Dimanche 15 mai 7 15 /05 /Mai 08:32

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La morsure d'une cougar

Ecrit par Franck

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J’ai connu Enora un jour en faisant mes courses au supermarché local. Jeune femme d’origine bretonne, blonde, peau assez claire, taille de guêpe, cuisses fines et musclées, bouche très pulpeuses, cheveux longs. Enora est une ancienne danseuse de haut niveau qui s’est reconvertie en animatrice radio.

 Samedi matin, c’est la cohue dans ce magasin. Je pousse mon caddie péniblement entre les gens. Bon sang tant de retraités ici, alors qu’ils ont toutes la semaine pour faire leurs courses, ça m’énerve !

 Je circule de rayon en rayon avec ma liste de produits à acheter. En tant que célibataire, je prends un soin méticuleux à noter ce qu’il me faut pour survivre seul dans mon appartement. Généralement je m’attarde au rayon surgelés et conserves. C’est paradoxal, mais j’aime cuisiner. Cependant, le soir, faire la popote tout seul pour soi ce n’est pas excitant. Alors j’achète des plats cuisinés.

 Soudain, au détour d’une gondole mon caddie heurta un autre de ces engins à roulettes. Je m’excusai devant le manteau émeraude se trouvant à proximité, j’avais toujours le nez dans ma liste de courses.

  • « Je vous en prie monsieur. », dit une voix suave.

Je levais la tête pour répondre au manteau émeraude, et je découvris Enora dans toute sa splendeur. Nous échangeâmes un sourire de courtoisie. Nous continuâmes notre chemin et je pensais à cette jeune femme que je croisais et recroisais dans les rayons. À chaque passage elle me souriait, j’admirais le dessin de sa bouche pulpeuse, les formes de son visage, et sa chevelure d’or. J’arrivais en caisse et déposais mes provisions sur le tapis roulant. En me relevant je me retrouvais nez à nez avec la belle inconnue.

  • « Eh ben, dites donc, on ne se quitte plus ! », dis-je.
  • « Vous avez raison monsieur, comme c’est drôle ! »

Je remarquais les doigts admirablement fins aux ongles rouges vifs et bien dessinés de ma belle inconnue. Nous devisâmes de choses et d’autres, jusqu’au moment où il me fallut payer mes achats. Ensuite, un peu à regret, je laissais mon joli manteau émeraude tout seul. J’arrivais à ma voiture et rangeais mes victuailles dans le coffre. Une voix toujours aussi suave derrière moi :

  • « Excusez-moi, monsieur mais … »

Je me retournais et découvris Enora face à moi.

  • « J’ai un pneu à plat, pourriez-vous me monter la roue de secours ? »
  • « Oui, bien sûr madame, où êtes-vous garée ? »

Etait-ce mon jour de chance ? Je me retrouvais agenouillé devant la voiture de l’inconnue au manteau émeraude et démontais l’ancienne roue pour remonter la nouvelle. Au bout d’une bonne demi-heure je réussis à dépanner la belle demoiselle. Mes mains étaient crasseuses de cette espèce de cambouis qui entoure les crics et les manivelles. Je décidais d’aller aux toilettes pour me décrasser.

 Enora me donna rendez-vous à la cafétéria pour prendre un café ensemble et me remercier pour mon geste. Je me dépêchais et d’un pas alerte me dirigeais vers les WC, je me sentais de très bonne humeur. J’arrivais à la cafète en cherchant désespérément des yeux mon adorable manteau émeraude. Je scrutais chaque table en vain. Il avait disparu. Une pointe de tristesse traversa mon esprit, mais je me dis après tout que l’occasion n’a pas fait le larron.

  • « Coucou je suis là ! »

Je me retournais et vis Enora qui me souriait en me jetant un regard moqueur.

  • « Quelle heureuse surprise, j’ai cru vous avoir perdue ! »

Elle se mit à rire et me dit :

  • « Comment aurais-je pu m’éclipser, c’est vous qui avez gardé les clés de ma voiture ! »

Effectivement, j’avais conservé les fameuses clés dans la poche de mon jean. Je m’empressais de les lui remettre. Enora me remercia à maintes reprises et me proposa de prendre un verre dans un bar. Je lui fis remarquer que si nous avons acheté des produits périssables, il faudrait certainement remettre cette invitation à plus tard. Elle acquiesça et me tendit sa carte de visite professionnelle en me demandant de la rappeler, si je souhaitais accepter son invitation.

 Je remarquais qu’elle bossait dans une radio. Nous devisâmes encore quelques minutes sur nos jobs respectifs et je promis de l’appeler dans la journée. Enora semblait ravie et m’encouragea à ne surtout pas l’oublier. Nous nous quittâmes ainsi.

J’arrivais dans mon appartement de célibataire et rangeais mes provisions. La matinée était déjà bien engagée, et je ne cessais de penser à cette jeune femme blonde à qui j’avais rendu service. Au milieu de l’après-midi, je me décidais de l’appeler sur son portable. Elle décrocha immédiatement. Nous convînmes de nous retrouver chez elle.

Mon esprit libertin vagabonda jusqu’au moment où la porte de son appartement s’ouvrit. Quelle déception. Aucune Enora sur le pas de la porte. Un petit, enfin au regard de ma stature, jeune homme rouquin maculé de taches de rousseur m’accueillit. J’étais surpris et déçu à la fois.

  • « Bonjour … », dis-je. « Je suis la personne qui a dépanné votre femme ce matin. »
  • « Ah oui, entrez ! Nous ne sommes pas mariés mais c’est tout comme. »

Enora arriva enfin. Nous nous saluâmes et je m’assis sur le canapé, elle se mit à mes côtés. Tous les deux me remercièrent encore chaleureusement pour l’aide que j’avais apportée. La conversation dévia ensuite vers la belle jeune femme blonde. J’appris qu’elle était une ancienne danseuse de haut niveau reconvertie en animatrice radio souhaitant évoluer vers la télévision et qu’elle était d’origine bretonne. Son compagnon lui était directeur informatique. Leur appartement respirait le fric, meublé avec goût certes, mais un peu trop surchargé de bibelots et de gadgets en tous genres.

Le début de soirée pointait son nez. Le petit rouquin qui s’appelait Damien me servit généreusement du bourbon, « boisson d’hommes », me dit-il. À l’apéritif, rien de tel pour se mettre en forme. Enora de son côté m’invita à dîner avec eux. J’appréciais ce geste et j’acceptais bien volontiers. Nous passâmes le reste de la soirée à discuter de moi, de mon job, tout en savourant les petits plats préparés par Enora.

