Mercredi 22 juin 3 22 /06 /Juin 01:55

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La descente aux enfers

Ecrit par Roxanne

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Les jours précédents, j’étais arrivée facilement à contenir mon impatience grâce aux bavardages avec Jeanne ainsi qu’à la découverte du métier et de l’endroit qui faisaient passer les minutes un peu plus vite. Ce soir en revanche, mon unique objectif était d’attendre la fin de la soirée pour enfin dire à Valérie ce que je pensais de son initiative. Et tandis que je la regardais, assise deux tabourets plus loin, en train de minauder auprès du reste de la troupe, je sentis monter en moi une rage d’une force peu commune. Fort heureusement, le premier client qui fit son apparition jeta son dévolu sur moi, ce qui allait me permettre de penser à autre chose qu’à celle qui était devenue ma meilleure ennemie.

C’était un homme d’une quarantaine d’années, bien habillé et au physique agréable. Après les amabilités d’usage et l’échange de nos prénoms, Stéphane et moi nous dirigeâmes vers les alcôves, suivis de Jeanne et de la bouteille de champagne qu’il avait commandée. Très vite, je compris que sa volonté de nous isoler dans un endroit plus discret n’était pas innocente. À peine Jeanne avait-elle tourné les talons qu’il se pencha vers moi afin de déposer quelques baisers dans mon cou tandis que sa main flirtait avec le haut de ma brassière, avant d’oser une caresse sur mes seins. Sans réellement me montrer très réceptive à ses avances, je le laissai poursuivre tout en jetant des coups d’œil à la dérobée en direction du bar. C’est alors que je vis Valérie s’avancer vers les box en compagnie d’un jeune homme qui n’était autre qu’Alex, mon compagnon d’aventure de l’avant-veille, tous deux précédés par Annabelle avec qui ils s’installèrent sur les banquettes de l’alcôve située juste à côté de la nôtre.

Mon sang ne fit qu’un tour ! Valérie n’était là que depuis une petite heure et elle avait déjà réussi à me voler tout ce qui faisait désormais partie de mon monde. Tant de questions se bousculaient dans ma tête. Avaient-ils déjà parlé de moi ? Que savait vraiment Annabelle sur les liens qui avaient pu exister entre Valérie et moi ? Et Alex allait-il raconter nos exploits ? Pour la première fois depuis mon arrivée, j’aurais voulu être ailleurs. Loin de ce club, loin d’Annabelle, de Valérie surtout ! Et Valmont … Penser à lui et à notre future escapade était la seule chose à laquelle je pouvais me raccrocher en cet instant qui voyait mes univers s’entrechoquer dans un big-bang aux conséquences imprévisibles.

La main qui se glissait maintenant sous ma brassière et pelotait allègrement ma poitrine me rappela que j’étais en compagnie d’un homme qui attendait sans doute que je me montre un peu moins inerte face à ses velléités ! Aussi, après un énième coup d’œil en direction du joyeux trio, je posai ma main sur son pantalon et commençai à masser son sexe. Sans doute était-ce le signal qu’il attendait pour aller plus loin car l’instant d’après, il m’embrassa fougueusement tout en glissant sa main à l’avant de mon pantalon. Très vite, ses doigts atteignirent mon sexe qu’ils commencèrent à caresser avant de s’y introduire. Lascive, je me laissai faire comme une poupée de chiffon, sans volonté ni d’autre réaction que celle de m’offrir un peu plus encore à ces mains inconnues.

Lorsqu’il cessa de m’embrasser, j’en profitai pour regarder comment évoluait la scène qui se déroulait à côté et … Ce fut une mauvaise idée. Entourant Alex, qui avait glissé ses mains sous leur jupe, Annabelle et Valérie s’embrassaient à pleine bouche, tout en se caressant de façon passionnée. En rage devant ce spectacle, je défis la braguette de Stéphane et libérai son sexe gonflé de désir.

Après une lente masturbation durant laquelle je jetai un dernier coup d’œil furtif par-dessus mon épaule, je me penchai vers le sexe dressé et le fis glisser entre mes lèvres, avant de jouer avec ma langue sur le gland déjà mouillé d’envie. J’entendis Stéphane pousser un soupir de satisfaction et je sentis sa main se glisser cette fois-ci à l’arrière de mon pantalon dont je fis sauter les premiers boutons afin de lui permettre d’atteindre plus facilement sa destination. Alternant masturbation et jeux de langue, je suçai goulument cette bite que l’excitation faisait se contracter au gré de mes caresses. Quant à moi, je n’étais pas non plus en reste. Assaillie par ces doigts inquisiteurs qui naviguaient entre mes orifices, je prenais un plaisir que je ne cherchais pas à dissimuler et de petits cris de satisfaction venaient régulièrement ponctuer nos ébats.

