Mercredi 22 juin 3 22 /06 /Juin 02:05

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La descente aux enfers

Ecrit par Roxanne

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Alors qu’il était déjà rhabillé et assis derrière son bureau, je commençais à peine à recouvrer mes esprits et à rassembler mes affaires. Il ne me proposa même pas un une serviette ou un simple mouchoir pour essuyer le sperme qui coulait entre mes fesses. Je dus alors me résoudre à me rhabiller ainsi, le corps humide de transpiration et le cul maculé dégoulinant de foutre.

  • « C’était vraiment super ! Tu as été parfaite ! »,s’extasia-t-il.

Toujours occupée à remettre mes vêtements, je ne répondis pas.

  • « Si tu es toujours d’accord, demain, j’ai un tournage et il me manque une fille. Mais attention … Ça sera très hard. Grosse séance, gros cachet ! »

Encore une fois, j’étais prise entre le feu et la glace. J’étais absolument prête à tout et n’importe quoi pour mettre le plan que j’avais échaudé à exécution. Pourtant, la douloureuse expérience que je venais de vivre avait de quoi me refroidir. 

  • « Est-ce que je peux en savoir un peu plus sur ce tournage ? »,demandai-je malgré tout curieuse.
  • « Deux mille euros, ça te dit ? »
  • « Deux mille ?!? Vous m’aviez dit jusqu’à mille. Qu’est-ce que je dois faire pour ça ?!? », m’exclamai-je.
  • « Je vais être d’une grande franchise avec toi pour que tu ne t’engages pas à la légère. Pour ce tarif, tu vas servir de vide-couilles à six mecs, sachant qu’il y aura également une autre nana avec qui tu devras baiser. À toi de voir … » 

Au moins, c’était dit sans ambages. Je savais par avance que j’allais le regretter mais l’occasion était trop belle. 

  • « J’accepte. Par contre, pourrai-je avoir un DVD du tournage ? »,finis-je par dire.
  • « Oh, tu veux te faire un book ? Pas de problème ! C’est du tourné-monté de toute façon. Donc tu l’auras le soir même. Sans les titres ni la musique et avec un copyright dessus, bien évidemment. »
  • « Bien sûr ! »
  • « Parfait ! On va maintenant rédiger le contrat. Pour la séance d’aujourd’hui et celle de demain. »
  • « Celle d’aujourd’hui ? », demandai-je surprise.
  • « Sauf si tu ne veux pas qu’elle soit diffusée, auquel cas elle ne sortira jamais d’ici. Mais bien sûr, tu ne seras pas payée. »
  • « Ah parce que … »
  • « Ben évidemment ! On utilise ton image donc tu es payée. Que ce soit un casting ne change rien. On a même un site spécialisé qui achète tous nos essais ! »
  • « D’accord ! Ok pour aujourd’hui aussi. Et combien j’ai gagné ? »,répondis-je en retrouvant un semblant de sourire.
  • « Quatre cents. Exceptionnellement, je peux te les donner en liquide, mais je dois les déclarer et on est hyper contrôlés. Donc, fais gaffe de pas les oublier sur ta déclaration d’impôts. » 

Tout en rédigeant mon contrat, il m’expliqua la procédure à suivre pour m’inscrire en tant qu’intermittente du spectacle, ce qui me fit sourire tant j’avais du mal à considérer ce que je venais de faire comme de l’art. Toujours est-il qu’après avoir signé mon contrat et empoché mon premier cachet, je sortis des studios avec le cul souillé et endolori, mais avec les poches un peu moins vides qu’à mon arrivée, ce qui me donna malgré tout un peu de baume au cœur.

La première chose que je fis en rentrant dans ma chambre fut de prendre une longue et salvatrice douche. De nombreuses minutes durant, je restai ainsi sous le jet brûlant, comme si l’eau qui coulait sur mon corps pouvait également laver toute cette crasse qui s’accumulait depuis deux semaines dans mon cerveau malade. Cela ne m’avait même pas choquée ni même effrayée. Tout au plus avais-je la crainte d’avoir mal, ce qui de toute façon serait passager. Pire, rétrospectivement, le fait de me voir baisée de la pire des façons, ainsi que j’avais été baisée tout à l’heure, provoqua entre mes jambes une pointe d’excitation. Oui, sans doute étais-je malade … Mais une malade heureuse de l’être !

Après le repas, la soirée commença de manière semblable à toutes les autres. Annabelle me salua d’un sourire, Valérie ne m’adressa pas la parole et une heure durant, nous nous ennuyâmes ferme sur nos tabourets. Jusqu’au premier client qui jeta son dévolu sur Val et l’entraîna immédiatement vers les alcôves. Je m’aperçus alors que j’étais jalouse. Sans doute était-elle plus jolie, mais j’étais persuadée d’être une hôtesse beaucoup plus accueillante qu’elle, surtout après deux semaines de dévergondage intensif. Aussi, lorsqu’un deuxième homme fit son entrée, je me jetai littéralement sur lui. L’avais-je effrayé ? Toujours est-il que nous restâmes au bar et que je dus me résoudre à écouter ses malheurs plus d’une heure durant. Et lorsqu’il partit, j’étais non seulement jalouse, mais énervée !