A table je faillis m’étrangler lorsque je sentis un pied aventureux remonter le long de mon mollet. Damien étais assis en face de moi. Je ne comprenais plus rien. Il me souriait. Je mis cette vision et cet attouchement sur le compte de la quantité d’alcool que nous avions bue. Enora, assise à côté de son compagnon, fit mine de ne rien remarquer. Le pied téméraire continuait sa progression le long de mon mollet. Bientôt, je sentis un second pied entourer mon mollet et ma cheville. Là j’étais certain qu’Enora imitait Damien. Les deux pieds débutèrent un semblant de masturbation de ma jambe. Je ne savais plus que penser. Je jetais des regards interrogatifs à mes hôtes et le jeu de pied cessa d’un coup.

  • « Tu sais Franck, Damien et moi nous aimons les plaisirs de la vie. Nous on ne se prend pas la tête, nous laissons parler nos envies de l’instant. »

Je m’interrogeais sur les propos d’Enora mais compris vite ses allusions.

  • « Dans ce cas, nous sommes sur la même longueur d’ondes. »

Je voyais Damien rougir, ses yeux bleus me dévoraient littéralement. Enora se rapprocha de moi et me susurra de sa voix douce dans le creux de l’oreille :

  • « Damien te trouve craquant, mais comme tu as remarqué, il est très timide. »

Mon cerveau était en ébullition. Le parfum suave d’Enora m’enivrait, je la désirais. Et elle me parlait de son compagnon, j’étais sidéré. Je n’avais jamais eu de relations avec des garçons. Je regardais Damien. L’alcool aidant certainement, je laissais mon regard se poser sur sa bouche aux lèvres pleines et roses, ses cheveux roux taillés en brosse, ses mains fines aux ongles bien coupés, sa peau blanche maculée de taches de rousseur, son petit nez à la Peter Pan. Ce garçon était petit et mince, il portait un jean qui moulait ses fesses rondes de jeune éphèbe.

  • « Damien suce divinement bien … », me dit une voix à mon oreille.

Malgré moi je sentais une érection poindre entre mes cuisses. Enora la remarqua. Elle me prit la main, en me guidant vers sa chambre. Je me levais dans un état second et la suivi. Elle me poussa sur la couche, se vautra sur moi et me donna un baiser fougueux. Je sentais sa langue s’enfoncer dans ma bouche comme un viol buccal. Je lui répondis à l’identique. Cela entraîna un déchaînement de râles et de caresses. Nous nous retrouvâmes tous les deux nus. Enora me dit :

  • « Laisse-toi faire, tu verras, c’est bon ! »

J’étais couché, Enora entre mes cuisses me prodiguait une fellation que je savourais. Je voyais sa crinière dorée aller et venir sur ma hampe, ses lèvres me pompaient allégrement, sa langue jouait avec les veines bleues et le gland. Je frétillais d’aise. Soudain je vis Damien nu dans l’encadrement de la porte, sa petite verge blanche tendue dans sa main, il se masturbait en nous admirant. Cette vision déclencha un gémissement de ma part.

Je fermai les yeux lorsque je vis Damien prendre la place de sa compagne. Mon Dieu une bouche masculine me suçait, j’étais paralysé mais en ayant l’impression que ma verge avait subitement doublé de volume.

Cette bouche aux lèvres roses me donna un plaisir inimaginable. Je savais maintenant que les garçons pouvaient prodiguer des caresses beaucoup plus intenses que les femmes. Je me laissais faire et j’admirais la dextérité de Damien. Sa timidité avait disparu. Il me lançait des regards pleins de tendresse en plongeant ses yeux bleus dans les miens avec mon sexe dans sa bouche. Ses mains fines caressaient mes cuisses velues, sa langue rose et chaude titillait mon gland violacé. Je n’en pouvais plus. Je me redressais sur mes coudes pour caresser la nuque de Damien et ses petits cheveux roux en brosse. Je gémissais, j’écoutais les bruits de succion et la respiration saccadée de mon petit poil de carotte. Il sentit que j’allais exploser et stoppa net toute caresse.

Enora s’était caressée toute seule devant le tableau que nous formions son compagnon et moi. Elle me dit :

  • « Viens mon Franck, prends-moi en levrette pendant que je pompe Damien … »

Je m’agenouillais derrière elle, je caressais le galbe majestueux de ses fesses couleur crème, je voyais son abricot d’amour s’ouvrir pour accueillir ma hampe gorgée de désir. Damien se rapprocha de sa compagne et se coucha face à elle cuisses écartées. Enora prit sa verge en bouche et débuta sa fellation.

Moi je m’enfonçais en elle, j’agrippais ses hanches et mon pistonnage commença. Damien et moi nous nous regardions dans les yeux pendant que lui se faisait aspirer goulûment par sa compagne, alors que je la prenais par derrière.

Exquises sensations, plaisirs des yeux et des sens. La chambre résonnait de nos râles, de nos respirations, et des bruits de succion. Je voyais le visage de Damien se crisper sous la caresse buccale. Nous avions envie de jouir tous les trois ensemble je le sentais.

Un cri, et Damien éjacula dans la bouche d’Enora qui hurla à son tour alors que des jets de sperme atterrissaient sur ses joues et son menton. Je me lâchais également en éjaculant dans le ventre de cette fille incendiaire. Un tourbillon orgasmique nous emporta loin très loin sur le continent du plaisir.

 

oooOooo

Enora dormait, allongée sur le ventre. Ses épaules nues dépassaient de sous les draps, ainsi que ses cuisses fuselées. Sa crinière d’or reposait délicatement sur l’oreiller. Le contraste entre la blanche couleur des draps et sa peau dorée par le soleil est déjà un délice pour les yeux. Elle dort, la naïade blonde. Les rideaux de flanelle voltigeaient, la fenêtre était ouverte, une légère brise marine soufflait, les mouettes criaient au loin, le ressac des vagues devenait une douce mélodie.

Franck avait la tête vide, il ne savait que penser depuis qu’Enora était rentrée dans sa vie telle une météorite. Le premier épisode avec son roux compagnon datait maintenant de très longtemps, puisqu’Enora et lui s’étaient séparés. Franck était devenu en quelque sorte l’amant officiel de la « bombe » locale de ce petit village breton.

L’accueil dans la famille d’Enora s’était déroulé à merveille, et Franck avait vite pris de l’assurance au sein de cet environnement familial très matriarcal. Fêtes, déjeuners et dîners se succédaient ; cependant la présence quelque peu envahissante de la mère et des amis d’Enora commençait à lui peser.

En cet instant présent, il savourait la quiétude du lieu. Leur chambre lui semblait un havre de paix, il regardait son amie dormir. Elle se reposait après leur débauche de plaisir et de luxure. Mais Franck était pensif. Il alla sur le balcon et alluma une cigarette. La nicotine fit refonctionner ses neurones. Il regardait au loin l’horizon bleu azur en pensant à Enora. Son âme lui soufflait qu’il était en train de tomber amoureux comme jamais il ne l’avait été. Ce sentiment l’effrayait et l’émoustillait tout à la fois.

