Mercredi 1 juin 3 01 /06 /Juin 15:39

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Akari Asagiri et ses gros seins dans de multiples situations...

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Format Mp4 - 2.07.31 heures

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Mardi 31 mai 2 31 /05 /Mai 08:39

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Kelly

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Mardi 31 mai 2 31 /05 /Mai 08:37

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Samina

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Mardi 31 mai 2 31 /05 /Mai 08:35

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Morgane

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Mardi 31 mai 2 31 /05 /Mai 08:33

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Johana

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Mardi 31 mai 2 31 /05 /Mai 08:29

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Trinity

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Dimanche 29 mai 7 29 /05 /Mai 17:23

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Mes douces jumelles

Ecrit par Jean Charles

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Durant le week-end, nous avons de nombreuses fois fait l’amour, pressés de découvrir toutes les possibilités offertes par ce trio. Le dimanche après-midi, nous avons installé à même le sol un baisodrome fait de couvertures et de couettes, car mon lit nous paraissait trop petit pour permettre toutes nos envies de mélange. Quelques fois, nos figures audacieuses échouaient, et nous nous étalions par terre, en riant. D’autres tenaient, mais étaient plus athlétiques qu’excitantes. Ce sport technique et agréable nous amusait autant qu’il nous faisait du bien. Et c’est finalement épuisés que nous avons fini le week-end, en regardant un film, mes deux jumelles blotties dans mes bras.

 Malheureusement les meilleures choses ont une fin, elles ont dû rentrer chez elles, car elles travaillaient tôt le lendemain. Nous n’avons pu nous quitter qu’en nous promettant de nous téléphoner dès qu’elles arriveraient chez elles.

 En attendant leur appel, je me suis rendu compte qu’elles me manquaient déjà. J’ai trompé mon impatience sur mon jeu en ligne favori, me suis rué sur le téléphone lorsqu’il a sonné. C’était bien elles qui me téléphonaient en conférence téléphonique. Là, nous nous sommes dit tout ce que nous n’avions pas eu le temps de dire durant le week-end, trop occupés à profiter de nos premières relations à trois. Je leur ai révélé que j’aimerais les avoir de nouveau près de moi ; comme c’était la même chose pour elles, alors nous avons décidé d’habiter tous les trois ensembles, chez elles. Nous étions très excités par cette perspective, nous avons fait de nombreux projets, en laissant notre imagination commander la conversation. Nous ne nous sommes pas rendu compte de l’incongruité de nos paroles, et c’est après avoir raccroché que j’ai réalisé à quel point nos projets étaient éloignés de la réalité du monde, à quel point notre ménage allait être honteux aux yeux de tous. J’ai eu de nouveau la gorge nouée en me rappelant que ça devrait être un secret à garder entre nous trois.

 J’ai écrit la lettre de préavis de mon déménagement le soir même, puis me suis couché, l’esprit rempli d’angoisses concernant notre futur ménage à trois. Sans compter que je me sentais désespérément seul dans mon lit, après l’avoir partagé tout le week-end avec mes jumelles. Je n’ai réussi à m’endormir que très tard, après avoir lu une bonne partie d’un San-Antonio. Le lendemain, j’ai réussi à me libérer assez tôt l’après-midi, et j’ai déménagé les affaires les plus importantes : des vêtements, des affaires de toilette et mon équipement informatique (eh oui, je ne peux pas vivre sans mon ordinateur, il fait office de télévision, de chaîne hi-fi, de console de jeu, de centre commercial ou de bibliothèque). Je rapporterais le reste au fur et à mesure ; de toute façon j’aurais encore la durée du préavis avant de quitter les lieux.

 Une fois installés, nous sommes allés fêter notre début de vie commune au restaurant, puis dans leur grand lit.

 

oooOooo 

Les mois ont passé, j’ai appris à être heureux de ma relation cachée, j’ai pris l’habitude de tempérer en public mon amour pour mes deux femmes, pour le laisser rugir une fois chez nous. Je savais qu’il y avait tout de même quelques commérages de voisinage à notre sujet, mais j’ai vite compris que c’était plus de la jalousie qu’autre chose. Je suis maintenant davantage fier que gêné lorsque je croise le regard de l’un de nos voisins, surtout de ceux qui n’espèrent qu’une chose : être à ma place !

 Nous avons fêté comme il se doit notre première année de vie commune, la soirée a été bien arrosée, j’ai exprimé malgré moi ce qui me titillait l’esprit depuis quelques semaines : devenir père. Là, leurs yeux ont brillé, elles m’ont avoué qu’elles avaient déjà cette idée en tête, mais qu’elles n’osaient pas me le dire, de peur de ma réaction. Nous sommes rapidement passés à un autre sujet de conversation mais l’idée a germé dans nos esprits. Quelques jours plus tard, nous en avons reparlé à tête reposée, et nous avons décidé d’élever tous les trois un enfant, c’était ce qui manquait pour nous combler.

 Mais j’ai eu la maladresse de demander qui voulait le porter. Le ton a tout de suite monté, j’ai assisté à une violente scène de jalousie. Je suis resté penaud en assistant à leur dispute, ne sachant comment faire pour arranger la situation. Les injures pleuvaient, elles semblaient m’ignorer, tout occupées à se blesser verbalement. Je me suis rendu compte que la violence de leurs paroles n’était pas seulement dû à de la jalousie concernant le bébé, mais qu’elle était aussi amplifiée par mon attitude envers elles. J’ai réalisé à quel point mon désir d’avoir deux femmes identiques était malsain, je m’en suis immédiatement voulu à mort.

 Mais qu’est-ce qui m’a pris ! Pourquoi ai-je voulu gommer leurs différences ? Mais je suis un malade mental ! Bien évidemment que cette situation psychologiquement intenable allait tôt ou tard éclater ! Et j’en avais le résultat sous les yeux… Je me sens tellement minable ! Bon, c’est fini, jamais plus je ne les considèrerais comme deux clones.

 Je suis allé vers elles, avec une attitude assurée. J’ai crié pour arrêter la dispute. Stop ! N’ayant pas l’habitude de me voir comme ça, elles se sont calmées, craignant peut-être ce que j’allais leur dire. Je leur ai demandé leurs prénoms, elles ont été surprises, me l’ont dit. J’ai pris Roxanne dans mes bras, lui ai murmuré à l’oreille que je l’aimais pour ce qu’elle était, et pas pour ce qu’elles étaient. J’ai dit cela en prononçant plusieurs fois son prénom. Puis j’ai fait de même à l’oreille d’Annabelle. J’espérais que mon attitude théâtrale suffirait à arranger temporairement les choses. Enfin, j’ai rassemblé quelques affaires, leur ai annoncé que j’allais quelques jours à l’hôtel, tout en leur répétant que je les aimais. Je leur ai promis que j’allais les appeler le soir même. Je l’ai fait, mais pas en mode conférence comme habituellement, mais chacune leur tour en les appelant à chaque fois par leur prénom.

 Le vendredi suivant, je me suis décidé à rentrer chez nous. J’ai acheté deux gourmettes en or massif gravées de leurs prénoms en lettres stylisées. Les soirs précédents, nous avions beaucoup parlé au téléphone, toujours deux par deux. Nous étions allés au fond des choses. Je leur ai aussi demandé de ne plus jamais être physiquement identiques, de toujours avoir quelque chose de personnel sur elles, ne serait-ce que la coiffure si elles veulent quelquefois s’habiller pareil.

 Après qu’elles m’eurent ouvert, je me suis empressé de demander qui était qui, puis je leur ai offert les bijoux. Elles m’ont remercié chaleureusement, je voyais que les chaînettes en or leur plaisaient, j’en étais ravi. Après le dîner, notre désir est naturellement monté plus haut que jamais, après mes quelques jours passés loin d’elles. Leurs corps ont commencé à frôler le mien, elles se sont employées à me caresser en même temps comme elles savent si bien le faire. J’ai repoussé doucement l’une d’elle, au hasard, et lui ai demandé de me laisser quelques heures seul avec sa sœur. Elles ont tout d’abord refusés toutes les deux. Mais j’ai insisté, et elles ont finalement convenu que c’était bien de faire quelques fois l’amour comme tous les couples du monde. J’ai embrassé celle qui allait partir, lui ai promis de m’occuper d’elle dès qu’elle serait revenue.

