Dimanche 29 mai 7 29 /05 /Mai 17:23

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Mes douces jumelles

Ecrit par Jean Charles

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Durant le week-end, nous avons de nombreuses fois fait l’amour, pressés de découvrir toutes les possibilités offertes par ce trio. Le dimanche après-midi, nous avons installé à même le sol un baisodrome fait de couvertures et de couettes, car mon lit nous paraissait trop petit pour permettre toutes nos envies de mélange. Quelques fois, nos figures audacieuses échouaient, et nous nous étalions par terre, en riant. D’autres tenaient, mais étaient plus athlétiques qu’excitantes. Ce sport technique et agréable nous amusait autant qu’il nous faisait du bien. Et c’est finalement épuisés que nous avons fini le week-end, en regardant un film, mes deux jumelles blotties dans mes bras.

 Malheureusement les meilleures choses ont une fin, elles ont dû rentrer chez elles, car elles travaillaient tôt le lendemain. Nous n’avons pu nous quitter qu’en nous promettant de nous téléphoner dès qu’elles arriveraient chez elles.

 En attendant leur appel, je me suis rendu compte qu’elles me manquaient déjà. J’ai trompé mon impatience sur mon jeu en ligne favori, me suis rué sur le téléphone lorsqu’il a sonné. C’était bien elles qui me téléphonaient en conférence téléphonique. Là, nous nous sommes dit tout ce que nous n’avions pas eu le temps de dire durant le week-end, trop occupés à profiter de nos premières relations à trois. Je leur ai révélé que j’aimerais les avoir de nouveau près de moi ; comme c’était la même chose pour elles, alors nous avons décidé d’habiter tous les trois ensembles, chez elles. Nous étions très excités par cette perspective, nous avons fait de nombreux projets, en laissant notre imagination commander la conversation. Nous ne nous sommes pas rendu compte de l’incongruité de nos paroles, et c’est après avoir raccroché que j’ai réalisé à quel point nos projets étaient éloignés de la réalité du monde, à quel point notre ménage allait être honteux aux yeux de tous. J’ai eu de nouveau la gorge nouée en me rappelant que ça devrait être un secret à garder entre nous trois.

 J’ai écrit la lettre de préavis de mon déménagement le soir même, puis me suis couché, l’esprit rempli d’angoisses concernant notre futur ménage à trois. Sans compter que je me sentais désespérément seul dans mon lit, après l’avoir partagé tout le week-end avec mes jumelles. Je n’ai réussi à m’endormir que très tard, après avoir lu une bonne partie d’un San-Antonio. Le lendemain, j’ai réussi à me libérer assez tôt l’après-midi, et j’ai déménagé les affaires les plus importantes : des vêtements, des affaires de toilette et mon équipement informatique (eh oui, je ne peux pas vivre sans mon ordinateur, il fait office de télévision, de chaîne hi-fi, de console de jeu, de centre commercial ou de bibliothèque). Je rapporterais le reste au fur et à mesure ; de toute façon j’aurais encore la durée du préavis avant de quitter les lieux.

 Une fois installés, nous sommes allés fêter notre début de vie commune au restaurant, puis dans leur grand lit.

 

oooOooo 

Les mois ont passé, j’ai appris à être heureux de ma relation cachée, j’ai pris l’habitude de tempérer en public mon amour pour mes deux femmes, pour le laisser rugir une fois chez nous. Je savais qu’il y avait tout de même quelques commérages de voisinage à notre sujet, mais j’ai vite compris que c’était plus de la jalousie qu’autre chose. Je suis maintenant davantage fier que gêné lorsque je croise le regard de l’un de nos voisins, surtout de ceux qui n’espèrent qu’une chose : être à ma place !

 Nous avons fêté comme il se doit notre première année de vie commune, la soirée a été bien arrosée, j’ai exprimé malgré moi ce qui me titillait l’esprit depuis quelques semaines : devenir père. Là, leurs yeux ont brillé, elles m’ont avoué qu’elles avaient déjà cette idée en tête, mais qu’elles n’osaient pas me le dire, de peur de ma réaction. Nous sommes rapidement passés à un autre sujet de conversation mais l’idée a germé dans nos esprits. Quelques jours plus tard, nous en avons reparlé à tête reposée, et nous avons décidé d’élever tous les trois un enfant, c’était ce qui manquait pour nous combler.

