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Bienvenue dans la famille
Ecrit par Bernard
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Après avoir quitté l’appartement, chacun retourne à ses activités. Roxanne à ses cours et Bernard à son bureau. Visiblement, Marc a déjà répandu la nouvelle, et celle-ci a dû se propager à la vitesse grand V. Toutes ses copines, et même d’autres, lui demandent si c’est bien vrai. On ne peut pas dire qu’elle se retrouve isolée durant ses intercours et son heure de repas. Cela l’agace quelque peu. Ce n’est qu’après le dernier cours que, dans un café avec ses deux meilleures amies, elle se laisse aller à être plus diserte. Elle confirme, en faisant une description de Bernard, qu’elle s’efforce de ne pas être trop hagiographique ; d’ailleurs, ce n’est pas un saint : sa chatte et son cul peuvent en témoigner.
Le reste de la semaine se passe au mieux, surtout une fois la chambre à coucher rejointe. Mais le samedi, petite déception pour Roxanne, Bernard doit aller à son bureau pour finir du travail en retard. Qu’à cela ne tienne, elle-même étudiera tranquillement à la maison ; il faut bien avouer qu’elle a un peu pris de retard dans son travail, ses soirées étant nettement moins studieuses ces derniers temps.
L’après-midi tire à sa fin ; Bernard est assez satisfait car il a bien avancé. Il pense alors à réactiver son portable, qu’il avait mis en mode silencieux pour travailler plus tranquillement. S’affiche alors un message de Servane : elle doit annoncer son départ des États-Unis pour la Nouvelle-Zélande. Si Servane annonce bien qu’elle quitte l’Amérique pour l’Océanie, elle avise aussi qu’elle transite par la France. Elle a débarqué à Roissy et vient le retrouver chez lui. Elle ajoute qu’elle n’a pas prévenu sa mère, qui garde son fils, qu’elle passait par Paris, afin de pouvoir passer tout son temps entre les deux avions avec lui. Il est abasourdi, puis il réalise que chez lui, il y a Roxanne. Il se maudit de ne pas avoir annoncé à Servane la fin de leur relation. Ce n’est pas parce que c’est ce qu’elle avait fait quand elle avait épousé son Américain qu’il doit faire de même, mais il voulait le faire de vive voix et pas par téléphone. Maintenant, il le regrette. Il la rappelle, mais il tombe sur la messagerie. Il laisse un message. Il complète par un SMS, mais n’est nullement sûr qu’elle écoute le premier ou lise le second.
Il lui faut intercepter Servane avant qu’elle n’arrive à sa porte. Il laisse en plan ce qu’il est en train de faire et part séance tenante vers son domicile. Durant le trajet, toutes ses tentatives pour la contacter sont infructueuses. Toujours le répondeur. Elle doit être scotchée avec sa boîte. Arrivant à son immeuble, il se maudit de ne pas avoir pensé à téléphoner à Roxanne pour l’avertir.
Peu auparavant, Servane met fin à la communication avec son entreprise ; elle voit que Bernard a essayé de la contacter, mais comme elle est déjà devant sa porte, elle ne juge pas utile de lire ou d’écouter les messages. Elle sonne et déboutonne son manteau.
À l’intérieur, Roxanne, après avoir potassé ses cours une partie de l’après-midi, s’était décidée à s’adonner à quelques tâches ménagères, trouvant que Bernard et sa femme de ménage n’étaient pas des plus doués pour traquer la poussière. C’est donc tablier sur le dos et chiffon en main qu’elle vient ouvrir. Toutes deux sont surprises de se trouver face à face, chacune s’attendant à voir Bernard. Servane est la première à se ressaisir. Elle entre d’un pas assuré en demandant :
Roxanne ne s’oppose pas à l’intrusion. Il faut dire qu’elle n’est toujours pas revenue de son étonnement de se trouver en face de cette jeune femme dont le manteau entrouvert lui laisse entrevoir qu’hormis celui-ci et les chaussures, elle ne porte rien d’autre. Servane, en sortant de l’avion, est passée par les toilettes pour se déshabiller entièrement et ne se vêtir que d’une ample capote de style militaire. Elle a laissé ses bagages à la consigne pour sauter dans le taxi qui l’a directement conduite ici. Durant tout le trajet, la toile rugueuse du vêtement a agacé la pointe de ses seins, ce qui contribue largement à la chaleur qui l’habite, et celle-ci ne l’incite pas à la patience. Aussi est-ce d’une voix peu amène qu’elle insiste :
Il faut dire à sa décharge qu’ayant oublié sa tenue allégée, elle ne peut se rendre compte que celle-ci puisse troubler sa vis-à-vis et la laisser atone. La sécheresse du ton fait sortir Roxanne de sa torpeur.
