Dimanche 15 mai 7 15 /05 /Mai 08:42

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La morsure d'une cougar

Ecrit par Franck

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Franck et Enora restèrent encore de longues minutes soudés l’un à l’autre. Ils s’embrassaient tendrement après le merveilleux bonheur qui avait ébloui leurs âmes. Les deux amants avaient le sentiment d’avoir communié avec les Dieux.

 Repus, heureux et comblés ils s’avancèrent main dans la main vers la mer accueillante pour se baigner et nager comme deux dauphins amoureux. Seuls sur terre ils étaient maintenant, savourant la plénitude de s’aimer.

 Louisa les observa encore, toute retournée par les plaisirs solitaires qu’elle s’était donnée. Elle aurait aimé être en compagnie de son gendre, là en cet instant, mais la raison de mère lui dictait de ne rien provoquer qui pourrait nuire au bonheur de sa fille. Pourtant Franck accaparait constamment ses pensées, elle imaginait les scénarios les plus fous, son sexe de femme réclamait son dû.

 Enora et Franck regagnèrent le sable chaud de la plage. Franck alluma une cigarette, en regardant l’horizon lointain. Il souriait. Enora s’assit et se blottit contre lui, sa tête reposant sur son épaule. Elle tira une bouffée de la cigarette de son amant et dit :

  • « Avec toi c’est le paradis sur terre mon chéri, je suis heureuse. Mais tu m’as fait languir tout à l’heure ente mes cuisses, espèce de petit cochon ! »
  • « J’aime te rendre folle de désir, l’attente démultiplie les orgasmes et c’est cela que je voulais te donner … », répondit Franck.

Ils éclatèrent de rire ensemble.

  • « J’espère que maman ne nous a pas entendus … », ajouta Enora.
  • « Hummmm … C’est bizarre que tu me dises cela, je croyais l’autre jour dans la cuisine que tu aimerais que ta mère t’écoute jouir, non ? »
  • « Oh, la, la ! Mon chéri ! C’était pour te taquiner voyons. Par contre ma mère est naturiste, et je doute qu’elle ait baissé son regard l’autre soir en te voyant prendre un bain de minuit … », renchérit Enora.
  • « Il faisait nuit noire alors tu sais elle n’a pas vu grand-chose. »
  • « Hummmm … Pas sûr mon chou, maman est une croqueuse d’homme, même à son âge elle a le feu aux fesses. »
  • « Arrête de parler ainsi de ta mère voyons ! », dit Franck en rigolant.

Il tirait nerveusement sur sa cigarette en espérant que son amie ne verrait pas son trouble.

  • « Tu sembles bien pensif mon chou. »
  • « Non, non, ça va je pensais à ce que nous allions faire ce soir. »
  • « Ah bah tu sais je dois contacter mon amie Marie, elle a très envie de faire la connaissance de l’homme de ma vie. Je pense qu’elle est curieuse de voir à qui j’ai mis le grappin dessus. »

Ils passèrent le restant de l’après-midi à alterner baignade et bronzette, rejoint en cela par Louisa. Franck eu un choc en la voyant. Par respect pour son gendre et sa fille elle portait un bikini mais trop petit pour elle. Sa généreuse poitrine était facilement visible. Un chignon blond bien coiffé, un ventre presque plat, quelques douces rondeurs aux hanches, une croupe voluptueuse, un bronzage discret, des yeux bleus, une bouche aux lèvres charnues, des cuisses fermes, tels était les atouts que mis Louisa sous les yeux de Franck.

  • « Je n’ai pas osé venir nue mes chéris, je sais que toi Enora tu désapprouves mon loisir de nudiste. Vous savez Franck le père d’Enora était un homme très pratiquant alors vous comprenez. »
  • « Assez maman, j’en ai marre qu’à chaque fois on se chamaille pour ça, je vais aller prendre une douche rafraîchissante. »

Elle se leva et planta ainsi Franck et sa belle-mère. Celui-ci fit mine de la suivre mais Louisa lui lança :

  • « Laissez-la mon cher, c’est un sujet qui la fâche toujours. »

Franck regarda partir Enora à travers la plantation de pommiers. Une ombre de luxure commençait à l’envahir, il la sentait s’insinuer en lui progressivement.

  • « Franck vous savez que vous êtes un amant hors du commun … », lui susurra sa belle-mère.

Il la regarda, et vit qu’elle avait dégrafé le fin tissu qui maintenait sa poitrine. Les seins de Louisa était lourds mais encore fermes malgré son âge. De brunes auréoles entouraient des tétons caramel déjà dressés.

  • « Ils sont encore beaux n’est-ce pas mon gendre chéri ? »

Franck détourna son regard mais il ne put réprimer une violente érection.

  • « Oh mon cher je remarque que vous êtes pratiquement prêt à honorer mes seins, qu’en dites-vous ? »

Sa belle-mère s’était rapprochée de lui. Allongée à ses côtés, elle embrassa son épaule, elle laissa ses doigts courir dans son dos. Franck était tétanisé comme à chaque fois, il avait l’impression que sa belle-mère le violait psychologiquement.

Il se retourna et se retrouva nez à nez face aux voluptueux seins de Louisa. Imperceptiblement sa bouche se rapprocha de ces deux globes. La main de Louisa remonta vers le cou de son gendre et elle attira sa tête sur sa poitrine. Franck ne résista point. Il se mit à téter comme un enfant cette poitrine de Vénus. Louisa gloussa en jetant sa tête en arrière.

  • « Oh oui allez-y Franck, sucez-moi et tétez-moi, j’aime vos lèvres sur moi … », gémit-elle.

Son gendre la poussa délicatement, elle s’allongea de tout son long. La bouche frénétique de Franck se délecta ainsi. Ses lèvres titillèrent le bout des seins, ses dents mordillèrent délicatement les tétons. Ensuite cette bouche avide descendit vers le sillon des seins, elle lécha encore et encore. Puis le ventre de Louisa reçu des baisers, le nombril fut taquiné, et la bouche insatiable embrassa le mont de Vénus.

Louisa était aux anges. Elle n’aurait jamais pensé que son gendre daigne lui prodiguer cette caresse. Franck d’un geste habile ôta le string de sa belle-mère, puis sa tête plongea vers les délices marins. La bouche de Franck découvrit un fruit d’amour luisant, de grosses lèvres rouges et douces accueillirent sa langue. Le bourgeon dressé fièrement reçu mille attentions.

Franck entendait sa belle-mère gémir, elle se pâmait en écartant encore davantage ses cuisses. Franck introduit un, puis deux, et trois doigts dans ce puis mielleux. Louisa hurla à cet attouchement, elle jouit instantanément tellement elle était excitée. Son gendre-amant faisait aller et venir ses doigts, il les regardait disparaître et revenir.

  • « Ta main !!! », cria Louisa, « Mets ta main en entier, allez !!! »

Franck n’avait jamais pratiqué une introduction aussi spectaculaire. Mais il vit et sentit comme par enchantement le sexe de Louisa lui happer les doigts de sa main, sans retenue aucune elle désirait sentir la main de son gendre dans son ventre de quinquagénaire. Il n’osa pas s’introduire davantage de peur de la déchirer, et le lui susurra à l’oreille.

  • « Fais-les alors davantage bouger … Oh mon Franck ! Ouiiiiiii je jouis comme une folle !!! », cria Louisa.