 Nous avons donc fait l’amour, deux par deux, tendrement. Notre plaisir n’a pas été aussi important que lorsque nous le faisions à trois, mais cela avait un côté nouveau qui finalement était excitant. Je leur ai également laissé leurs instants d’intimité entre femmes, puis nous nous sommes couchés, nos appétits sexuels rassasiés, heureux d’être de nouveau tous les trois dans le même lit. Nous avons repris notre petite vie à trois, sur des bases beaucoup plus saines.

 

oooOooo

 

Mes jumelles sont dans mes bras, dans notre position favorite : moi sur le dos au milieu des deux, mes cuisses coincées contre leurs pubis. Nous venons de faire l’amour, nous profitons du bien-être qui a envahi nos corps.

  • « Je vous aime, mes chéries … »
  • « Je t’aime aussi … », répond Roxanne.
  • « Je t’aime … », dit sa sœur.
  • « Quand est-ce que vous arrêtez vos pilules ? »
  • « Il faut choisir qui le fait. C’est un choix difficile … »
  • « Oui, tu comprends, c’est tellement important pour nous de porter cet enfant. »
  • « Laissons la nature décider alors ! », propose-je.
  • « Mais si on tombe toutes les deux enceintes ? »
  • « Est-ce si grave ? Votre mère vous a bien eues toutes les deux en même temps. »
  • « Oui c’est vrai … »
  • « Mais vous m’en faites qu’un chacune, hein ! Parce qu’avec trois ou quatre gosses, ça ne va pas être sympa ! »
  • « … »
  • « Je plaisante, mes puces … Ne faites pas cette tête ! On verra ce que le sort nous réserve. »
  • « Moi je suis d’accord ! », assure Annabelle.
  • « Moi aussi. On finit le mois en cours et on arrête. »

 

Quelques semaines plus tard, nous avons fêté leurs deux grossesses par une longue et torride étreinte à trois. Enfin à trois plus quelques cellules en pleine mitose …

 

oooOooo

 

Huit mois et demi ont passé, les quelques cellules sont devenues des millions, le ventre et les seins de mes chéries ont gonflé pour leurs donner des silhouettes toutes rondes et tellement sensuelles ! Mais en même temps qu’ont grandi mes enfants (deux petites filles !) dans ces cocons de chair, mon inquiétude à propos de notre famille a crû, pour devenir un poids en moi aussi imposant que celui de mes filles dans le ventre de leurs mères. Eh oui : nous pouvons tous les trois en tant qu’adultes responsables vivre la vie qui nous plaît, mais c’est une tout autre chose pour nos filles ! Elles ont besoin d’une vraie famille comme tous les autres bébés, et pas de deux parents, d’une belle-mère et d’une demi-sœur.

 Quoique finalement je me rends compte que c’est une situation répandue de nos jours, avec tous ces divorces. En plus les parents de ces enfants-là ne vivent pas ensemble, alors c’est encore pire ! Mais ce n’est pas ce que je veux pour mes filles, ce serait tellement mieux qu’elles aient nous trois comme parents. J’ai finalement trouvé la solution de demander de l’aide à un avocat spécialisé dans les affaires matrimoniales.

 Je suis donc en face d’un homme, la cinquantaine, la calvitie naissante, mais d’une belle prestance, ce genre de personne qui nous met rapidement à l’aise. Enfin tout est relatif … Disons que quelqu’un d’autre aurait pu me mettre dans un état de stress bien pire.

  • « Dites-moi en quoi je peux vous être utile. », dit-il patiemment.
  • « Ce n’est pas facile d’expliquer notre situation, nous n’en avons parlé à personne, elle est assez anormale, disons. »
  • « Vous savez, dans mon métier, on voit de tout, surtout en ce qui concerne ma spécialité. Alors n’hésitez pas à m’expliquer en détail votre situation, c’est seulement en connaissant tous les points-clés que je peux être efficace. »
  • « Bien, euh … Voilà, je suis ici car je vais avoir deux filles. »
  • « Félicitation à vous et à votre compagne ! »
  • « À mes compagnes, plutôt, justement le souci vient de là … Je suis en ménage avec deux femmes, et je ne sais pas comment faire au niveau administratif pour la reconnaissance des enfants. » 

L’avocat s’est redressé sur son siège, je sens une certaine excitation dans sa voix.

  • « Voilà qui est intéressant ! Enfin, j’avoue que je préfère cela plutôt que les habituelles procédures de divorce ou contrats prénuptiaux. Je serais ravi de vous aider ! »
  • « Ce n’est pas tout, il y a un autre point qui pourrait compliquer la procédure … »
  • « Allez-y, dites-moi. »
  • « Mes compagnes sont sœurs … », ajoute-je rapidement, comme pour me débarrasser d’une révélation honteuse.
  • « Je vois … Ne vous inquiétez pas, cela ne va pas compliquer plus que ça l’affaire. Bon, si j’ai bien compris, vous souhaiteriez que vos filles aient comme parents vos deux compagnes et vous, pour leur garantir les mêmes droits que les enfants issus d’un couple. »
  • « C’est tout à fait cela. »
  • « Bien, une solution pourrait être d’utiliser la dernière loi sur la famille … » 

Et l’avocat m’explique comment résoudre mon problème que je pensais insoluble. Je suis ressorti près d’une heure plus tard, après avoir réglé tous les détails de son intervention. Je suis soulagé, heureux, léger même. Et plus léger financièrement aussi, mais peu importe. Je n’ai qu’une envie, c’est de rentrer chez moi pour chérir mes deux femmes rondes. J’ai d’ailleurs posé deux semaines de vacances pour ne pas avoir autre chose à faire que de m’occuper d’elles pendant la fin de la grossesse et le début de l’allaitement.

 

oooOooo

  • « C’est une drôle d’idée d’avoir acheté du Champomy … »
  • « J’avais envie de trinquer à notre famille. À votre santé, mes chéries ! »
  • Nous entrechoquons nos coupes puis buvons une gorgée, je fais la grimace.
  • « Pas terrible ce truc … »
  • « Oui, en effet ! », dit Annabelle. « Tu aurais dû acheter un cidre doux. »
  • « C’est ça ! Je n’ai pas envie que vous me fassiez des alcooliques ! »
  • « Bof, avec un verre de cidre … » 

Cela les fait sourire. Nous dînons, puis je leur propose un massage, elles acceptent avec joie. Elles découvrent précautionneusement leurs énormes bedaines et leurs cuisses dodues, s’assoient sur le lit. Leurs seins gonflés se posent sur le haut de leurs ventres une fois leurs soutiens-gorges détachés. Ce que je les trouve attirantes seulement avec leurs shorty mauves ! Elles sont tellement belles avec toutes leurs rondeurs ! Elles s’allongent lentement, se tiennent par la main. Je fais couler de la crème hydratante autour de leurs nombrils érigés comme un étendard au sommet de ces montagnes de chairs. Je commence à les masser ensemble par des mouvements circulaires de plus en plus larges. Que c’est agréable de sentir contre mes paumes leurs énormes ventres durs. Que c’est excitant de caresser ensemble leurs peaux tendues.

 Apparemment cela leur plaît autant qu’à moi, je les vois fermer les yeux pour profiter pleinement de ce massage. Je délaisse un peu Annabelle pour mieux m’occuper de sa sœur, je fais passer mes mains sur tout l’arrondi de son ventre, le presse un peu plus fortement. Je n’en reviens pas du volume qu’il a pris au cours des derniers mois ! Les tailles toutes fluettes de mes chéries sont devenues d’imposants bidons ; tout, de leur pubis à la jointure de leurs seins, s’est courbé pour donner toujours plus d’arrondi à leurs ventres. Leurs poitrines ont gonflé, leurs tétons sont devenus de dures tétines au sommet de ces lourds monts de chair.

 Roxanne met ses mains derrière sa nuque, ce qui tend un peu plus sa grosse poitrine et découvre ses aisselles lisses. Je m’empresse de masser ces formes qui appellent les caresses. Je vois qu’elle se sent bien, mais je ne poursuis pas, je masse sa sœur tout aussi attentivement, elle qui n’attendait que ça.

 Une fois mes deux femmes apaisées, je me glisse entre elles et commence des caresses beaucoup plus érotiques. Je pince leurs tétons pour les faire pointer encore plus, je vois de petites gouttes de lait perler. Prendre dans ma bouche le jus de leurs seins est un plaisir cérébral intense, mon sexe se tend lorsque je lèche un à un leurs tétons. Je caresse à nouveau leurs énormes ventres, puis descends, mes mains disparaissent dans leurs culottes. Là, nous avons tous les trois une réaction, mais tous les trois pour des raisons différentes. Roxanne pousse un soupir de plaisir alors que sa sœur retire gentiment ma main.