Désormais, je ne pensais plus du tout à ce qui pouvait se passer à côté. Tout mon être cherchait à jouir et à faire jouir. Et tandis que j’accélérais les allées et venues de mes lèvres sur son chibre, Stéphane fit entrer son majeur dans mon petit trou. Doucement tout d’abord, puis de façon plus énergique ensuite, avant d’entamer des allers-retours à une fréquence de plus en plus élevée. À sa façon de soulever son bassin pour faire entrer sa queue toujours plus profondément jusqu’au fond de ma gorge, je sentis qu’il n’allait pas tarder à éjaculer. C’est alors qu’il posa sa main sur ma tête et poussa son sexe au maximum avant de projeter dans ma bouche de puissants jets de sperme chaud. Lorsqu’il eut fini de se vider les couilles, il relâcha son étreinte et je pus me redresser tout en avalant sa semence. Après quoi il se rhabilla et disparut en direction du bar sans même dire un mot.

Qu’importe … Je n’attendais rien de lui, si ce n’est me permettre de me donner en spectacle devant Valérie. Mais lorsque je me levai à mon tour, je constatai que mon ex-amie avait dû être bien trop occupée pour s’intéresser à ce qui venait de se passer à côté d’elle. Désormais, leurs trois corps enchevêtrés ne formaient plus qu’une masse unique et diffuse, parcourue par de multiples mains aux mouvements frénétiques et passionnés. Une fois revenue au bar, je tentai de me calmer en sirotant un jus de fruit, mais je ne pouvais effacer de mon esprit l’image de Valérie et Annabelle s’embrassant fougueusement sous les caresses d’Alex. Finalement, je n’aurais su dire à cet instant de qui j’étais le plus jalouse et bien qu’il me fût impossible de les voir de là où j’étais, je continuais cependant à jeter de brefs coups d’œil dans leur direction. Lorsqu’après de longues minutes, les trois acolytes finirent par regagner le zinc, Annabelle me gratifia d’un sourire et d’un clin d’œil dont je fus incapable d’interpréter la signification. Quant à Valérie, elle passa devant moi sans un regard et regagna son siège.

J’avais hâte que la soirée se termine et en même temps, j’appréhendais cette confrontation avec Valérie qui ne manquerait pas d’arriver. Alors, je passai ce qu’il restait de la soirée à regarder l’horloge égrener les secondes et lorsque Jeanne ralluma les lumières et distribua nos enveloppes, je sus que le moment que je redoutais tant était arrivé. Suivant le reste du troupeau qui regagnait ses pénates, j’attendais le meilleur moment pour prendre Val à part et lui dire ce que je pensais de sa venue ici mais Annabelle contraria mes projets :

  • « Roxy ! Ça te dit de recommencer comme l’autre soir, avec Alex ? Valérie se joint à nous aussi … », me murmura-t-elle à l’oreille.

Coincée ! J’étais perdue si j’acceptais, perdue si je refusais ! Valérie me regardait me débattre dans ce combat intérieur et Annabelle attendait une réponse sans comprendre mon hésitation.

  • « OK ! Maintenant ? Chez toi ? », finis-je par dire.
  • « Yes ! On va s’éclater, tu vas voir … », on va s’éclater tu vas voir.

S’éclater … Bizarrement, ce n’est pas le mot que j’aurais choisi ! La vérité, c’est que dans quelques minutes, j’allais participer à une improbable orgie en compagnie de celle qui m’avait giflée deux jours plus tôt et qui s’était permis de venir violer mon nouveau sanctuaire par sa simple présence.

  • « Roxy, tu connais Valérie, la nouvelle. Alex voudrait renouveler l’expérience de l’autre soir en compagnie de deux filles qui … Enfin tu vois quoi ! À moins que cela te gêne ? », dit Annabelle alors que nous entrions dans sa chambre.

La rage qui ne m’avait pas quittée monta d’un cran. Valérie avait dû discrètement faire comprendre que cela ne la dérangerait pas de coucher avec une fille et Alex avait probablement sauté sur l’occasion.

  • « Penses-tu ! Rien ne me dérange. J’aurais préféré baiser avec Alex, mais si ça se passe comme l’autre soir, tout n’est pas perdu ! »,répondis-je en tentant de masquer ma colère.
  • « Il s’est passé quoi l’autre soir ? », demanda Valérie qui jusqu’alors n’avait pas pipé mot.

Annabelle lui expliqua en détail mes frasques dans la cage d’escalier, ce qui je l’avoue, me procura un moment d’intense satisfaction.

  • « Eh bien … On ne dirait pas en te voyant ! »,dit Valérie en s’adressant à moi.
  • « Que veux-tu … Il ne faut pas se fier aux apparences … »

Je ponctuai ma réponse d’un sourire à la fois malicieux et ironique, tandis qu’Annabelle s’empressait d’accueillir Alex qui venait d’arriver, ce qui eut le mérite d’éviter d’autres questions gênantes.

  • « Roxanne ! Ravi que tu te joignes à nous ! », s’exclama-t-il avec un grand sourire.

