais être obligée de remettre ça tout à l’heure… Mon dieu que la vie est dure !!! *sourire* 

Ecrit par Roxanne

A suivre : Jeudi 26 mai

Par Decadent Laboratory - Publié dans : JOURNAL D'UN COUPLE LIBERTIN
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Mercredi 18 mai 3 18 /05 /Mai 09:52

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Samedi 14 mai

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Première rencontre via Netech et échec total ! Voir même une catastrophe. Pourtant cela avait bien commencé lorsque nous avons fait connaissance autour d’un verre du côté de République. Joséphine et Martial sont un couple dans la quarantaine qui présente plutôt bien et est sympathique. Certes nous avons rapidement vu que nos passions, hormis le sexe, n’avaient pas grand-chose en commun, mais pour une soirée le feeling passait plutôt bien.

La mise en condition réussie et ne pouvant pas recevoir en ce moment faute de domicile fixe, nous voilà invités chez eux pour poursuivre plus avant notre découverte mutuelle. Et pour une découverte s’en fut une ! A peine avons-nous franchis le palier qu’une odeur presque nauséabonde envahie mes narines. Mon homme ayant deux chats, j’identifie de suite qu’une litière doit croupir dans un coin sans avoir été changée depuis des semaines. Je vous passe les autres détails mais c’est un véritable dépotoir.

Pas possible d’aller plus loin. Nous essayons de le leur faire comprendre poliment mais ils ne comprennent pas. Du coup nous mettons les choses bien au clair et après un demi-tour à 180° nous voilà de retour dans la voiture en fulminant contre l’escroquerie que représente ce couple.

Après nous être calmés autour d’un cocktail du côté de Saint-Michel, nous réfléchissions au meilleur moyen de passer outre ce début de soirée gâché. Nous envisageons d’aller en club mais cela nous obligerait à repasser par la maison pour nous changer. Option rapidement écartée car il y a de grandes chances que nous ne bougions plus de notre lit. Le Beverley que l’on doit tester depuis un moment ? Mouais mais non, on n’est pas trop dans le trip ultra hard ce soir. Ça sera pour une autre fois.

Sinon nous sommes à côté de la rue Saint-André des Arts me fait remarquer Franck avec un regard malicieux. Euréka ! Effectivement le théâtre Chochotte est une excellente idée. Le compromis parfait entre sexe et sensualité.

Ni une, ni deux, nous voilà à l’entrée où le patron nous reconnait. Si en semaine et surtout en journée, seuls des hommes regardent les divers spectacles qui s’enchaînent à l’étage du dessous, le weekend il arrive assez souvent que des couples viennent aussi jouer les voyeurs. Pourtant, vu la ristourne à laquelle nous avons droit, il y a fort à parier que la gente féminine n’est pas très présente ce soir.

Bingo ! Les trois rangées de sièges formant un demi arc de cercle autour de la scène ne sont occupés que par des hommes qui voient mon apparition comme une apparition divine. Au centre, deux femmes en tenue gréco-romaine dansent sensuellement avant de s’adonner aux plaisirs saphiques pour la plus grande joie de ces messieurs.

Franck et moi trouvons une place réservée aux couples un peu à l’écart au fond de la salle. Une place qui nous permet de voir et d’être vus sans pour autant nous retrouver entourés d’un troupeau de mâles en manque. Le regard intense et malicieux de mon homme me laisse à penser que nous n’allons pas nous contenter de profiter du spectacle.

Mon impression se confirme une dizaine de minutes à peine après notre arrivée lorsque je sens sa main s’aventurer sur ma cuisse voilée de nylon noir. Mon attention absorbée par le 69 lesbien qui se déroule quelques mètres plus loin, je me laisse faire sans résistance. Mes jambes s’écartent automatiquement et c’est avec un soupir étouffé que ma chatte dépourvue de la protection d’une culotte accueille en elle deux doigts puissants. Franck me branle lentement, doucement mais profondément. Je m’abandonne totalement et me laisse couler dans le canapé sans aucune pudeur.

La plupart des spectateurs laissent de côté le show lesbien pour se tourner vers nous en espérant tous être conviés à nous rejoindre par mon homme. Mais ce soir ce n’est pas dans ses intentions, il me garde pour lui. Et alors que je sens un premier orgasme monter en moi, Franck se redresse pour libérer sa queue déjà parfaitement raide avant de me la planter dans le ventre d’un puissant coup de reins.

Les jambes relevées et écartées, mon mec me maintient dans cette position en me saisissant pas dessous les genoux. Plus il accélère ses vas et viens, plus son regard se fait intense. Je jouis une première, puis une deuxième fois. Mes soupirs se muent en cris qui résonnent dans la salle au rythme des coups de bite de Franck.