Un peu effrayé au début par ce qu’il faisait, Franck vit que sa belle-mère appréciait et qu’elle se tortillait comme une damnée. Le ventre en feu Louisa s’offrait à cette main. Des vagues d’orgasmes la submergèrent de longues minutes. A bout de force, elle ordonna à Franck d’arrêter ce massage intime. La main de son gendre se retira et Franck en lécha un à un les doigts inquisiteurs. Louisa restait couchée, les cuisses écartées, elle reprenait ses esprits. Enfin elle dit :

  • « Oh mon Franck vous avez été fabuleux, merci pour ce moment de pur bonheur. »

Son gendre soupira. Il ôta son slip de bain. Son érection dardait vers sa belle-mère. Agenouillé il se masturbait devant elle, pour elle en fait. Louisa gloussa devant ce spectacle délicieusement érotique.

  • « Venez sur mon ventre mon cher, j’ai envie que vous jouissiez entre mes seins. »

Franck se positionna à califourchon au-dessus d’elle, ses cuisses enserrant la taille de sa belle-mère. Celle-ci fit coulisser le divin pieu au creux du sillon de sa volumineuse poitrine, emprisonna ainsi Franck qui débuta ses vas et viens. À deux mains sur ses seins, elle le serrait. Elle voyait devant ses yeux le gland violet venir et disparaître. Le balancement des lourdes couilles de son gendre la fit également frémir.

Franck regardait sa verge compressée par les deux globes, il gémit en sentant au creux de ses reins l’intensité du plaisir croître progressivement. Le soleil brûlait leur peau. Tous les deux se regardèrent dans les yeux, et là Franck éjacula en grognant, il retint son cri pour ne pas attirer l’attention d’Enora. De chaudes giclées de semence maculèrent le cou et le menton de Louisa qui continuait sa délicieuse pression de ses seins sur la hampe de son gendre. Enfin elle relâcha Franck qui s’écroula sur le sable, comblé et repu.

  • « Humm … Franck chéri votre laitance est un nectar que j’aime, je vais vous nettoyer. », lança Louisa en plongeant entre les cuisses de son gendre.

Franck se laissa faire et apprécia la bouche de Louisa s’activant sur lui. Elle lapa les restes de sperme. Ce nettoyage en règle lui provoqua de nouveau une violente érection qui ravi sa belle-mère. Il se senti aspirer vers un puis de bonheur. Louisa agenouillée entre ses cuisses le pompait voracement. Franck voyait son chignon blond aller et venir sur son bas-ventre. Plus rien de comptait pour lui, seul son bonheur du moment importait. Il admirait la bouche suceuse distendue par son sexe qui l’aspirait tout entier. Il ferma les yeux et joui doucement en couinant comme un adolescent devant son premier orgasme. 

oooOooo

 

Louisa accueillit dans sa gorge la sève chaude de son gendre, elle avala ce nectar pour ne pas en perdre une goutte. Elle caressa les cuisses velues de cet homme qui la rendait folle. Sa bouche ensuite couvrit de baisers le ventre musclé, ses doigts jouaient avec les poils, ses dents mordillaient les tétons de Franck. Celui-ci s’abandonna aux caresses de sa belle-mère de longues minutes encore. Ensuite la bouche de Louisa remonta dans son cou, elle lui mordilla le lobe de l’oreille avant de trouver ses lèvres pour un baiser tendre. Franck lui rendit son baiser avec fougue, jusqu’à perdre haleine. Décidément la bouche de Louisa était tellement douce et chaude !

  • « Ohhh ! Louisa, vous m’avez ensorcelé. Mon dieu, que dois-je penser, que vais-je faire ? »
  • « Mon gendre chéri, il ne faut pas que vous tombiez amoureux d’une dame de 51 ans, tout de même, voyons ! », gronda gentiment Louisa.

Elle continuait à jouer avec les poils de sa velue poitrine, elle s’amusait à en faire de petits nœuds de ses doigts agiles. Ils étaient allongés côte à côte et se caressaient mutuellement leur peau bronzée. Ensuite Franck proposa à Louisa de piquer une tête pour se rafraîchir, chose qu’ils firent, en batifolant tels des adolescents. L’après-midi touchant à sa fin. Tous les deux prirent le chemin du retour vers la propriété. Enora les attendait, assise en terrasse et buvant un gin tonic glacé.

  • « Ben dites donc ! Vous en faites une tête ! », leur lança-t-elle. « On dirait deux croque-morts! »

Louisa et Franck s’esclaffèrent de rire.

  • « Mais non, ma chérie, nous nous sommes amusés comme des petits fous, et là on est K.O. ! », répondit Franck. « Par contre, je boirais bien une bière fraîche, qu’en dites-vous, Louisa ? »
  • « Très bonne initiative, mon cher, je m’empresse de nous en apporter. », répondit sa belle-mère.

Ils savourèrent en silence ce doux breuvage.

  • « Ce soir nous dînons chez Marie, maman. Veux-tu te joindre à nous ? », questionna Enora.
  • « Oh, mes enfants, je ne sais pas … Il faut que je me refasse une beauté après cette après-midi récréative ! »

Franck ne pipa mot, il observait l’échange entre la mère et sa fille. Louisa accepta de les accompagner malgré tout.

La nuit était chaude. Marie habitait également en bord de mer, non loin de la maison de Louisa, étant la fille de sa femme de ménage. On dénombrait une bonne vingtaine d’invités sur la terrasse donnant directement sur la plage, buvant et dégustant des fruits de mer. Franck avait une faim de loup. Il se jeta sur le buffet et dévora des petits plats à base de poivrons et divers légumes farcis. Un vrai délice pour ses papilles de gastronome.

Franck fit la connaissance de Marie, délicieux petit bout de femme brune, ressemblant étrangement à une de ses anciennes secrétaires. Marie vivait avec sa mère, veuve elle aussi, comme son amie Louisa. Franck se dit en riant que, sacrebleu ! Les hommes étaient laminés par les femmes, dans ce village !

La soirée battait son plein, les invités buvaient et mangeaient sans se soucier du lendemain, c’est du moins la nette impression qu’eut Franck. Enora lui tint compagnie quelques instants avant de se faire happer par un troupeau d’amis qui l’entraînèrent vers la plage. Les convives avaient allumé un feu et jeunes et moins jeunes se trémoussaient au rythme de la sono sur des tubes italiens. Enora ne se priva pas de se joindre à cette bande de joyeux drilles.

Franck squatta le bar, il goûta à la bière locale, car l’excès de vin blanc ne lui convenait pas. Il se tenait un peu en retrait, à l’ombre, sur la terrasse. Se rappelant les épisodes amoureux de la journée, il sourit intérieurement en comptant le nombre de fois où il avait joui et éjaculé cette après-midi. Louisa le rendait dingue. Serait-il en train d’en pincer pour une femme quinquagénaire ? Lui ? Certes, sa belle-mère lui avait procuré un plaisir orgasmique inouï, comme rarement il en avait éprouvé, mais nom de dieu, cette femme était un démon !

Soudain il perçu un feulement au-dessus de lui. Franck leva sa tête et vit au premier étage une pièce légèrement éclairée. Il quitta la terrasse et marcha le long du mur pour se trouver juste en-dessous de la fenêtre. Là, il constata ce qu’il pressentait. Des gémissements s’échappaient du premier étage. Il tendit davantage l’oreille et compris qu’un groupe de personnes copulait. Son verre de bière à la main, il se mit en devoir d’approfondir sa curiosité, l’alcool qu’il avait bu l’aidant aussi.