Comme je m’avançais pour lui faire la bise, à ma grande surprise, il prit ma tête entre ses mains et me gratifia d’un long et langoureux baiser.

  • « Attention … Je vais être jalouse ! », plaisanta Annabelle.
  • « T’inquiète, ma belle ! Tu seras toujours ma préférée. Mais ce soir, j’adorerais m’occuper de Roxanne pendant que toi et Valérie, vous vous amusez entre filles. C’est OK ? », demanda Alex.

Sans attendre la réponse, il me coucha en travers du lit et entreprit de me déshabiller. Quelques secondes plus tard, je me retrouvais nue, jambes écartées, offerte à son désir dressé pendant que Valérie et Annabelle, probablement surprises par la tournure des évènements, commençaient à s’embrasser et à ôter leurs vêtements, juste à côté de nous.

Il commença par parcourir longuement mon sexe avec sa langue, avant de remonter vers mes seins, puis vers ma bouche pour un torride baiser. Et pendant que je fondais littéralement sous ses caresses et la force de ses lèvres contre les miennes, je sentis sa verge me pénétrer sans autre forme de préliminaires. Offerte et sans défense, je profitais de chaque mouvement de nos corps comme d’une friandise au goût sans cesse renouvelé. J’en avais presque oublié mon ennemie et mon amie qui avaient, elles aussi, largement dépassé le stade des préliminaires. Annabelle était littéralement assise sur le visage de Valérie dont le plan initial consistant à profiter de la situation pour avoir l’occasion de me faire l’amour avait lamentablement échoué, pour mon plus grand bonheur.

Après quelques minutes, Alex se retira et présenta sa queue devant ma bouche qu’il pénétra de la même façon que mon vagin quelques minutes plus tôt. Je pensais qu’il était sur le point de jouir mais c’était sous-estimer ses capacités. Après une fellation qu’il sembla apprécier à en croire ses soupirs de satisfaction, il me fit signe de me retourner. Je craignais qu’il n’essaye de me sodomiser sans me lubrifier, à sec, aussi fus-je soulagée de sentir ma vulve s’écarter à nouveau au passage de sa bite.

Désormais, j’étais aux premières loges pour voir Annabelle prendre du plaisir au détriment de Valérie qui ne s’attendait sûrement pas à ça ! Alors, dans un élan de fausse compassion qui visait surtout à rendre Valérie jalouse, j’attirai Anna à moi et plongeai la tête entre ses cuisses sous le regard ahuri de Val qui voyait sa « petite Roxanne » prise en levrette par un inconnu tout en bouffant la chatte d’une autre fille qu’elle. Cependant, elle pouvait être rassurée, car j’avais bien l’intention de lui faire profiter de mon corps. Comme je sentais l’excitation d’Alex grimper au rythme de ses assauts, je le repoussai hors de moi avant de l’attirer sur le lit, allongé sur le dos. Je l’enjambai alors et m’empalai sur son sexe pour une chevauchée déchaînée qui le mit dans un état de quasi-transe. Au bout d’un moment, il me fit signe qu’il allait jouir, mais je continuai de plus belle jusqu’à sentir son braquemart se contracter et expulser dans mon ventre le fruit de sa jouissance. Je continuai encore quelques secondes avant de me lever et de proposer à Valérie de goûter mon sexe qu’elle semblait tant désirer. Enfin quand je dis proposer … Me voyant enjamber son visage, elle n’eut d’autre choix que de soumettre sa bouche à ma chatte souillée et dégoulinantes du foutre d’Alex qui bientôt, dès que j’allais décontracter les parois de mon vagin, allait maculer son visage. Finalement heureuse de la tournure des événements et repue de jouissance grâce à un homme qui, décidément, savait admirablement satisfaire mes appétits, je finis par libérer Valérie et m’allongeai sur le lit, fatiguée mais comblée.

Après un long moment de repos, nos corps moites reprirent vie. Chacun rassembla ses affaires et se rhabilla sans dire un mot jusqu’à ce qu’Alex rompe le silence :

  • « Une fois encore, c’était génial ! », merci les filles.
  • « Surtout, reviens quand tu veux ! », s’empressa de répondre Annabelle dans un large sourire.

Il répondit par un clin d’œil et gratifia chacune d’entre nous d’un long baiser. Mais alors qu’il m’embrassait, je sentis sa main glisser discrètement dans la mienne un morceau de papier. Sans rien laisser paraître, je cachai à mon tour le petit mot dans une poche de mon pantalon en attendant de pouvoir le lire.

Après qu’Alex fut parti, nous restâmes toutes les trois dans la chambre, entourées d’un épais silence qu’Annabelle essaya vainement de combler. Mais Valérie et moi étions bien trop mal à l’aise pour rire à ses plaisanteries, conscientes que l’explication que je redoutais n’allait pas tarder.

  • « Je vais vous laisser … Je tombe de sommeil. Bonne nuit ! »,finis-je par dire en me dirigeant vers la porte.