  • « Pas trop difficile de tenir la chandelle au bar ? »

Valérie venait de raccompagner son client et en avait profité pour jeter son fiel au creux de mon oreille. Je n’eus pas la répartie suffisamment prompte, mais j’avais bien l’intention de lui répondre à ma manière un jour ou l’autre.

Après la fermeture, je remontai immédiatement dans ma chambre. Je n’avais nulle envie d’écouter Val se repaître de ses exploits et je devais également calmer mes nerfs au prix d’un sommeil bien mérité.

Le lendemain matin, je me réveillai fraîche et dispo pour affronter la journée qui m’attendait. J’avais rendez-vous à 14 heures pour le tournage, soit tout le temps nécessaire pour aller prendre mon habituel petit-déjeuner sur les quais. Même une rencontre avec Valérie dans l’escalier ne parvint pas à doucher mon enthousiasme.

  • « Salut ! Tu ne t’es pas trop ennuyée, hier soir ? Moi, j’avoue que je me suis bien amusée ! »
  • « Ravie que tu aies appris à te servir de ton cul sans venir te plaindre après ! Bonne journée ! », lançai-je à la volée tout en descendant les marches quatre à quatre.

Même l’irrésistible envie de voir sa tête à l’évocation de ses interminables soirées à me raconter ses amours perdus ne me fit pas me retourner. J’étais bien trop enthousiaste à l’idée de profiter des premiers rayons de ce soleil d’automne pour perdre un temps précieux en palabres inutiles. Et après quelques minutes à marcher d’un bon pas, j’étais tranquillement assise à ma place habituelle. 

  • « Comment allez-vous, aujourd’hui ? », me lança le serveur qui depuis une semaine m’avait vu débarquer dans son café dans tous les états possibles et imaginables.
  • « Très bien ! Et vous ? », répondis-je d’un ton particulièrement enjoué.
  • « Très bien depuis que vous êtes là ! Chaque jour, vous êtes mon premier rayon de soleil ! », dit-il en riant.
  • « Comment ça le premier ? Il y en a d’autres ? »,plaisantai-je.
  • « Oh … Jalouse à ce que je vois ! »
  • « Que voulez-vous ? J’aime être le centre du monde ! » 

Le pire est que je savais que c’était vrai ! Bien sûr, c’était dit sur le ton de la plaisanterie mais soudain, je me rendis compte qu’au fond de moi, j’avais besoin d’être désirée. Besoin d’être aimée, peu importe pour quels motifs. Je ne supportais pas de voir Valérie me voler la vedette et pas davantage le fait qu’une autre puisse donner à un homme davantage de plaisir que moi. C’était sans doute ça qui m’avait fait aller aussi loin à chacune de mes rencontres. Cela qui allait faire que dans quelques heures, j’allais accepter des choses que bien peu d’autres filles auraient acceptées. Subitement, j’avais besoin d’exister. D’exister et de plaire quel qu’en soit le prix.

Après un repas durant lequel je sentis un stress monter doucement dans mon ventre, je me présentai au studio à l’heure convenue. Immédiatement, je fus conduite dans une grande salle de bain où déjà trois hommes et une femme étaient en train de prendre une douche. Suivant les consignes, je me déshabillai et allai les rejoindre. Timidement, je me présentai à eux. La fille, une fausse blonde longiligne aux antipodes de ce qu’on imagine d’une star du X, s’appelait Lucie. Il y avait également Pascal et Stéphane, au genre surfeurs australiens, ainsi qu’un black nommé Vince. Tous trois, contrairement à la fille, avaient le look, et les attributs, de hardeurs patentés.

C’était une ambiance étrange. L’instant d’avant, nous ne nous connaissions pas et pourtant, nous étions nus sous la douche, à échanger nos prénoms. Je remarquai également que malgré la nudité, aucun des trois sexes présents n’étaient en érection. Pouvaient-ils bander sur commande en l’absence du moindre désir ? Ou bien le corps d’une femme ne leur faisait-il plus aucun effet à force d’en voir à longueur de journée ? Une fois nos ablutions terminées, nous sortîmes de la salle de bain et une femme nous distribua des tenues. Rudimentaires, les tenues … Pour ma part, j’héritais d’un short et d’une brassière tandis que Lucie revêtait une robe rouge en skaï. Après tout, nous n’étions pas là pour un défilé de mode. Nous entrâmes ensuite dans le studio proprement dit. Là aussi, accessoires et meubles se résumaient à peu de choses, juste un grand lit et quelques coussins. Pendant que deux techniciens s’affairaient derrière une caméra, la femme qui nous avait donné les habits me présenta à Steve et Christophe, un autre black à la musculature impressionnante et un petit rouquin trapu avec les cheveux coupés très courts.

  • « Bonjour à tous ! On va commencer, donc je vous demande quelques secondes d’attention pour le briefing. »

Stéphane venait de faire son entrée dans la pièce. À en juger par son ton directif et autoritaire, ce devait être lui qui allait diriger les opérations. 