Il se rappelait leur rencontre un samedi matin au supermarché, ensuite la nuit d’ivresse avec l’ex-petit ami de Enora, où, à trois, ils avaient fait l’amour à maintes reprises. Entre temps de l’eau avait coulé sous les ponts, Enora et Franck se sont trouvés pour vivre à deux des moments d’amour d’une extrême pureté.

Accoudé à la balustrade en fer forgé du balcon, Franck se remémorait tout cela. Il regarda la fumée bleue s’envoler vers le ciel en se disant qu’Enora était vraiment une femme fabuleuse qu’il aimait par-dessus tout.

Cette nuit ainsi que ce matin lorsqu’ils avaient fait l’amour, Enora lui avait susurré des « je t’aime » à profusion. Ce mots, il le savait maintenant, n’étaient pas dénués de sens, mais sur le moment il n’y avait pas prêté attention. Il tira une dernière bouffée de sa cigarette et retourna dans la chambre. Enora était réveillée :

  • « Tu as les yeux larmoyants mon chéri, qu’y a-t-il ? »

Franck la regarda interloqué, il ne s’était pas rendu compte que sa réflexion intérieure l’avait secoué autant.

  • « Ah ? Oh ben ce doit être à cause du vent. »

Enora le regarda à nouveau intensément, elle plongea les yeux dans ceux de Franck et lui dit :

  • « Je t’aime tel que tu es, avec tes qualités et tes défauts. Je serai toujours présente à tes côtés, j’ai envie de construire avec toi une pyramide d’amour pour l’éternité. »

Franck se rapprocha d’elle, il s’assit sur la couche, lui prit les deux mains qu’il baisa en lui disant :

  • « Je t’aime aussi Enora, et ce que tu m’apportes aujourd’hui, je ne l’ai jamais connu. »

Elle lui caressa les joues, ses doigts fins couraient sur le pourtour de ses lèvres. Franck ouvrit sa bouche et lécha ses doigts. Enora se releva légèrement et se pelotonna contre le torse velu de son amant. Franck l’entoura de ses bras puissants. Ils restèrent ainsi de longs instants à savourer ce moment magique.

L’après-midi touchait à sa fin, la soirée pointait le bout de son nez. Franck sentait sous ses pieds la chaleur des pierres chauffées par le soleil d’été de l’Ouest. Il était assis à l’ombre en train de siroter un verre de vin blanc bien frais. Il sentait à chaque gorgée le liquide revigorer son corps et surtout son esprit, la fraîcheur du breuvage hydrata également sa gorge nouée. Enora et lui avaient énormément discuté tout à l’heure. De leurs sentiments réciproques, de leurs envies, de leur situation à tous les deux, tels étaient les sujets abordés.

Se livrer de cette manière à une femme fut pour Franck un moment pénible, mais aussi très passionné. Il s’était complètement mis à nu devant Enora. Franck savait que son amie était éperdument amoureuse de lui, cela ne faisait qu’accroître ses sentiments envers elle. Ils avaient prévus de vivre ensemble dès leur retour sur Paris, l’appartement d’Enora étant plus grand, Franck allait emménager chez elle. Il sentit une main sur son épaule, Enora venait de le rejoindre. « Quelle belle femme ! », se dit-il en l’admirant.

Enora portait une robe vert olive en flanelle qui moulait admirablement bien ses seins et son fessier. De fines bretelles maintenaient la robe plaquée à son corps. Ses épaules nues attiraient les baisers. Sa blonde chevelure légèrement ondulée, ses yeux en amandes, son petit nez, sa pulpeuse bouche, sa peau couleur soleil, rendaient Enora plus désirable que jamais. Elle s’assit en face de lui et se servit également un verre de vin. Ils se souriaient tous les deux, heureux d’être ensemble à savourer l’exquis début de soirée.

  • « Tu as l’air bien pensif mon chéri ? »
  • « Hummmm je t’admire, tu es belle, tu es ma Muse que j’aime. »

Sur ce, Enora s’assit, cuisses écartées sur les jambes de Franck. Leurs lèvres se rapprochèrent tout doucement avant que leurs bouches ne se soudent, que leurs langues dansent une sarabande profondément buccale. Ce baiser passionné les émoustilla tous les deux. Enora se laisser couler aux pieds de Franck. Agenouillée devant lui, elle lui écarta les cuisses. Elle déboutonna son pantalon, ses fines mains prirent entre ses doigts la hampe déjà dressée de désir.

Lentement elle masturba Franck. Celui-ci sentait le souffle chaud de son amie contre la peau de ses cuisses et de son ventre. Enora fit passer la verge entre ses cheveux soyeux et continua ainsi à la branler. Le contact de cette chevelure blonde électrisa Franck, il gémit sur son siège. Il se voyait aller et venir dans cette délicieuse toison.

Ensuite Enora prit la verge dans sa bouche, sa langue s’enroula autour du tronc, ses lèvres débutèrent une succion qui faillit faire exploser Franck, mais son amante remarqua les soubresauts annonciateurs, elle arrêta nette sa caresse et lâcha la queue. Il regarda sa verge gonflée et humide, son amante se redressa et lui souffla dans l’oreille :

  • « Viens me prendre sur la table de la cuisine avant que ma mère ne vienne préparer le dîner … »

Enora se retrouva allongée sur ladite table en chêne massif, robe relevée, cuisses écartées. Les fesses à l’extrémité du meuble, elle accueillit son ami en elle. La position était certes un tantinet inconfortable pour les deux amants mais l’excitation de savoir que belle-maman pouvait arriver d’un instant à l’autre décupla les ardeurs de chacun.

Entre les casseroles, le fourneau, la salade dans l’évier, des râles et des gémissements se faisaient entendre. Franck et Enora se livraient à la préparation d’un plat hautement jouissif pour le plaisir non pas des papilles mais des sens. Ils ahanèrent ainsi pendant dix bonnes minutes car Enora taquinait son ami pour qu’il n’éjacule pas de suite mais elle susurra :

  • « J’aimerais que ta belle-maman voit son gendre baiser sa fille … »

L’esprit de Franck enregistra cette information, son cerveau développa cette image de sa belle-mère dans l’encadrement de la porte en train de les reluquer. Il cria le premier, ne pouvant plus se retenir en pensant que la mère d’Enora les regardait.

Enora elle, vint juste après pour jouir par vagues successives. Elle se cambra, ses doigts raclèrent la table, son ventre était devenu une fournaise, elle hurla d’une voix rauque sans aucune retenue comme pour prouver à sa mère tout l’amour qu’elle ressentait pour Franck.