Comme à son habitude, Annabelle me répondit d’un air enjoué, Valérie d’un simple signe de la main. Et alors que je cherchais mes clés pour ouvrir ma porte, j’entendis les pas de Val qui se rapprochaient dans l’escalier. Elle arriva sur le palier au moment où j’ouvrais.

  • « Tu veux qu’on parle ? », demanda la voix dans mon dos.
  • « Je ne vois pas ce qu’on pourrait se dire. »,répondis-je d’un air détaché.
  • « Roxy … S’il te plaît, laisse-moi entrer … »

À contrecœur, je lui fis signe de me suivre à l’intérieur de la chambre. Après tout, repousser cette discussion au lendemain n’avait aucun sens. Mieux valait en finir tout de suite. Aussi décidai-je d’ouvrir les hostilités :

  • « Alors ? Tu as décidé de te dévergonder ou bien es-tu juste venue pour me pourrir la vie ? »

Elle se laissa tomber sur le lit en hochant la tête.

  • « Décidément, tu ne comprends vraiment rien … Tu ne vois pas que j’essaye de t’aider ? »
  • « Mais je n’en veux pas de ton aide ! Comment faut-il que je te le dise ? Tout ce que je veux, c’est que tu me foutes la paix ! »,explosai-je.
  • « Tu ne te rends pas compte que tu es en train de gâcher ta vie ? Tu as vu ce que tu as fait ce soir avec ce mec ? »,renchérit-elle.
  • « Bien sûr que je l’ai vu ! Je l’ai même bien senti ! Et c’était … Comment dire … Wahou ! Dommage que tu aies été là, finalement. Ça a gâché un peu mon plaisir, je t’avouerai ! »
  • « Tu es folle ! Folle à lier ! »
  • « Oui … Folle … Folle de désir … Folle de sexe … Tu veux pas recommencer à me lécher, là ? J’ai encore envie ! », répondis-je de façon soudainement lascive tandis que je m’avançais vers elle en faisant mine de déboutonner mon pantalon.

Elle se leva d’un bond et se dirigea vers la sortie.

  • « Mais arrête, bon sang ! Qu’est-ce qu’il te prend ? »,hurla-t-elle dans une dernière tentative.
  • « Il me prend que j’en ai assez de te voir dans mes pattes. Marre de te voir me tourner autour. Et je serais plus que ravie si tu décidais d’arrêter là ta carrière d’hôtesse. », répondis-je en cessant ma petite comédie.
  • « Compte pas là-dessus ! Je continuerai jusqu’à ce que tu entendes raison ! », conclut-elle sèchement.

Sur quoi elle tourna les talons et claqua la porte derrière elle. La fatigue que j’avais ignorée jusqu’alors se fit soudain plus pesante et tout en maudissant Valérie, je commençai à me déshabiller. Lorsque je quittai mon pantalon, le petit papier que m’avait glissé Alex tomba sur le sol. Avec tout ça, je l’avais oublié celui-ci :

 Tél moi demain, j’ai un truc à te proposer

Un numéro de portable était inscrit juste en dessous. En me couchant, je me demandais quelle idée perverse avait germé dans son esprit mais j’avais bien l’intention de l’appeler. Non seulement le plaisir que je prenais lors de nos ébats avait sur moi l’effet d’une drogue, mais j’avais l’intention de me jeter à corps perdu dans toute aventure qui pourrait m’éloigner de Val. Je m’endormis donc en songeant aux diverses raisons qui avaient poussé Alex à vouloir me contacter à l’insu des autres et, dans un demi-sommeil, toutes ces possibles raisons guidèrent ma main vers son endroit favori : ma chatte !

Lorsque j’entrai dans le grand café des Terreaux, ce fut avec une petite boule au ventre. Après m’être assurée que j’étais la première arrivée, je choisis une table dans un coin discret et attendis tout en me demandant pourquoi Alex avait fait tant de mystère sur ce qu’il avait à me dire. L’impatience m’avait poussée à lui téléphoner dès mon réveil, mais son discours laconique n’avait fait qu’accroître ma curiosité. Il avait quelque chose à me proposer mais il tenait à m’en faire part de vive voix. Nous avions alors convenu d’un rendez-vous le matin même dans ce café où deux semaines auparavant, Valérie et moi nous étions retrouvées, quelques jours après mon départ de la fac.

  • « Vous attendez quelqu’un ? »

Perdue dans mes pensées, je ne l’avais même pas vu entrer.