C’est au moment où les portes du nirvana s’ouvrent devant moi pour la troisième fois que mon homme se retire de mon ventre en fusion pour diriger sa verge gorgée de sang vers mon visage. J’ai à peine le temps d’aller chercher mon clitoris pour me finir à la main qu’une première giclée de foutre chaud s’étale sur mes cheveux et sur mon front. La seconde et sa jumelle m’atteignent en pleine figure. J’adore le sperme, aussi à l’aide ma main libre je rabats vers ma bouche le plus possible de cette liqueur blanchâtre dont je raffole.

Une fois rhabillé, Franck vient se rasseoir près de moi. Notre baiser post coït est long et langoureux, comme à chaque fois. La seule différence est que cette fois il est accompagné par une salve d’applaudissement provenant des hommes qui nous ont regardé. J’avoue que cette expérience a été terriblement excitante. A renouveler ... 

Ecrit par Roxanne

A suivre : Vendredi 20 mai

 

Par Decadent Laboratory - Publié dans : JOURNAL D'UN COUPLE LIBERTIN
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Lundi 16 mai 1 16 /05 /Mai 10:37

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INTRODUCTION

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Une petite présentation un peu plus approfondie s’impose avant de commencer ce journal. Nous nous prénommons Roxanne et Franck, nous avons respectivement 29 et 42 ans (au moment des faits), et nous habitons en région parisienne. 

Nous sommes ensemble depuis un peu plus d’un mois (toujours au moment des faits) mais nous nous connaissons depuis presque sept ans. Je ne vous dirais pas que le coup de foudre existe, mais presque. En tous cas je suis tombée amoureuse de Franck très rapidement. Je me souviens comme si c’était hier que son charisme, sa prestance et surtout son regard d’une intensité rare m’ont faite fondre littéralement. 

Malheureusement, à cette période, toute relation me paraissait impossible et j’ai dû enfouir au plus profond de moi le secret de mon attirance. Non seulement je n’avais pas senti la réciprocité de mes sentiments, mais nos situations à chacun ne me permettait aucun espoir. De mon côté j’étais en couple et je venais juste d’apprendre que j’étais enceinte, quant à Franck il préparait son mariage. 

Six ans plus tard, les choses avaient bien évolué et tout s’est bousculé rapidement. Mis à part une magnifique petite fille prénommée Charlotte, ma relation avec Thierry (mon ex compagnon maintenant) fut un désastre. Cet homme à qui on aurait pu donner le bon dieu sans confession était en fait un invétéré queutard qui, en plus, se permettait d’être possessif au point de refuser et de ne pas comprendre mon penchant pour le libertinage. Pour ce qui est de Franck, son mariage s’étiolait chaque jour un peu plus jusqu’à ce qu’un évènement inattendu ne lui donne le coup de grâce. 

Alors que de mon côté j’essayais de m’extirper de ma relation en entamant une liaison avec une femme, le retour d’une ex dans la vie de celui qui allait devenir (bientôt) mon homme allait faire exploser ce qu’il restait de son mariage. Magali, c’est son prénom, lui retourna le cerveau au point qu’il vint me demander mon aide afin de l’aider à la conquérir définitivement. A ce moment-là il n’était pas encore au courant des sentiments que j’avais pour lui. Cependant ma décision était prise : je me devais de tenter moi aussi ma chance au risque sinon de le regretter toute ma vie. 

Je vous passe les détails des six mois qui s’écoulèrent depuis ces retrouvailles, pour celles et ceux que ça intéresse il vous suffit de lire la rubrique : 

Petit règlement de compte entre ami(e)s 

En tout état de cause j’ai tout essayé afin de jouer ma carte et je n’ai pas à en rougir mais ces tentatives se soldèrent par autant d’échecs douloureux tellement les sentiments qui les unissaient semblaient forts. Pourtant la solution était simple et me fut inspirée par une amie qui gagnerait à ouvrir un cabinet de psychologue ou à embrasser la profession de profileuse. Vu le comportement de Magali il suffisait de tout faire pour qu’ils se mettent pleinement ensemble et de la laisser tout gâcher. Je dus prendre sur moi car j’avais peur que finalement cela marche entre eux mais je m’effaçais et les laissais vivre leur histoire… Qui dura trois semaines avant que le conseil de Sonia ne s’avère une excellente piste.

La chance qui s’offrit alors à moi je ne la laissai pas passer. Chaque jour qui passe depuis le 21 avril est une pierre de plus qui s’ajoute à l’édifice de notre amour. Nous avons les mêmes centres d’intérêts, les mêmes passions que sont la moto, le cinéma, le rock et bien entendu ce qui nous intéresse ici : le sexe ! 