  • « C’est ta première fois ? », me demanda Lucie en chuchotant.
  • « Ça se voit tant que ça ? »
  • « Un peu, mais c’est pas le problème. Si j’étais toi, je me détendrais un peu avant d’y aller ! » 

Elle avait dans sa main quelques comprimés qu’elle me proposa.

  • « Qu’est-ce que c’est ? De la drogue ? », demandai-je sur la défensive.
  • « Pas du tout ! Après, pendant une heure, tu es détendue, donc tu as moins mal. Et tu traverses la séance avec l’impression de rêver … »

Elle mit deux comprimés dans sa bouche et les avala en balançant sa tête en arrière, puis elle tendit sa main vers moi.

  • « Tiens ! Tu verras, tu me remercieras ! »

Bon gré mal gré, je pris les deux comprimés et les avalai à mon tour. Stéphane avait terminé de briefer les garçons et s’adressait maintenant à nous : 

  • « Bon, Lucie et Roxanne, vous allez commencer à vous amuser toutes les deux quelques minutes. Ensuite les gars vous rejoignent et c’est parti. Je veux toujours voir au moins deux mecs sur une fille. Pour le final, c’est dans la chatte ou dans le cul. Et une dernière chose, c’est du hard, pas une nuit de noce ! Alors je veux de la sueur, des insultes et des cris ! En place ! »

Au moins, ça avait le mérite d’être clair. Lucie et moi prîmes donc place au centre de l’immense lit rose bonbon et commençâmes à nous embrasser tout en nous caressant. Ma partenaire semblait être une habituée de la chose. Ses doigts agiles parcouraient mon corps en tous sens en s’arrêtant de plus en plus fréquemment entre mes jambes. Alors, tandis que nous étions en train de nous rouler de bonnes grosses pelles, Lucie écarta mon short et y glissa ses doigts, avant de me pénétrer avec son majeur. Je me sentais de plus en plus détendue. Je voulais espérer que ces cachets étaient anodins, mais mon esprit n’arrivait plus à organiser une pensée cohérente. Très vite, j’eus la sensation de perdre tout contrôle et toute volonté, puis mon cerveau ne capta plus que quelques images de visages d’hommes se penchant sur moi, puis s’éloignant, puis se rapprochant. Puis … Lorsque je repris peu à peu mes esprits, de l’eau coulait sur mon visage. Pensant que je m’étais évanouie, il aurait été raisonnable d’imaginer que j’étais allongée sur le sol. Pourtant, j’étais debout sous la douche. Personne ne me tenait et ces deux mains qui savonnaient mon corps étaient bien les miennes !

C’était une sensation vraiment étrange et lorsqu’elle se dissipa tout à fait, je compris ce qu’avait voulu dire Lucie tout à l’heure. Alors que je ne sentais rien deux minutes auparavant, une douleur sourde monta progressivement de mon ventre et de mon sphincter et, lorsqu’instinctivement je glissai les doigts dans la raie de mes fesses, j’eus la sensation que mon anus était largement dilaté, presque béant. Si j’ajoutais la vision du liquide blanchâtre qui coulait entre mes cuisses et le goût de sperme persistant dans ma bouche, je sus dès lors que je venais de me faire littéralement démonter avec une rare violence de toutes les façons possibles et imaginables.

Une fois la douche terminée, ayant récupéré la quasi-totalité de mes facultés, je m’arrêtai au bureau de Stéphane afin de percevoir mon chèque et récupérer le DVD. Pendant que l’ordinateur se chargeait de le graver, il tenta de me convaincre de revenir dès lundi mais je fus inflexible.

  • « Je dois m’absenter une petite semaine. Mais je vous appellerai à mon retour. », promis-je.

Sur le chemin me ramenant à mes pénates, j’appréhendais le visionnage de mon film. L’espace d’un instant, l’idée de ne pas le regarder m’effleura l’esprit mais j’étais bien trop curieuse … Et anxieuse aussi de découvrir ce que l’on m’avait fait. En arrivant dans le centre-ville, je déposai le chèque dans la boîte aux lettres de ma banque, ce qui allait certainement ravir mon conseiller vu que j’étais à découvert depuis plus de deux mois. Comble du bonheur, ma carte bancaire serait probablement débloquée dès lundi. Matériellement du moins, j’avais enfin la sensation de reprendre le dessus. Quant au reste … Contrairement à la quasi-totalité des membres de ma famille et envers et contre l’éducation que j’avais reçue, je n’étais pas croyante. Ma sœur et moi étions les vilains petits canards athées. Je n’avais donc que faire du salut de mon âme. Est-ce que je me dégoûtais ? Sans doute. Pouvais-je vivre avec ? Assurément.

De retour dans ma chambre, je posai mes affaires et débarquai immédiatement chez Annabelle afin de lui emprunter son petit lecteur DVD portable, prétextant vouloir regarder des photos qu’une amie venait de m’envoyer. Elle accepta sans même y prêter attention et cinq minutes plus tard, j’étais allongée sur mon lit, les yeux rivés sur le petit écran qui commençait à diffuser les premières images de ma carrière d’actrice.