  • « Non, mon cœur, je suis fatiguée, je n’ai pas envie de faire l’amour aujourd’hui. », dit Annabelle.
  • « Vous vous êtes épilées, mes chéries ? », demandai-je presqu’en même temps.
  • Je retire mes mains de leurs shorties.
  • « Oui. », répond Roxanne en remettant ma main contre ses chairs intimes. « Continue tes caresses, c’est bon … »
  • « Ça sera mieux pour les naissances. », ajoute Annabelle.
  • « C’est vrai que c’est dans quelques jours ! On fera une séance photo demain pour immortaliser la fin de vos grossesses. »
  • « Si tu veux, mais pour l’instant j’ai envie de toi … », réclame Roxanne. 

Je regarde Annabelle, elle hoche la tête, puis va s’installer sur le fauteuil de notre chambre, bien enveloppée dans une fine couverture polaire. Je reprends mes attouchements entre les jambes de Roxanne, je l’embrasse tendrement alors qu’elle soupire d’aise. Elle enlève son slip puis se met sur le côté, en levant une cuisse pour profiter au maximum de mes doigts qui massent ses lèvres intimes charnues et humides. Ses bras me serrent plus fortement, elle a envie que je sois encore plus proche d’elle, mais son ventre est déjà contre le mien.

Je presse doucement sa poitrine de ma main libre, titille ses tétons durs, alors que l’autre s’active sur sa vulve et que je masse l’entrée de son vagin brûlant avec deux doigts. Cela lui met davantage encore le feu entre les jambes, sa respiration va crescendo à mesure que son désir grimpe. Mes doigts s’enfoncent de plus en plus aisément dans son antre béant et trempé. Bientôt, ils ne lui suffisent plus, elle semble réclamer de tout son corps mon membre dur en elle.

Après un dernier baiser torride, je me relève et l’aide à s’installer au bord du lit. J’agrippe ses cuisses largement écartées puis m’enfonce doucement en elle. Qu’est-ce qu’elle est excitée ! Mon sexe pourtant gorgé de sang s’engouffre dans cet endroit mouillé et brûlant sans que je sente la moindre paroi. La sensation lorsque je commence de lents va-et-vient en elle est étrange, mon sexe n’est pas massé par son vagin comme habituellement, mais il paraît libre dans un endroit de chaleur et d’humidité idéale. C’est davantage les gémissements de plaisir de ma chérie qui m’excitent que la sensation finalement plus frustrante qu’agréable au niveau de mon sexe. Mais c’est par contre un tel bonheur de la voir haletante, gémissante, le visage et le corps secoués par d’intenses frissons ! Elle me demande de la prendre plus brutalement, elle a envie de jouissance, et les lents et amples mouvements de mon bassin ne lui suffisent plus.

Je mets plus d’ardeur dans ma pénétration, mais aussitôt l’image de mon gland en train de frapper sèchement la fine paroi qui le sépare de la tête de ma fille me vient à l’esprit. C’est malin ! C’est un coup à me faire débander d’imaginer des trucs pareils ! Je reprends encore plus lentement que tout à l’heure, mais Roxanne en pousse un gémissement de frustration. Ce gémissement devient une plainte lorsque je me retire de son vagin liquide. Elle passe sa main entre ses jambes pour se masturber violemment, avec trois doigts en elle. Je vais vite chercher un anneau bleu muni d’un petit dauphin, croise le regard brillant d’Annabelle qui nous observe attentivement. Nous nous sourions d’un air complice, nos sourires sont rejoints par celui de Roxanne lorsqu’elle me voit le sexe à l’équerre muni de l’anneau vibrant qui va la rendre folle.

Je m’enfonce de nouveau très lentement en elle, son soupir de contentement de se faire remplir à nouveau est vite remplacé par un petit cri de surprise lorsque le nez vibrant du dauphin touche son clitoris gonflé. Je reste profondément enfoncé en elle quelques instants, puis amorce un mouvement de va-et-vient d’une lenteur extrême. L’association des lents mouvements de mon sexe en elle et des intenses vibrations sur son clitoris la fait déjanter.

J’observe Annabelle alors que je suis profondément enfiché dans le vagin de sa sœur, je vois que le plaisir évident sur le visage de Roxanne a quelque peu réchauffé sa jumelle, elle retire sa couverture et commence à se caresser doucement un sein et le ventre sans nous quitter des yeux. Ses cuisses se desserrent comme malgré elles, je vois son énorme ventre bouger au rythme de sa respiration de plus en plus forte. Elle me sourit, s’avance sur le fauteuil et écarte un peu plus les jambes. Elle a une grosse auréole de mouille contre son entrejambe ! Cette vision me donne une décharge de plaisir, je ferme les yeux pour me concentrer sur mon sexe enfermé dans cet endroit merveilleux qu’est le vagin trempé de celle que j’aime.

Lorsque je les ouvre, je vois son visage transformé par le plaisir, mais surtout son énorme ventre et ses seins gorgés de lait qui bougent au lent rythme de ma pénétration. Je me retire rapidement, éteins le vibreur autour de ma queue, j’ai failli jouir tellement cette vision est excitante. Mon plaisir est monté rapidement, je parviens tout de même à me contrôler pour ne pas éjaculer sur le gros ventre de ma chérie. C’est pratiquement un orgasme qui me secoue les tripes lorsque je sens ma sève monter en moi, mais j’arrive à couper les vannes pour qu’elle ne devienne finalement qu’un petit filet de liquide qui coule de mon gland.

Je m’allonge en respirant bruyamment, je sens mon cœur battre rapidement dans ma poitrine. Roxanne glisse doucement vers moi, prend mon sexe en bouche, l’engouffre lentement en elle. Je crie de plaisir lorsque je sens sa gorge contre mon gland. Elle imprime d’amples mouvements de va-et-vient avec ses lèvres, d’abord lents puis de plus en plus rapides. Je grogne en sentant les contractions de sa gorge contre mon gland, accompagnées du massage de ses lèvres et de sa mâchoire. Je suis encore une fois proche du point de non-retour, obligé de prendre sur moi pour ne pas éjaculer au fond de sa bouche. De nouveau des décharges de plaisir parcourent mon corps alors que je retiens ma sève en moi.

Je la tire doucement vers moi par l’avant-bras, pour lui faire comprendre que ce n’est pas ainsi que j’ai envie de jouir en elle. Elle remonte à mon niveau, colle son ventre contre moi. Nous nous embrassons furieusement, je retrouve un goût étrange dans sa bouche, sans doute celui de mon début d’éjaculation, c’est assez excitant. Je l’aide à se redresser, elle se place précautionneusement sur mon ventre. J’aime sentir son poids sur mes abdominaux, lui qui était si léger pèse maintenant davantage sur mon ventre. Je l’attrape par les hanches, la relève légèrement, glisse pour remonter un peu, puis l’accompagne de mes mains pour qu’elle s’empale très lentement sur mon sexe tendu.

Nos soupirs de plaisir pendant cette pénétration sont simultanés, aussi fort l’un que l’autre. Je déclenche le nez vibrant du dauphin à la base de mon sexe, Roxanne pousse une longue plainte de plaisir. Je l’aide à onduler du corps, pour qu’elle se masse le clitoris avec le vibreur. Je tourne la tête vers ma deuxième femme, elle a toujours les cuisses écartées, elle se masse doucement les chairs intimes à travers le tissu mauve de plus en plus trempé, en observant attentivement sa sœur prendre du plaisir sur mon sexe. Je lui fais signe de venir avec nous, elle accepte immédiatement. Elle profite d’être assise pour enlever sa culotte, se lève lentement et vient s’installer sur le lit comme l’était sa sœur quelques minutes auparavant, le ventre collé à moi.

Je passe une main derrière sa nuque, l’embrasse tendrement pendant que mon autre main lui masse un sein et que les siennes s’occupent de caresser le dos et les cuisses de Roxanne. Nous voir dans les bras l’un de l’autre, associé à sa position assise qui lui appuie davantage le vibreur sur son clitoris gonflé, fait partir Roxanne. Elle crie son plaisir, le visage et les membres tétanisés, je sens les parois de son vagin se contracter sur mon sexe. Son orgasme est rapide, elle est montée pour un haut mais bref pic de plaisir. Elle reste empalée sur ma queue, éteint le vibreur pour reprendre son souffle.