  • « Comment ça va ? », demandai-je bêtement à mon partenaire d’orgie de la veille.
  • « Un peu fatigué par ta faute, mais je ne me plains pas ! Loin de là … »

Il ponctua sa phrase d’un clin d’œil et, après avoir commandé deux cafés, il entra dans le vif du sujet :

  • « J’imagine que tu te demandes pourquoi je voulais qu’on se voie ? »
  • « Un peu, oui … », répondis-je sur la défensive.
  • « Voilà … Mon père est associé dans une société de production de films X destinés à internet. Moi-même, il m’arrive de tourner dans certains de ces films et j’ai pensé que ça pourrait t’intéresser. »

Tourner dans des films pornos ! L’espace d’un instant, je fus outrée par sa proposition. Était-ce mon comportement lors de nos ébats qui avait fait germer en lui cette idée ? Avais-je l’allure d’une star du X ? Toutefois, après un bref instant de réflexion, je devais bien avouer que l’idée avait de quoi séduire la Roxanne que j’étais devenue au fil de ces derniers jours. Mais de là à franchir le pas, c’était autre chose.

  • « Évidemment, c’est payé. Très bien payé, même … », rajouta-t-il dans l’espoir de me convaincre.
  • « Je ne sais pas trop. C’est un milieu un peu … Glauque, non ? »,finis-je par répondre.
  • « C’est l’image qu’on en a généralement, oui. Franchement, on se marre bien ! Et à part la présence des caméras, ce n’est pas très différent de ce qu’on a fait hier soir … »
  • « À part aussi le fait que ce sera diffusé de partout sur internet ! »
  • « Les films sont distribués essentiellement à l’étranger, mais ça, le type qui recrute les acteurs te l’expliquera mieux que moi. Après, tu n’es pas obligée d’accepter. C’est juste que si ça te branche, vu ce que j’ai constaté par moi-même, je pense qu’ils seront ravis de t’avoir dans leurs films ! »

Il appuya sa remarque d’un clin d’œil qui semblait en dire long sur le plaisir qu’il avait ressenti au cours de nos ébats. Pour autant, j’étais partagée. L’attrait irraisonné que je ressentais pour le sexe depuis quelques semaines me poussait à en savoir davantage, mais il subsistait, malgré tout, quelque part en moi l’ombre d’un scrupule à m’exhiber aux yeux de tous ma vie sexuelle, même scénarisée.

  • « C’est juste un métier, Roxanne … Après, tu peux faire un essai, ou pas ! Tu es libre. Je te laisse le numéro du type à appeler si jamais ça t’intéresse. »

Il déposa sur la table une carte de visite au nom évocateur de X’Trem Productions.

  • « Le type fait des auditions n’importe quand. Présente-toi de ma part, il est au courant. »
  • « Tu lui as déjà parlé de moi ? », questionnai-je un peu surprise.
  • « Ce matin avant de venir. D’après ce que je lui ai dit, il avait l’air emballé ! »

J’étais un peu gênée qu’Alex se soit permis de relater nos ébats à une tierce personne. Mais vu le personnage, je savais que je ne devais pas trop me formaliser.

  • « Je dois te laisser, j’ai rendez-vous. J’ai aussi noté à nouveau mon numéro au dos de la carte. Si ça te dit de … », dit-il en se levant avec un nouveau clin d’œil.

Il déposa un baiser sur ma joue et sortit, me laissant à mes réflexions. Après avoir commandé un autre café, je relus la petite carte que m’avait laissée Alex. Le type en question s’appelait Stéphane Dumas et sa fonction était « Responsable Casting », ce qui me fit sourire. Je n’imaginais pas les sociétés de production de films de cul structurées comme une multinationale. Avec des responsables de tout et de rien, des adjoints de responsables etc … En sirotant mon deuxième café, je pesais le pour et le contre d’une telle initiative lorsqu’une idée sordide et abjecte germa dans mon esprit. Immédiatement, je sortis mon téléphone portable et appelai le numéro inscrit sur la carte.

  • « X’Trem Prod, bonjour ! »
  • « Bonjour, je suis Roxanne. Je vous appelle de la part d’Alex et … »
  • « Oui ! J’attendais votre appel. Vous voulez passer un casting ? »,me coupa-t-il sur un ton qui me sembla ravi.
  • « Eh bien … Pourquoi pas … Pour faire un essai … »,répondis-je.
  • « Très bien ! Si ça vous convient, je peux vous recevoir aujourd’hui à 15 heures. Ça vous va ? »
  • « Ok, 15 heures. C’est noté. »
  • « Parfait ! À tout à l’heure … »

Mon correspondant m’ayant donné l’adresse, je raccrochai en ayant le sentiment de ne pas très bien savoir ce que j’étais en train de faire. Mais poussée par le plan qui avait germé dans mon esprit quelques minutes plus tôt, j’étais résolue à aller jusqu’au bout. Aussi, après un repas où je ne réussis à avaler guère plus qu’une salade tellement mon estomac était rempli d’appréhension, je rentrai dans ma chambre, histoire de me préparer au mieux pour le rendez-vous qui m’attendait.