Il gravit à pattes de velours l’escalier en bois massif, tel un chat sur un toit brûlant, c’est ce qu’il se dit en arrivant à l’étage. Il posa délicatement son verre et débuta ses investigations. Avançant pas à pas dans le couloir, Franck n’eut pas longtemps à attendre pour trouver l’origine des gémissements. Ceux-ci provenaient d’une chambre dont la porte était entrouverte. Franck reconnut immédiatement la voix de Louisa. Seule une petite lampe de chevet éclairait la pièce.

Franck écarquilla les yeux en voyant le spectacle qui s’offrait à lui. Sa belle-mère était prise en sandwich par deux hommes qui ahanaient en rythme. Sa vue s’adaptant progressivement à la demie pénombre, Franck reconnut le patron du bar qui sodomisait Louisa. L’autre était son fils, que chevauchait sa belle-mère.

Franck avait la gorge sèche tout d’un coup. Il avança dans la chambre voulant savourer davantage ce spectacle. Le barman le vit, mais Franck lui lança un clin d’œil de connivence, ce qui le rassura.

Les respirations saccadées, les râles étouffés, emplissaient l’air surchauffé de la chambre. Franck était troublé par ce qu’il voyait. Louisa le vit, leurs regards se croisèrent, il lui sourit gentiment et l’encouragea ainsi à continuer.

Le trio devait être au bord du plaisir car immédiatement après, la jouissance les gagna. Le père grogna le premier et éjacula dans les fesses de son amante, suivi de son fils qui cria à son tour. Louisa, quant à elle, étouffa ses cris de bonheur comme toute bonne Bretonne soumise. Le patron du bar se retira d’entre ses fesses mais entreprit de se masturber devant la croupe de Louisa. Franck était impressionné par l’énorme verge qu’il voyait branler par la grosse main. Louisa était maintenant presque affalée sur le jeune garçon qu’elle embrassait passionnément. Enfin, Franck vit le patron du bar éjaculer à longues giclées sur la croupe de Louisa. Les yeux fermés, sans pousser un cri, il aspergeait son amante.

Franck les laissa reprendre leurs esprits et quitta la pièce sans un mot. Il n’était pas vraiment jaloux, mais tout de même, une once de dépit le taraudait. Louisa retrouva son gendre au bar.

  • « Vous êtes un petit garnement mon cher ! », lança-t-elle. « J’espère que vous n’êtes pas jaloux. »
  • « Bien sûr que non, belle-maman chérie, il est toujours agréable de prendre du bon temps. », répondit Franck.

Tous deux s’esclaffèrent et Franck promit d’être discret sur ce qu’il avait vu.

  • « Et si nous allions rejoindre Enora ? Je me demande ce qu’elle fait. », proposa Louisa.
  • « Je crois qu’elle est à la plage. », répondit Franck.

Ils rejoignirent le groupe des amis d’Enora, qui continuait à danser et chanter, cela depuis le début de la soirée. Louisa se lança immédiatement dans la sarabande, Franck lui, observa d’un œil amusé tout ce joyeux bordel. Enora l’aperçut et courut vers lui. Elle était gaie et, lui sembla-il, légèrement ivre.

  • « Mon chéri, où étais-tu ? J’espère que tu ne t’es pas ennuyé loin de moi. »
  • « Oh Enora, non tout va bien, mais tu sais ce genre de sauterie, ce n’est pas trop mon truc. »
  • « Ah, la, la, quel rabat-joie tu fais, des fois ! »
  • « Mais non, mais je ne connais personne ici, et je n’aime pas danser, tu le sais. Mais ta maman m’a tenu compagnie, alors tout baigne. »

Enora regarda son ami d’un air soupçonneux, puis l’enlaça. Leurs bouches se soudèrent dans un baiser passionné. Franck remarqua l’haleine chargée de gin de sa compagne, cela le fit sourire. Enora était collée à lui comme une pieuvre, elle passa ses mains sous sa chemisette et chuchota :

  • « J’ai envie de toi, là, de suite. »

Franck se laissa entraîner par son amie vers un endroit discret en bout de plage à l’abri des regards. En un tour de main Enora ôta sa culotte, elle s’agenouilla dans le sable fin, remonta sa robe sur ses hanches, présenta sa croupe à Franck et lui intima :

  • « Prends-moi, là, tout de suite, je n’en peux plus. »

Franck était quelque peu surpris par tant de précipitation, et il se dit qu’après tout sa compagne avait le sang chaud.

  • « Vite ! Putain, vite … », gémit Enora.

Elle se caressait l’entrejambe devant lui. Cette vision fouetta les sens de Franck. Il déboutonna son pantalon, baissa son caleçon, et s’agenouilla face à ces divines fesses. Son érection pointait vaillamment, son gland cogna contre les lèvres déjà humides d’Enora, qui gémit à cet attouchement, avant de sentir la verge longue et dure s’enfoncer progressivement dans son ventre.

  • « Ouiiiiiii, ouiiiiiiiiiiii ! Vas-y ! Ouiiiiiiiiiiiiiiiii ! Défonce-moi fort, mon Franck ! »

Son ami s’accrocha à ses hanches et débuta de longs va-et-vient. Son pubis claquait contre les fesses d’Enora, il sentait sa bite emprisonnée dans un chaud puits mielleux. Les râles de son amie lui prouvèrent qu’il n’avait pas perdu sa vigueur malgré la journée éprouvante. Les grains de sable fin commencèrent à recouvrir leurs cuisses. Enora lâcha :

  • « Mets-moi deux doigts dans le cul ! Encore plus vite ! »

Franck continua à la fourrer en introduisant un puis deux doigts dans son pertuis déjà dilaté. Enora rugissait. La belle Bretonne était déchaînée, elle se tordait sous lui, grognait des insanités. Lui sentait ses doigts être aspirés par la rondelle sodomite.

Enora jouit enfin, elle lâcha un feulement de lionne qui dû s’entendre sur toute la plage, malgré la musique. Franck se dégagea, remonta plus haut et entreprit de la sodomiser.

  • « OOOOOhhhhhhhhhhhhhhh ! Chériiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! Encule-moi ! », cria Enora.

Franck, d’une poussée brutale, pénétra son fondement. Il se sentait prisonnier, mais tellement dominateur. Il sentit qu’il perdait la notion de la réalité car il imaginait sodomiser sa belle-mère, ce qui décupla considérablement sa puissance. Le plaisir grandissant au creux de ses reins, Franck accéléra encore sa cadence. Celle-ci devenait infernale. Il se demandait s’il n’allait pas déchirer l’anus de sa compagne par un si important déchaînement amoureux.

Enora n’en demandait pas tant. Elle hurlait de plus belle. Des vagues de bonheur l’emportèrent dans une autre dimension, elle jouissait ainsi empalée à son amant.

Dans un instant de lucidité, Franck remarqua des mouvements dans l’obscurité. Il sentait cependant le plaisir croître progressivement en lui, son pilonnage continuait, son amie hurlait toujours. Enfin, la divine libération jouissive lui permit d’éjaculer dans les fesses d’Enora, à longues giclées. Il avait l’impression que toute son essence se vidait dans les entrailles de son amante. Lui également ne put réprimer un hurlement quasi inhumain lorsque le tourbillon du plaisir se déchaîna en lui.

A bout de souffle, les deux amants restèrent encore soudés de longs instants. Ensuite Franck se retira d’Enora, il déposa un doux baiser sur ses fesses callipyges. Il épousseta tant bien que mal le sable envahissant, se redressa pour se rajuster.