 Mais j’ai eu la maladresse de demander qui voulait le porter. Le ton a tout de suite monté, j’ai assisté à une violente scène de jalousie. Je suis resté penaud en assistant à leur dispute, ne sachant comment faire pour arranger la situation. Les injures pleuvaient, elles semblaient m’ignorer, tout occupées à se blesser verbalement. Je me suis rendu compte que la violence de leurs paroles n’était pas seulement dû à de la jalousie concernant le bébé, mais qu’elle était aussi amplifiée par mon attitude envers elles. J’ai réalisé à quel point mon désir d’avoir deux femmes identiques était malsain, je m’en suis immédiatement voulu à mort.

 Mais qu’est-ce qui m’a pris ! Pourquoi ai-je voulu gommer leurs différences ? Mais je suis un malade mental ! Bien évidemment que cette situation psychologiquement intenable allait tôt ou tard éclater ! Et j’en avais le résultat sous les yeux… Je me sens tellement minable ! Bon, c’est fini, jamais plus je ne les considèrerais comme deux clones.

 Je suis allé vers elles, avec une attitude assurée. J’ai crié pour arrêter la dispute. Stop ! N’ayant pas l’habitude de me voir comme ça, elles se sont calmées, craignant peut-être ce que j’allais leur dire. Je leur ai demandé leurs prénoms, elles ont été surprises, me l’ont dit. J’ai pris Roxanne dans mes bras, lui ai murmuré à l’oreille que je l’aimais pour ce qu’elle était, et pas pour ce qu’elles étaient. J’ai dit cela en prononçant plusieurs fois son prénom. Puis j’ai fait de même à l’oreille d’Annabelle. J’espérais que mon attitude théâtrale suffirait à arranger temporairement les choses. Enfin, j’ai rassemblé quelques affaires, leur ai annoncé que j’allais quelques jours à l’hôtel, tout en leur répétant que je les aimais. Je leur ai promis que j’allais les appeler le soir même. Je l’ai fait, mais pas en mode conférence comme habituellement, mais chacune leur tour en les appelant à chaque fois par leur prénom.

 Le vendredi suivant, je me suis décidé à rentrer chez nous. J’ai acheté deux gourmettes en or massif gravées de leurs prénoms en lettres stylisées. Les soirs précédents, nous avions beaucoup parlé au téléphone, toujours deux par deux. Nous étions allés au fond des choses. Je leur ai aussi demandé de ne plus jamais être physiquement identiques, de toujours avoir quelque chose de personnel sur elles, ne serait-ce que la coiffure si elles veulent quelquefois s’habiller pareil.

 Après qu’elles m’eurent ouvert, je me suis empressé de demander qui était qui, puis je leur ai offert les bijoux. Elles m’ont remercié chaleureusement, je voyais que les chaînettes en or leur plaisaient, j’en étais ravi. Après le dîner, notre désir est naturellement monté plus haut que jamais, après mes quelques jours passés loin d’elles. Leurs corps ont commencé à frôler le mien, elles se sont employées à me caresser en même temps comme elles savent si bien le faire. J’ai repoussé doucement l’une d’elle, au hasard, et lui ai demandé de me laisser quelques heures seul avec sa sœur. Elles ont tout d’abord refusés toutes les deux. Mais j’ai insisté, et elles ont finalement convenu que c’était bien de faire quelques fois l’amour comme tous les couples du monde. J’ai embrassé celle qui allait partir, lui ai promis de m’occuper d’elle dès qu’elle serait revenue.

 Nous avons donc fait l’amour, deux par deux, tendrement. Notre plaisir n’a pas été aussi important que lorsque nous le faisions à trois, mais cela avait un côté nouveau qui finalement était excitant. Je leur ai également laissé leurs instants d’intimité entre femmes, puis nous nous sommes couchés, nos appétits sexuels rassasiés, heureux d’être de nouveau tous les trois dans le même lit. Nous avons repris notre petite vie à trois, sur des bases beaucoup plus saines.