Ma main sur le sein d’Annabelle est descendue pour atteindre sa vulve trempée. Je lui propose de prendre la place de Roxanne mais elle refuse, me dit qu’elle aimerait plutôt être sur moi pour que je la lèche mais qu’elle regrette d’être trop lourde pour le faire. Je souris à cette remarque, lui assure que ça n’a pas d’importance, que tout ce qui compte c’est le plaisir que je vais lui donner. Roxanne et moi l’aidons à s’installer à califourchon sur mon visage. Il est vrai que le poids de son corps rend la position pas très confortable pour moi, mais je réussis à placer ma mâchoire de façon à ce que je puisse la lécher sans que ce soit trop désagréable.

Cependant je garderai ce cunnilingus gravé dans ma mémoire. Qu’est-ce que c’est agréable de lécher une vulve charnue, complètement épilée et gonflée de désir ! Qu’est-ce que c’est excitant de voir son énorme ventre et ses seins gonflés sous cette perspective, oscillant au rythme de sa respiration ! Je sens que Roxanne redémarre le vibreur, aussitôt les ondulations de ses hanches et ses gémissements de plaisir reprennent. Sa sœur gémit également lorsque je commence à lécher ses chairs ouvertes. Pas facile de me concentrer sur les mouvements de ma langue alors que mon sexe est gorgé de sang dans un antre toujours aussi brûlant et humide ! Surtout en ayant deux jumelles enceintes jusqu’aux os en train gesticuler de plaisir sur moi ! Heureusement, Annabelle est déjà dans un état d’excitation avancée, je n’ai pas davantage à faire que de laisser vibrer ma langue contre son clitoris hyper-sensible.

Il ne lui faut d’ailleurs pas plus de quelques minutes pour partir. Son orgasme semble lui venir de très profond en elle, il la submerge peu à peu pour la rendre comme possédée, son corps semble ne plus lui appartenir alors qu’elle visite des sommets lointains pendant un temps infini. Voir sa sœur dans cet état fait partir à nouveau Roxanne, pour un orgasme similaire au premier : rapide et puissant. Cette fois, les contractions de son vagin m’achèvent, je crache puissamment ma semence, toujours profondément enfiché en elle, dans un hurlement qui accompagne les cris de jouissance de mes chéries.

Elles restent quelques instants sur moi pour reprendre leur souffle, mais je leur fais rapidement comprendre que j’aimerais également reprendre le mien ! Elles se dégagent précautionneusement, s’installent sur le côté de part et d’autre de moi. Nous restons longtemps, immobiles, à profiter de notre plaisir, dans notre position préférée : leurs têtes sur mes épaules, leurs seins et leurs ventres contre moi. Mes mains sont posées sur leurs énormes cocons de chairs. Je me demande si mes filles profitent aussi du bien-être de leur mère. Peut-être que oui, puisqu’il s’agit de la présence d’hormones dans le sang, c’est chimique, après tout, le bien-être.

 

oooOooo

 

C’était ma dernière relation sexuelle avec mes deux femmes enceintes, Roxanne a eu ses premières contractions le lendemain ; mes filles sont nées à quelques jours d’intervalles. Nous sommes tous les cinq installés dans le canapé, Roxanne tient dans ses bras nos deux petites, elles sont chacune en train de téter innocemment un sein de leur mère. Annabelle est serrée contre moi, nous profitons tous les deux du magnifique spectacle de l’allaitement. 

  • « Elles ont l’air de se régaler. », remarque Annabelle.
  • « Oui. Je me demande quel goût ça a, un lait de femme. » 

Elle sourit, ouvre son chemisier, détache un des côtés de son soutien-gorge.

 

  • « Viens me téter, mon gros bébé ! »

 

J’avance ma bouche sur son sein, prends la tétine entre mes lèvres, aspire doucement. Je sens quelques gouttes tièdes couler dans ma bouche. J’aspire une nouvelle fois, en pinçant un peu plus. Un petit jet vient chatouiller ma langue.

 

  • « C’est vraiment agréable de te téter ! »
  • « Tu me fais goûter ? »

 

Je fais couler quelques gouttes de lait dans ma bouche, puis embrasse Annabelle ; elle grimace.

  • « Beurk, ce n’est pas bon. Comment tu peux aimer ça ? »
  • « Le goût n’est pas terrible, mais la sensation est extra ! »
  • « Et la sensation d’un jet dans la figure, ça te plaît ? », dit-elle en riant et en pressant son sein pour m’envoyer une giclée de lait.
  • « Bon, c’est fini vos cochonneries ! », intervient Roxanne d’un ton sévère.
  • « Excuse-nous, Roxy … »
  • « Je n’ai plus de lait, c’est à toi Annabelle. », dit-elle d’une façon plus douce. 

Je fais passer mes filles pendant qu’Annabelle libère son deuxième sein, nos petites s’empressent de téter la poitrine gorgée de lait de leur deuxième maman. Je pose un petit baiser sur la tempe de Roxanne alors qu’elle reboutonne son haut. Je suis vraiment heureux, je peux enfin exprimer mon amour dans toute sa capacité. Mon amour pour deux jeunes femmes merveilleuses, mon amour pour deux petites filles adorables.

 

FIN

 

 

 


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Dimanche 29 mai 7 29 /05 /Mai 17:16

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Mes douces jumelles

Ecrit par Jean Charles

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N’étant pas habitué à boire autant, j’ai été malade pendant la nuit, le réveil est brumeux. Lorsque j’ai complètement repris mes esprits, je me rends compte que je dois aller au boulot, que je suis déjà en retard de plusieurs heures. Mais je suis trop mal, physiquement à cause de l’alcool, psychologiquement à cause de la fin brusque de ma relation avec Roxanne-Annabelle. Rien que de me rappeler ce que ce prénom signifie, je suis de nouveau en colère contre elles. Contre moi-même aussi, je regrette amèrement mes paroles lors de cette soirée, je m’insulte intérieurement, ou même tout fort quelques fois, comme pour me dire ce que j’aurais peut-être mérité d’entendre de leur part.

 Je n’ai envie de rien, ma vie n’a plus aucun sens. Je n’ai pas la force de retourner vers elles, pas non plus la force de sortir, d’aller travailler, bref de reprendre le cours de ma vie. Alors je reste scotché devant mon ordinateur à jouer en ligne, comme je savais si bien le faire les week-ends, avant de la rencontrer. Penser à cela me fait naître une boule dans la gorge, cela me rappelle les merveilleux moments avec celle que je pensais aimer. Mais non, j’ai été dupé, mon amour a été détourné par un stratagème honteux, elles ont profité de mon admiration pour Roxanne pour faire vivre un fantasme malsain à mes dépens. Je ne pourrai jamais leur pardonner, c’est bel et bien fini entre nous. En même temps, je ne peux accepter cette idée, comme je ne peux accepter ce qu’elles viennent de me révéler.

 Je reste des heures devant ce jeu de voiture, je reprends vite de l’intérêt pour ces courses qui pourtant m’aliènent, j’en suis conscient. Vers 13 h, je me rends compte que j’ai faim, et aussi qu’il faut que je trouve une excuse de ne pas être venu au boulot aujourd’hui. J’allume mon portable pour appeler mon patron ; je me rends compte que Roxanne m’a téléphoné, qu’elle m’a laissé un SMS.

 J’allais l’effacer immédiatement, mais ne peux m’empêcher de le lire. « Pardonne-nous. Merci pour les fleurs. Nous t’aimons toutes les deux. » Cela me fait un pincement au cœur, mais en même temps le « nous » m’est insupportable, il me rappelle leur traîtrise. Je passe l’après-midi à jouer, parviens peu à peu à me vider l’esprit en ne me consacrant qu’au classement mondial du jeu que je fais baisser à mesure du temps passé sur les serveurs en ligne. Le soir j’ai rattrapé le classement que j’avais avant de rencontrer Roxanne. Cela me donne la même satisfaction que si j’avais pu gommer ce que j’ai vécu avec elle. Comme si rattraper ce niveau artificiel me donnait l’illusion que ma relation l’était également, qu’elle pouvait se rattraper de la même manière.

 Mais une fois mon ordinateur éteint, ce sentiment est vite reparti, remplacé par la tristesse d’avoir perdu celle que j’aime. J’ai allumé ma chaîne, je me suis allongé, et j’ai déprimé. Qu’est-ce que j’aimerais que Roxanne soit dans mes bras, que sa sœur n’ait jamais existé, ou qu’elles aient vécu séparément comme il se doit. M’aime-t-elle assez pour se séparer de sa sœur et revenir seule avec moi ? Et moi, quels sont mes véritables sentiments envers elle ? L’aurais-je autant aimée si elle n’avait pas ce que je croyais être une personnalité changeante ?