Passant rapidement sur la première scène dont j’avais quelques souvenirs, j’arrivai bientôt au moment où je ne maîtrisais plus rien. Je me vis allongée sur le dos, Lucie se masturbant contre mon visage. Puis, après quelques minutes de ce petit jeu, les garçons entrèrent dans la danse. L’un d’eux m’écarta violemment les cuisses et y planta sa bite, brutalement, profondément, sans le moindre préliminaire, avant d’entamer de rapides va-et-vient. Stéphane avait dû être content puisque je criais ! Était-ce à cause de la douleur, par comédie ? J’étais à peu près certaine de connaître la réponse, vu la petite gêne que je ressentais encore plusieurs heures après. Ensuite, je vis Lucie libérer ma bouche pour aller s’occuper des verges qui se présentaient, ce qui permit à Vince d’y enfoncer sa queue. Encore une fois, cela tenait davantage de la pénétration buccale que de la fellation puisque c’est lui qui faisait aller et venir son membre dans ma bouche. Peu après, la Roxanne dans l’écran se retourna et je me retrouvai alors à quatre pattes à côté de Lucie. Le petit rouquin prit place derrière moi et l’instant d’après, ce fut un autre. Même la caméra semblait avoir renoncé à connaître l’identité de la bite qui me fourrait puisqu’elle s’attardait longuement sur le gros plan de ma chatte perforée successivement par les différentes queues qui se promenaient entre Lucie et moi. De temps en temps, la caméra montrait nos visages, la bouche déformée par les chibres qui se vautraient à l’intérieur. Ce fut ainsi durant plusieurs minutes, jusqu’à ce que la caméra montre un filet de salive couler sur mon anus. Je vis ensuite une queue se présenter contre ma rondelle avant de la déchirer violemment tandis que je me tordais de douleur dans un hurlement strident.

  • « Mmmhhh … Ça te plait de te faire défoncer le cul, hein, sale petite pute ! »

Figée devant cet écran qui faisait défiler ce qui allait probablement rester comme l’épisode le plus humiliant de ma vie, je me regardais sombrer dans la perversité la plus extrême sans rien pouvoir faire pour altérer le cours des choses. La seule petite satisfaction que je pouvais ressentir à ce moment était de ne pas éprouver la douleur que la Roxanne du film semblait endurer. Le fait de ne même pas m’en souvenir donnait à ces scènes un côté irréel. Pourtant, l’état de mon postérieur ne laissait planer aucun doute sur ce sujet.

Sur l’écran, le rouquin semblait prendre un plaisir non dissimulé à me voir souffrir. Au lieu de faire de petits allers-retours, il ressortait intégralement avant de me sodomiser encore plus violemment. Nouvelle douleur et nouvelle gerbe d’insultes :

  • « C’est ça ! Crie, salope ! »

Régulièrement, la caméra revenait en gros plan sur mon visage afin de capter ces sexes qui défilaient dans ma bouche. Cela dura quelques minutes, puis je me vis changer de posture afin de faciliter les pénétrations multiples que je m’attendais à voir arriver à la prochaine scène. C’est ainsi que je me retrouvai coincée entre Steve qui prit la place du rouquin, et Christophe qui vint me planter sa bite dans le con. La caméra s’attarda également sur Lucie qui subissait à peu près la même chose juste à côté de moi, avec en plus le rouquin qui lui fourrait sa queue au fond de la gorge, puis qui après quelques secondes vint la mettre dans la mienne. C’était une drôle de sensation de me voir prise de toutes parts, soumise à ces hommes, soumise aux caméras, soumise aux événements et aux désirs des autres comme une vulgaire poupée gonflable sur laquelle on se défoule. Régulièrement, les partenaires changeaient comme on change d’atelier dans une usine. Les temps modernes à la mode porno, mais sans clown à la petite moustache pour nous faire rire. Juste la représentation perverse de la domination de l’homme à l’usage de ceux que la vision d’une femme souillée et soumise excite.

Le manège s’éternisa encore un peu, puis un nouveau tableau qui allait s’avérer être le final commença. Allongée sur le dos, je vis Lucie enjamber mon visage et poser son sexe contre ma bouche. Gros plan sur Vince se plaçant derrière elle et commençant à l’enculer alors qu’une autre queue m’envahissait. Régulièrement, Vince sortait du fion de Lucie pour venir dans ma bouche tandis que les autres mecs me prenaient à tour de rôle. Un premier larron me déchargea dans a chatte. Aussitôt, un autre prit sa place et quelques secondes après, se vida les burnes en achevant de me remplir de sperme. Le troisième décida quant à lui de s’occuper de mon cul et y enfonça violemment sa queue avant de commencer une série de va-et-vient dont l’intensité croissante semblait annoncer une éjaculation proche. Dans le même temps, Vince était en train d’exploser dans les entrailles de Lucie et, aussitôt, le rouquin prit sa place. Quelques secondes plus tard, il macula le petit trou d’un premier jet de sperme avant d’y rentrer pour se finir à l’intérieur. Bien évidemment, il n’allait pas s’en aller sans une dernière fellation et je dus faire un effort insurmontable pour ne pas vomir lorsque je vis sa queue ainsi souillée pénétrer dans ma bouche. Pour autant, je n’étais pas au bout de mes peines ! La caméra montra Lucie expulsant dans ma bouche le foutre qui dégoulinait abondamment de ses fesses, avant de venir partager son offrande en me roulant un patin. Ensuite, tout le monde se dirigea vers la salle de bain et, alors que je pensais que c’était terminé, la caméra suivit le mouvement. J’allais bientôt comprendre pourquoi …