 

oooOooo

 

Mes jumelles sont dans mes bras, dans notre position favorite : moi sur le dos au milieu des deux, mes cuisses coincées contre leurs pubis. Nous venons de faire l’amour, nous profitons du bien-être qui a envahi nos corps.

  • « Je vous aime, mes chéries … »
  • « Je t’aime aussi … », répond Roxanne.
  • « Je t’aime … », dit sa sœur.
  • « Quand est-ce que vous arrêtez vos pilules ? »
  • « Il faut choisir qui le fait. C’est un choix difficile … »
  • « Oui, tu comprends, c’est tellement important pour nous de porter cet enfant. »
  • « Laissons la nature décider alors ! », propose-je.
  • « Mais si on tombe toutes les deux enceintes ? »
  • « Est-ce si grave ? Votre mère vous a bien eues toutes les deux en même temps. »
  • « Oui c’est vrai … »
  • « Mais vous m’en faites qu’un chacune, hein ! Parce qu’avec trois ou quatre gosses, ça ne va pas être sympa ! »
  • « … »
  • « Je plaisante, mes puces … Ne faites pas cette tête ! On verra ce que le sort nous réserve. »
  • « Moi je suis d’accord ! », assure Annabelle.
  • « Moi aussi. On finit le mois en cours et on arrête. »

 

Quelques semaines plus tard, nous avons fêté leurs deux grossesses par une longue et torride étreinte à trois. Enfin à trois plus quelques cellules en pleine mitose …

 

oooOooo

 

Huit mois et demi ont passé, les quelques cellules sont devenues des millions, le ventre et les seins de mes chéries ont gonflé pour leurs donner des silhouettes toutes rondes et tellement sensuelles ! Mais en même temps qu’ont grandi mes enfants (deux petites filles !) dans ces cocons de chair, mon inquiétude à propos de notre famille a crû, pour devenir un poids en moi aussi imposant que celui de mes filles dans le ventre de leurs mères. Eh oui : nous pouvons tous les trois en tant qu’adultes responsables vivre la vie qui nous plaît, mais c’est une tout autre chose pour nos filles ! Elles ont besoin d’une vraie famille comme tous les autres bébés, et pas de deux parents, d’une belle-mère et d’une demi-sœur.

 Quoique finalement je me rends compte que c’est une situation répandue de nos jours, avec tous ces divorces. En plus les parents de ces enfants-là ne vivent pas ensemble, alors c’est encore pire ! Mais ce n’est pas ce que je veux pour mes filles, ce serait tellement mieux qu’elles aient nous trois comme parents. J’ai finalement trouvé la solution de demander de l’aide à un avocat spécialisé dans les affaires matrimoniales.

 Je suis donc en face d’un homme, la cinquantaine, la calvitie naissante, mais d’une belle prestance, ce genre de personne qui nous met rapidement à l’aise. Enfin tout est relatif … Disons que quelqu’un d’autre aurait pu me mettre dans un état de stress bien pire.

  • « Dites-moi en quoi je peux vous être utile. », dit-il patiemment.
  • « Ce n’est pas facile d’expliquer notre situation, nous n’en avons parlé à personne, elle est assez anormale, disons. »
  • « Vous savez, dans mon métier, on voit de tout, surtout en ce qui concerne ma spécialité. Alors n’hésitez pas à m’expliquer en détail votre situation, c’est seulement en connaissant tous les points-clés que je peux être efficace. »
  • « Bien, euh … Voilà, je suis ici car je vais avoir deux filles. »
  • « Félicitation à vous et à votre compagne ! »
  • « À mes compagnes, plutôt, justement le souci vient de là … Je suis en ménage avec deux femmes, et je ne sais pas comment faire au niveau administratif pour la reconnaissance des enfants. » 

L’avocat s’est redressé sur son siège, je sens une certaine excitation dans sa voix.