 Là, je me rends compte que j’aime peut-être également Annabelle. Mais comment faire la part des choses puisque je ne sais pas avec qui j’ai partagé les moments les plus forts, les plus intimes ? Cette dernière question me remet les nerfs à vif, j’ai soudain envie de leur faire du mal, pour me venger. L’image du visage rempli de douleur d’une des sœurs que je sodomise violemment me gorge le sexe de sang. Je me fais jouir en imaginant leurs larmes alors que je manie une queue surdimensionnée pour leur défoncer l’anus, l’une après l’autre. Je m’endors apaisé par ces pensées violentes, bercé par le plaisir que je me suis donné.

 

oooOooo 

Le lendemain, un vendredi, je n’ai pas non plus le courage d’aller bosser, alors je m’occupe avec mon jeu vidéo favori. L’après-midi, je me suis mis à avoir une frénésie sexuelle insatiable, je me suis caressé devant un film porno, je me suis donné plusieurs fois du plaisir en voyant un homme baiser puissamment deux femmes mêlant leurs cris de plaisir. Après le film, je bandais encore ; je me suis allongé et j’ai laissé partir mon imagination. Je me voyais, agrippant les hanches de Roxanne, je la prenais en levrette, comme un sauvage, sans aucun égard pour elle, je me vidais au fond de son vagin rapidement, puis passais à sa sœur, qui m’attendait dans la même position ; je la limais, lui inondais le sexe de la même manière. J’ai joui étonnement fort malgré mes nombreux orgasmes successifs. Je me suis endormi détendu, avec un grand bien-être, pour une sieste qui m’a laissé dans les vapes.

 Le week-end fut du même acabit : jeu vidéo, film porno et orgasmes à répétition. J’ai téléchargé des films femme/femme/homme, cette situation me mettait dans un état d’excitation impressionnante. Pendant mes siestes et mes nuits, avant de m’endormir abattu par de trop nombreux orgasmes, je me représentais toujours avec mes deux jumelles, comme je les appelais. Je n’ai pas réfléchi à ce que je devais faire pour revenir vers elle, je me suis contenté de me branler comme un adolescent. Les scènes que j’imaginais avec elles sont peu à peu devenues moins hard, au fil des éjaculations ; le plaisir que je leur donnais devenait de plus en plus important pour moi dans mes fantasmes. Le dimanche soir, ma dernière jouissance m’a laissé un goût amer, des larmes me sont venues, en les imaginant de part et d’autre de moi, allongées, en train de me remercier par des câlins.

 Le lundi, je me suis levé en pleine forme, je suis allé au boulot de bonne humeur, avec la ferme intention de faire tout ce que je pouvais pour récupérer mes jumelles. Le soir venu, s’est présenté le problème de savoir comment. Comment faire ? Après tout, elles m’en voulaient peut-être, je les ai insultées tout de même … Mais qu’est-ce qui m’a pris ! Si ça se trouve, j’ai tout gâché en réagissant comme un abruti à leur révélation. Comme je regrette ! Le leur dire serait un bon début, j’en suis convaincu. Mais comment ? Leur téléphoner ? Oui, c’est sans doute ce qu’il faudrait, mais je n’en suis pas capable. Un SMS peut-être ? C’est un peu nul mais bon … C’est là que je me rappelle de celui que j’ai reçu d’elles. Je ne l’ai pas gardé, mais les mots sont écrits dans ma mémoire. Qu’est-ce qu’ils veulent dire ? Qu’elles m’attendent ? Non, il ne faut pas rêver. Elles voulaient s’excuser, ça c’est sûr, mais avaient-elles d’autres idées en tête ? « Nous t’aimons » ; sur le moment sans doute, mais après coup, leurs sentiments ont dû changer en repensant à mon attitude. Ayant trop de doutes pour faire autre chose, j’ai écrit le message : « Je regrette ma réaction. Ça pourrait remarcher entre nous ? Je ne peux pas me passer de vous deux, bisous. »

 Mais l’écrire n’est pas tout, après il faut l’envoyer ! Je suis resté plusieurs minutes le pouce sur le bouton d’envoi. J’ai finalement pressé ce bouton, fébrilement. J’ai regretté immédiatement, me disant que ce n’étaient pas les bons mots, que ce n’était pas la bonne façon de faire, que je n’avais aucune chance qu’elles me recontactent. Je me suis couché plein de désespoir. J’étais dans un demi-sommeil lorsque téléphone a sonné. J’ai pris mon portable en râlant, mais je me suis réveillé tout à fait lorsque j’ai vu qui appelait : c’étaient-elles ! 

  • « Allo ? », dis-je avec empressement.
  • « C’est Roxanne. Je viens de voir ton message, je te ne dit pas à quel point il m’a fait plaisir ! »
  • « C’est vrai ? »
  • « Tu m’as pardonnée ? »
  • « Oui ma chérie, je t’aime trop pour t’en vouloir. »
  • « Merci, moi aussi je t’aime. »
  • « Annabelle est là ? »
  • « Oui, mais je pensais que tu ne voudrais plus lui parler, je me suis isolée pour t’appeler. »
  • « Mais bien sûr que je le veux, je vous aime toutes les deux ! Tu peux l’ajouter à la conversation s’il te plaît ? »
  • « OK, je l’appelle … « Annabelle, viens, c’est lui ! » »

 

Un temps d’attente, j’entends les bruits de la connexion. 

  • « Voilà, elle est en train de … »
  • « Mon amour, c’est toi ? », coupe une voix identique.
  • « Oui Annabelle … », réponds-je. « Pardonne-moi, j’ai été dur avec toi, je regrette … »
  • « Avec moi aussi ! », ajoute Roxanne.
  • « Oui, pardonnez-moi … »

 

À partir de ce moment, je perds le fil, je ne peux pas reconnaître laquelle des jumelles me parle. Mais je m’en fiche. 

  • « Alors c’est vrai, tu penses que tu pourrais nous aimer à nouveau ? », demande l’une des sœurs.
  • « J’aimerais tellement continuer comme avant ! », ajoute l’autre.
  • « Non, je ne veux pas reprendre comme c’était, je ne supporterai pas de n’être qu’avec une d’entre vous, sans savoir à qui j’ai affaire. »
  • « On te le dira, promis ! »
  • « Oui, je te le promets aussi ! »
  • « Non, vous ne m’avez pas compris. Je vous aime toutes les deux, maintenant que je sais que j’aime deux femmes, je serai malheureux avec une d’entre vous, je ne pourrais pas m’empêcher de penser à l’autre … »
  • « Mais on ne va pas … Sortir à trois quand même ! »

 

Elle pense à autre chose qu’à sortir, c’est évident … 

  • « Vous m’avez imposé le personnage de Roxanne-Annabelle, il faut assumer maintenant que je suis amoureux d’elle. »
  • « Oui, c’est vrai … Mais c’est … Etrange comme situation ! »
  • « En même temps, on voulait l’avoir toutes les deux lorsque l’on a décidé de lui parler de Roxanne-Annabelle, ce serait le cas comme ça, et tout le temps en plus ! », répond l’autre sœur.
  • « Mais on ne pensait pas que ça allait durer ! »

 

J’encaisse le coup sans rien dire, j’attends de voir sur quoi cela va déboucher, je les laisse parler entre elles.

  • « Oui mais maintenant, il faut aller au bout de notre fantasme, après tout, on veut rester ensemble, mais rien nous interdit d’avoir un homme. »
  • « Non en effet … On peut toujours essayer à trois, pour voir si ça marche … »
  • « J’en serais ravi ! », continuai-je. « Je suis amoureux de cette Roxanne-Annabelle que vous avez inventée, cette femme belle comme tout, avec deux personnalités distinctes. »
  • « Oui, mais c’est nous ! Il n’y a pas de problème, tu vas la retrouver ! »
  • « Je crois que j’ai compris ce qu’il veut dire … », dit l’autre sœur. « Tu veux que l’on soit identiques, c’est ça ? »
  • « Oui, j’aimerais bien que vous soyez exactement pareilles en apparence. Cela me permettrait d’apprendre à vous connaître pour vous différencier. »
  • « Drôle d’idée ! Mais bon, pourquoi pas, de toute façon on aime bien s’habiller pareil. », avoue une des jumelles.
  • « Tu ne veux pas que l’on te dise nos prénoms, jusqu’à ce que tu puisses nous reconnaître ? », demande l’autre.
  • « Non, j’ai déjà assez d’indices. Juste pour vérifier ce que je pense, notre première fois ensemble Annabelle, c’était le soir où on est allé au bowling ? »
  • « Oui … » 

Ce petit oui révèle à quel point elle en garde un bon souvenir. 