Servane veut bien convenir qu’elle a agi de manière un peu cavalière.
En entendant ce nom, cela fait tilt dans la tête de Roxanne. Elle se rappelle que Bernard l’avait mentionné le jour de la visite à la tante Antoinette. Visiblement, après son divorce d’avec l’Américain, et malgré le mariage avorté, elle a renoué des relations avec Bernard ; et à voir la tenue de la dame, pas seulement pour prendre le thé. Aiguillonnée par la jalousie, Roxanne décide de mettre les choses au point. Mais elle va prendre son temps et profiter de la méprise de Servane, qui la prend pour la bonne, pour s’amuser un peu. Elle essaie de se mettre dans la peau du personnage.
Et, après être passée derrière, elle ajoute :
Sans attendre le consentement de Servane, ni même lui laisser le temps de réagir, Roxanne lui retire en force son manteau, laissant son interlocutrice à la fois nue et interloquée. Pas mécontente d’avoir ainsi mis sa vis-à-vis en position d’infériorité, elle poursuit comme si tout était normal :
Sur ce, elle va accrocher le manteau dans le dressing. Servane met quelques instants avant de retrouver ses esprits et d’aller à la suite de Roxanne pour récupérer son bien. Celle-ci la repousse en lui disant :
Elle entraîne Servane dans la pièce avant d’ajouter :
Sans attendre de réponse, elle s’éclipse. Servane, revenue de ses surprises, trouve la conduite de cette femme de ménage tellement inattendue et décalée que cela en est presque divertissant. Elle est plus amusée qu’irritée. Cette fille doit avoir pour principe de ne s’étonner de rien de ce qui se passe chez ses patrons. Aussi est-ce sans appréhension qu’elle attend son retour pour voir la suite des événements. Elle pense alors à son téléphone et aux messages probablement laissés par Bernard. Elle se rend au dressing pour le récupérer mais ne peut l’ouvrir puisqu’il est fermé à clé. Elle revient dans le salon en même temps que Roxanne, chargé de jus de fruits et de glaçons. Elle va pour lui demander de récupérer son téléphone, mais Roxanne ne lui en laisse pas le temps, prenant la parole la première :
Toujours amusée par le côté complètement surréaliste que prend la discussion, Servane répond, s’étonnant elle-même de se mettre à disserter de sa vie intime avec cette femme de ménage inconnue :
Elle n’est pas la seule à être étonnée, Roxanne l’est aussi par le côté presque mondain de la conversation. Elle s’attendait à plus de réactions de la part de son interlocutrice ou à une réaction différente ; enfin, à autre chose.
Servane met plusieurs secondes à réaliser que cette fille vient de lui dire en termes à peine voilés qu’elle baise avec son patron, et qu’en plus du ménage elle assure aussi un service cul. Quelque jalousie la titille, mais elle doit bien s’avouer qu’après tout, Bernard et elle ne sont pas mariés ; et que pour cela, elle ne doit s’en prendre qu’à elle-même. Et qu’aujourd’hui encore, pendant ses déplacements, elle ne dit pas non à des petits extras quand l’occasion se présente. Pourquoi ne lui est-il jamais venu à l’idée que Bernard puisse faire de même ? Son interlocutrice ne répondant pas, Roxanne insiste :
La question fait revenir Servane sur terre :
En parlant, Roxanne se rend compte qu’à quelques détails près, c’est la vérité.
Servane est littéralement stupéfiée ; et Roxanne, qui s’en rend compte, jubile alors qu’elle se prépare à l’estocade.
Avant de répondre, Roxanne retire son tablier comme pour se dépouiller du rôle de la femme de ménage et apparaître dans la robe rouge qu’elle avait achetée le matin même pour faire une surprise à Bernard. Servane peut alors constater que son interlocutrice, tout comme elle, avait l’intention d’accueillir celui-ci avec le minimum de vêtements, puisque visiblement cette robe rouge fort moulante et vraiment très mini est le seul qu’elle porte.