Le studio se trouvait pas loin de la Gare du Nord. C’était un quartier où quelques vieilles usines et entrepôts en partie désaffectés de la SNCF subsistaient encore au milieu des bâtiments récents qui fleurissaient un peu partout, signe que l’endroit était en pleine mutation. Bien évidemment, X’Trem Productions n’était pas l’heureux locataire de l’un de ces immeubles flambants neufs. C’était une vielle bâtisse située au fond d’une impasse, mais devant laquelle étaient exposées deux très belles voitures, signe extérieur d’une opulence de façade qui devait servir autant à rassurer les potentiels visiteurs qu’à flatter l’ego de leurs heureux propriétaires. Quelques secondes après que j’eus actionné la sonnette, un grand type vêtu d’un pantalon en cuir et d’un tee-shirt moulant vint m’ouvrir.

  • « Bonjour ! Tu dois être Roxanne ? Entre, je t’en prie … »

Sur les murs du long couloir qui desservait les bureaux, des affiches de films annonçaient la couleur. « Autant en emporte le gland » côtoyait « Le fabuleux vagin d’Amélie Bourrin » ; dans la catégorie du titre de film le plus ridicule, la palme est attribuée à … ! Une fois arrivés dans son bureau, il m’invita à prendre place dans le canapé où avaient dû s’asseoir tant de filles avant moi, avant de me dévisager des pieds à la tête :

  • « Eh bien … Alex ne m’avait pas menti ! Tu as l’air parfaite pour ce genre de boulot ! »

Bizarrement, je ne le pris pas vraiment comme un compliment ! Toutefois, je ne perdais pas de vue la raison de ma présence ici et gratifiai mon potentiel employeur d’un large sourire.

  • « J’imagine que tu dois avoir des questions. C’est normal et je tâcherai d’y répondre. Moi-même, j’ai pas mal de choses à te demander. Mais avant ça, je vais mettre la caméra en route. Tout l’entretien sera filmé. Pas de problème ? »,poursuivit-il.
  • « Aucun problème ! », répondis-je d’une voix que je voulais assurée mais qui en réalité était loin de l’être.
  • « Parfait ! »

Il s’affaira quelques instants derrière la caméra qu’il venait de poser sur un trépied, puis le voyant rouge se mit à clignoter, signe que l’enregistrement débutait. Je remarquai également qu’un écran de contrôle diffusait en direct les images de la caméra.

  • « Pour commencer, je vais te demander une pièce d’identité. Je suis désolé mais c’est la procédure. Je dois m’assurer que tu as plus de dix-huit ans. »

Je lui tendis ma carte d’identité, un peu surprise toutefois de pouvoir paraître si jeune. Mais si c’était la procédure alors …

  • « Bon, parfait, merci. Pour quelles raisons as-tu envie de tourner dans des films X ? »
  • « Pour l’argent, tout d’abord … », répondis-je en espérant que ma réponse oriente le débat sur les questions salariales sans compter que la vraie raison de ma présence ici lui importait peu.
  • « Je vois … Mais j’imagine que tu aimes le sexe aussi, non ? En tout cas, c’est ce que j’ai pu comprendre de ce qu’Alex m’a dit. »

Alex ! Décidément, j’aurais payé cher pour connaître la teneur du discours qu’il lui avait tenu.

  • « Évidemment ! »,répondis-je comme si cela allait de soi.
  • « Ok … Tu t’es déjà déshabillée devant une caméra ? »

Je répondis par la négative, aucun de mes ex n’ayant eu ce fantasme.

  • « Alors on va commencer par ça. Vas-y, déshabille-toi … », dit-il en s’approchant de la caméra.

Un peu hésitante, j’obéis quand même à sa demande. Avant de venir, je me doutais bien que j’allais devoir en passer par là, mais il y a des choses auxquelles il est parfois difficile de se préparer. Après m’être levée du canapé, je fis glisser ma robe sur le sol, me retrouvant ainsi en string et soutien-gorge. Il ôta la caméra de son trépied et s’approcha de moi en filmant. Sachant qu’il allait de toute façon me le demander, j’enlevai également mes dessous et me retrouvai ainsi totalement nue.

  • « Très bien ! Assieds-toi et écarte les jambes … »,dit-il, visiblement satisfait par ce qu’il voyait.

Je m’exécutai. Tout en me faisant prendre différentes poses, il continua de me questionner :

  • « Alors … Qu’est-ce que tu acceptes de faire lors d’une relation sexuelle ? Toutes les pénétrations ? Tous types d’éjaculations ? Avec des femmes ? En groupe ? »
  • « Je n’ai jamais tenté la sodomie … », avouai-je en me rendant compte que ma réponse ainsi formulée validait toutes les propositions qu’il avait énumérées.
  • « Tu pourrais essayer ? »
  • « Peut-être … Ca dépend … », répondis-je pas trop sûre de moi.
  • « De quoi ? De la taille ? », enchaîna-t-il en rigolant.
  • « On peut dire ça … »

Il reposa la caméra sur son bureau et se saisit de deux petits appareils qui ressemblaient plus ou moins à des tests de grossesse électroniques.