Franck est mon compagnon, mon confident, mon amour, mon amant et mon Maître. Libertins dans nos vies respectives, nous évoluons maintenant en couple dans ce milieu. Aussi pervers et imaginatifs l’un que l’autre, nous fréquentons différents clubs de la Région Parisienne (le We, les Chandelles, le Château des lys, le Rituel Foch ou le Cris et chuchotements) et avons un compte certifié sur Netéchangisme. Nous faisons aussi parti d’un cercle libertin privé, le Cercle d’O, que j’ai créé avec une amie et qui compte maintenant une vingtaine de membres. 

Au travers de ce journal nous vous proposons de nous suivre dans notre vie de couple faite de luxure et de perversions (mais pas que, heureusement) afin de vous faire découvrir les joies mais aussi les aléas de ce milieu. 

Si des couples sont intéressés par une rencontre, n’hésitez pas à nous contacter. Nous n’accepterons pas forcément si le feeling ne passe pas (c’est le principe dans le libertinage), mais nous vous promettons de vous répondre. 

Bonne lecture et peut-être à très bientôt, Roxanne & Franck. 

Ecrit par Roxanne 

A suivre : Jeudi 12 mai 2016

Par decadent - Publié dans : JOURNAL D'UN COUPLE LIBERTIN
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Lundi 16 mai 1 16 /05 /Mai 08:02

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Jeudi 12 mai 2016

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Le noir est total. Le bandeau placé sur mes yeux me prive totalement de ce sens primordial qu’est la vue. Lorsque les mains de Franck se posent sur mon corps la sensation s’en trouve décuplée. Le son du tissu de ma nuisette qui crisse sous les caresses de mon homme bourdonne à mes oreilles et se mêle au bruit métallique des menottes qui maintiennent mes bras levés et écartés au-dessus de ma tête. 

  • « Tu sais que tu es magnifique ma belle salope ? », me souffle mon homme à qui j’aime m’offrir ainsi totalement.

J’aimerais pouvoir lui répondre mais le bâillon qui obstrue ma bouche m’en empêche en ne laissant passer que des sons indéchiffrables au commun des mortels. Franck monte sur le lit. Je l’entends, je le sens lorsqu’il se place à califourchon au-dessus de moi. Ses mains puissantes empoignent sans ménagement la partie du corps qu’il aime tant chez moi : mes seins. Je gémis en sourdine alors qu’il agasse leurs pointes en les pinçant puis en les étirant. Le mince rempart formé pas le satin de ma nuisette n’empêche aucunement cette légère douleur qui, loin de me calmer, m’excite encore plus.

Puis, d’un coup, un craquement me fait sursauter. Ma nuisette vient de céder sous les assauts de mon homme. Un deuxième, puis un troisième (il a été obligé de s’y reprendre à deux fois) me fait savoir que la culotte assortie a subit le même sort pour finir en lambeau aux pieds du lit. 

  • « Relève les genoux et écarte les jambes. », me lance Franck sur un ton sec et autoritaire qui me trouble encore plus. Je m’exécute alors que ma respiration s’accélère. 

Je sens alors un liquide tiède et poisseux couler sur mon sexe avant que les doigts de mon homme ne viennent l’étaler tendrement sur mes lèvres intimes qui s’écartent de désir pour lui. Puis c’est au tour de ma vulve de s’ouvrir au passage d’un index et d’un majeur inquisiteur. Mes poignets sont légèrement meurtris par les menottes alors que je me contorsionne de plaisir au passage de celui que je devine comme son annulaire. Franck fait aller et venir ses doigts en moi, les écartant par moment afin que ma chatte se dilate encore plus.

Son petit doigt rejoint bientôt ses camarades. Une sorte de calme avant la tempête qui va ravager mon corps lorsqu’il fera pénétrer son pouce. Je sais que c’est ce qu’il veut, et je le veux plus que tout moi aussi. J’aimerais pouvoir lui dire, lui hurler : « Viens bébé ! Viens ! Déchire-moi la chatte ! J’en peux plus ! », mais mon bâillon m’en empêche. Heureusement mes soupirs atténués mais néanmoins profonds ainsi que les premières gouttes de sueur qui perlent sur ma peau trahissent ce désir qui me tord l’estomac.

La progression de cet ultime appendice mêle douleur sensuelle et plaisir explosif. Lorsque mon sexe cède complètement sous la pression et que ma vulve se referme sur le poignet de mon homme un puissant orgasme me fait décoller dans un autre monde. 

  • « Vas-y ! Jouis bébé ! Jouis ma salope ! », dit Franck sans bouger sa main pour m’accompagner au nirvana. 