Au même moment, il entendit plus qu’il ne vit des bruits étouffés à quelques mètres d’eux. Enora se rapprocha de son ami et ils se dirigèrent dans la direction d’où émanaient des espèces de chuchotements. Devant eux, ils virent Marie, l’amie d’Enora, agenouillée nue devant un groupe d’hommes qu’elle masturbait et suçait alternativement. Quatre verges fièrement dressées devant son visage étaient prêtes à offrir leur semence.

Cette scène surprit grandement Enora, car elle savait son amie très prude. Néanmoins ses yeux restèrent rivés sur elle. Marie se tourna vers elle et Franck en leur souriant et dit :

  • « Tu vois, ma chérie, les hommes sont tous amoureux de moi, ils aiment ce que je leur fais. »

En effet, tous souriaient et firent des commentaires salaces. Franck essaya de distinguer des visages connus. Le patron du bar et son fils lui étaient maintenant familiers. Les deux autres mâles étaient beaucoup plus âgés, on aurait dit des vieux beaux de 70 ans.

Marie continua à caresser les verges offertes, ses doigts couraient le long des troncs, sa bouche engloutissait les glands l’un après l’autre. Les hommes se masturbaient également au-dessus d’elle. Marie décida de privilégier ses caresses pour l’un des deux vieux messieurs.

  • « C’est le maire du village … », souffla Enora à l’oreille de Franck.

L’homme était presque chauve, petit et fluet. Il portait de petites lunettes rondes au bout de son nez. Franck voyait ses jambes de grenouille trembloter car il devait être au bord de l’explosion finale. Marie avait englouti son dard au fond de sa gorge. Ses lèvres soudées à la base du sexe, elle l’aspirait complètement, avant de revenir vers le gland et de lécher le membre avec sa langue.

Cette petite femme ronde a un sacré tempérament, pensa Franck, elle lui rappelait Nathalie, sa bien-aimée secrétaire, jadis sa maîtresse. Elle veut les faire jouir ensemble, se dit-il.

Marie cria un ordre et accéléra sa succion sur la hampe sexagénaire. Le maire cria le premier lorsqu’il éjacula dans la bouche qui le pompait. Les trois autres hommes accélérèrent leurs mouvements masturbatoires et ils jouirent de concert, en aspergeant Marie de leur sève. De longues giclées atterrirent sur son menton, sur ses épaules, ses bras, dans ses cheveux. Les gémissements remplissaient l’air alentour. Marie était aux anges. Elle se jeta ensuite aux pieds de chacun des mâles et nettoya avec sa langue les dernières gouttes de semence qui perlaient encore au bout de leur gland.

Ce spectacle avait progressivement accaparé toute l’attention de Franck et d’Enora, ils étaient aux premières loges. Marie le savait, en fait elle aimait se savoir observée, désirée par tant de mâles. Elle se retourna vers eux, et se coucha sur le dos, cuisses écartées puis entreprit de se caresser devant l’assistance réunie autour d’elle.

Seule la lune éclairait la scène, mais Franck voyait bien la main de Marie s’activer entre ses cuisses. Elle gémissait, couinait telle une petite souris. De son autre main, ses doigts caressaient les seins menus, ils pinçaient leur téton.

Enora remarqua que la verge des hommes avait repris une certaine vigueur, notamment celle du fils du patron du café, son nom lui échappait. Il s’approcha de Marie, s’agenouilla entre ses cuisses, la couvrit en la pénétrant d’un violent coup de rein. Elle hurla de bonheur, ainsi possédée. Immédiatement il débuta son pilonnage sous les râles de Marie.

Son père, le barman, s’était agenouillé à proximité de la brune tignasse de Marie. La bite, à nouveau fièrement dressée, fut happée par la bouche de la jeune femme. Père et fils avait pris possession du corps de la petite jeune femme ronde. Quant aux deux autres hommes, ils regardaient avec avidité le trio, tout en caressant de leurs mains les cuisses de Marie.

Enora et Franck assistèrent à ces ébats collés l’un à l’autre, sans pour autant être excités. Ils admiraient la dextérité de Marie, livrée à ces hommes, la manière qu’elle avait de sucer, de se faire prendre, de masturber alternativement la forêt de verges.

Plusieurs minutes s’écoulèrent, entre cris, gémissements, frottements, grognements, pendant l’extase du groupe. Le visage de Marie fut aspergé de semence chaude, ses joues, son menton en étaient maculés. Le fils du barman se retira du ventre de Marie et, dans un dernier élan, éjacula sur son abricot d’amour. Marie reçut également une petite giclée de sperme sur ses épaules de la part du maire, qui avait réussi, en se branlant frénétiquement, à éjaculer en gémissant pour elle.

L’amie d’Enora passa ses mains sur son corps et recueillit du bout des doigts la lave de plaisir de ces amants, lave qu’elle lécha pour l’avaler avidement. Les hommes se rhabillèrent prestement en commentant leurs exploits et rejoignirent la maisonnée en bout de plage. Marie courut ensuite vers la mer pour un bain de minuit rapide, qui lui permit d’ôter toute trace suspecte. Ensuite elle rejoignit Enora et Franck qui l’attendaient.

Franck remarqua ces fesses rondes, ses petites cuisses un peu dodues, ses seins menus aux tétons durcis par la baignade. Quelle énergie avait-elle dépensée avec ces quatre hommes, songea-t-il. Elle enfila rapidement sa robe sans se sécher.

  • « Vous avez vu ? C’était top, hein ? »
  • « Marie, je ne te reconnais pas, toi qui était si timide avec le sexe, mon dieu quel changement, ma chérie ! », répondit Enora.
  • « Je sais, mais c’est ainsi, j’avais envie de vous faire ce cadeau. Et vous deux aussi, vous étiez bien ! On vous a observés, pendant que vous vous amusiez. J’ai adoré la sodomie ! Hummmm, Franck, tu es fortiche toi ! »
  • « Euh, n’exagérons pas … », dit-il en se sentant rougir.

Tous trois retournèrent vers la maison en devisant comme si de rien n’était. 

oooOooo

 

La chambre était presque silencieuse, les volets clos laissaient filtrer un mince rai de lumière. Un léger ronflement emplissait la pièce, le réveil à cristaux liquides indiquait presque midi. Deux corps nus gisaient sur les draps blancs. A l’extérieur, les cigales chantaient déjà, il faisait atrocement chaud.

Franck ouvrit un œil, puis péniblement un deuxième. Enora dormait d’un sommeil profond à ses côtés, nue, ses cheveux blonds en cascade sur ses épaules. Franck, allongé, se remémorait la folle nuit écoulée. Ripailles et luxure à profusion avaient rythmé la soirée. Jamais il n’aurait imaginé que ce petit port breton pouvait regorger d’une faune sexuellement si débridée, qui lui rappelait Saint-Tropez mais sans les mondanités.

Marie l’avait également subjugué. Lorsqu’ils avaient quitté la plage après leurs exploits, ils s’étaient retrouvés au bar, à grignoter les restes du repas. En allant aux toilettes, Franck avait croisé Louisa qui en sortait, accompagnée par la maman de Marie. Elles semblaient ivres toutes les deux. Effectivement la cuvette des toilettes lui confirma qu’une de ces dames au moins avait dû régurgiter son repas et ses boissons. Nauséeux, il avait fait demi-tour et était allé se soulager au pied d’un olivier. Ensuite, les derniers convives avaient tenté de refaire le monde en buvant leurs derniers verres. Franck ne se rappelait plus trop bien comment il était arrivé dans la chambre.