On nous fit asseoir à même le sol, Lucie et moi, dans un coin de la douche et les hommes commencèrent à nous pisser dessus. Certains visèrent la poitrine, d’autres la bouche que je semblais parvenir à garder fermée. Et une petite minute plus tard, nous avions le corps et le visage couverts d’urine. Je m’étais souvent demandé, les jours précédents, jusqu’où je pourrais aller dans ma descente vers les abîmes de la dépravation. Après ce que je venais de voir, je crois pouvoir dire que je n’avais finalement aucune limite. Certes, les cachets que m’avait donnés Lucie m’avaient empêché d’essayer de me soustraire à ces humiliations, mais même dans mon état normal, aurais-je seulement protesté ? J’avais appris à connaître la Roxanne que j’étais devenue et je savais que même en pleine possession de mes moyens, le scénario du film n’aurait pas varié d’un iota. Voilà une semaine que j’étais prête à tout, tout le temps et avec n’importe qui ! Alors à quoi bon se voiler la face …

Après avoir servi de chiottes, une fois que tous les autres eurent commencé à prendre leur douche, une vraie cette fois, la caméra montra Stéphane baissant son pantalon devant moi et commençant à se branler. Lorsqu’il sentit qu’il allait venir, il fourra son sexe dans ma bouche et y lâcha son sperme pour une ultime scène avant de rapprocher sa caméra de mon visage et de ma bouche pleine de sa semence que je finis par avaler. Puis, le plan s’élargit et l’écran devint noir. Peut-être que sur la version montée, mon nom figurera en bonne place dans le générique !

Aussitôt après avoir éteint le lecteur, je ne pus résister au besoin de repartir pour un tour dans la baignoire, histoire de me nettoyer définitivement des souillures diverses et variées qui avaient maculé mon corps quelques heures plus tôt. Et lorsque je descendis pour le repas, la honte que j’avais éprouvée en me voyant me commettre de la sorte avait disparu au profit d’un sourire enjoué, malgré la présence de Valérie. Après le dîner, conformément au rituel, nous prîmes place sur nos tabourets. Je venais d’entamer une partie de Tétris lorsque mon téléphone m’annonça l’arrivée d’un SMS.

J’espère que vous n’êtes pas trop occupée … Je suis là dans cinq minutes ! Avec une surprise…

Valmont allait arriver et la première chose qui me vint à l’esprit fut de regarder les habits que je portais. J’avais beau tenter de me raisonner et me convaincre d’arrêter de me comporter comme une adolescente, rien n’y faisait. La seule évocation de son prénom faisait battre mon cœur plus vite et plus fort. J’en étais donc réduite à espérer que la petite robe noire relativement sage que j’avais choisi ce soir aurait le bonheur de lui plaire lorsqu’il fit son entrée.

Après un salut discret à Jeanne, il vint aussitôt à ma rencontre, m’embrassa sur le front, puis nous nous dirigeâmes vers les alcôves. Je pus sentir le regard curieux et lourd de Valérie se poser sur nous lorsque nous passâmes devant elle, mais je n’en ressentis ni satisfaction, ni colère. Puisque Valmont était là, rien n’avait d’importance. 

  • « J’apprécie ce genre de visites impromptues, vous savez … »,commençais-je tandis que Jeanne arrivait avec le champagne.
  • « À vrai dire, j’espère que vous aimez les surprises, de manière plus générale … », répondit-il avec un sourire énigmatique.
  • « Lorsqu’elles sont bonnes, toujours ! »
  • « Parfait ! Notre escapade à Prague est avancée. Si vous êtes toujours d’accord, nous prenons l’avion demain à 10h55. Jeanne est au courant, elle est d’accord ! » 

J’en restais sans voix. Bien sûr, je m’étais préparée à ce voyage. Je l’attendais même avec une impatience certaine. Mais savoir que demain à la même heure, je serai à Prague avec Valmont était à la fois merveilleux et angoissant. 

  • « Vous pouvez encore refuser. Pour rien au monde je ne voudrais vous obliger … », dit-il en voyant que je ne répondais pas.
  • Sans le laisser terminer sa phrase, je me jetai sur lui pour l’embrasser et ce fut à son tour d’être surpris.
  • « Eh bien … Je suppose que ça veut dire oui ? »
  • « Bien évidemment ! C’est juste … Soudain ! Et je préfère ne pas penser aux mille choses que j’ai à préparer d’ici demain. Mais je suis ravie. Plus que ravie, même. », répondis-je en riant comme une gamine. 