  • « Voilà qui est intéressant ! Enfin, j’avoue que je préfère cela plutôt que les habituelles procédures de divorce ou contrats prénuptiaux. Je serais ravi de vous aider ! »
  • « Ce n’est pas tout, il y a un autre point qui pourrait compliquer la procédure … »
  • « Allez-y, dites-moi. »
  • « Mes compagnes sont sœurs … », ajoute-je rapidement, comme pour me débarrasser d’une révélation honteuse.
  • « Je vois … Ne vous inquiétez pas, cela ne va pas compliquer plus que ça l’affaire. Bon, si j’ai bien compris, vous souhaiteriez que vos filles aient comme parents vos deux compagnes et vous, pour leur garantir les mêmes droits que les enfants issus d’un couple. »
  • « C’est tout à fait cela. »
  • « Bien, une solution pourrait être d’utiliser la dernière loi sur la famille … » 

Et l’avocat m’explique comment résoudre mon problème que je pensais insoluble. Je suis ressorti près d’une heure plus tard, après avoir réglé tous les détails de son intervention. Je suis soulagé, heureux, léger même. Et plus léger financièrement aussi, mais peu importe. Je n’ai qu’une envie, c’est de rentrer chez moi pour chérir mes deux femmes rondes. J’ai d’ailleurs posé deux semaines de vacances pour ne pas avoir autre chose à faire que de m’occuper d’elles pendant la fin de la grossesse et le début de l’allaitement.

 

oooOooo

  • « C’est une drôle d’idée d’avoir acheté du Champomy … »
  • « J’avais envie de trinquer à notre famille. À votre santé, mes chéries ! »
  • Nous entrechoquons nos coupes puis buvons une gorgée, je fais la grimace.
  • « Pas terrible ce truc … »
  • « Oui, en effet ! », dit Annabelle. « Tu aurais dû acheter un cidre doux. »
  • « C’est ça ! Je n’ai pas envie que vous me fassiez des alcooliques ! »
  • « Bof, avec un verre de cidre … » 

Cela les fait sourire. Nous dînons, puis je leur propose un massage, elles acceptent avec joie. Elles découvrent précautionneusement leurs énormes bedaines et leurs cuisses dodues, s’assoient sur le lit. Leurs seins gonflés se posent sur le haut de leurs ventres une fois leurs soutiens-gorges détachés. Ce que je les trouve attirantes seulement avec leurs shorty mauves ! Elles sont tellement belles avec toutes leurs rondeurs ! Elles s’allongent lentement, se tiennent par la main. Je fais couler de la crème hydratante autour de leurs nombrils érigés comme un étendard au sommet de ces montagnes de chairs. Je commence à les masser ensemble par des mouvements circulaires de plus en plus larges. Que c’est agréable de sentir contre mes paumes leurs énormes ventres durs. Que c’est excitant de caresser ensemble leurs peaux tendues.

 Apparemment cela leur plaît autant qu’à moi, je les vois fermer les yeux pour profiter pleinement de ce massage. Je délaisse un peu Annabelle pour mieux m’occuper de sa sœur, je fais passer mes mains sur tout l’arrondi de son ventre, le presse un peu plus fortement. Je n’en reviens pas du volume qu’il a pris au cours des derniers mois ! Les tailles toutes fluettes de mes chéries sont devenues d’imposants bidons ; tout, de leur pubis à la jointure de leurs seins, s’est courbé pour donner toujours plus d’arrondi à leurs ventres. Leurs poitrines ont gonflé, leurs tétons sont devenus de dures tétines au sommet de ces lourds monts de chair.

 Roxanne met ses mains derrière sa nuque, ce qui tend un peu plus sa grosse poitrine et découvre ses aisselles lisses. Je m’empresse de masser ces formes qui appellent les caresses. Je vois qu’elle se sent bien, mais je ne poursuis pas, je masse sa sœur tout aussi attentivement, elle qui n’attendait que ça.

 Une fois mes deux femmes apaisées, je me glisse entre elles et commence des caresses beaucoup plus érotiques. Je pince leurs tétons pour les faire pointer encore plus, je vois de petites gouttes de lait perler. Prendre dans ma bouche le jus de leurs seins est un plaisir cérébral intense, mon sexe se tend lorsque je lèche un à un leurs tétons. Je caresse à nouveau leurs énormes ventres, puis descends, mes mains disparaissent dans leurs culottes. Là, nous avons tous les trois une réaction, mais tous les trois pour des raisons différentes. Roxanne pousse un soupir de plaisir alors que sa sœur retire gentiment ma main.