Il quitta la couche, prit une douche revigorante, avala deux Alka-Seltzer contre les maux de tête, s’habilla et descendit à la cuisine. Enora dormait toujours. La chaleur lui fit rebrousser chemin lorsqu’il arriva sur la terrasse. Il se dirigea derechef vers le salon, un peu frais, dont les volets étaient clos. Dans la pénombre, il s’assit dans un fauteuil pour réfléchir. Ses yeux habitués à l’obscurité, il distingua une forme allongée sur le canapé. C’était Louisa.

  • « Bonjour, Franck, bien dormi ? »
  • « Oui, merci Louisa. Enora dort encore. »

Elle se redressa et vint donner une bise chaste sur la joue de son gendre.

  • « Quelle sacrée soirée, n’est-ce pas ? », interrogea-t-elle.
  • « Certes, oui, je suis de votre avis. », répondit Franck.

Louisa portait un petit top et un simple slip de bain. Ses cheveux blonds étaient ramenés en arrière en vrai-faux chignon, qui lui donnait un air de Mylène Farmer blonde.

Tous les deux devisèrent une bonne heure ainsi. Louisa avait préparé une salade légère qui fit le plus grand bien l’estomac de Franck. Il apprit que Marie était devenue une célébrité locale grâce aux fêtes qu’elle donnait avec sa mère. Toutes deux triaient sur le volet les convives. Cela dit, Franck apprit également que chaque invité versait une modique obole pour la participation aux frais de fonctionnement, mais la cerise sur le gâteau était que Marie se faisait également payer pour offrir ses charmes aux autochtones, et sa mère aussi, certainement.

Franck comprenait mieux maintenant la débauche d’énergie de Marie lorsqu’elle était avec les quatre hommes, la nuit dernière, mais il n’aborda pas le sujet avec sa belle-mère.

  • « Et vous alors, le patron du bar et son fils sont-ils vos amants officiels ? », demanda Franck.
  • « Non, mon cher, vous faites fausse route. Ernest et moi nous sommes de vieux amis, mais parfois nous nous aimons lubriquement. Quant à son fils, la nuit dernière a été orchestrée par son père, justement, pour le dépuceler. C’est un gamin de vingt ans d’une timidité maladive. J’ai été sa première femme, comprenez-vous ? »

Franck sourit en se resservant un petit verre de vin.

  • « Hummmm, je comprends, oui, vous l’avez initié à l’amour. »
  • « On va dire ça. Ernest, lui, est également veuf. Nous nous retrouvons comme deux jeunes et nous nous aimons passionnément, mais nous restons très libres. C’est pour cela aussi que vous ne devez pas vous attacher à moi. Vous aimez ma fille, alors vivez votre vie. Mais je dois vous dire que vous êtes un amant formidable, j’ai adoré nos échanges de corps à corps. Ceci doit rester notre jardin secret. Voulez-vous ? »

Franck acquiesça. Il avait passé de superbes vacances jusqu’à présent, et il ne voulait pas gâcher la relation qui l’unissait à Enora.

  • « Vous savez, Louisa, vous êtes une femme délicieuse, et je rends grâce aux cieux d’avoir permis notre rencontre si fusionnelle. »

Louisa se leva, elle se pencha vers lui. Le regard de Franck se noya dans ses yeux bleus, leurs lèvres se frôlèrent avant de s’entrouvrir. Ils se donnèrent un baiser profondément intense. Louisa tenait le visage de son gendre entre ses mains. Elle s’assit à califourchon sur les cuisses de Franck et continua à lui dévorer la bouche.

Ils continuèrent ainsi de longues minutes. Louisa sentait bien l’érection de son gendre, à travers la toile du pantalon, cogner contre le fin morceau de tissu cachant son intimité, mais elle ne tenta aucune autre manœuvre. Elle éloigna même les doigts inquisiteurs de son gendre. Elle le laissa ainsi et reprit sagement sa place sur le canapé. Franck la désirait, mais il n’insista pas. Ils reprirent leur conversation comme si de rien n’était.

Plus tard, Enora arriva, en se traînant péniblement dans la cuisine, avant de les rejoindre au salon.

  • « Mais il fait sombre ici ! Pourquoi restez-vous comme ça ? », questionna Enora.
  • « D’abord, bonjour ma chérie. », lança Louisa. « Il fait affreusement chaud à l’extérieur, il faut conserver un peu de fraîcheur dans les pièces. »
  • « Hummmm, oui m’man. »

Enora embrassa Franck et s’assit aux côtés de sa mère.

  • « Nous allons rentrer à Paris, maman. Enfin, moi du moins. »

Franck resta interloqué. Un silence pesant les entourait.

  • « Ah bon ? Pourquoi si rapidement ? », demanda Franck.
  • « Arrêtez de me jouer la comédie ! J’ai écouté votre conversation, je vous ai vus vous rouler des pelles comme deux adolescents tout à l’heure, alors je me contrefous de vos explications ! », hurla Enora.

Franck était déconfit, tout s’écroulait autour de lui.

  • « Ma chérie, voyons ! Nous avons fait une bêtise, oui, c’est vrai, mais … »
  • « Il n’y a pas de « mais », Franck ! Tu m’as trompée ! Et toi, Maman, tu es une salope ! »

Sur ces paroles, elle tourna les talons et disparut. Louisa ouvrit les volets, malgré la chaleur.

  • « Un peu de lumière après ces sombres paroles, nous fera le plus grand bien … »

Elle servit deux whiskies bien tassés, qu’ils burent en silence. Une porte qui claque. Un vrombissement de moteur. Enora disparut dans un nuage de poussière.

  • « La messe est dite, Louisa. Il ne me reste plus qu’à partir, moi aussi. »
  • « Franck, je suis sincèrement navrée. Je n’ai jamais souhaité ça … », répondit Louisa.
  • « Je vais prendre le premier vol pour Paris … »

Ce furent les dernières paroles de Franck pour sa belle-mère. Il quitta la Bretagne. Le vol vers Paris lui sembla interminable. Il avait pensé croiser Enora à l’aéroport mais il n’y avait aucune trace d’elle. Arrivé à leur appartement, il rassembla ses affaires, la mort dans l’âme. Il se sentait coupable d’avoir trahi la confiance de son amie. Un bruit à la porte d’entrée. Enora venait de rentrer, elle aussi.

  • « Tu fais tes valises ? »
  • « Oui, je te laisse … Je ne mérite pas ton amour, Enora. »

Elle s’avança vers Franck et le gifla. Il resta stoïquement debout. La brûlure sur sa joue lui remit les idées en place. Enora portait un spencer beige, un pantalon en toile assorti qui moulait admirablement ses fesses de déesse. Franck la détailla sans gêne.

  • « Qu’y a-t-il ? J’ai une merde de pigeon sur le nez ? », s’étonna Enora. « Tu veux ma photo? »
  • « Tu es belle … Je ne t’oublierai jamais. »
  • « Oh ! Arrête tes salades ! Tu es d’une mauvaise foi caractérisée ! »
  • « Je dis la simple vérité, c’est tout, et je regrette tellement … Si tu savais ! », répondit Franck.

Ils se regardèrent l’un l’autre, sans mot dire, debout au milieu de la chambre à coucher. Franck voyait les yeux bleus de son amie le mitrailler d’un regard noir.

  • « Je te demande pardon, Enora. Je t’aime, mais je dois partir. »
  • « Pfff ! Laisse ta fierté au vestiaire, idiot … Je t’aime, moi aussi, mais ton attitude m’a profondément blessée. », répondit Enora.