En entendant ça, Servane saute sur ses pieds en sifflant :
Le ton de la discussion ainsi engagée monte rapidement. Elles sont comme deux chiennes se disputant un os, en montrant les crocs. Puis les noms d’oiseaux volent ; ce qui serait normal pour des oiseaux l’est beaucoup moins pour leurs noms. Puis, lasses de montrer les crocs, elles décident de s’en servir. C’est Servane qui mord la première. Elle attrape la robe de Roxanne et tire de toutes ses forces. Boutons et boutonnières déclarent forfait et la belle robe neuve devient un chiffon informe ; et tout comme un taureau voyant un tissu rouge, Roxanne charge un peu imprudemment, car Servane se doutait que Roxanne n’allait pas subir sans réagir. Aussi l’accueille-t-elle d’une paire de claques, laissant la trace de sa main sur les joues de Roxanne, qui sous l’impact recule.
À partir de là, c’est la mêlée. Heureusement, tous les coups n’atteignent pas leur but. Toutefois, Roxanne réussit à placer une claque qui n’a rien à envier à celles qu’elle a reçues, et trois ou quatre autres de moindre ampleur. Par deux fois elle s’empare du sein gauche de son adversaire pour le pincer et le tordre méchamment. De son côté, Servane réussit quelques petites claques, mais qui font pâle figure à côté de celles qui ont ouvert le bal, et parvient elle aussi à martyriser un des seins de Roxanne. Le match est équilibré. Le temps semble se suspendre quand chacune arrive à se saisir d’un sein de l’autre ; chacune s’applique à lui faire subir des traitements peu convenables pour faire craquer l’autre, préférant malmener celui d’en face que de protéger le sien. Mais toutes deux finissent par lâcher prise en même temps pour trouver un second souffle.
À la reprise des hostilités, Servane prend l’avantage en parvenant à agripper la chatte de Roxanne et à la presser telle un citron, deux de ses doigts y entrant même. Roxanne en est tétanisée quelques secondes. Servane voit son triomphe approcher, mais Roxanne se reprend et profite de ses deux mains libres pour agripper le poignet libre de Servane et parvient à faire une clé au bras de son adversaire. Elle est maintenant dans son dos et hors d’atteinte. Elle assure sa prise et augmente la tension. Servane ne peut rien ; elle sent ses articulations protester, et plus elle se débat, plus cela risque de se déboîter quelque part. Aussi cesse-t-elle. Voyant cela, Roxanne savoure sa victoire sur cette chienne en chaleur. Comme elle pense cela, un petit diablotin lui souffle une idée. Elle ordonne :
Servane n’obtempérant pas assez vite à son goût, elle accentue un peu la pression et Servane ne résiste pas davantage. Elle lui fait empiler les trois grands coussins du canapé et se mettre à plat-ventre dessus. Elle ordonne à nouveau à Servane :
Celle-ci tardant, nouvelle pression et nouvelle capitulation.
Là-dessus, elle attire du pied la table basse. C’est le bac à glace qu’elle vise, un bac plein de glaçons … En plastique. Elle se sert du poids de son corps pour remplacer la main qu’elle est obligée d’utiliser pour arriver à ses fins. Elle prend un glaçon et l’introduit dans la chatte de Servane. Celle-ci, qui ne pouvait pas voir le coup venir, se cabre vainement.
Elle prend un second glaçon qui prend le chemin du premier, puis un troisième, un quatrième ; certains sont de simples boules, d’autres ont une forme de fruits tel le citron, la poire, la pomme, l’orange ou encore l’ananas. Roxanne continue jusqu’à ce qu’elle ne puisse plus rien faire entrer. Combien en a-t-elle enfilés ? Plus de quinze ; peut-être même plus de vingt. Elle a oublié de compter et il en reste encore.
Servane obéit.