  • « Non, mon cœur, je suis fatiguée, je n’ai pas envie de faire l’amour aujourd’hui. », dit Annabelle.
  • « Vous vous êtes épilées, mes chéries ? », demandai-je presqu’en même temps.
  • Je retire mes mains de leurs shorties.
  • « Oui. », répond Roxanne en remettant ma main contre ses chairs intimes. « Continue tes caresses, c’est bon … »
  • « Ça sera mieux pour les naissances. », ajoute Annabelle.
  • « C’est vrai que c’est dans quelques jours ! On fera une séance photo demain pour immortaliser la fin de vos grossesses. »
  • « Si tu veux, mais pour l’instant j’ai envie de toi … », réclame Roxanne. 

Je regarde Annabelle, elle hoche la tête, puis va s’installer sur le fauteuil de notre chambre, bien enveloppée dans une fine couverture polaire. Je reprends mes attouchements entre les jambes de Roxanne, je l’embrasse tendrement alors qu’elle soupire d’aise. Elle enlève son slip puis se met sur le côté, en levant une cuisse pour profiter au maximum de mes doigts qui massent ses lèvres intimes charnues et humides. Ses bras me serrent plus fortement, elle a envie que je sois encore plus proche d’elle, mais son ventre est déjà contre le mien.

Je presse doucement sa poitrine de ma main libre, titille ses tétons durs, alors que l’autre s’active sur sa vulve et que je masse l’entrée de son vagin brûlant avec deux doigts. Cela lui met davantage encore le feu entre les jambes, sa respiration va crescendo à mesure que son désir grimpe. Mes doigts s’enfoncent de plus en plus aisément dans son antre béant et trempé. Bientôt, ils ne lui suffisent plus, elle semble réclamer de tout son corps mon membre dur en elle.

Après un dernier baiser torride, je me relève et l’aide à s’installer au bord du lit. J’agrippe ses cuisses largement écartées puis m’enfonce doucement en elle. Qu’est-ce qu’elle est excitée ! Mon sexe pourtant gorgé de sang s’engouffre dans cet endroit mouillé et brûlant sans que je sente la moindre paroi. La sensation lorsque je commence de lents va-et-vient en elle est étrange, mon sexe n’est pas massé par son vagin comme habituellement, mais il paraît libre dans un endroit de chaleur et d’humidité idéale. C’est davantage les gémissements de plaisir de ma chérie qui m’excitent que la sensation finalement plus frustrante qu’agréable au niveau de mon sexe. Mais c’est par contre un tel bonheur de la voir haletante, gémissante, le visage et le corps secoués par d’intenses frissons ! Elle me demande de la prendre plus brutalement, elle a envie de jouissance, et les lents et amples mouvements de mon bassin ne lui suffisent plus.

Je mets plus d’ardeur dans ma pénétration, mais aussitôt l’image de mon gland en train de frapper sèchement la fine paroi qui le sépare de la tête de ma fille me vient à l’esprit. C’est malin ! C’est un coup à me faire débander d’imaginer des trucs pareils ! Je reprends encore plus lentement que tout à l’heure, mais Roxanne en pousse un gémissement de frustration. Ce gémissement devient une plainte lorsque je me retire de son vagin liquide. Elle passe sa main entre ses jambes pour se masturber violemment, avec trois doigts en elle. Je vais vite chercher un anneau bleu muni d’un petit dauphin, croise le regard brillant d’Annabelle qui nous observe attentivement. Nous nous sourions d’un air complice, nos sourires sont rejoints par celui de Roxanne lorsqu’elle me voit le sexe à l’équerre muni de l’anneau vibrant qui va la rendre folle.

Je m’enfonce de nouveau très lentement en elle, son soupir de contentement de se faire remplir à nouveau est vite remplacé par un petit cri de surprise lorsque le nez vibrant du dauphin touche son clitoris gonflé. Je reste profondément enfoncé en elle quelques instants, puis amorce un mouvement de va-et-vient d’une lenteur extrême. L’association des lents mouvements de mon sexe en elle et des intenses vibrations sur son clitoris la fait déjanter.