Elle lui prit la main et l’entraîna au salon. Une fois assis l’un en face de l’autre, Enora lui raconta que sa mère n’en était pas à son premier coup d’essai. Elle avait déjà séduit deux autres de ses amis, il y avait quelques années. Sa mère souffrait d’un manque affectif cruel, elle était mythomane et de surcroît nymphomane. Enora lui avoua également qu’elle s’attendait à ce que sa mère jette son dévolu sur lui.

  • « Mais pourquoi ne m’as-tu pas averti ? », questionna Franck.
  • « Je voulais te tester, voir jusqu’où ton amour pour moi t’entraînerait. Je sais, c’est mesquin, mais après les épreuves que ma mère m’a fait subir, je voulais en avoir le cœur net. »
  • « Mon Dieu, j’hallucine ! J’ai dû passer pour un être bien faible à tes yeux … »
  • « Oui, et maintenant tu sais tout, alors libre à toi de me quitter. Il me faudra du temps pour oublier. Mais ma mère baise mieux que moi, non ? Alors crois-moi, tu peux la retrouver quand bon te semble, elle t’accueillera les cuisses ouvertes. »

Franck se leva. Sa décision était prise : il voulait fuir cette femme, même s’il l’aimait encore. Elle et sa mère étaient folles à lier ! Une sueur froide ruisselait dans son cou. Cependant il ne bougea pas. Il était paralysé par le regard hypnotique d’Enora. Celle-ci rompit le silence.

  • « Je pense qu’une séparation nous ferait le plus grand bien. Nous allons réfléchir chacun de notre côté, d’accord ? »
  • « C’est une sage décision, que j’approuve … », répondit Franck.

Il se leva, pris ses deux sacs de voyage et quitta l’appartement de son amie. 

oooOooo

 

Plusieurs semaines passèrent. L’automne avait pris ses aises. Franck travailla d’arrache-pied pour essayer d’oublier ces deux diaboliques femmes. Il n’avait pas revu Enora, ni reçu un seul coup de téléphone de sa part, et ses appels n’avaient rien donné non plus.

De plus, aucune femme n’était entrée dans sa vie depuis cinq mois. Il se limitait à des séances masturbatoires, seul au fond de son lit. Il se caressait en pensant à Louisa, mais la saveur du plaisir était fade et sans passion.

Il traînait ses guêtres le soir dans son bar irlandais préféré, et tapait la causette avec les habitués. Il y avait bien eu des tentatives de drague par quelques midinettes esseulées, mais Franck préférait rester seul. Le poids des souvenirs était encore trop présent. Pourtant il se rendait bien compte que son comportement le menait dans une impasse et qu’il devait continuer à vivre sa vie avant tout.

Un soir, alors qu’il sirotait sa bière, accoudé au bar, on lui tapa sur l’épaule. Il reconnut immédiatement le parfum vanillé de Thierry Mugler. Il se retourna. Enora se tenait devant lui, belle et souriante. Ses blonds et longs cheveux ondulés tombaient en cascade sur son manteau. Elle portait un mignon béret féminin, comme on en voit plus de nos jours.

  • « Salut ! », lança-t-elle.
  • « Bonsoir. »
  • « Eh ! Tu pourrais me faire la bise, non ? »

Franck déposa un chaste baiser sur chacune des joues de son ex.

  • « Tu m’offres un verre ? »
  • « Un gin tonic pour mademoiselle ! », dit-il au barman.

Franck alluma une cigarette, celle du cow-boy. Il remarqua qu’Enora portait une alliance et il faillit s’étrangler en buvant sa bière.

  • « T’es mariée ? », réussit-il à articuler.
  • « Oui, depuis un mois. J’ai rencontré un armateur près de Naples. »

Franck était sans voix. Il restait bêtement assis sur son tabouret, les bras ballants.

  • « C’est pour venir m’humilier que tu viens ici ? »
  • « Tu dis des conneries, Franck ! Si je suis venue, c’est pour te parler, car je ne t’ai pas oublié. »

Franck sentait la moutarde lui monter au nez, mais sa courtoisie légendaire ne l’autorisa pas à renvoyer Enora dans ses 22.

  • « Avec tout le respect que je te dois, ce n’était pas la peine de venir me voir pour m’annoncer une telle nouvelle. »
  • « Je m’en rends très bien compte, tu sais, mais je devais te le dire de vive voix. », répliqua Enora. « De plus, je n’habite plus en France. »

Franck reprit son self-control, il lui souhaita tout le bonheur possible :

  • « Vis ta vie maintenant, sois heureuse. »

Ils conversèrent encore quelques minutes par pure politesse. Franck lança un billet sur le comptoir et sortit. Enora le rattrapa sur le trottoir et se jeta dans ses bras. Et comme au premier jour, la magie opéra. Ils se donnèrent un long et profond baiser. Un baiser d’adieux, songea Franck. Enora fut la première à quitter leur étreinte, comme à regret.

  • « Adieu … », dit-elle. « N’attends rien de moi. »

Elle courut vers la bouche de métro sans se retourner. Franck resta de longs instants, seul sur le bitume. Il commençait à pleuvoir, et il laissa les gouttes nettoyer ses larmes, l’esprit vide, désespéré comme jamais il ne l’avait été. Il s’adossa au mur, s’agrippa à la gouttière, car ses jambes ne le soutenaient plus, il se laissa aller et s’assit à même le sol. Il savait maintenant qu’il ne reverrait plus jamais Enora. Pour la première fois, il se sentit seul au monde, abandonné des siens. Il pleura toutes les larmes de son corps.

Les semaines s’écoulèrent lentement. Noël arriva puis la date du réveillon pour la nouvelle année approcha. Franck était toujours célibataire. Il avait bien tenté de draguer la nièce du barman irlandais mais il s’était fait éconduire gentiment. Grande et rousse qu’elle était, cette femme, 23 ans, des taches de rousseur sur son joli minois, une bouche aux lèvres roses et pulpeuses, bref, une Irlandaise pur jus.

Bon, certes, il avait gentiment abusé du Paddy, whiskey irlandais incontournable, lorsqu’il l’avait abordée. Marie était étudiante et perfectionnait son français. Elle souhaitait également décrocher un poste dans une grande entreprise. Les week-ends, elle aidait son oncle. Franck soupçonnait que le chiffre d’affaires de Freddy, le patron, avait subitement augmenté depuis que cette belle rousse se trouvait aux commandes le samedi et le dimanche.

Un vendredi soir, Franck s’arrêta chez Freddy pour prendre un verre bien mérité, après sa journée harassante au bureau. Intérieurement, il désirait également voir Marie. Sanglé et cravaté dans son plus beau costume, il s’installa au comptoir et s’assit sur son tabouret, comme à l’accoutumée.

  • « Eh bien dis donc ! Tu nous la joues jeune cadre dynamique, là ? », le taquina Freddy.
  • « Je sors de réunion avec la direction, je n’allais tout de même pas y assister en jean et polo ! »

Les habitués plaisantèrent avec Franck, le temps de vider leur verre et de retrouver leurs pénates.

  • « Mais qu’il est tout beau, notre Franck national, dans son costume ! »

Franck se retourna et d’abord il crut à une hallucination. Elle brillait, sa chevelure rousse illuminait le bar. Ses yeux verts le dévoraient. Marie était flamboyante, debout, à portée de main. Elle portait une longue robe noire qui mettait en valeur ses hanches et son petit fessier. Des bottes de rockeuse et un blouson noir en cuir complétaient sa tenue. Franck ne put détacher son regard de cette Fée rousse à la peau laiteuse maculée de taches de rousseur.