  • « La partie la moins agréable de l’entretien ! Je vais te prendre deux petites gouttes de sang pour les tests HIV et Syphilis. »

Encore une fois, j’accédai à sa demande.

  • « J’imagine que tu veux avoir quelques précisions question salaire … »
  • « Effectivement ! »
  • « C’est normal. Ça va dépendre de ce que tu acceptes de faire. La fourchette est large. Ça va de cinquante euros la séance pour un effeuillage simple, à plus de mille euros pour une scène hard avec plusieurs partenaires hommes et femmes dans laquelle tu acceptes toutes les pénétrations. »,m’expliqua-t-il.

Mille euros ?!? La somme avait de quoi laisser songeur. Vu la raison pour laquelle j’étais ici, ce pouvait être un sacré bonus ! La seule question était de savoir si je pourrais aller jusqu’au bout.

  • « Est-ce possible de ne faire qu’une seule fois une … Grosse prestation ? »,demandai-je timidement.
  • « Oui, c’est possible. Même si je trouverais sûrement ça dommage et qui sait ? Peut-être que tu y prendras goût. »
  • « Peut-être … »
  • « En tous les cas, tu dois comprendre que nous devons faire un essai … »,termina mon interlocuteur en se levant de son fauteuil.

Évidemment … Ce devait être un poste privilégié au sein de la société que de pouvoir tirer son coup à chaque rendez-vous. Toutefois, je n’étais pas née de la dernière pluie et savais avant même de venir qu’il y avait de fortes chances pour que je passe à la casserole.

  • « Je comprends … »

Je le vis alors saisir la caméra et s’approcher de moi. Tout en filmant, il m’écarta les cuisses et commença à me lécher. C’était une sensation bizarre. Me voir ainsi sur l’écran de contrôle en train de me soumettre à un cunnilingus ne m’aidait pas franchement à me détendre. Aussi décidai-je d’essayer de ne plus le regarder.

Après quelques minutes de ce traitement, il se releva et retira son pantalon avant de présenter son sexe dressé devant ma bouche. Il posa alors une main sur ma tête et l’avança contre lui jusqu’à ce que sa queue touche mes lèvres. Je les ouvris alors et laissai entrer la verge dans ma bouche tout en la caressant de ma langue. Au fur et à mesure que la fellation se poursuivait, il fit entrer de plus en plus profondément son chibre. En fait, je n’étais pas en train de le sucer. C’est lui qui me baisait la bouche comme il l’aurait fait avec un autre orifice.

  • « De temps en temps, regarde la caméra quand tu suces. C’est l’une des règles de base. », m’ordonna-t-il.

Parce qu’en plus il y avait des règles ? Suivant ses conseils, je gratifiai l’objectif du regard langoureux de la petite fille soumise et heureuse de voir sa bouche prise pour un vagin. Ce petit manège dura un certain temps et je finis par me demander à quel moment son sperme allait couler au fond de ma gorge. Mais le bonhomme était endurant et visiblement habitué à l’exercice.

Finalement, il se retira et me fit signe de me retourner. Je me mis donc à quatre pattes sur le canapé et attendis d’être pénétrée. Mais au lieu de ça, il joua d’abord de ses doigts le long de mes lèvres avant de faire remonter son majeur ainsi lubrifié jusqu’à mon anus. Il parcourut mon intimité pendant quelques secondes avant que son doigt ne s’aventure à l’intérieur de ma chatte, puis de mon cul, qu’il pénétra légèrement, puis de plus en plus profondément. Même si je ne ressentis aucune douleur, j’appréhendai le moment où il tenterait d’y rentrer autre chose.

  • « Ça va ? Tu n’as pas mal ? », demanda-t-il quand même.
  • « Non, ça peut aller … », répondis-je d’une voix peu rassurée.
  • « Je vais utiliser un plug, ok ? »

J’appris ce qu’était un « plug » en le voyant brandir une sorte de gode à l’aspect conique qui avait l’air assez mou.

  • « Ok … »

Il fit rentrer l’engin plusieurs fois dans mon vagin puis, jugeant qu’il était suffisamment lubrifié, il le présenta au bord de mon petit trou avant d’appuyer de plus en plus fort. Je sentis alors ma rondelle s’ouvrir au passage de ce drôle d’objet qui sans réellement me faire vraiment mal, me procura une sensation pas spécialement agréable. Comme avec son doigt, il commença tout d’abord doucement puis, à mesure que mon anus s’ouvrait, il fit pénétrer le plug de plus en plus loin avant de le retirer. Il prit ensuite position derrière moi et je me crispai immédiatement à l’idée de ce qu’il allait faire. Mais il décida de laisser mon fion tranquille quelques minutes et je fus soulagée de sentir ma vulve s’ouvrir au passage de sa queue. Après plusieurs aller-retour, il se retira et revint mettre sa verge dans ma bouche quelques instants, avant de revenir derrière moi pour me prendre de nouveau. Le même scénario se reproduisit ainsi pendant quelques minutes puis, alors qu’il reprenait place derrière moi, il posa son gland contre mon petit trou. Je fermai les yeux en tentant de me préparer à ce qui allait suivre, mais lorsqu’il força le passage, je me rendis compte que j’avais largement sous-estimé la douleur.