Pendant l’heure qui suivit, je l’écoutai me parler de Prague, de Dvorak joué au Rudolfinum, des romans de Kundera, tout en sirotant une coupe de champagne. Nous nous trouvions dans le box d’un bar à hôtesse mais nous aurions tout aussi bien pu être à la terrasse du Danieli, contemplant les gondoles, dans un bar loundge sur la Rambla de Barcelone ou encore dans un café du passage Victor-Emmanuel à Milan. N’importe où, mais loin du 1830, loin de X’trem production, loin de ma vie !

Lorsqu’il fut parti, je sollicitai l’indulgence de Jeanne afin de pouvoir rejoindre ma chambre immédiatement, indulgence qu’elle m’accorda sans hésiter. Une valise, mes affaires de toilettes, quelques vêtements sages et d’autres qui l’étaient un peu moins. Le reste, Alex, Stéphane, les tournages X, je pouvais tout laisser ici. Y compris le DVD de mes exploits que je glisserai sous la porte de Valérie, lorsque je partirai au petit matin …

Au moment où l’avion amorçait sa descente, j’émergeais d’une sieste qui avait commencé juste après le décollage. Il faut dire que la nuit avait été courte, tant j’avais eu du mal à trouver le sommeil, excitée par ce voyage et tous ces évènements qui s’étaient précipités.

La veille au soir, après avoir fini de préparer ma valise, je m’étais attelée à l’écriture d’un pamphlet destructeur à l’attention de Valérie. Et en descendant ce matin, j’avais glissé sous sa porte le DVD accompagné du petit mot. Sans doute l’avait-elle déjà trouvé à cette heure. Peut-être était-elle en train de regarder ma dignité s’évaporer dans la tiédeur de ces corps enchevêtrés ? Peut-être était-elle en train de comprendre que j’étais déjà partie trop loin pour espérer me rattraper ? Peut-être enfin qu’à mon retour, elle ne serait plus là ? 

  • « Vous avez bien dormi ? », demanda Valmont, voyant que mes yeux commençaient à se rouvrir.
  • « Je suis désolée de m’être endormie … J’étais fatiguée et les sièges de la classe affaire sont presque aussi confortables que mon lit ! »
  • « Surtout ne soyez pas désolée ! N’oubliez pas que vous êtes en vacances et que vous êtes libre de faire ce que vous voulez. Y compris dormir ! » 

En jetant un coup d’œil par le hublot, je puis distinguer au travers de quelques nuages ce qui semblait être une grande ville coupée en deux par un fleuve. Au même moment, un message du personnel de bord nous informa de la météo et de notre arrivée prochaine. Prague, seule avec Valmont durant une semaine … J’étais à la fois excitée et envahie par tant d’interrogations. Comment me comporter ? Qu’attendait-il de moi ? De ce voyage ? Ferions-nous l’amour dès ce soir ?

Aussitôt après avoir récupéré nos bagages, nous prîmes un taxi afin de rejoindre notre lieu de résidence. Sur le chemin, mes yeux de petite fille s’émerveillèrent devant la beauté de cette ville. Et lorsque la voiture s’arrêta devant l’hôtel, ils s’agrandirent encore davantage tant la magnifique façade du Ventana, avec ses ouvertures aux frontons ornés de bas-reliefs et de sculptures, valait presque à elle seule le déplacement.

Le chauffeur finissait à peine de se garer devant l’entrée qu’un bagagiste vint immédiatement à notre rencontre afin de nous saluer et prendre nos valises. Et lorsque nous entrâmes dans l’établissement, j’eus la sensation de pénétrer dans un autre univers. L’immense hall de réception était entièrement carrelé de marbre blanc et noir. Au centre de la pièce, d’imposantes colonnes, également en marbre, séparaient la réception proprement dite du coin détente où de grands canapés au luxueux tissu marron et or accueillaient des hommes d’affaires en costume qui lisaient le journal ou travaillaient sur leur ordinateur.

Mon rêve éveillé de princesse des temps modernes se poursuivit lorsqu’en sortant de l’ascenseur cylindrique ultramoderne qui transperçait l’antique cage d’escaliers de ses parois de verre, je découvris la suite que Valmont avait réservée. Dans un camaïeu de verts les plus nobles allant de l’opaline à l’émeraude, des fauteuils en velours étaient savamment disposés autour d’une table basse en bois précieux. À gauche, un lit à baldaquin trônait, majestueux, semblant inviter les privilégiés qui le découvraient à venir s’y lover dans une étreinte royale. Quant aux fenêtres ornées d’épais rideaux en velours, quiconque s’en approchait pouvait admirer la vue sur le vieil Hôtel de Ville et son horloge astronomique.

Tandis que mes yeux ébahis se posaient sur le moindre détail de la pièce, Valmont évoluait avec son aisance habituelle au milieu de ce décor, comme s’il avait fait des choses les plus exceptionnelles, son ordinaire.

  • « Et si nous allions déjeuner ? Vous devez avoir faim, non ? »,proposa-t-il après avoir reconduit et remercié le bagagiste.

Bien qu’il fût près de 14 heures, j’étais trop excitée pour ressentir la moindre sensation de faim. Mais le petit déjeuner était tout de même loin.