Elle prend un nouveau glaçon, le présente au trou inoccupé et l’enfonce fermement. Pour le premier, elle en a choisi un cylindrique pour faciliter l’opération. Manifestement, le passage, bien que secret, n’est pas inexploré. De plus, elle n’est pas la seule à avoir choisi de faciliter l’opération. Servane aussi y met du sien, optant pour la coopération plutôt que pour une résistance à l’efficacité douteuse et certainement in fine inutile ; tout ce qu’elle réussirait à y gagner, c’est se faire déboîter l’épaule ou se faire déchirer l’anus. Tiens ! Elle ne connaît même pas son nom. Enfin, la fille ne fait pas ça sauvagement. Comme Roxanne lui introduit un deuxième glaçon, trois de sa chatte en profitent pour se sauver. Illico, ils sont remis à leur place. Après avoir enfilé un nouveau glaçon dans le petit trou, Roxanne vérifie ceux du sexe. Le traitement finit par éveiller les sens de Servane ; elle tente de résister à la montée du désir, elle ne veut pas laisser voir une telle faiblesse à son adversaire. Mais sa chair ne l’entend pas ainsi, trouvant que, finalement, il y a pire sort que de se faire remplir la chatte et le cul, même par des glaçons. Aussi est-ce à son corps défendant que ses reins s’animent. Roxanne ne s’en aperçoit pas immédiatement, à cent lieues de penser que cela puisse survenir. Quand elle finit par se rendre compte du changement, elle n’en revient pas. Incrédule, elle décide de vérifier si elle ne se fait pas des idées. Après avoir poussé un nouveau glaçon dans le cul, elle retourne au sexe ; mais au lieu de simplement vérifier que rien ne tente de s’en échapper, elle insiste, frictionnant l’endroit, allant chercher le petit bouton, d’ailleurs pas si petit que ça. Là, Servane est secouée d’un frisson, et elle va au-devant de sa main. Plus aucun doute n’est permis.
Après un moment de perplexité, Roxanne décide de voir jusqu’où cette Servane peut aller. Elle a indubitablement un tempérament de feu, parce que commencer à prendre son pied en de telles circonstances, faut le faire ! Elle se met à l’œuvre et poursuit son titillement de clito avec un résultat certain. L’autre, en dessous, se tortille ; mais nullement pour se dégager, pas plus qu’elle ne cherche à serrer les jambes. Son halètement n’est pas dû à la clé au bras, qui d’ailleurs a été inconsciemment desserrée. Roxanne finit par trouver gênant ce qui occupe le sexe. Elle décide donc de retirer ce qu’elle y a introduit. Les premiers glaçons viennent sans difficulté ; après, ça devient plus compliqué, car ils sont beaucoup plus profonds. Cela ne décourage pas la jeune fille qui n’hésite pas à enfoncer profondément deux doigts pour les chercher, mais ceux-ci se révèlent un peu courts pour capturer les deniers récalcitrants. C’est donc quatre doigts que Roxanne va utiliser. Ainsi sollicitée, la chatte maintenant bien lubrifiée éclot et reçoit les intrus. Un à un, les glaçons, plus tellement glacés, sont sortis, et à chaque nouvelle quête la pénétration est plus profonde. Pour extraire le dernier, c’est la main entière qui disparaît jusqu’au poignet. Une fois cela fait, elle remet sa main au fond de la chatte béante. Ce petit jeu a mis Servane au supplice. Mais c’est un délicieux supplice qui lui fait voir des étoiles. Elle ne songe même pas à se dégager alors que la prise qui est censée l’immobiliser est devenue illusoire. La voyant à point, Roxanne retire sa main et dit d’une voix suave :
Servane, qui voyait poindre l’explosion, gémit :
Servane, oubliant toute fierté, supplie :
Roxanne, charitable malgré tout, replonge en pensant à sa mère qui, elle aussi, avait eu ce genre de discours le soir où elle avait surpris ses parents en action. Servane, maintenant lancée, continue, mais s’interrompt au milieu d’une phrase emportée par la jouissance. Elle râle et gémit en se tordant autour de ce poing fiché en elle.
C’est à ce moment que Bernard, fort inquiet d’entendre depuis l’entrée ces bruits peu rassurants, fait irruption dans la pièce. Voir le spectacle de ces deux filles nues, Roxanne vautrée sur Servane, la main disparaissant dans son sexe et cette dernière qui est en train de prendre son pied, le cloue sur place. Il en reste sans voix. Il s’attendait à tout sauf à ça. Roxanne, la première, s’aperçoit de sa présence, Servane étant encore trop sur un petit nuage pour ça. Elle s’écrie :
Elle se lève, extrayant par là même sa main de son abri ; fort peu délicatement, il faut l’avouer. Cette extirpation, plus que l’exclamation, fait sortir Servane de sa torpeur. Bernard, de son côté, revient de son ahurissement et demande, un peu égaré :
À cette question, les deux femmes se lancent chacune dans leur version des faits. En faisant la synthèse, il réussit à se faire une idée du déroulement des opérations.
Bernard se retient de sourire.