Comme pour échapper à son joug, j’avançai jusqu’à enfoncer ma tête dans le dossier du canapé en poussant un cri rauque tandis que je sentais des larmes me monter aux yeux. Il resta quelques secondes en moi sans bouger, puis ressortit très lentement avant de rentrer à nouveau, mais plus profondément. Les paupières et les dents serrées, je tentai de résister à cette souffrance qui revenait à chaque pénétration. Au bout de quelques minutes, alors que la sensation de brûlure commençait à s’atténuer, il se retira entièrement et brusquement, en me tenant la tête, pénétra violemment ma bouche. Cette fois-ci, je ressentis un haut le cœur en pensant à l’endroit d’où sortait sa bite, mais il ne le remarqua même pas et m’obligea à le pomper durant de longues secondes devant cet objectif qui semblait prendre plaisir à me voir souillée de la sorte. Un instant, je regardai son visage et constatai qu’il était quasiment en transe. Il transpirait à grosses gouttes et un rictus pervers déformait son visage. Il se remit ensuite à nouveau derrière moi et cette fois, il m’encula sans ménagement avant d’entamer des vas-et-viens de plus en plus violents et de plus en plus profonds. Puis, tandis que des râles de plaisir commençaient à sortir du fond de sa gorge, il attrapa mes cheveux et les tira vers lui tout en accélérant les mouvements de son bassin que je sentais cogner contre mes fesses. C’est alors que, brusquement, il s’arrêta et je pus sentir les premières contractions de son braquemart juste avant qu’il ne se vide les couilles dans mes entrailles. Enfin, il se retira et acheva mon supplice en lavant sa queue dans ma bouche. Et après un énième gros plan, il put enfin poser sa caméra et commencer à se rhabiller en me laissant m’effondrer dans le canapé, souillée de toutes parts, vidée de toute énergie et débarrassée de la plus petite once de dignité.

A suivre : La descente aux enfers - Part 9


Par Decadent Laboratory - Publié dans : RECITS
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Comme son nom l'indique c'est un petit règlement de compte personnel. Enfin, pour être franche c'est surtoit moi (Roxanne) qui tenait à ce que cette rubrique soit présente. Eh ouais, même si je ne suis pas la principale concernée (quoique j'ai bien mangé quand même), j'ai la rancune plus que tenace.

Petit-reglement-de-compte-entre-ami-e-s-copie-1.jpg

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ERRATUM

Petite précision qui a son importance concerant la rubrique "Petit règlement de compte entre ami(e)s"... Pour ne pas qu'il y ait de malencontreuses coïncidences, les prénoms des protagonistes ont été changés. Par exemple, le compagnon de la protagoniste principale suce nommée (oui je sais ça ne s'écrit pas comme ça mais ça me fait rire), ou pour être plus précise le "plouc", ne se prénomme pas Laurent et n'habite pas Chaussy dans le Val d'Oise. En tous cas selon les informations fournies par la CAF.


A moins que... Noooooon !!! Des gens si honnêtes et si vertueux que ça ce n'est pas possible ! J'ai vraiment l'esprit mal tourné ! Après, par souci de clarification, si cela pose problème, on peut toujours aller leur demander de procéder à une vérification des pièces justufucatives fournies ? Non ?  

Ce point éclaircie, je vous souhaite une bonne lecture... "Amicalement", Roxanne ou chérie coquine.

Nous

Couple libertin de région parisienne, vous aurez vite compris que le sexe tient une place primordiale dans notre vie. Pour le reste nos adorons le rock, les Harley, les voyages et plein d'autres choses dont vous vous foutez royalement. Non ? Bandes de menteurs !

 

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Le libertinage et ses plaisirs n'ont de sens que lorsqu'ils sont vécus au sein d'un couple à la complicité sans faille ... Roxanne (29 ans) et Franck (42 ans), notre indéfectible amour ne nous empêche aucunement d'être des épicuriens convaincus et des adeptes assidus des plaisirs de la chair ... Le feeling, la complicité et la séduction tiennent une place importante dans notre recherche qui s'oriente vers des couples à la partie féminine bisexuelle ou vers des femmes elles aussi tentées ou pratiquant les plaisirs saphiques ... Nous ne ferons pas une liste des pratiques que nous acceptons ou nous refusons, mais n'hésitez à nous contacter afin d'en savoir plus. Cela sera peut-être le début d'une belle amitié et plus si affinité.

 

Si elle vous intéresse et vous correspond, n'hésitez pas à nous contacter à l'adresse suivante :

decadent.laboratory@outlook.com

 

Dans le cas contraire, on vous souhaite une bonne visite et surtout : NE SOYEZ PAS SAGES !!!

 

Roxanne & Franck

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