  • « Pour l’instant, ce sont mes yeux qui dévorent ce merveilleux décor. »,avouai-je encore sous le charme.
  • « Vous aurez tout le temps pour ça ! Venez, je connais un restaurant où je pourrai vous faire découvrir les meilleures spécialités de la cuisine tchèque. »

Quelques minutes plus tard, nous étions attablés au restaurant Staromestska, situé sur la place de la vieille ville, à deux pas de l’hôtel. L’établissement, au rez-de-chaussée d’un immeuble médiéval, s’étendait sur plusieurs salles aux décorations distinctes. La nôtre était coiffée d’un plafond voûté tandis que les murs exposaient de vieilles photographies qui montraient Prague en des temps plus anciens. 

  • « Alors ? Vos premières impressions ? », demanda-t-il
  • « Eh bien … Dans le désordre : émerveillée, dépaysée, heureuse … Curieuse, aussi, de goûter à ces plats aux noms imprononçables ! »
  • « N’ayez crainte, il y a une carte en français. » 

Sauvée ! Je pus ainsi échapper aux utopenec lorsque j’appris qu’il s’agissait de saucisses macérées au piment et garnies d’oignons crus. Courageuse mais pas téméraire, je me contentai finalement d’un très traditionnel goulasch qui s’avéra excellent. 

  • « Qu’avez-vous prévu, cet après-midi ? », m’enquis-je, curieuse de connaître le programme qu’il avait concocté.
  • « Que diriez-vous de découvrir la vieille ville en flânant de ruelle en ruelle ? À moins que vous ne soyez trop fatiguée. À vous de décider. »
  • « Non, c’est parfait ! Va pour la ballade dans le vieux Prague. » 

Après la tarte aux pommes à la cannelle et le café, nous sortîmes dans la relative douceur de ce mois de novembre qui avait vu les premières neiges blanchir les trottoirs avant qu’un redoux ne redonne à la ville des couleurs plus automnales.

  • « Je vous avais promis Prague sous la neige. Je suis désolé … », s’excusa Valmont.
  • « Ne vous en faites pas. C’est un temps parfait pour une promenade. »

Bras dessus, bras dessous, nous arpentâmes les rues de la vieille ville, du quartier juif au pont Charles, s’arrêtant ici et là le temps d’un café ou d’une photo. Trois heures durant, nos pas s’immiscèrent dans ceux de Mozart ou de Kafka. Dans cette ville qui semblait hors du temps, la magie de ces instants nous enveloppait d’un brouillard diffus au parfum d’interdit et dans lequel s’évaporaient nos trente ans d’écart. Des balustrades de l’antique pont en pierre, je regardais la Vltava emporter mes rêves de petite fille modèle dans ce courant qui jamais ne s’inverse. Et malgré le froid que la nuit déposait peu à peu sur mon visage, chaque parcelle de mon corps brûlait d’une passion dévorante, attisée par le vent d’une liberté nouvelle.

Avant le diner que nous devions prendre dans un restaurant à proximité du pont Charles, nous rentrâmes dans notre chambre afin de nous changer. Après un bain réparateur qui ressuscita mes muscles engourdis par cette longue promenade, je restai un long moment devant la glace à hésiter sur la tenue que j’allais porter. Après de multiples essayages, mon choix se porta sur ma robe en satin noir, dont le décolleté laissait discrètement apparaître le haut en dentelle de mon soutien-gorge. Mes jambes se glissèrent dans des bas élastiques sombres, ne laissant que quelques centimètres de nudité jusqu’à ma culotte en dentelle et satin noir, puis je réussis tant bien que mal à faire tenir un chignon qui à lui seul me fit paraître quelques années de plus, avant de souligner d’un trait d’eyeliner ces yeux lavés des chagrins d’hier. Lorsqu’enfin je sortis de la salle de bain, Valmont resta sans voix en me dévisageant de la tête aux pieds. 

  • « Vous êtes magnifique ! Je ne suis pas sûr d’oser sortir à votre bras … »,finit-il par dire.
  • « Ne dites pas de bêtises ! Vous êtes parfait ! »

Une fois arrivés au restaurant, je pus constater qu’une nouvelle fois, Valmont avait bien fait les choses. Vieux de plus de deux cents ans, l’établissement était fait de salles voûtées aux murs recouverts de torchis beige et où étaient disposés divers articles tout droit sortis du moyen-âge. Dans un coin trônait une majestueuse cheminée en brique encombrée de bibelots de tout genre. Là encore, le repas fut excellent, tout comme le vin, délicat et probablement hors de prix, que Valmont mit un soin tout particulier à choisir. 