  • « Oui … Annabelle m’a dit que ça s’est vraiment bien passé … »
  • « Tu as dû être jalouse, Roxanne, non ? », demandai-je.
  • « Pas du tout, j’étais très contente pour elle ! Notre première fois était géniale aussi, je me sentais redevable envers elle. » 

C’est là que j’ai compris le solide lien qui les lie, je comprends que je n’aurais pas pu avoir une relation qu’avec une seule d’entre elles, elle aurait refusée. C’est sans doute pour cela que Roxanne m’a imposé sa sœur, elle pouvait ainsi sans risque continuer notre histoire, sans rompre ce lien qui leur tient tant à cœur. 

  • « Vous avez prévu quelque chose le week-end prochain ? », questionnai-je.
  • « Oui … »
  • « Mais on annule, je veux être avec toi ! »
  • « Je suis d’accord, on annule, tu es notre priorité. »
  • « Ça me fait plaisir, merci … Alors je vous invite toutes les deux chez moi pour le week-end. »
  • « Oui, c’est une très bonne idée ! », dit une des sœurs.
  • « Pas avant ? », ajoute l’autre.
  • « Non, il vaut mieux qu’on ait les idées claires pour débuter cette histoire d’amour atypique. »
  • « Tu as raison ! » 

Je leur ai dit de venir le samedi pour déjeuner, elles ont accepté avec joie. Puis nous avons parlé pendant presque une heure, ayant retrouvé notre joie de discuter de tout et de rien. J’ai découvert à quel point elles se sentaient bien toutes les deux avec moi, nos conversations ont été encore plus animées, encore plus passionnantes que toutes les précédentes. Je me suis endormi tard (ou plutôt tôt le matin), j’étais heureux, tout s’est passé le mieux possible ; je sentais que j’allais passer l’un des meilleurs week-ends de ma vie …

 

oooOooo 

  • « Elles sont belles vos nattes … »
  • « C’est un des avantages d’être deux sœurs jumelles, c’est plus facile pour se coiffer. », dit une des femmes que j’ai contre moi.
  • « Et pour se maquiller aussi, c’est pratique. », ajoute la seconde femme. « Et pour … »
  • « Bon, on va lui laisser découvrir le reste par lui-même … », coupe la première.
  • Cela les fait rire, je ne cherche même pas pourquoi ; je suis subjugué par les deux femmes complètement identiques dans mes bras.
  • « Vous êtes tellement belles ! »
  • « Bon, on a compris ! Allons, ressaisis-toi, tu nous as déjà vues ! »
  • « Oui mais pas ensemble ! Ça fait comme le corps d’une femme embelli par un jeu de miroir. »
  • « Sauf que tu aurais l’air fin d’embrasser le reflet d’un miroir ! »

 

Elles m’embrassent tour à tour de baisers passionnés, me laissant à peine respirer tellement leurs bouches possèdent la mienne. Je les serre encore un peu plus contre moi, leurs quatre mains caressent chacune une partie de mon corps, de la nuque aux cuisses. Je me sens bête de n’avoir que deux mains ; j’aimerais toucher en même temps plusieurs de leurs courbes. Mon sexe se dresse sous les assauts de mes chéries ; je me dégage doucement, leur propose de prendre un apéritif. Elles s’installent sur le canapé pendant que je vais poser leur sac près du lit. 

  • « On n’a pris que des affaires en double, comme tu voulais, on sera identiques pour toi tout le week-end ! », m’annonce l’une des sœurs.
  • « Tu ne veux vraiment pas que l’on te dise qui est qui ? », demande la seconde.
  • « Non, non … », dis-je en venant m’asseoir entre elles. « Laissez-moi deviner ! »
  • « C’est amusant, on va voir combien de temps tu mets pour nous reconnaître, et si tu ne te trompes pas. »
  • « Je vous aime toutes les deux… », dis-je en passant un bras autour de leurs tailles.
  • « Nous aussi on t’aime, tu nous as tellement manqué ! », affirme celle à ma gauche.
  • Mon souffle est court, je sens mon cœur battre dans ma poitrine.
  • « Tu ne nous avais pas proposé un apéritif ? »
  • « Ah si c’est vrai. Vous me troublez d’être toutes les deux près de moi. »
  • « On voit ça ! » 

Elles baissent les yeux au niveau de ma braguette.

 

  • « Je vais peut-être aller aux toilettes avant le repas … »
  • « Mais en voilà une bonne idée, allons tous nous masturber à tour de rôle ! »

 

Cela les fait rire, je suis un peu vexé au début, mais elles m’embarquent rapidement dans un fou rire. Nous avons du mal à nous calmer ; à chaque fois, l’un de nous entraîne les deux autres pour quelques minutes de plus. Nous nous arrêtons enfin, je me rends contre que ça m’a fait énormément de bien, la tension dans mon jean s’est relâchée. Je suis heureux, j’ai deux femmes merveilleuses pour moi tout seul !

 

Je sers du vin blanc sucré, nous profitons de cet apéritif accompagné d’amuse-gueule. Elles ont lancé un sujet de discussion, mais j’ai du mal à suivre, je suis subjugué par leur beauté et leur similitude. Elles portent des chemisiers avec les deux derniers boutons détachés, laissant apparaître un décolleté discret. Leurs seins déforment le tissu blanc ; on devine la dentelle de leurs soutiens-gorges à travers, plus par son aspect brodé que par une éventuelle transparence du tissu. Leurs pantacourts beiges à poches modèlent leurs cuisses. Leurs cous sont dégagés ; leurs longues nattes châtains sont d’une extrême sensualité, surtout lorsqu’elles les posent sur l’une de leurs épaules pour la passer par-devant. Qu’est-ce que je les trouve élégantes ! Aucune forme n’est dévoilée, mais pourtant leurs tenues les subliment.

 

oooOooo

 

Elles ont été ravies du repas, pourtant simple, que je leur ai préparé. Nous sommes en train de prendre le café. Je ne suis plus le seul à avoir du mal à me concentrer sur autre chose que mon désir qui monte ; je vois leurs yeux me dévorer sur place. Je n’ai pas réussi à découvrir qui était qui lors du repas. Je pensais leur demander ce qu’elles souhaitaient faire pour les confondre, mais là je vois bien que leurs réponses seraient identiques. Ce n’est pas pour me déplaire d’ailleurs, cela me promet une sieste torride.

 

Le café fini, nous nous installons sur le canapé, mes jumelles serrées de part et d’autre de moi. Nous ne parlons plus, nous partageons simplement les hormones de notre désir, ce qui l’accentue encore. Personne ne veut prendre d’initiatives, craignant peut-être de rompre le charme. Alors nous restons là, immobiles, le souffle de plus en plus court. Leur odeur charnelle me met dans tous mes états. Elles n’ont pas mis de parfum, sachant maintenant que je n’aime pas, mais leurs cous ont cette fine odeur féminine, indescriptible, sensuelle, effervescente même.

 

  • « J’aimerais vous avoir toutes nues contre moi, mes chéries … » 

Elles me sourient, commencent à déboutonner lentement leurs chemisiers. À ce moment, je sais comment les différencier.

 

  • « Non, déshabillez-vous mutuellement plutôt, ça sera plus excitant … »
  • « Bonne idée ! Allez viens, on va lui faire un petit spectacle. », dit la jumelle à ma droite.

 

Elle prend sa sœur par la main, se lève. Elle la serre dans ses bras, lui tient la nuque et l’embrasse tendrement. Sa sœur accepte le baiser, je vois que leurs lèvres se connaissent, peut-être même ont-elles l’habitude de cette douceur. Mais je vois aussi que l’une d’elles est mal à l’aise, je m’adresse à elle :

 

  • « Qu’est-ce qui ne va pas, Roxanne ? Ça te dérange d’embrasser Annabelle devant moi ? »
  • « Oui, détends-toi ma puce, ça ne change rien entre nous qu’il … »

 

Elle s’arrête, elle vient de se rendre compte que j’ai gagné notre petit jeu.