Ils restèrent plusieurs instants ainsi, lui sur elle. Mais la tension avait baissé d’un cran. Ils se rendirent compte de leur inconfortable position et retrouvèrent vite leurs esprits aux premières douleurs de courbatures.

Enora rajusta rapidement et remonta quatre à quatre les marches de l’escalier pour se refaire une beauté aux toilettes, la semence de son amant dégoulinait entre ses cuisses. Franck lui, réussit à remballer sa verge gluante juste à temps car sa belle-mère arrivait à la maison. Il jeta un regard angoissé sur la table de la cuisine, remarqua des traces suspectes et des poils pubiens. La dame était là derrière lui, il sentait la sueur perler à son front. L’évier là. Franck s’empara en un éclair de l’éponge et entrepris de nettoyer méticuleusement la table.

  • « Mais ne vous donnez pas la peine Franck d’astiquer ainsi le mobilier, nous dînerons en terrasse mon cher. »

Franck se retourna et lui sourit, il était soulagé. Il se rappela que cinq minutes avant il avait joui en pensant à cette femme quinquagénaire alors qu’il chevauchait sa fille. Cela lui sembla surréaliste. Cependant il laissa son regard déshabiller sa belle-mère. Elle était blonde, cheveux remontés en chignon, bronzée, yeux bleus, taille fine malgré son âge, bouche aussi pulpeuse que celle de sa fille, seins hauts placés et généreux, bien conservée. Elle portait une robe du même genre qu’Enora mais de couleur bleue qui rehaussait la blondeur de ses cheveux et de son bronzage. C’était une femme encore très séduisante, veuve depuis cinq ans. Franck lui donnait une petite cinquantaine.

  • « Vous allez bien Franck ? Vous me regardez sans me voir on dirait, ça va ? »
  • « Euh ? Oui, madame ! J’étais dans la lune ! »
  • « Allons, allons, arrêtez de m’appeler madame ça me gêne, appelez-moi Louise. », dit-elle en rigolant à gorge déployée et en lui jetant un regard très appuyé.

C’est ainsi que notre Franck national avait conquis sa belle-maman.

  • « Dites-moi, mon Franck, en arrivant j’ai entendu des hurlements. Vous vous disputiez avec ma fille ? »

Un grand blanc ! Franck ne sut que répondre. L’arrivée de Enora lui sauva la mise.

  • « Maman j’ai une faim de louve !!! »

oooOooo

 

Enora aida sa mère à préparer le repas, fait de salades et de poissons grillés. Par cette chaleur, ils n’avaient pas très envie de manger chaud, mais les grillades de la faune marine leur semblaient bien appropriées.

Le dîner se déroula comme prévu, en terrasse. Louisa était aux petits soins avec Franck. Il se sentait gêné par tant de prévenance, car elle refusait obstinément qu’il l’aide pour le service. Le vin blanc était magnifique, il coulait à flot. Louisa servit plusieurs pichets.

Rires et discussions animées rythmaient le repas. Franck était vraiment heureux d’être là avec Enora. Louisa raconta un peu sa vie. Elle lâcha de savoureuses anecdotes concernant son mari ; alors Enora la regardait, éberluée, mais aussitôt elles pouffaient de rire toutes les deux.

Il n’y avait qu’eux trois dans cette grande maison du bord de mer. Pour accéder à la plage, il fallait suivre un petit sentier qui traversait une plantation de pommiers. La maison en elle-même se trouvait à quelques centaines de mètres de la mer, à l’ombre des arbres.

  • « Alors mes enfants, que faites-vous demain ? », demanda Louisa.
  • « Rien pour le moment, maman. Mais je pense que je vais aller au marché avec Franck pour lui montrer ce qu’est le marché en Bretagne. », répondit Enora.

Franck approuva en se reversant une bonne rasade de ce vin blanc très frais. Louisa le taquina gentiment sur les effets soi-disant aphrodisiaques de ce cru et Franck, naturellement, lui en resservit également une généreuse rasade. Enora se leva et annonça qu’elle était fatiguée, elle allait se coucher. Elle s’approcha de son amant resté assis et lui déposa un chaste baiser sur la joue en disant :

  • « Prends soin de maman, mon chou, mais ne buvez pas trop tous les deux. »
  • « Ne t’inquiète pas mon ange, je veille sur ton chéri ! », répondit Louisa en rigolant.

Enora les laissa tous les deux … La soirée était bien avancée. La chaleur avait fait place à une délicieuse fraîcheur, la nuit était tombée. Seules les appliques murales éclairaient la terrasse, le feu des grillades s’était consumé. Louisa et Franck devisèrent encore de longs instants. Louisa gloussa lorsque Franck la complimenta pour ce très bon repas.

  • « Vous êtes ici chez vous, mon cher, je suis heureuse que ma fille ait enfin rencontré un homme, un vrai. », dit-elle, en plongeant son regard dans celui de son gendre.

Franck ne cilla pas. Ce lien visuel les unit de longues secondes. Aucun des deux ne prononça un mot. Une sorte de délicieuse plénitude s’insinuait lentement en eux. Franck fut le premier à détourner les yeux, mais il laissa son regard glisser sur le cou de Louisa, sur sa généreuse poitrine, où il voyait poindre les bouts durcis des seins, vers sa bouche pulpeuse.

Louisa était assise face à lui. Elle se leva et vint s’asseoir à sa droite sur la chaise laissée vacante par sa fille. Son parfum n°5 de Chanel embaumait l’atmosphère. Franck voyait mieux maintenant le visage de Louisa. Femme quinquagénaire mais bien conservée. De petites rides marquaient légèrement la peau de sa belle-mère mais sa blonde chevelure montée en chignon la rendait pleine de charme. Ses mains aux ongles rouges sang caressèrent distraitement la nappe en coton.

  • « Je préfère être assise proche de vous, c’est plus facile pour communiquer. Vous ne trouvez pas ? »
  • « Bien sûr Louisa, et maintenant nous nous connaissons un peu mieux … », répondit Franck.

Il se savait plus quoi penser. Sa belle-mère lui faisait des avances c’était évident.

  • « Vous savez Franck, tout à l’heure dans la cuisine je vous ai vu avec ma fille. Dieu que vous étiez beaux tous les deux, ainsi soudés l’un à l’autre. J’ai admiré vos coups de rein et, avec ravissement, je vous ai écouté jouir en hurlant. Enora vous aime, je le sais maintenant. »

Malgré la pénombre, Franck sentit le rouge lui monter aux joues.

  • « Mais, mais … »
  • « Ne soyez pas gêné, mon cher, vous avez un charme fou. », dit Louisa, en posant une main sur le haut de sa cuisse.

Franck sentait la situation dévier dangereusement vers un abîme inconnu, mais son esprit lui soufflait que cette femme quinquagénaire allait l’emmener vers une extase qu’il ne soupçonnait pas.