  • « Monsieur le cadre, tu m’invites à prendre un verre ? », dit l’apparition.
  • « Euh, euh, oui, naturellement … », bafouilla Franck. « Mais ne travailles-tu pas, ce soir ? »
  • « Non, cher ami ! Ce soir, c’est relâche pour moi ! »

Freddy confirma d’un hochement de tête.

  • « Puis-je t’inviter à prendre un verre ailleurs ? », questionna Franck. « Nous serions plus tranquilles … Qu’en penses-tu ? »

Marie lui envoya son plus beau sourire et accepta son invitation. Franck avait envie de mordre dans ce fruit mûr qu’étaient les lèvres de Marie. Il imaginait déjà embrasser cette bouche si sexuelle. Il se raisonna et la guida avec courtoisie vers sa voiture

Ils prirent l’apéritif dans un bar cubain où résonnait la musique afro-cubaine qu’adorait Marie. Cela étonna Franck, qui se disait que, décidément, cette jeunette de vingt-trois ans le surprenait vraiment ! Marie se livra progressivement. Elle lui raconta sa vie de petite fille, dans le Connemara, ses études à Shannon, ses premières amours, et son arrivée en France, favorisée par son adorable oncle Freddy.

Le courant passait bien entre eux. Franck osa lâcher également quelques bribes intimes sur sa vie récente et passée. Il parla surtout de son boulot, de la vie dans une grande entreprise, choses qui intéressèrent Marie, pour la recherche d’un job. Ensuite, il lui raconta son séjour en Irlande, où il logeait dans les « bed and breakfast », il y avait presque dix ans de cela. Il fit rire Marie à plusieurs reprises, en racontant ces pérégrinations de noctambule à Belfast.

Franck était impressionné par la quantité de punch que pouvait avaler Marie. Il savait par expérience que les Irlandaises tenaient la boisson mais là, tout de même, il en avait à nouveau la preuve vivante ! L’heure tournait : 21 heures. Ils n’avaient pas vu le temps passer. Franck se sentait bien en compagnie de cette demoiselle et, à priori, elle également. Dehors il commençait à neiger, ce qui l’inquiéta un tantinet. Marie le devança en annonçant : 

  • « Bon, t’as vu, il neige ! Si tu veux, je nous prépare un petit plat irlandais pour nous tenir chaud. Ça te dit ? »
  • « Avec plaisir, ma chère ! Je te suis. », s’entendit dire Franck.

En ce 28 décembre, la température descendait à -10°. L’air glacial fouetta le sang de Franck. Cette température polaire donnait aussi des joues roses à Marie. Elle était si belle, avec ses longs cheveux roux en cascade sur ses épaules, et son teint de rose.

Marie habitait au troisième étage d’un immeuble sans ascenseur. La montée des marches fut ponctuée de rigolades. La chaleur de la cage d’escalier, après le froid sibérien du dehors, avait dû renforcer les conséquences alcooliques du punch sur le comportement de Marie.

Le studio était aménagé avec soin, décoré aux mille couleurs vertes de l’Irlande. Une kitchenette donnait sur la chambre à coucher, qui servait aussi de salon. L’œil expert de Franck remarqua cela immédiatement. Il trouvait cette fille désirable. Tout à l’heure, dans le bar, leurs mains s’étaient frôlées à plusieurs reprises. Leurs regards également se trouvaient attirés l’un vers l’autre.

  • « Sers-toi une bière, si tu veux. Je m’occupe du repas en vitesse. »

Franck ôta son loden et sa veste. En bras de chemise, il partit à la recherche du frigo, qu’il dénicha évidemment dans la kitchenette. Franck dut se glisser entre le placard et Marie pour accéder au sacro-saint frigo. En se tortillant, il frôla de son bas-ventre les fesses rebondies de Marie. Elle gloussa et dit :

  • « La promiscuité est parfois porteuse de surprises agréables … »

Elle regarda Franck de ses yeux verts et confirma :

  • « T’es un sacré mec, toi ! D’autres gars auraient déjà profité de la situation. »

Franck déglutit. Il se sentait gauche, avec sa bière à la main. Mais il reprit son contrôle en répondant :

  • « Ma maman m’a bien élevé, très chère. »

Ils éclatèrent de rire ensemble, puis trinquèrent à la galanterie, qui se perdait de nos jours. Marie s’était débarrassée de son blouson d’aviateur. Franck admirait les divines courbes de son corps. Ses yeux s’attardèrent sur sa généreuse poitrine qui pointait obstinément à travers la robe. Ensuite, son regard fut captivé par la rondeur de ses fesses, qu’il devinait toujours sous cette satanée robe longue noire. Il imagina ensuite les cuisses fuselées et blanches qui se trouvaient en-dessous, ainsi que son ventre plat, qu’il aimerait embrasser.

  • « Dis donc ! C’est un examen de la marchandise que tu fais ? »

Cette remarque tira Franck de sa rêverie. Il rougit, tel un puceau pris en train de se masturber. À vrai dire, il l’était, puceau, depuis presque six mois, oui. Tant de semaines sans aimer une femme, sans pénétrer dans un ventre doux et chaud.

  • « Hein ? Quoi ? Que dis-tu ? »

Marie laissa la cuisinière. Elle se rapprocha de Franck, qui se tenait debout dans l’embrasure de la porte, se planta devant lui et dit :

  • « Embrasse-moi, idiot ! »

Elle lui prit le verre et se colla contre lui. Franck se dit qu’il rêvait ; il tenait dans ses bras cette rousse déesse qui le faisait fantasmer depuis leur première rencontre. Leurs bouches enfin se trouvèrent, leurs lèvres se soudèrent, leurs langues exécutèrent une sarabande infernale.

Marie sentit battre contre son ventre le désir de Franck. Elle désirait cet homme, si différent de tous les autres. Son ventre brûlait d’amour. Elle voulait qu’il soit en elle rapidement. Son abricot d’amour était déjà luxueusement humidifié par l’excitation. Elle sentait l’odeur de son partenaire, ses mains musclées lui caressaient les hanches, puis les fesses. Ensuite, la bouche de Franck s’aventura au creux de son cou, ce qui déclencha un exquis frisson dans tout son corps. Elle adorait les bisous dans le cou.

Un tapis de laine épaisse trônait par terre. Ils se retrouvèrent allongés. Franck la déshabillait adroitement mais délicatement. Elle sentait ses mains de mâle expérimenté la caresser, lui ôter un à un ses vêtements. Marie se laissait faire. Elle se retrouva complètement nue, couchée, cuisses écartées, Franck agenouillé entre elles, à lui prodiguer une caresse fabuleuse avec sa bouche. La langue de son amant la rendait folle. La douceur de cet organe qui la pénétrait, la suçait, son agilité, la firent crier de joie. Elle sentait le souffle chaud de Franck entre ses cuisses. Deux doigts la pénétrèrent et elle hurla à nouveau en se tordant de plaisir.

  • « Viens ! Viens ! », implora-t-elle.

Franck, toujours habillé, continuait sa douce caresse buccale. Cette rousse et douce toison le rendaient fou d’amour, ainsi que le parfum marin qui s’en dégageait. Les lèvres, la vulve rose, étaient de délicieuses friandises à sa bouche. Le bourgeon dressé, il le titillait, en insérant deux doigts dans cet antre d’amour.