 

  • « Tu l’as appelée Roxanne ! Comment as-tu su que c’était elle ? »
  • « Hé, hé, je garde mon secret … », dis-je d’un ton triomphant.

 

Elles me regardent toutes les deux avec un sourire, les yeux remplis d’amour et de tendresse. Cette petite victoire de ma part a détendu Roxanne, elle se prête au jeu avec sa sœur. Bientôt leur corps se mêlent, leurs mains se cherchent, elles partagent des baisers passionnés. Je vois tout l’amour qu’elles ont l’une pour l’autre. J’en suis jaloux dans un premier temps, mais rapidement je me dis qu’il n’y a pas de raison que j’aime deux personnes et pas elles. En plus cette situation est tellement excitante ! J’enlève mon pantalon dans lequel je me sentais à l’étroit, commence à me caresser lentement en admirant devant moi la furie de leurs corps identiques.

 

Sans ralentir leurs baisers, elles déboutonnent le chemisier l’une de l’autre, tout en caresses et en sensualité. Elles sont comme désintéressées de moi, elles ne semblent que se soucier du plaisir de l’autre. Leurs chemisiers sont maintenant au sol, leurs poitrines enveloppées de dentelle se frôlent, se pressent au rythme du massage dans leurs dos. Leurs mains vont de plus en plus bas, disparaissant quelques fois dans leurs pantacourts. Roxanne parcourt de baisers le cou de sa sœur, passe par son décolleté, insiste sur la zone sensible entre ses seins. Puis elle descend encore, va titiller le fin nombril de sa langue. Pendant qu’elle embrasse le ventre légèrement musclé de sa sœur, elle fait glisser lentement le pantacourt. Je vois qu’elle a envie du fruit juteux à peine caché par la dentelle. Mais elle se relève et laisse sa sœur l’imiter pour ne la laisser qu’en sous-vêtements.

 

Elles allaient encore continuer leur effeuillage mutuel mais je vais les rejoindre, nu, le sexe dressé. À peine les ai-je touchées qu’elles m’intègrent entre leurs corps, se frottent contre moi. Je ne sais pas qui est dans mes bras et dans mon dos, je ne me concentre que sur leurs mains qui me caressent, que sur leurs seins pressés contre mon torse et mon dos. Ce qu’elles sont belles dans ces sous-vêtements de dentelle blanche ! Les bosses rondes de leurs fesses sont comme recouvertes d’un large bandeau percé d’une multitude de petits trous. Leurs shorty laissent le bas de leurs petites fesses apparent ; j’aimerais avoir quatre mains pour les soupeser toutes à la fois. Je laisse ces monts de chair ferme pour masser le dos de la jumelle devant moi, alors que la seconde a pris mon sexe dans sa main et le caresse doucement.

 

J’embrasse tendrement la femme dans mes bras, je sens dans mon cou les baisers de celle derrière moi et les mouvements de sa main autour de mon sexe. Je souffle, gémis presque tellement les sensations sont agréables ; leurs corps frôlent le mien, je sens leurs petits tétons durs me titiller la peau du torse et du dos à travers la dentelle. Je me concentre sur mes mains, je ne suis pas loin de jouir, mon cœur palpite. Je détache la fine bretelle du soutien-gorge, la sœur dans mes bras s’écarte pour que je libère sa poitrine. Je le fais lentement, en tenant ses seins dans mes paumes. J’ai envie de lécher les pointes offertes à moi, mais cela m’exciterait trop, la pression est déjà trop forte dans mon sexe que la main experte masturbe de plus en plus rapidement.

 Je me dégage doucement, me retourne et prends cette délicieuse branleuse dans mes bras, l’embrasse. Sa sœur maintenant dans mon dos veut l’imiter, mais je l’en empêche, je suis trop proche du point de non-retour, je n’ai pas envie d’éjaculer bêtement sur le ventre ferme contre mon gland. Je masse ce dos que je délaissais, en ondulant malgré moi des hanches. Je sens la dentelle frôler mes testicules et mes fesses ; leurs poitrines sont une fois encore pressées contre moi. De nouveau, je retire le soutien-gorge de la femme dans mes bras ; je le fais exactement avec les mêmes gestes, je découvre la poitrine identique, cachée par la dentelle tout aussi identique. Là, elles me serrent toutes les deux contre elles, se frottent encore plus lascivement à moi. Qu’est-ce que j’aime sentir leurs poitrines pressées simultanément contre mon dos et mon torse ! Leurs tétons durcissent encore plus sous les caresses de ma peau.

La suite a été plus torride, nous nous sommes précipités dans mon lit, nous nous sommes mêlés, nos bouches suçaient le sexe le plus proche, nos mains caressaient nos corps, sans distinction. Je ne sais pas en qui j’ai joui en premier, ni si j’ai été équitable dans mes caresses, dans mes succions ; je ne voyais que deux corps identiques, emmêlés ensemble et au mien. Quelques fois, deux personnes prenaient soin de la troisième, associaient leurs savoir-faire pour lui donner un maximum de plaisir. Je me suis retrouvé à prendre l’une d’elle allongée sur le dos, pendant que sa sœur lui léchait le clitoris et lui caressait les seins. Une autre fois, c’est moi qui étais allongé, en train de lécher la femme assise sur mon visage pendant que sa jumelle s’empalait sur ma queue, toutes deux s’embrassaient et se caressaient sans se préoccuper d’autre chose que de leurs plaisirs mutuels. Après avoir joui toutes les deux, elles ont échangé leur place, l’autre s’est assise sur ma queue, les jambes largement ouvertes pour que sa sœur mange son fruit alors qu’elle me faisait manger le sien.

 J’ai joui plusieurs fois en elles, notre étreinte a duré une bonne partie de l’après-midi, je n’ai pas pu compter le nombre de nos orgasmes. L’intensité de notre plaisir a été nettement plus importante que lorsque j’étais seul avec l’une d’elle. Je me rends compte qu’elles sont beaucoup plus heureuses ensemble avec moi, je les ai vues se lâcher complètement pour des étreintes bisexuelles torrides.

 Elles sont maintenant de part et d’autre de moi sur le lit, que je trouve beaucoup trop petit pour nous trois d’ailleurs. Tout comme je trouve mon studio de célibataire inadapté pour nous. Elles sont sur le côté, leurs seins une nouvelle fois contre moi, leurs têtes appuyées sur chacune de mes épaules. Elles ont passé une de leurs jambes sur les miennes, je sens sur mes cuisses nos liqueurs d’amour couler de leurs vagins. Nous restons là, immobiles, elles semblent dormir, apaisées. Je joue avec leurs longues tresses, j’utilise leurs pointes pour peindre leurs dos, leurs seins. Cela les fait frissonner ; cependant elles ne bougent pas.

 Le temps passe, nous nous sortons peu à peu de nos torpeurs. Je leur propose de prendre une douche, elles acceptent avec joie, mais sont déçues en apprenant que la douche est trop petite pour nous trois. Je leur propose d’y aller toutes les deux ensembles et avant moi, comme cela je n’ai pas à choisir l’une d’elles. Elles laissent la porte de la salle de bain ouverte pour que je les regarde se laver mutuellement. Cette vision m’excite, mais je viens de jouir de trop nombreuses fois pour être de nouveau dur. Lorsqu’elles ont fini, je vais les envelopper de leurs peignoirs blancs, puis prends leur place dans la douche.

 Je ne les quitte pas des yeux pendant que je me lave. Ce que j’observe me fait halluciner ! Elles sont en train de se caresser mutuellement les seins. Lorsque je les vois se placer en 69 pour se lécher de nouveau la vulve, je n’ai plus qu’une envie, c’est d’aller les rejoindre ; mon sexe se durcit peu à peu, sans toutefois trouver une bonne érection. Je me presse de finir de me laver, me sèche en vitesse, puis vais vers elles. Elles ondulent de tout leurs corps, leur plaisir est démonstratif et évident. Je m’allonge à leurs côtés, embrasse la jumelle du dessous.

 

  • « Je t’aime, Roxanne … »

 

Là, elles s’arrêtent et éclatent de rire. 

  • « On t’a eu ! »
  • « J’étais sûre qu’en me mettant au-dessus, tu me prendrais pour Annabelle ! »
  • « Alors c’est comme ça que tu me vois ? Comme une femme dominatrice ? »

 

Annabelle se remet dans le même sens que nous, et s’allonge sur nous deux. 