La main aventureuse de sa belle-mère remonta vers son entrejambe. Franck était déjà en érection depuis un bon moment. Les doigts de Louisa le caressèrent à travers le tissu du pantalon. Il sentait son parfum l’envoûter. Elle le regardait bien droit dans les yeux. Leurs bouches se rapprochèrent irrésistiblement, leurs souffles se mélangèrent. Enfin leurs lèvres rentrèrent en contact.

Franck fut agréablement surpris par la douceur de cette bouche. Louisa se leva pour s’installer sur les jambes de son gendre, ses cuisses pendant de chaque côté. Franck la prit dans ses bras, ils se donnèrent un baiser passionné.

La bouche de Louisa dévora carrément celle de Franck. Il laissa ses mains partir à la découverte de ce corps de femme mûre. Ses cuisses chaudes, ses petits bourrelets aux hanches, la douceur de sa peau, excitèrent encore davantage l’homme.

Soudain, Louisa se redressa et, déposant un doigt sur la bouche de son gendre, lui intima de ne prononcer aucune parole. Elle lui prit la main et le guida dans l’obscurité à travers la plantation d’oliviers. Ils aboutirent sur la plage. 

  • « Louisa, je suis confus … », réussit à articuler Franck.
  • « Ne dites rien, vous en avez autant envie que moi. »
  • « Mais … »
  • « Il n’y a pas de mais. Venez, j’ai envie de vous, j’ai hâte de sentir votre queue en moi. »

Il faisait nuit noire. Seul le clapotis des vagues chantait à leurs oreilles.

  • « Là, nous serons bien, mon Franck … », chuchota Louisa.

Elle l’entraîna entre deux barques de pécheurs et se colla à lui comme une pieuvre. Ils ne faisaient plus qu’un. Ils ne se voyaient presque pas, seul un fin rayon de lune éclairait leurs ébats. Louisa avait relevé sa robe et ôté sa culotte, en se positionnant à quatre pattes face dos à son gendre, en lui présentant son fessier, elle écartait sa fente luisante et mielleuse à deux mains.

  • « Prenez-moi s’il vous plaît, ô mon gendre, j’attends depuis si longtemps qu’un homme de votre trempe me baise … », lâcha Louisa.

Franck était au bord d’un précipice, il sentait que s’il s’y laissait tomber, les abîmes de luxure et de débauche allaient l’entraîner vers un espace qu’il ne connaissait pas. Posséder la mère et la fille, quel délice ! Mais aussi quel risque !!! Son cerveau, son corps, sa verge tendue et prisonnière de son pantalon, lui hurlaient de se laisser aller et de goûter à la saveur d’une dame qui pourrait être sa mère. Cette pensée lui ôta toute inhibition. Il se débraguetta, enleva son slip et s’agenouilla devant la croupe de sa belle-mère.

Le gland frotta contre la cuisse de Louisa. Elle gloussa de plaisir à ce contact. Franck prit sa verge érigée en main et, d’un coup, pénétra sans ménagement en Louisa, en caressant ses fesses. Il s’accrocha à ses hanches et débuta par de grands va-et-vient son pistonnage. Il entrait et sortait d’elle, avant de s’y enfoncer profondément. Ce ventre chaud et mielleux, le fait de posséder sa belle-mère ainsi, cela lui arracha un orgasme monstrueux qu’il ne voulut pas retarder. Il grogna et éjacula longuement en elle. De son côté, Louisa jouit en silence, telle une femme habituée à ne pas faire état de son plaisir.

La vigueur de Franck n’avait pas faibli. Il continua à labourer sa belle-mère qui n’en demandait pas tant. Le sable fin commençait à les recouvrir, il s’infiltrait partout, mais les deux amants n’en avaient cure. Ils copulaient comme deux êtres assoiffés de jouissance. Des vagues entières de plaisir submergèrent Louisa, son ventre était devenu un feu grégeois qu’il fallait éteindre. Franck jouit à son tour à nouveau, en déversant sa jute chaude à deux reprises. Jamais aucune autre femme ne l’avait excitée à ce point, jouir trois fois de suite ainsi était grandiose.

  • « Encore mon Franck … Encore, j’en veux encore … », haleta Louisa.
  • « Belle-maman, je ne peux plus … », réussit-il à dire avant de se retirer d’elle et de s’écrouler sur le sable.

Louisa resta à quatre pattes avant de constater que son gendre s’était entièrement déshabillé pour piquer une tête.

 

oooOooo

Franck plongea dans la mer. L’eau était fraîche, mais il lui fallait d’abord évacuer le sable qui l’irritait, et ensuite reprendre ses esprits, après la folle étreinte avec Louisa. Mon dieu qu’avait-il fait ? Etait-ce dû aux effets éthyliques de l’excès de vin ou avait-il plongé dans la débauche la plus totale ? Le fait de se baigner dans l’eau froide devrait lui permettre d’y voir plus clair, du moins l’espérait-il.

Louisa était restée sur la plage. Elle admirait son gendre-amant et ses brassées très coulées qu’elle devinait au clair de lune. Enfin, Franck regagna la terre ferme, nu devant sa belle-mère.

  • « Vous êtes une ensorceleuse Louisa … », cracha-t-il.

Louisa admirait son gendre, ses petites fesses rebondies, ses cuisses musclées, sa poitrine velue, son ventre un peu rond entouré de poignées d’amour, sa démarche féline. Elle répondit :

  • « Vous êtes beau, Franck, vous m’avez donné un bonheur immense et ça, je ne l’oublierai pas, soyez-en certain mon chou. »

Franck épousseta ses vêtements et s’habilla à la hâte. 

  • « J’ai aussi aimé, Louisa, mais ce n’est pas raisonnable, nous avons agi sur un coup de folie. »
  • « Certainement, mais le désir a été plus fort que la raison. Vous savez, j’ai 51 ans et jamais, dans mes désirs les plus fous, je n’osais imaginer ce qui est arrivé entre nous. Cependant, j’ai lu dans votre regard, depuis votre arrivée ici, que je ne vous laissais pas indifférent. »
  • « Oui, oui, mais coucher avec une dame qui pourrait être ma mère, quand même, c’est contraire à la nature. »
  • « Oh ! Arrêtez de me sortir vos principes à deux euros ! Vous en aviez envie, alors nous l’avons fait, un point c’est tout ! », lâcha Louisa, un peu excédée.

Son gendre ne dit rien. Tous les deux quittèrent la plage pour remonter vers la maison familiale. A pas de velours, Franck regagna leur chambre, où Enora devait dormir. Il prit une douche et se glissa délicatement dans les draps. Une main toucha son épaule, il sursauta.

  • « Ça va, mon chéri ? »

Enora ne dormait pas.

  • « Oui, je suis fatigué … », dit-il.
  • « C’est marrant de prendre une douche si tard. », constata son amie.

