----------

(Ou éloge du croisement d'une pute et d'un plouc)

----------

Petite précision qui a son importance avant de commencer... Pour ne pas qu'il y ait de malencontreuses coïncidences, les prénoms des protagonistes ont été changés. Par exemple, le compagnon de la protagoniste principale suce nommée (oui je sais ça ne s'écrit pas comme ça mais ça me fait rire), ou pour être plus précise le "plouc", ne se prénomme pas Laurent et n'habite pas Chaussy dans le Val d'Oise. En tous cas selon les informations fournies par la CAF.

A moins que... Noooooon !!! Des gens si honnêtes et si vertueux que ça ce n'est pas possible ! J'ai vraiment l'esprit mal tourné ! Après, par souci de clarification, si cela pose problème, on peut toujours aller leur demander de procéder à une vérification des pièces justufucatives fournies ? Non ?  

Ce point éclaircie, nous pouvons commencer... "Amicalement", Roxanne ou chérie coquine.

----------

Magali R. et Laurent D. forment un couple magnifique. Ils ont aussi peu de considération mutuellement qu’ils en ont pour les autres. Oubliant toutes les conventions je vais commencer par le type (désolée mais l’appeler « homme » ou même « mec » je n’y arrive pas).

Laurent D. qui n’a pourtant pas loin de la quarantaine à tendance à se comporter comme un adolescent attardé. Frustré par une vie qu’il aurait certainement voulue plus passionnante et prétentieux au point de penser que n’importe quelle nana peut tomber sous le charme de son immense « charisme », ce Brad Pitt du pauvre a si peu de respect pour les femmes qu’il s’imagine qu’il suffit de les complimenter sur leur cul pour qu’elles se comportent comme lui le fait habituellement. Désolée pour toi Laurent, mais je ne suis pas la dernière des putes qui écarte les cuisses et trompe son mec (oui cet abruti pensait que j’étais encore en couple au moment des faits) au moindre frémissement. Surtout que pour un éventuel frémissement il aurait fallu que tu sois un minimum mignon et intelligent ce qui est loin d’être le cas. A ta décharge, ta compagne actuelle, Magali R., ne t’aide pas à considérer autrement les femmes vu son comportement actuel et passé, mais nous y reviendrons quand je m’occuperai de son portrait.

Pitoyable mélange de Golum pour le physique et de Caliméro pour le caractère (vous trouverez mon ode complète dans la partie dédiée aux publications), ce mollusque au QI d’huitre (ce n’est pas moi qui le dit mais sa « chère » compagne) a cru que j’étais tombée sous son charme. Lequel me direz-vous ; je vous rassure je me le demande aussi. Prit la main dans le sac, ce pauvre type incapable d’assumer ses actes a tout d’abord tenté de pleurnicher sur son sort en mode « c’est beaucoup trop injuste » avec une coquille d’œuf sur la tête avant d’inventer une grosse théorie du complot digne d’un film hollywoodien pour essayer de se dédouaner.

Le problème pour ce genre de personnage qui crie à qui veut l’entendre qu’il est un chantre de vertu est qu’à la moindre faille dans son rempart de fausses valeurs c’est tout le fragile château de cartes qui s’effondre. Insultant celui qui « tourne » autour de sa femme en disant que seul un enculé drague une nana qui est en couple, c’est à deux reprises qu’il prouvera qu’il n’en est pas la moitié d’un (enculé) et qu’en plus il n’en est pas à son coup d’essai puisque c’est de cette manière qu’il a eu Magali R., allant même jusqu’à poignarder dans le dos l’un de ses amis pour arriver à ses fins. Mais bien sûr, à l’écouter, il n’est coupable d’aucune de ses trahisons et est la victime de ces femmes manipulatrices et machiavéliques qui ont profité de sa faiblesse et de sa bienveillance. Un vrai gentleman…

Mais ce n’est pas le pire puisque nous apprendrons aussi un autre de ses penchants : le vol. Ce dernier étant teinté d’hypocrisie puisque le masque tombera le jour où, implorant en pleurant le pardon de sa dulcinée cocue, il en profitera pour se remplir les poches. Déposant, en grand seigneur, de la main gauche les bijoux qu’il lui avait offerts afin qu’elle les garde, il se remboursera de la main droite en fouillant dans son porte-monnaie. Et le plus beau reste à venir puisqu’à la suite d’une touchante publication facebookienne dans laquelle il met en avant l’amour qu’il porte à cette famille qui l’avait accueillie, il oubliera de mentionner que durant son anniversaire justement célébré par cette si gentille famille, il se servira lui-même dans le sac de son hôte (la mère de sa compagne) afin d’agrémenter de quelques euros (une centaine) son cadeau. Sa lâcheté n’ayant pas de limite, c’est en « adulte responsable » qu’il laissera les enfants de sa compagne se faire suspecter. Vous comprenez maintenant pourquoi j’ai tant de mal avec les qualificatifs « homme » et « mec » le concernant.