Ensuite sa bouche embrassa le ventre plat, elle remonta vers les seins majestueux aux bouts roses démesurément dressés, eux aussi. Franck prit les deux globes dans ses paumes, il les pressa délicatement l’un contre l’autre en pensant à une branlette espagnole.

Marie s’était redressée. Sans un mot, elle déboutonna le pantalon de Franck. Elle l’arracha avec frénésie. Son impatience était palpable. Elle voulait le pieu de cet homme en elle. Franck s’écroula de côté sous le dynamisme de Marie. Il vit la jeunette ramper à ses pieds. Ensuite, la rousse et longue chevelure bouclée se cala entre ses cuisses. D’une agilité déconcertante, Marie se débarrassa du caleçon de Franck.

Enfin, elle le vit. Il palpitait devant ses yeux. Elle remarqua qu’il était circoncis. Le gland violet et gonflé dardait vers son visage. De grosses veines bleues couraient sous la fine peau du tronc. Une toison noire et grise laissait apercevoir de lourdes couilles remplies de sève. Marie admira la grosse veine, violette elle aussi, courir du haut vers le bas de ce menhir. Elle passa sa langue rose sur ses lèvres, prête à goûter enfin à ce sucre d’orge excessivement volumineux.

Franck ne bougeait plus, trop captivé par cette rose bouche pulpeuse et ce visage aux taches de rousseur, qui se rapprochait inéluctablement de son bas-ventre. Il ferma les yeux lorsqu’il vit les mains de Marie caresser ses jambes velues, pour remonter plus haut encore. La tension était à son comble, Marie le sentait. Elle savait également que Franck était sevré d’amour depuis six mois. Elle ne voulait pas risquer de provoquer une éjaculation trop rapide, mais elle pressentait que cet homme devait pouvoir redémarrer au quart de tour, après une si longue période d’abstinence.

Sa tension à elle était tombée légèrement, après les orgasmes que lui avait procurés la bouche de Franck. Elle prit donc son temps pour rendre ses caresses à ce presque quadra. Franck vit la bouche de Marie s’ouvrir, une langue rose se posa sur son gland. Cette langue irlandaise lécha le membre de bas en haut. Les doigts continuaient leur tendre caresse sur ses cuisses. Seules la bouche et la langue s’activaient.

Ensuite, les lèvres déposèrent un doux baiser sur les couilles. Puis Marie laissa sa flamboyante chevelure bouclée entourer la verge turgescente. Ces cheveux masturbaient ainsi cet homme. Elle l’entendait gémir son prénom. Il lui dit qu’elle était une déesse, et que cette caresse le rendait dingue. Les diaboliques cheveux roux et bouclés continuèrent leur câlin de longs instants encore.

Marie prit son temps encore, et encore, en recommençant à lécher doucement cette verge, pucelle depuis trop longtemps. Puis enfin, elle avala progressivement le sexe de Franck. Lui, il hurla lorsqu’il se vit disparaître dans sa gorge. Il sentit, plus qu’il ne vit, les lèvres de cette étudiante l’aspirer. Marie l’emporta au bord du précipice de bonheur et demanda :

  • « Veux-tu jouir dans ma bouche ou dans mon ventre ? »
  • « En toi … », réussit-il à éructer, avant de sentir le poids de Marie sur lui.

Sa poitrine voluptueuse, il l’embrassa, la malaxa, pinça les bouts durs. Il était maintenant dans une autre dimension. Marie s’empala sur son menhir. Il vit sa rousse toison l’engloutir interminablement. Marie gloussa et cria de plaisir, un orgasme s’était déclenché en elle à cette simple pénétration.

Franck avait les yeux injectés de sang. Il haletait en donnant de violents coups de reins. Il se rendit vite compte que cette jeune Irlandaise avait du tempérament à revendre, car elle menait le bal. C’est elle qui imprimait le rythme, malgré les tentatives de Franck pour accélérer sa cadence.

  • « Tout doux, mon chéri, tout doux … », lui susurra-t-elle.

Ils ahanèrent de cette manière jusqu’à l’extase salvatrice. Franck griffa les hanches de Marie qui, elle-même, mordit l’épaule de son amant. Franck hurla comme un damné lorsque la jouissance arriva. Il ne savait plus si le plaisir, ou la douleur, ou les deux, le foudroyèrent. Son éjaculation lui parut interminablement longue, il continua de crier et de gémir dans les bras de Marie. Ses seins généreux lui écrasèrent les joues, il les embrassa en se vidant complètement en elle.

Marie fut aussi emportée par un violent orgasme, elle mordit l’épaule de son amant, elle sentait qu’il lui griffait les hanches, ce qui décupla encore son plaisir. Son ventre était un brasier qui recevait une lave en fusion si longtemps retenue. Cette impression de dominer et de « dépuceler » un homme expérimenté la rendait folle de bonheur. Elle hoqueta dans un dernier spasme :

  • « Ouiii ! Tu es bon et fort !!! Je t’aime !!!! »

      FIN

 

Par decadent - Publié dans : RECITS
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Comme son nom l'indique c'est un petit règlement de compte personnel. Enfin, pour être franche c'est surtoit moi (Roxanne) qui tenait à ce que cette rubrique soit présente. Eh ouais, même si je ne suis pas la principale concernée (quoique j'ai bien mangé quand même), j'ai la rancune plus que tenace.

Petit-reglement-de-compte-entre-ami-e-s-copie-1.jpg

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ERRATUM

Petite précision qui a son importance concerant la rubrique "Petit règlement de compte entre ami(e)s"... Pour ne pas qu'il y ait de malencontreuses coïncidences, les prénoms des protagonistes ont été changés. Par exemple, le compagnon de la protagoniste principale suce nommée (oui je sais ça ne s'écrit pas comme ça mais ça me fait rire), ou pour être plus précise le "plouc", ne se prénomme pas Laurent et n'habite pas Chaussy dans le Val d'Oise. En tous cas selon les informations fournies par la CAF.


A moins que... Noooooon !!! Des gens si honnêtes et si vertueux que ça ce n'est pas possible ! J'ai vraiment l'esprit mal tourné ! Après, par souci de clarification, si cela pose problème, on peut toujours aller leur demander de procéder à une vérification des pièces justufucatives fournies ? Non ?  

Ce point éclaircie, je vous souhaite une bonne lecture... "Amicalement", Roxanne ou chérie coquine.

Nous

Couple libertin de région parisienne, vous aurez vite compris que le sexe tient une place primordiale dans notre vie. Pour le reste nos adorons le rock, les Harley, les voyages et plein d'autres choses dont vous vous foutez royalement. Non ? Bandes de menteurs !

 

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Le libertinage et ses plaisirs n'ont de sens que lorsqu'ils sont vécus au sein d'un couple à la complicité sans faille ... Roxanne (29 ans) et Franck (42 ans), notre indéfectible amour ne nous empêche aucunement d'être des épicuriens convaincus et des adeptes assidus des plaisirs de la chair ... Le feeling, la complicité et la séduction tiennent une place importante dans notre recherche qui s'oriente vers des couples à la partie féminine bisexuelle ou vers des femmes elles aussi tentées ou pratiquant les plaisirs saphiques ... Nous ne ferons pas une liste des pratiques que nous acceptons ou nous refusons, mais n'hésitez à nous contacter afin d'en savoir plus. Cela sera peut-être le début d'une belle amitié et plus si affinité.

 

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Dans le cas contraire, on vous souhaite une bonne visite et surtout : NE SOYEZ PAS SAGES !!!

 

Roxanne & Franck

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