Franck réfléchit à ce qu’il devait répondre.

  • « J’ai pris un bain de minuit pour rafraîchir mes esprits, car je pense que j’ai abusé du vin blanc. »
  • « Ah ? Et ma mère t’accompagnait ? »

Un ange passa … 

  • « Euh oui, mais il faisait sombre, elle ne m’a pas vu nu. En fait, elle a détourné son regard lorsque je me suis déshabillé. », dit-il d’une petite voix mal assurée.
  • « Tiens donc, ça m’étonne, maman n’est pas si prude que ça. Enfin, on en reparlera au petit-déjeuner. Bonne nuit, mon chéri. »
  • « Bonne nuit, ma belle. »

Franck passa une mauvaise nuit. Il devait absolument parler à Louisa demain matin, avant qu’Enora ne pose trop de questions à sa mère.

Allongée dans son lit, Louisa souriait toute seule. Quelle superbe soirée elle avait passée ! Elle se remémora l’épisode sur la plage avec son gendre. Quel bel homme, se dit-elle, en s’endormant en chien de fusil, une main entre ses cuisses.

Un petit rai de lumière filtrait à travers les volets. Il glissait sur le plancher, remontait vers le lit, puis vers le visage de Franc qui se réveilla. Il avait somnolé quelques heures sans vraiment sombrer dans le sommeil. La bouche pâteuse, il se leva et se traîna vers la salle de bain. Le miroir au-dessus du lavabo lui renvoya l’image d’un trentenaire aux yeux globuleux, les cheveux hirsutes, la mine déconfite et pâle. Il était 6h30, heure matinale qui lui convenait. Il se dépêcha de vaquer à sa toilette, pour pouvoir discuter avec Louisa seul à seule.

La maison était silencieuse. Franck rejoignit la cuisine et se fit un double expresso bien serré sans sucre. Il gagna la terrasse et s’assit dans un fauteuil, en allumant une cigarette. La caféine lui fouetta le sang, la nicotine elle, apaisa ses pensées.

  • « Bonjour mon cher. »

Il se retourna et vit Louisa en peignoir, son chignon défait, ses blonds cheveux tombaient en cascade sur ses épaules. Elle portait des mules horribles surmontées d’une coccinelle, kitsch à souhait. Aux yeux de Franck, cette dame perdait toute sa grâce, ainsi fagotée. Mais il se dit qu’au saut du lit, personne ne pouvait faire mieux.

  • « Bonjour Louisa, bien dormi ? »
  • « Oui, très bien, j’ai passé une nuit de rêve. »

Franck se racla la gorge, tira une bouffée sur sa cigarette et se lança en disant :

  • « Ecoutez Louisa, l’épisode de la nuit dernière doit rester entre nous. Enora ne dormait pas hier soir, lorsque je me suis couché. Je lui ai dit que j’avais pris un bain de minuit, en ajoutant que vous ne m’aviez pas vu nu, car vous aviez détourné votre regard. Il faut absolument que vous lui confirmiez cette version des faits si Enora vous questionne. »
  • « Mais mon petit Franck, vous semblez apeuré ? Ne soyez pas inquiet, votre belle-mère préférée saura gérer la situation sans porter préjudice à votre couple. Cependant, mon cher, ma fille a dû être surprise par vos propos, car je suis naturiste et je ne détourne pas les yeux devant la nudité. »

Un ange passa … Franck se maudit d’avoir lâché cette phrase.

  • « Allez Franck, je lui dirai en rigolant que je n’ai rien vu, puisqu’il faisait nuit noire. Bon, allons préparer le petit-déjeuner, voulez-vous ? Je meurs de faim ! », lança Louisa en lui prenant le bras.

Devant la table de la cuisine qui avait vu les ébats d’Enora et de Franck, Louisa s’affairait à préparer le café et une salade de fruits. Franck la regardait faire. Il accentua son regard sur cette femme-sorcière qui lui avait procuré un plaisir jamais éprouvé avec aucune autre.

Louisa ressemblait à ces vieilles dames qu’on remarquait sur la Côte d’Azur, une rombière bourrée de fric. Elle savait qu’il l’observait, elle se doutait de ce qu’il pensait.

  • « Vous pensez que je suis une sorcière, vieille et défraîchie, n’est-ce pas Franck ? »

Son gendre rougit d’être ainsi découvert. 

  • « Louisa, vous êtes une femme exquise, une mère admirable, mais je m’interroge sur les pulsions qui m’ont jeté dans vos bras, c’est tout. »
  • « Et vous regrettez ? »
  • « Oui … Enfin, je ne sais plus où j’en suis, voilà. »
  • « Ecoutez-moi, Franck, vous êtes un garçon charmant dont ma fille est amoureuse. J’ai succombé à votre charme, comme vous avez succombé au mien, et je vous mentirais si je vous disais que là, maintenant, j’ai envie de tout stopper. Vous me traitez de sorcière, ok, je veux bien, mais vous aussi vous êtes un homme envoûtant, et une femme telle que moi ne peut que défaillir à votre contact. »

Franck ne sut que répondre, il restait là les bras ballant devant Louisa. Elle s’essuya les mains, se rapprocha de son gendre. Ils étaient face à face. Franck était tétanisé, il ne pouvait plus bouger, ou ne voulait pas réagir, il ne savait plus. Son cœur battait la chamade. Il craignait sa belle-mère mais une petite voix lui soufflait que cette dernière voulait encore abuser de lui. Cette pensée, aussi furtive fut-elle, lui provoqua instantanément une érection douloureuse qu’il ne put masquer à la vue de Louisa.

Cette dernière ne pipa mot. Elle s’agenouilla devant son gendre. Franck voyait les doigts de sa belle-mère déboutonner un à un les boutons de son pantalon. Elle laissa celui-ci tomber aux pieds de son gendre. Ses deux mains baissèrent le caleçon. Le souffle chaud de Louisa s’abattit sur le bas-ventre de Franck. Elle prit ses blonds cheveux longs et entreprit de caresser ainsi la verge dressée devant elle, en veillant à ne pas la toucher avec ses doigts. Ce contact soyeux provoqua un gémissement de Franck.

  • « Ouhhhh Louisa, que c’est bon … »

Sa diabolique belle-mère, agenouillée à ses pieds, le regardait par en-dessous, elle se léchait les lèvres, prête à offrir à son gendre chéri une fellation digne d’une Bretonne dans la cinquantaine.

  • « Qu’elle est belle, Franck, cette bite dressée pour moi … C’est votre désir qui s’exprime, votre envie de goûter à ma bouche, n’est-ce pas ? »

Franck sombra à nouveau dans cette folie de luxure qui l’avait animé la nuit dernière.