  • « Alors vous faisiez semblant juste pour me tester ? »
  • « Bien sûr, tu croyais qu’on avait encore envie de sexe après cette sieste ? »
  • « Pourquoi pas ? Vous m’avez tué mais je pensais que vous étiez plus endurantes que moi. »

 

Elles se remettent à rire … Nous nous sommes habillés, puis nous sommes allés au centre-ville pour faire un peu de lèche-vitrine. Au début, je marchais entre elles, en leur tenant la main. Mais j’ai vite lâché leurs mains, les gens nous regardaient comme si nous étions difformes. C’est là que j’ai compris que jamais ma relation avec mes jumelles ne pourrait être officielle. Je devrai toujours, aux yeux des autres, paraître un ami de longue date des deux sœurs, jamais je ne pourrais montrer mon amour au monde. Un nœud s’est formé dans ma gorge, j’ai eu envie d’insulter ceux que l’on croisait, d’insulter la société entière de ne pas permettre ma relation merveilleuse. Les sœurs ont vite vu que quelque chose n’allait pas, que j’étais gêné d’être si proche d’elles sans pouvoir les toucher. Nous avons donc écourté notre sortie pour rentrer chez moi.

 Là, nous avons longuement discuté. Elles m’ont révélé qu’elles comprenaient mon sentiment d’injustice, qu’elles le ressentaient depuis leur adolescence, lorsqu’elles ont pris conscience qu’elles étaient amoureuses l’une de l’autre. Elles étaient d’abord honteuses de leurs sentiments incestueux, mais au fil des années, elles ont appris à l’assumer, elles ont commencé à avoir des relations sexuelles ensemble, leur bonheur allait croissant. Elles s’aimaient donc en secret, mais cela n’empêchait pas qu’elles soient heureuses.

 Enfin jusqu’au jour où je suis entré dans leurs vies. Là, ce fut le drame. Annabelle, en apprenant le soir même que sa sœur était devenue amoureuse de moi, a été folle de jalousie. Elles se sont disputées comme jamais auparavant, Annabelle a laissé sa sœur en pleurs et est allée coucher à l’hôtel, le temps de trouver un appartement et de s’installer seule, disait-elle. Mais dès le soir, elle était malheureuse d’être loin de sa sœur, autant que Roxanne l’était. Alors elle est revenue le lendemain, et après un après-midi brûlant et éreintant, elles se sont promis de ne plus jamais se quitter. Cependant l’amour de Roxanne à mon égard n’en était pas moins fort, elle est revenue à moi pour notre inoubliable première fois. Le soir venu, elle a tout avoué à sa sœur, lui a raconté en détail notre relation sexuelle, en essayant de transcrire le mieux possible ses sensations. C’était une manière de se faire pardonner, ou de partager avec celle qu’elle aime le merveilleux moment passé avec moi.

 Annabelle a une nouvelle fois été jalouse, ça a de nouveau fini en cris et en pleurs. Elle a pourtant essayé d’arranger la situation qu’elle voyait douloureuse pour sa sœur, bloquée entre deux sentiments qu’elle pensait contradictoires. Alors elle a proposé à Roxanne de se faire passer pour elle au téléphone, pour faire connaissance avec moi. Pour le plus grand bonheur de Roxanne, le courant est très bien passé entre Annabelle et moi ; enfin, je ne me suis pas rendu compte de leur échange.

 Il s’en est suivi une très longue discussion alors qu’elles étaient dans les bras l’une de l’autre. Roxanne a proposé à sa sœur de la remplacer pour le rendez-vous du lendemain. Après un long moment de réflexion, Annabelle a accepté. Les semaines qui ont suivi, elles m’ont partagé sans que je le sache et, en plus du plaisir qu’elles prenaient à tour de rôle avec moi, leurs relations entre femmes devenaient de plus en plus torrides. Leurs souvenirs des instants passés avec moi les embrasaient, elles se sont rendu compte qu’elles étaient encore plus heureuses en me partageant pour une relation bisexuelle à mes dépens.

 Mais cela n’a duré que quelques semaines, car elles m’ont avoué leur stratagème. Elles ont été très tristes pendant les quelques jours où je n’ai plus donné de nouvelles. Elles se sentaient honteuses, sales, elles n’osaient même plus coucher dans le même lit tellement elles se dégoûtaient. Elles ont même envisagé de se quitter pour retrouver une vie normale loin l’une de l’autre, en se disant que leur amour était trop malsain. Lorsque Roxanne a reçu mon message, elle en a presque sauté de joie. Mais elle a longtemps hésité avant de m’appeler, se demandant comment agir vis-à-vis de sa sœur. Elle m’a finalement téléphoné en cachette, et a été ravi lorsque je lui ai demandé d’appeler sa sœur pour notre première conversation à trois.

 Leur récit a quelque peu miné l’ambiance, nous aimerions rapidement effacer le souvenir de notre dispute. En plus, nous avons tous les trois en tête les doutes et les questions soulevés par notre relation. Est-ce raisonnable comme situation ? Est-ce moralement acceptable cette histoire polygame et incestueuse ? Est-ce au moins légal ? Pourrions-nous être séparés de force si un fouineur venait mettre son nez dans tout ça ? Je n’ai pas envie de me poser ces questions, je suis heureux, qu’ils aillent tous se faire voir, n’y pensons pas : qui vivra verra, et je vivrai ! Avec de superbes jumelles en plus. Je mets de la musique pour détendre l’atmosphère, ça marche plutôt bien. Nous passons une magnifique soirée remplie de complicité. 

A suivre : Mes douces jumelles - Part 3


Par Decadent Laboratory - Publié dans : RECITS
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Pas vraiment besoin de description pour ce qui suit. Des séries de photos d'amatrices tout simplement.

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Comme son nom l'indique c'est un petit règlement de compte personnel. Enfin, pour être franche c'est surtoit moi (Roxanne) qui tenait à ce que cette rubrique soit présente. Eh ouais, même si je ne suis pas la principale concernée (quoique j'ai bien mangé quand même), j'ai la rancune plus que tenace.

Petit-reglement-de-compte-entre-ami-e-s-copie-1.jpg

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ERRATUM

Petite précision qui a son importance concerant la rubrique "Petit règlement de compte entre ami(e)s"... Pour ne pas qu'il y ait de malencontreuses coïncidences, les prénoms des protagonistes ont été changés. Par exemple, le compagnon de la protagoniste principale suce nommée (oui je sais ça ne s'écrit pas comme ça mais ça me fait rire), ou pour être plus précise le "plouc", ne se prénomme pas Laurent et n'habite pas Chaussy dans le Val d'Oise. En tous cas selon les informations fournies par la CAF.


A moins que... Noooooon !!! Des gens si honnêtes et si vertueux que ça ce n'est pas possible ! J'ai vraiment l'esprit mal tourné ! Après, par souci de clarification, si cela pose problème, on peut toujours aller leur demander de procéder à une vérification des pièces justufucatives fournies ? Non ?  

Ce point éclaircie, je vous souhaite une bonne lecture... "Amicalement", Roxanne ou chérie coquine.

Nous

Couple libertin de région parisienne, vous aurez vite compris que le sexe tient une place primordiale dans notre vie. Pour le reste nos adorons le rock, les Harley, les voyages et plein d'autres choses dont vous vous foutez royalement. Non ? Bandes de menteurs !

 

Détenteurs d'un compte couple certifié sur Netéchangisme, voici notre annonce :

 

Le libertinage et ses plaisirs n'ont de sens que lorsqu'ils sont vécus au sein d'un couple à la complicité sans faille ... Roxanne (29 ans) et Franck (42 ans), notre indéfectible amour ne nous empêche aucunement d'être des épicuriens convaincus et des adeptes assidus des plaisirs de la chair ... Le feeling, la complicité et la séduction tiennent une place importante dans notre recherche qui s'oriente vers des couples à la partie féminine bisexuelle ou vers des femmes elles aussi tentées ou pratiquant les plaisirs saphiques ... Nous ne ferons pas une liste des pratiques que nous acceptons ou nous refusons, mais n'hésitez à nous contacter afin d'en savoir plus. Cela sera peut-être le début d'une belle amitié et plus si affinité.

 

Si elle vous intéresse et vous correspond, n'hésitez pas à nous contacter à l'adresse suivante :

decadent.laboratory@outlook.com

 

Dans le cas contraire, on vous souhaite une bonne visite et surtout : NE SOYEZ PAS SAGES !!!

 

Roxanne & Franck

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