Avant de s’y rendre, Servane fait halte aux toilettes ; et quand Bernard a terminé de jouer les infirmiers, tout le monde se retrouve au salon où les explications commencent sans que ces dames ne songent d’ailleurs à se vêtir. Bernard confirme son intention d’épouser Roxanne ; il voulait l’annoncer à Servane de vive voix, pas au téléphone alors qu’elle est à l’autre bout du monde. Son retour subit et les ratés au téléphone en ont décidé autrement. Il est désolé. Bernard et Roxanne se rendent bien compte qu’à cette confirmation, Servane a toutes les peines du monde à empêcher que les larmes lui viennent aux yeux. Roxanne en a presque pitié, son animosité envolée. Se reprenant un peu, Servane prend la parole :
Il précise à l’intention de Roxanne :
Roxanne va le lui chercher. Au moment de l’enfiler, Servane demande si l’on peut lui prêter une robe car elle ne se voit pas arriver pour voir son fils dans la tenue qu’elle avait adoptée pour voir Bernard. Bonne fille, Roxanne lui en passe une.
Une fois Servane partie, Bernard reste un peu sonné. Roxanne s’en aperçoit et décide qu’il faut parler pour ne pas le laisser trop ruminer la nouvelle.
Elle le pousse vers le canapé et vient se blottir contre lui. Mais au moment de commencer, elle ne sait plus trop quoi dire, ni comment elle va s’y prendre.
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Le poids des mots, le choc des photos, l'impact des vidéos !
Pour faire encore plus simple, du sexe, encore du sexe, toujours du sexe et ce sous presque toutes ses formes.
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Notre journal... Celui d'un couple qui aime le sexe et qui l'assume pour une vie épanouie faite de plaisirs et de complicité sans faille.
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Un rubrique faite pour celles et ceux qui pensent que jouer (modestement) avec les mots peut être aussi excitant, voir plus, qu'une suite de photos ou de vidéos.
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Comme son nom l'indique c'est un petit règlement de compte personnel. Enfin, pour être franche c'est surtoit moi (Roxanne) qui tenait à ce que cette rubrique soit présente. Eh ouais, même si je ne suis pas la principale concernée (quoique j'ai bien mangé quand même), j'ai la rancune plus que tenace.
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ERRATUM
Petite précision qui a son importance concerant la rubrique "Petit règlement de compte entre ami(e)s"... Pour ne pas qu'il y ait de malencontreuses coïncidences, les prénoms des protagonistes ont été changés. Par exemple, le compagnon de la protagoniste principale suce nommée (oui je sais ça ne s'écrit pas comme ça mais ça me fait rire), ou pour être plus précise le "plouc", ne se prénomme pas Laurent et n'habite pas Chaussy dans le Val d'Oise. En tous cas selon les informations fournies par la CAF.
A moins que... Noooooon !!! Des gens si honnêtes et si vertueux que ça ce n'est pas possible ! J'ai vraiment l'esprit mal tourné ! Après, par souci de clarification, si cela pose problème, on peut toujours aller leur demander de procéder à une vérification des pièces justufucatives fournies ? Non ?
Ce point éclaircie, je vous souhaite une bonne lecture... "Amicalement", Roxanne ou chérie coquine.
Couple libertin de région parisienne, vous aurez vite compris que le sexe tient une place primordiale dans notre vie. Pour le reste nos adorons le rock, les Harley, les voyages et plein d'autres choses dont vous vous foutez royalement. Non ? Bandes de menteurs !
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Le libertinage et ses plaisirs n'ont de sens que lorsqu'ils sont vécus au sein d'un couple à la complicité sans faille ... Roxanne (29 ans) et Franck (42 ans), notre indéfectible amour ne nous empêche aucunement d'être des épicuriens convaincus et des adeptes assidus des plaisirs de la chair ... Le feeling, la complicité et la séduction tiennent une place importante dans notre recherche qui s'oriente vers des couples à la partie féminine bisexuelle ou vers des femmes elles aussi tentées ou pratiquant les plaisirs saphiques ... Nous ne ferons pas une liste des pratiques que nous acceptons ou nous refusons, mais n'hésitez à nous contacter afin d'en savoir plus. Cela sera peut-être le début d'une belle amitié et plus si affinité.
Si elle vous intéresse et vous correspond, n'hésitez pas à nous contacter à l'adresse suivante :
decadent.laboratory@outlook.com
Dans le cas contraire, on vous souhaite une bonne visite et surtout : NE SOYEZ PAS SAGES !!!
Roxanne & Franck
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