  • « Louisaaaaaaa, oui, sucez-moi, s’il vous plaît, buvez ma semence chaude, je n’en peux plus, allez-y ! »

Il n’en fallait pas davantage à sa belle-maman pour débuter sa caresse. Elle admira d’abord la finesse du gland violacé. Le fait que Franck soit circoncis donnait encore plus de beauté et de cachet à ce membre. Ensuite son regard se posa sur le tronc gros et long, où la fine peau laissait transparaître des veines bleues tendues à l’extrême. Plus bas, les lourdes couilles se balançaient devant ses yeux.

Louisa était excitée comme une pucelle, elle sentait la moiteur envahir son ventre, le feu grégeois se rallumait. Elle soupira en engloutissant le gland de Franck. Son gendre se vit disparaître dans la bouche aux commissures de lèvres ridées. La bouche était chaude et accueillante. Il sentait la langue jouer avec lui. Il s’agrippa à la table de la cuisine pour ne pas tomber à terre, car la blonde chevelure avait commencé à aller et venir.

Louisa l’engloutissait au fond de sa gorge. Il se demandait comment elle faisait pour ne pas hoqueter. Ses poils pubiens chatouillaient les narines de sa belle-mère, il ferma les yeux et disparut dans une autre dimension. La cuisine était toujours silencieuse, Enora devait dormir profondément. Seuls des râles et des bruits de succion remplissaient l’atmosphère.

Le soleil continuait à se lever. On entendait au loin le bruit des vagues s’écraser sur la plage, et dans une maison bretonne, une belle-mère était en train de pomper allègrement son gendre, agenouillée en peignoir aux pieds de celui-ci.

Soudain un cri ! Un long gémissement, presque inhumain, comme on devait en entendre en enfer. Puis plus rien pendant de longs instants …

 

oooOooo

Le silence encore et toujours … Louisa avait été aspergée par les torrents de foutre de Franck, elle était assise par terre, adossée au mur de la cuisine. Son peignoir était dénoué, laissant voir sa généreuse poitrine dépasser de sa nuisette. Le sperme imprégnait sa chevelure blonde, de grosses taches maculaient également son peignoir, mais elle avait réussi à en avaler la majeure partie. Elle souriait béatement, ravie d’avoir bu le nectar d’amour de son gendre et évidemment heureuse de l’orgasme gigantesque qu’elle avait provoqué. Elle avait joui toute seule, sans se toucher, juste en suçant Franck, agenouillée devant lui dans la cuisine. Elle se dit que ce petit déjeuner fut fabuleusement jouissif. La prochaine fois elle se promit qu’elle aimerait bien le faire hurler entre ses seins majestueux.

  • « Vous devriez vous refaire une beauté avant l’arrivée de votre fille … », haleta Franck.

Louisa pris enfin conscience de son état, elle se leva rapidement et s’en alla se débarbouiller. Franck, lui, essayait de reprendre ses esprits. Il revenait de l’enfer, il en était maintenant certain. Cette femme l’avait envoûté, il se demandait comment il allait gérer cette situation entre Enora et sa mère. Sa verge ramollie et gluante pendouillait entre ses jambes, il se mit en devoir de se nettoyer si d’aventure Enora désirait y goûter. Les huit coups sonnèrent à la pendule du salon.

Le soleil brillait de mille feux dans un ciel azur. Franck se promenait sur la plage, seul pour faire le point avec lui-même, fumant cigarette sur cigarette. Au loin, au port du village, les pêcheurs vendaient les poissons et crustacés péchés la nuit passée. Il se dit que la vie était vraiment belle, mais surtout mal faite.

Louisa se doucha longuement, elle savourait les souvenirs des moments passés avec son gendre. Elle se rappelait le parfum de son sperme qu’elle avait bu goulûment, cette semence chaude et grasse au goût légèrement iodé. Elle se sentait également très femme capable de séduire un gamin de 30 ans, et cela l’excitait divinement. Elle se dit aussi qu’elle devait absolument rassurer ce garçon, car sinon ils couraient tous les trois à la catastrophe.

En arrivant à la cuisine Louisa vit sur la terrasse que sa fille et Franck s’embrassaient tendrement ; quel beau couple ils formaient ainsi. Une légère pointe de jalousie lui traversa l’esprit, mais elle la chassa aussitôt.

  • « Bonjour les enfants ! », annonça Louisa
  • « Bonjour maman ! », dit Enora en l’embrassant sur les joues.

Franck en fit de même.

  • « Tu ne trouves pas, maman, que Franck a une mine de déterré ce matin ? », demanda sa fille.
  • « Mais non, ou alors ce sont les abus d’alcool de la veille. », répondit Louisa.

Franck confirma effectivement avoir trop bu et que la promenade au marché ce matin allait lui remettre l’estomac en place. Le petit déjeuner se déroula sans encombre et fut vite avalé. Louisa laissa les jeunes partir au marché, d’autant plus que sa femme de ménage n’allait pas tarder.

Enora et Franck passèrent la matinée à flâner sur le port. Ils achetèrent un peu de poisson et des légumes. Plusieurs personnes s’arrêtèrent pour les saluer et discuter avec eux, surtout avec Enora qui connaissait presque tous les habitants du village. Vers midi ils s’installèrent au comptoir du seul café existant pour prendre un verre. Evidemment toute la faune locale s’y retrouvait en ce jour de marché. Les discussions allaient bon train. Accoudé au bar, Franck laissait vagabonder son regard. Des mères de familles et leur marmaille, des vieux messieurs, le mégot collé au bec, un vieux beau avec son écharpe de soie et stetson, de jeunes garçons et filles, des pêcheurs et des ouvriers, constituaient une palette représentative des habitants. Le café était bruyant, ça courait dans tous les sens.

Au bout de deux verres de vin, Franck se sentit mieux et revigoré, mais l’heure tournait, il fallait retourner à la propriété. Sur le chemin du retour, Franck fit part à Enora du bon moment qu’il avait passé à découvrir le port de pêche et ses habitants, excellente matinée aussi pour Enora qui avait revu ses amis et connaissances.

  • « Tu sais j’ai parlé à Marie la fille de notre aide-ménagère, et on s’est dit que nous pourrions prévoir une petite soirée avec les personnes avec qui j’ai conservé des liens très forts, qu’en penses-tu mon chéri ? »
  • « Cela est une excellente idée, ainsi je pourrai connaître un peu mieux tes amis. », répondit Franck.

Mais dans son esprit, il se dit que moins il verrait Louisa, mieux il se porterait … Ce mois de juillet était un des plus chaud, la température oscillait constamment vers les 30° à l’ombre. Heureusement que la brise du large donnait un semblant de fraîcheur. Cette douce vie convenait parfaitement aux deux amoureux.

Le déjeuner fut très calme pour Franck, Louisa n’engagea aucune approche à son égard. L’après-midi, Enora et son amant se retrouvèrent à la plage privée de la propriété. Ils se prélassaient tous les deux au soleil, tels des lézards.