J’observe Annabelle alors que je suis profondément enfiché dans le vagin de sa sœur, je vois que le plaisir évident sur le visage de Roxanne a quelque peu réchauffé sa jumelle, elle retire sa couverture et commence à se caresser doucement un sein et le ventre sans nous quitter des yeux. Ses cuisses se desserrent comme malgré elles, je vois son énorme ventre bouger au rythme de sa respiration de plus en plus forte. Elle me sourit, s’avance sur le fauteuil et écarte un peu plus les jambes. Elle a une grosse auréole de mouille contre son entrejambe ! Cette vision me donne une décharge de plaisir, je ferme les yeux pour me concentrer sur mon sexe enfermé dans cet endroit merveilleux qu’est le vagin trempé de celle que j’aime.

Lorsque je les ouvre, je vois son visage transformé par le plaisir, mais surtout son énorme ventre et ses seins gorgés de lait qui bougent au lent rythme de ma pénétration. Je me retire rapidement, éteins le vibreur autour de ma queue, j’ai failli jouir tellement cette vision est excitante. Mon plaisir est monté rapidement, je parviens tout de même à me contrôler pour ne pas éjaculer sur le gros ventre de ma chérie. C’est pratiquement un orgasme qui me secoue les tripes lorsque je sens ma sève monter en moi, mais j’arrive à couper les vannes pour qu’elle ne devienne finalement qu’un petit filet de liquide qui coule de mon gland.

Je m’allonge en respirant bruyamment, je sens mon cœur battre rapidement dans ma poitrine. Roxanne glisse doucement vers moi, prend mon sexe en bouche, l’engouffre lentement en elle. Je crie de plaisir lorsque je sens sa gorge contre mon gland. Elle imprime d’amples mouvements de va-et-vient avec ses lèvres, d’abord lents puis de plus en plus rapides. Je grogne en sentant les contractions de sa gorge contre mon gland, accompagnées du massage de ses lèvres et de sa mâchoire. Je suis encore une fois proche du point de non-retour, obligé de prendre sur moi pour ne pas éjaculer au fond de sa bouche. De nouveau des décharges de plaisir parcourent mon corps alors que je retiens ma sève en moi.

Je la tire doucement vers moi par l’avant-bras, pour lui faire comprendre que ce n’est pas ainsi que j’ai envie de jouir en elle. Elle remonte à mon niveau, colle son ventre contre moi. Nous nous embrassons furieusement, je retrouve un goût étrange dans sa bouche, sans doute celui de mon début d’éjaculation, c’est assez excitant. Je l’aide à se redresser, elle se place précautionneusement sur mon ventre. J’aime sentir son poids sur mes abdominaux, lui qui était si léger pèse maintenant davantage sur mon ventre. Je l’attrape par les hanches, la relève légèrement, glisse pour remonter un peu, puis l’accompagne de mes mains pour qu’elle s’empale très lentement sur mon sexe tendu.

Nos soupirs de plaisir pendant cette pénétration sont simultanés, aussi fort l’un que l’autre. Je déclenche le nez vibrant du dauphin à la base de mon sexe, Roxanne pousse une longue plainte de plaisir. Je l’aide à onduler du corps, pour qu’elle se masse le clitoris avec le vibreur. Je tourne la tête vers ma deuxième femme, elle a toujours les cuisses écartées, elle se masse doucement les chairs intimes à travers le tissu mauve de plus en plus trempé, en observant attentivement sa sœur prendre du plaisir sur mon sexe. Je lui fais signe de venir avec nous, elle accepte immédiatement. Elle profite d’être assise pour enlever sa culotte, se lève lentement et vient s’installer sur le lit comme l’était sa sœur quelques minutes auparavant, le ventre collé à moi.

Je passe une main derrière sa nuque, l’embrasse tendrement pendant que mon autre main lui masse un sein et que les siennes s’occupent de caresser le dos et les cuisses de Roxanne. Nous voir dans les bras l’un de l’autre, associé à sa position assise qui lui appuie davantage le vibreur sur son clitoris gonflé, fait partir Roxanne. Elle crie son plaisir, le visage et les membres tétanisés, je sens les parois de son vagin se contracter sur mon sexe. Son orgasme est rapide, elle est montée pour un haut mais bref pic de plaisir. Elle reste empalée sur ma queue, éteint le vibreur pour reprendre son souffle.