Il ne me laisse qu’une dizaine de secondes pour reprendre mes esprits avant de me renvoyer au septième ciel par des mouvements tout d’abords doux, puis beaucoup plus intenses. Un deuxième, un troisième, puis finalement un quatrième orgasme plus tard me font rendre les armes. Je suis repue, essoufflée, toute tremblante. 

  • « Redescend doucement chérie… Je t’aime Roxy. Tu es si belle quand tu prends ton pied. », me souffle cet homme que j’aime tant tout en me détachant. 

Ses douces caresses accompagnent mon retour sur terre et une dizaine de minutes plus tard, après un long et langoureux baiser, je glisse le long de son corps afin de ma bouche ne lui offre ce plaisir qu’il mérite tant. Une longue fellation plus tard, sa bite tendue à l’extrême expulse sur mon palais de puissants jets de sperme chaud et onctueux que je ne me prive pas d’avaler.

Quel putain de pied me fait prendre mon homme ! 

Ecrit par Roxanne

A suivre : Samedi 14 mai

Par decadent - Publié dans : JOURNAL D'UN COUPLE LIBERTIN
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Le poids des mots, le choc des photos, l'impact des vidéos !

Pour faire encore plus simple, du sexe, encore du sexe, toujours du sexe et ce sous presque toutes ses formes.

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Notre journal... Celui d'un couple qui aime le sexe et qui l'assume pour une vie épanouie faite de plaisirs et de complicité sans faille.

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Un rubrique faite pour celles et ceux qui pensent que jouer (modestement) avec les mots peut être aussi excitant, voir plus, qu'une suite de photos ou de vidéos.

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Pas vraiment besoin de description pour ce qui suit. Des séries de photos d'amatrices tout simplement.

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De nombreuses vidéos dans de nombreuses catégories qui ne manqueront pas de provoquer une hausse du chiffre d'affaire de Kleenex. Elles ont toutes été choisies par nos soins et visionnées en couple.

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Comme son nom l'indique c'est un petit règlement de compte personnel. Enfin, pour être franche c'est surtoit moi (Roxanne) qui tenait à ce que cette rubrique soit présente. Eh ouais, même si je ne suis pas la principale concernée (quoique j'ai bien mangé quand même), j'ai la rancune plus que tenace.

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ERRATUM

Petite précision qui a son importance concerant la rubrique "Petit règlement de compte entre ami(e)s"... Pour ne pas qu'il y ait de malencontreuses coïncidences, les prénoms des protagonistes ont été changés. Par exemple, le compagnon de la protagoniste principale suce nommée (oui je sais ça ne s'écrit pas comme ça mais ça me fait rire), ou pour être plus précise le "plouc", ne se prénomme pas Laurent et n'habite pas Chaussy dans le Val d'Oise. En tous cas selon les informations fournies par la CAF.


A moins que... Noooooon !!! Des gens si honnêtes et si vertueux que ça ce n'est pas possible ! J'ai vraiment l'esprit mal tourné ! Après, par souci de clarification, si cela pose problème, on peut toujours aller leur demander de procéder à une vérification des pièces justufucatives fournies ? Non ?  

Ce point éclaircie, je vous souhaite une bonne lecture... "Amicalement", Roxanne ou chérie coquine.

Nous

Couple libertin de région parisienne, vous aurez vite compris que le sexe tient une place primordiale dans notre vie. Pour le reste nos adorons le rock, les Harley, les voyages et plein d'autres choses dont vous vous foutez royalement. Non ? Bandes de menteurs !

 

Détenteurs d'un compte couple certifié sur Netéchangisme, voici notre annonce :

 

Le libertinage et ses plaisirs n'ont de sens que lorsqu'ils sont vécus au sein d'un couple à la complicité sans faille ... Roxanne (29 ans) et Franck (42 ans), notre indéfectible amour ne nous empêche aucunement d'être des épicuriens convaincus et des adeptes assidus des plaisirs de la chair ... Le feeling, la complicité et la séduction tiennent une place importante dans notre recherche qui s'oriente vers des couples à la partie féminine bisexuelle ou vers des femmes elles aussi tentées ou pratiquant les plaisirs saphiques ... Nous ne ferons pas une liste des pratiques que nous acceptons ou nous refusons, mais n'hésitez à nous contacter afin d'en savoir plus. Cela sera peut-être le début d'une belle amitié et plus si affinité.

 

Si elle vous intéresse et vous correspond, n'hésitez pas à nous contacter à l'adresse suivante :

decadent.laboratory@outlook.com

 

Dans le cas contraire, on vous souhaite une bonne visite et surtout : NE SOYEZ PAS SAGES !!!

 

Roxanne & Franck

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