Franck admirait son amie qui ne portait qu’un léger string de bain. Ses fesses rondes callipyges, ses cuisses musclées, sa peau bronzée, ses seins lourds mais fermes, son ventre plat, ses hanches de déesse, sa blonde et soyeuse chevelure … Enora remarqua le manège visuel de Franck.

  • « J’ai l’impression que tes yeux me marquent au fer rouge, mon chéri. », lança-t-elle.

Elle était allongée sur son drap de bain, Franck se rapprocha d’elle, leur lèvres se touchèrent pour se donner un fougueux baiser. La plage était déserte, une douce brise caressait leur corps surchauffé par le soleil.

Franck quitta cette vorace bouche. Ses lèvres descendirent progressivement entre le sillon de la poitrine d’Enora, puis sa langue titilla les bouts durcis couleur caramel. Ensuite Enora senti la bouche de son amant continuer son chemin vers son mont de Vénus. Franck ôta délicatement le string, il se coucha entre les cuisses écartées de son amie. Il dégagea le bourgeon dressé, admira les roses lèvres gonflées de désir, il huma ce parfum marin.

La bouche de Franck était maintenant soudée au centre du plaisir d’Enora, sa langue pénétrait profondément en elle en dansant une sarabande endiablée. Enora gémit, une exquise chaleur embrasait tout son être, elle s’abandonna à la caresse buccale de son ami.

Les doigts de Franck carrèrent les cuisses, le ventre doux. Sa bouche aspira le pistil ce qui provoqua un râle interminable à Enora. Elle n’en pouvait plus, elle désirait que Franck la prenne là, immédiatement, avec force, mais Franck n’en avait cure, il continuait inlassablement sa caresse.

Enora le suppliait de venir la couvrir, son ventre se crispait, ses mains griffèrent la sable, elle n’en pouvait plus, elle voulait qu’il soit en elle, que son pieu la pénètre profondément. Plusieurs vagues de plaisir la submergèrent, elle cria et supplia. Son ventre brûlait d’un feu qui se répandait dans tout son corps. Elle hurla à nouveau encore et encore.

Franck prit un malin plaisir à continuer ainsi. Sa bouche, ses joues, son nez, étaient humides du nectar d’amour d’Enora. Il aimait prodiguer cette caresse, il adorait écouter le chant du désir de son amie, il ne se lassait pas d’embrasser cette fine toison.

  • « Viens mon amour, je te veux, viens vite … », supplia encore Enora.

Franck se redressa. Enora le vit beau et majestueux, agenouillé entre ses cuisses tenant sa queue érigée entre ses mains. Elle voyait ce dard gonflé de désir pour elle, son gland violacé. Cette vision lui arracha un autre râle. Mais Franck toujours agenouillé, frottait simplement son gland à l’orée du puits d’amour mielleux, en le faisant pénétrer, puis en le retirant. Ce contact, cet attouchement délicieusement agaçant excita encore davantage Enora qui maintenant cria sa frustration.

Franck sentait que le moment était arrivé, il se coucha sur son amante et la pénétra d’un seul coup jusqu’à la garde.

  • « Putain !!!! Ouiiiiiiiiiiiiiiiii ! », hurla Enora, après une si longue attente.

Elle se sentait remplie, pénétrée entièrement. Elle jouit ainsi à plusieurs reprises abandonnée aux va-et-vient surpuissants de son amant. Ils se regardaient tous les deux, les yeux dans les yeux, en ahanant. Puis une autre vague de bonheur emporta Enora qui ferma ses paupières en se mordillant la lèvre inférieure. Franck lui continuait inlassablement, il voulait que ces instants durent une éternité car la jouissance qu’il donnait à Enora faisait vibrer son âme.

A l’ombre d’un olivier, Louisa les observait depuis le début. Elle avait ôté sa culotte et elle avait introduit deux doigts en elle qu’elle faisait coulisser en imaginant le pieu de son gendre qui la prenait.

La jouissance, également à plusieurs reprises, l’entraîna vers la nirvâna. Elle entendait sa fille gémir de bonheur, elle la voyait se tortiller sous Franck. Louisa admira la bite puissante qui entrait et sortait du ventre de sa fille. Cette vision lui arracha à nouveau un orgasme.

Louisa redressa la tête juste à temps pour voir les deux amants jouir ensemble dans un tourbillon de cris et de gémissements. Elle vit le visage de sa fille se crisper, sa bouche ouverte, les lèvres retroussées comme si elle criait de douleur, elle la vit s’arc-bouter avant qu’elle ne lâche un grognement de lionne à l’apogée du plaisir.

Franck la vit aussi ainsi, et cela provoqua le déferlement de lave en fusion dans le ventre de son amie. Il avait le sentiment de se vider interminablement, l’impression que son orgasme n’allait jamais s’arrêter. Lui, rugit à son tour et éjacula longuement.

 

A suivre : La morsure d'une cougar - Part 2

Par decadent - Publié dans : RECITS
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Comme son nom l'indique c'est un petit règlement de compte personnel. Enfin, pour être franche c'est surtoit moi (Roxanne) qui tenait à ce que cette rubrique soit présente. Eh ouais, même si je ne suis pas la principale concernée (quoique j'ai bien mangé quand même), j'ai la rancune plus que tenace.

Petit-reglement-de-compte-entre-ami-e-s-copie-1.jpg

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ERRATUM

Petite précision qui a son importance concerant la rubrique "Petit règlement de compte entre ami(e)s"... Pour ne pas qu'il y ait de malencontreuses coïncidences, les prénoms des protagonistes ont été changés. Par exemple, le compagnon de la protagoniste principale suce nommée (oui je sais ça ne s'écrit pas comme ça mais ça me fait rire), ou pour être plus précise le "plouc", ne se prénomme pas Laurent et n'habite pas Chaussy dans le Val d'Oise. En tous cas selon les informations fournies par la CAF.


A moins que... Noooooon !!! Des gens si honnêtes et si vertueux que ça ce n'est pas possible ! J'ai vraiment l'esprit mal tourné ! Après, par souci de clarification, si cela pose problème, on peut toujours aller leur demander de procéder à une vérification des pièces justufucatives fournies ? Non ?  

Ce point éclaircie, je vous souhaite une bonne lecture... "Amicalement", Roxanne ou chérie coquine.

Nous

Couple libertin de région parisienne, vous aurez vite compris que le sexe tient une place primordiale dans notre vie. Pour le reste nos adorons le rock, les Harley, les voyages et plein d'autres choses dont vous vous foutez royalement. Non ? Bandes de menteurs !

 

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Dans le cas contraire, on vous souhaite une bonne visite et surtout : NE SOYEZ PAS SAGES !!!

 

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