Ma main sur le sein d’Annabelle est descendue pour atteindre sa vulve trempée. Je lui propose de prendre la place de Roxanne mais elle refuse, me dit qu’elle aimerait plutôt être sur moi pour que je la lèche mais qu’elle regrette d’être trop lourde pour le faire. Je souris à cette remarque, lui assure que ça n’a pas d’importance, que tout ce qui compte c’est le plaisir que je vais lui donner. Roxanne et moi l’aidons à s’installer à califourchon sur mon visage. Il est vrai que le poids de son corps rend la position pas très confortable pour moi, mais je réussis à placer ma mâchoire de façon à ce que je puisse la lécher sans que ce soit trop désagréable.

Cependant je garderai ce cunnilingus gravé dans ma mémoire. Qu’est-ce que c’est agréable de lécher une vulve charnue, complètement épilée et gonflée de désir ! Qu’est-ce que c’est excitant de voir son énorme ventre et ses seins gonflés sous cette perspective, oscillant au rythme de sa respiration ! Je sens que Roxanne redémarre le vibreur, aussitôt les ondulations de ses hanches et ses gémissements de plaisir reprennent. Sa sœur gémit également lorsque je commence à lécher ses chairs ouvertes. Pas facile de me concentrer sur les mouvements de ma langue alors que mon sexe est gorgé de sang dans un antre toujours aussi brûlant et humide ! Surtout en ayant deux jumelles enceintes jusqu’aux os en train gesticuler de plaisir sur moi ! Heureusement, Annabelle est déjà dans un état d’excitation avancée, je n’ai pas davantage à faire que de laisser vibrer ma langue contre son clitoris hyper-sensible.

Il ne lui faut d’ailleurs pas plus de quelques minutes pour partir. Son orgasme semble lui venir de très profond en elle, il la submerge peu à peu pour la rendre comme possédée, son corps semble ne plus lui appartenir alors qu’elle visite des sommets lointains pendant un temps infini. Voir sa sœur dans cet état fait partir à nouveau Roxanne, pour un orgasme similaire au premier : rapide et puissant. Cette fois, les contractions de son vagin m’achèvent, je crache puissamment ma semence, toujours profondément enfiché en elle, dans un hurlement qui accompagne les cris de jouissance de mes chéries.

Elles restent quelques instants sur moi pour reprendre leur souffle, mais je leur fais rapidement comprendre que j’aimerais également reprendre le mien ! Elles se dégagent précautionneusement, s’installent sur le côté de part et d’autre de moi. Nous restons longtemps, immobiles, à profiter de notre plaisir, dans notre position préférée : leurs têtes sur mes épaules, leurs seins et leurs ventres contre moi. Mes mains sont posées sur leurs énormes cocons de chairs. Je me demande si mes filles profitent aussi du bien-être de leur mère. Peut-être que oui, puisqu’il s’agit de la présence d’hormones dans le sang, c’est chimique, après tout, le bien-être.

 

oooOooo

 

C’était ma dernière relation sexuelle avec mes deux femmes enceintes, Roxanne a eu ses premières contractions le lendemain ; mes filles sont nées à quelques jours d’intervalles. Nous sommes tous les cinq installés dans le canapé, Roxanne tient dans ses bras nos deux petites, elles sont chacune en train de téter innocemment un sein de leur mère. Annabelle est serrée contre moi, nous profitons tous les deux du magnifique spectacle de l’allaitement. 

  • « Elles ont l’air de se régaler. », remarque Annabelle.
  • « Oui. Je me demande quel goût ça a, un lait de femme. » 

Elle sourit, ouvre son chemisier, détache un des côtés de son soutien-gorge.

 

  • « Viens me téter, mon gros bébé ! »

 

J’avance ma bouche sur son sein, prends la tétine entre mes lèvres, aspire doucement. Je sens quelques gouttes tièdes couler dans ma bouche. J’aspire une nouvelle fois, en pinçant un peu plus. Un petit jet vient chatouiller ma langue.