  • « Vous me gâtez beaucoup trop … L’hôtel somptueux, des restaurants aux cadres magnifiques … Je n’ai pas besoin de tout ça pour être heureuse. »
  • « Ce sont justement les choses dont on n’a pas besoin qui sont essentielles au bonheur. L’ordinaire permet de survivre au quotidien mais ce n’est pas ça, la vie, vous ne croyez pas ? »
  • « Je suis sûre que votre ordinaire satisferait le quotidien de beaucoup de gens. Le mien par exemple ! », répondis-je en riant.
  • « Permettez-moi d’en douter, Roxanne … Vous-même qui avez quitté vos habitudes pour cette nouvelle vie, n’était-ce pas aussi, au fond de vous, pour vivre des choses exceptionnelles ? Dans tous les sens que peut revêtir ce mot ? Répondez-moi franchement. Si vous aviez le choix, reprendriez-vous votre vie d’avant ? L’école, l’appart, les copines … ? » 

Je réfléchis longuement à ses paroles et me rendis compte qu’il avait raison. Cette vie bien rangée ne m’intéressait plus. Les choses que j’avais faites, en bien ou en mal, me rendaient plus vivante que n’importe quelle jeune étudiante dont l’unique motivation était de suivre un chemin déjà tracé. 

  • « Sans doute que non … », finis-je par répondre.
  • « Moi, je n’ai jamais eu le courage de changer de route. D’aller voir plus loin ce qu’il se passait. Vous, vous l’avez fait parce que vous êtes exceptionnelle. Je suis admiratif de votre audace. Et même si je sais que je ne suis qu’une pierre jalonnant votre chemin, je serai à jamais fier de vous avoir accompagnée quelque temps. »
  • « Et l’autre chose dont vous pouvez vous enorgueillir est de savoir parler aux femmes, si jamais vous en doutiez … », dis-je avec un sourire plein de malice.
  • « Vous êtes cruelle… Je suis sincère avec vous et je l’ai toujours été. Alors croyez-moi lorsque je vous dis que votre intelligence et votre caractère vous promettent à de plus grandes choses que le comptoir du 1830. »,répondit-il en souriant à son tour. 

Toutes ces belles paroles laissèrent dans ma bouche un goût aussi sucré que le vin qui accompagnait notre repas. Cela ne faisait que quelques heures que j’avais quitté le club, Jeanne, Valérie, ma jeune carrière d’actrice porno et pourtant, tout cela me semblait si loin ! Je savais que ce quotidien reviendrait à l’instant même où, dans quelques jours, mes pieds fouleraient à nouveau les pavés parisiens. Mais aussi irréelle que pouvait paraître cette parenthèse enchantée, j’étais bien décidée à jouir de chacun de ces instants rares et précieux.

A suivre : La descente aux enfers - Part 10



Par Decadent Laboratory - Publié dans : RECITS
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Pas vraiment besoin de description pour ce qui suit. Des séries de photos d'amatrices tout simplement.

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Comme son nom l'indique c'est un petit règlement de compte personnel. Enfin, pour être franche c'est surtoit moi (Roxanne) qui tenait à ce que cette rubrique soit présente. Eh ouais, même si je ne suis pas la principale concernée (quoique j'ai bien mangé quand même), j'ai la rancune plus que tenace.

Petit-reglement-de-compte-entre-ami-e-s-copie-1.jpg

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ERRATUM

Petite précision qui a son importance concerant la rubrique "Petit règlement de compte entre ami(e)s"... Pour ne pas qu'il y ait de malencontreuses coïncidences, les prénoms des protagonistes ont été changés. Par exemple, le compagnon de la protagoniste principale suce nommée (oui je sais ça ne s'écrit pas comme ça mais ça me fait rire), ou pour être plus précise le "plouc", ne se prénomme pas Laurent et n'habite pas Chaussy dans le Val d'Oise. En tous cas selon les informations fournies par la CAF.


A moins que... Noooooon !!! Des gens si honnêtes et si vertueux que ça ce n'est pas possible ! J'ai vraiment l'esprit mal tourné ! Après, par souci de clarification, si cela pose problème, on peut toujours aller leur demander de procéder à une vérification des pièces justufucatives fournies ? Non ?  

Ce point éclaircie, je vous souhaite une bonne lecture... "Amicalement", Roxanne ou chérie coquine.

Nous

Couple libertin de région parisienne, vous aurez vite compris que le sexe tient une place primordiale dans notre vie. Pour le reste nos adorons le rock, les Harley, les voyages et plein d'autres choses dont vous vous foutez royalement. Non ? Bandes de menteurs !

 

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Le libertinage et ses plaisirs n'ont de sens que lorsqu'ils sont vécus au sein d'un couple à la complicité sans faille ... Roxanne (29 ans) et Franck (42 ans), notre indéfectible amour ne nous empêche aucunement d'être des épicuriens convaincus et des adeptes assidus des plaisirs de la chair ... Le feeling, la complicité et la séduction tiennent une place importante dans notre recherche qui s'oriente vers des couples à la partie féminine bisexuelle ou vers des femmes elles aussi tentées ou pratiquant les plaisirs saphiques ... Nous ne ferons pas une liste des pratiques que nous acceptons ou nous refusons, mais n'hésitez à nous contacter afin d'en savoir plus. Cela sera peut-être le début d'une belle amitié et plus si affinité.

 

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Dans le cas contraire, on vous souhaite une bonne visite et surtout : NE SOYEZ PAS SAGES !!!

 

Roxanne & Franck

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