Dérapage incontrôlé ou habitude ? Malheureusement aucune éclaircie dans ce tableau bien noir puisque les mensonges ainsi déterrés et les cadavres sortis du placard, apporteront la réponse à cette question. Ce cher Laurent D. a toujours eut une tendance à soulager autrui de quelques biens, tant au sein du cercle familial que professionnel. Si certains d’entre vous n’ont jamais reçu leurs colis à une certaine époque, ne cherchez plus, c’est certainement pendant la période durant laquelle cet être vertueux travaillait à la Poste. Choisissant d’éviter un scandale embarrassant, cette entreprise qui a pignon sur rue, préféra lui offrir de démissionner que de porter plainte. Et ce n’est pas la première fois…

Enfin bref, le portrait de celui qui sera bientôt surnommé Golouméro étant maintenant établi, passons à celui de sa compagne qui fut aussi une amie « chère », j’ai nommé Magali. Durant longtemps il n’a jamais été question de l’inclure dans cette publication qui devait rester une histoire entre Laurent D. et moi ; Magali étant une personne qui malgré quelques tensions dues à nos caractères respectifs était une fille que je considérais comme une personne bien, juste victime d’un faux cul de première qui lui pourrissait la vie avec ses mensonges.

Pourtant le comportement qu’elle a eu dernièrement m’a faite changer d’avis. Ce qu’elle a fait subir à l’homme que j’aime et que je lui ai laissé parce que j’étais persuadée que leur bonheur respectif passait par le fait que je m’écarte est impardonnable. Et lorsque j’ai osé lui dire ce que je pensais de son comportement, d’amie qu’elle ne savait pas comment remercier pour mon aide et mon sacrifice quelques temps auparavant, je suis devenue la pire des salopes.

Magali, malgré tout ce qui s’est passé ces derniers moi avec Franck, nous t’avons accueillie dans notre milieu sans rancune ni griefs. En échange tu n’avais qu’une chose à faire : respecter la parole que tu as donnée. Oui, tu trouves peut-être ça con, mais dans ce milieu que tu as voulu côtoyer donner sa parole est un engagement qui ne se reprend pas trois semaines plus tard. Sinon il faut être prête à en assumer les conséquences.

Tu avais donné ta parole à Franck de tout essayer pour réussir votre couple et tu n’as pas tenue plus de trois semaines. Il t’en a fait une en retour sur la manière dont il allait régler ça tu verras ce que cela veut dire avoir une parole. Mais tu as raison sur un point, cela ne me regarde pas. Par contre, à moi, tu m’avais fait la promesse de tout faire pour le rendre heureux et ne jamais lui faire de mal. C’est cette parole sur laquelle tu as craché en te comportant comme une merde d’une lâcheté impressionnante à son égard que moi je te fais payer aujourd’hui.

D’autant plus que j’ai appris ces derniers jours que tu me traites de menteuse derrière mon dos, n’est-ce pas mon « amie » ? Certainement influencée en ce sens par l’autre abruti à qui tu as oublié de transmettre mon avertissement il y a quelques semaines. En fait l’un comme l’autre vous êtes pitoyables, l’un parce que c’est sa nature, l’autre par ce qu’elle n’a pas la force nécessaire pour s’en sortir.

Chère Magali, ce n’est pas parce que tu as testé la carrière de pute pendant quelques mois (voir nos échanges pour les plus curieux) qu’il faut te sentir obligée d’appliquer ce mode de vie jour après jour. Un livreur de pizza, ton moniteur d’auto-école ou encore un autre ami de ton ex (il parait qu’il t’a offert une superbe tenue d’infirmière d’ailleurs) n’étant qu’une liste non-exhaustive de tes nombreux amants, il faut croire que seul le TGV ne t’est pas passé dessus ; en même temps, si ça se trouve, c’est juste parce que c’était jour de grève à la SNCF. Au début de tes échanges avec Franck (voir « les origines ») tu dis être volage, mais il faut croire que le mot est faible.  

Peut-être que Franck va m’en vouloir de tout ce déballage, qu’il ne me pardonnera pas, mais j’en prends le risque. Maintenant, même si je te rassure il ne veut plus entendre parler de toi, de mon côté je suis sûre dorénavant que tu ne viendras plus lui pourrir la vie avec tes mots doux qui puent le mensonge et tes promesses que tu es incapables de tenir. Je prends le risque car c’est souvent à ce prix qu’on tient la parole qu’on a donné. Et même si je sais que tu ne peux pas comprendre cet état d’esprit, tu vas l’apprendre car nous on va te montrer ce que c’est.

Je vous invite donc chers lectrices et lecteurs à vous régaler de cette histoire digne des meilleurs soaps, le tout accompagné de quelques commentaires acerbes de ma part (en rouge au milieu des textes) permettant, outre de me défouler, de vous offrir un décryptage éclaircissant certains faits.

Bonne lecture de ces échanges et bon visionnage des photos.

Cordialement, Roxanne.

P.S. : Je dois quand même avouer que tu es forte Magali, franchement très forte. Car arriver presque à auto-persuader Franck que s’est lui qui est venu te chercher et que c’est lui qui a essayé de te faire rompre avec l’autre plouc, c’est énorme ! Comme quoi l’amour et surtout la passion rendent aveugle même les plus forts mentalement. Ce qui est dommage pour toi c’est que si les paroles s’en vont (surtout la tienne), les écrits restent. Du coup, c’est fou comme tout apparait sous un jour nouveau… Pas sûre que même s’il est con comme un manche à balai, Laurent D. (ou Caliméro) apprécie énormément le réel déroulement des évènements qui sont à l’origine de tout ce merdier. Je ne sais pas ce qui va le plus lui déplaire. Le fait que tu avoues être volage et aime volontiers aller voir ailleurs ? Que tu ais caché à Franck que tu allais te marier de peur qu’il te dise stop tout de suite ? Que tu ais tout fait pour pousser Franck au divorce pour ne l’avoir que pour toi ? Ou peut-être qu’à la fin de vos échanges ce soit toi qui vienne le rechercher après la première rupture qui était de son fait ?

---------- 

----------

----------

----------

----------

----------

----------