 

  • « C’est vraiment agréable de te téter ! »
  • « Tu me fais goûter ? »

 

Je fais couler quelques gouttes de lait dans ma bouche, puis embrasse Annabelle ; elle grimace.

  • « Beurk, ce n’est pas bon. Comment tu peux aimer ça ? »
  • « Le goût n’est pas terrible, mais la sensation est extra ! »
  • « Et la sensation d’un jet dans la figure, ça te plaît ? », dit-elle en riant et en pressant son sein pour m’envoyer une giclée de lait.
  • « Bon, c’est fini vos cochonneries ! », intervient Roxanne d’un ton sévère.
  • « Excuse-nous, Roxy … »
  • « Je n’ai plus de lait, c’est à toi Annabelle. », dit-elle d’une façon plus douce. 

Je fais passer mes filles pendant qu’Annabelle libère son deuxième sein, nos petites s’empressent de téter la poitrine gorgée de lait de leur deuxième maman. Je pose un petit baiser sur la tempe de Roxanne alors qu’elle reboutonne son haut. Je suis vraiment heureux, je peux enfin exprimer mon amour dans toute sa capacité. Mon amour pour deux jeunes femmes merveilleuses, mon amour pour deux petites filles adorables.

 

FIN

 

 

 


Par Decadent Laboratory - Publié dans : RECITS
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Comme son nom l'indique c'est un petit règlement de compte personnel. Enfin, pour être franche c'est surtoit moi (Roxanne) qui tenait à ce que cette rubrique soit présente. Eh ouais, même si je ne suis pas la principale concernée (quoique j'ai bien mangé quand même), j'ai la rancune plus que tenace.

Petit-reglement-de-compte-entre-ami-e-s-copie-1.jpg

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ERRATUM

Petite précision qui a son importance concerant la rubrique "Petit règlement de compte entre ami(e)s"... Pour ne pas qu'il y ait de malencontreuses coïncidences, les prénoms des protagonistes ont été changés. Par exemple, le compagnon de la protagoniste principale suce nommée (oui je sais ça ne s'écrit pas comme ça mais ça me fait rire), ou pour être plus précise le "plouc", ne se prénomme pas Laurent et n'habite pas Chaussy dans le Val d'Oise. En tous cas selon les informations fournies par la CAF.


A moins que... Noooooon !!! Des gens si honnêtes et si vertueux que ça ce n'est pas possible ! J'ai vraiment l'esprit mal tourné ! Après, par souci de clarification, si cela pose problème, on peut toujours aller leur demander de procéder à une vérification des pièces justufucatives fournies ? Non ?  

Ce point éclaircie, je vous souhaite une bonne lecture... "Amicalement", Roxanne ou chérie coquine.

Nous

Couple libertin de région parisienne, vous aurez vite compris que le sexe tient une place primordiale dans notre vie. Pour le reste nos adorons le rock, les Harley, les voyages et plein d'autres choses dont vous vous foutez royalement. Non ? Bandes de menteurs !

 

Détenteurs d'un compte couple certifié sur Netéchangisme, voici notre annonce :

 

Le libertinage et ses plaisirs n'ont de sens que lorsqu'ils sont vécus au sein d'un couple à la complicité sans faille ... Roxanne (29 ans) et Franck (42 ans), notre indéfectible amour ne nous empêche aucunement d'être des épicuriens convaincus et des adeptes assidus des plaisirs de la chair ... Le feeling, la complicité et la séduction tiennent une place importante dans notre recherche qui s'oriente vers des couples à la partie féminine bisexuelle ou vers des femmes elles aussi tentées ou pratiquant les plaisirs saphiques ... Nous ne ferons pas une liste des pratiques que nous acceptons ou nous refusons, mais n'hésitez à nous contacter afin d'en savoir plus. Cela sera peut-être le début d'une belle amitié et plus si affinité.

 

Si elle vous intéresse et vous correspond, n'hésitez pas à nous contacter à l'adresse suivante :

decadent.laboratory@outlook.com

 

Dans le cas contraire, on vous souhaite une bonne visite et surtout : NE SOYEZ PAS SAGES !!!

 

Roxanne & Franck

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