Mardi 7 juin 2 07 /06 /Juin 08:04

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Bienvenue dans la famille

Ecrit par Bernard

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Ce samedi matin, le réveil est difficile. La nuit a été courte. En se levant, Roxanne tique : quelque chose lui paraît curieux. Elle s’en occupera plus tard. Bernard et elle prennent le petit déjeuner avec la famille. Tandis que Bernard discute avec son père, elle rejoint Jade dans sa chambre pour lui demander :


  • « Comment ça se fait que la porte de séparation de nos chambres était mal fermée ? »


Jade se trouble et bafouille. Roxanne reprend :


  • « Hier soir, elle était bien fermée. Alors, que s’est-il passé ? Sois franche. »


Sa sœur pique un fard avant de murmurer :


 

  • « C’est-à-dire que … Euh … J’ai entendu du bruit et j’ai cru qu’il y avait quelque chose. »
  • « Et ? »
  • « Eh bien … La porte n’étant pas verrouillée, je l’ai entrebâillée pour voir si tout allait bien. »
  • « Et ? »
  • « Tout allait bien. »
  • « Et ? »
  • « Ben, j’ai un peu regardé. »
  • « Un peu … », ironise Roxanne.


Jade redresse la tête et, comme on se lance à l’eau, dit :


  • « Beaucoup. Le spectacle était de première, mieux qu’un porno. Vous voir, ça m’a mis la chatte en feu. Je me suis fait reluire un max à vous regarder. Mais là où ça m’a sciée, c’est quand tu t’es fait enculer. J’avais essayé avec Olivier, mais je n’avais pas pu. Et toi tu as plongé sa grosse pine dans ton cul et pris ton pied. C’est dommage que vous n’ayez pas pu vous voir, c’était fabuleux. »


Roxanne devrait se mettre en colère et engueuler sa sœur pour son indiscrétion, mais elle ne peut pas car l’admiration naïve de sa sœur l’amuse et la flatte. Elle préfère ironiser :


  • « C’est vrai que c’est dommage. J’aurais bien aimé, mais on ne peut pas être à la fois acteur et spectateur. »


Ajoutant in petto :


  • « C’est déjà bien assez qu’il y ait eu un spectateur, ou plutôt une spectatrice. »


Jade reste un moment silencieuse, rêveuse presque, avant de susurrer :


  • « Sauf si c’est filmé … »


Et d’ajouter :


  • « Je peux vous filmer ; papa a une caméra. Comme ça, tu pourras vous voir, et plusieurs fois même ; ça vaut le coup ! »


Roxanne croit rêver. Elle pensait être arrivée au bout des surprises avec sa sœur, mais est de nouveau estomaquée. Un refus indigné lui vient aux lèvres, doublé d’un sermon à sa sœur. Celle-ci fait le dos rond et laisse passer l’orage. Quand Roxanne est un peu calmée, Jade s’excuse platement, mais par petites touches, par insinuations, elle amène sa sœur à repenser à la nuit passée et aussi à celle, folle, dans un certain château et à leurs plaisirs. Lui insufflant certains regrets quant à la fugacité de ces moments. Une fois cette idée dans son esprit, insensiblement Roxanne commence à voir la chose de manière moins négative avant de finir par penser à la proposition de Jade avec une certaine excitation. Mais elle s’interroge quant aux réactions de Bernard par rapport à ce genre de plan. C’est alors qu’elle entend un grincement de parquet et, tournant la tête, en même temps que sa sœur, elle voit Bernard appuyé contre le chambranle de la porte, les regardant d’un air impassible. Il y a un moment de flottement chez les filles quand il lance, très pince-sans-rire :


  • « Alors, mademoiselle Jade, on s’inquiète pour sa sœur ou on a simplement l’esprit curieux ? »


La susdite demoiselle bredouille lamentablement :


  • « Je ne voulais pas, je ne l’ai pas fait exprès … »
  • « Eh bien, qu’est-ce que serait dans le cas contraire ! Tu serais venue dans le lit. »


Jade vire alors au rouge brique, se cache presque derrière sa sœur. Bernard enchaîne :


 

  • « À moins que tu ne manques quelque peu d’expérience en ce domaine et que tu aies trouvé bon de compléter ton instruction. Ça doit être ça. J’ai même cru comprendre que tu voulais te constituer un dossier audio-visuel, probablement pour réviser à loisir. C’est bien ; tu dois être une élève sérieuse qui prend à cœur ce qu’elle fait. Tu travailles bien au lycée, n’est-ce pas ? »
  • « Euh ! Ou … Oui. »
  • « Alors je me permets de te donner un conseil : tu ferais bien de laisser tomber l’étude conceptuelle et de passer aux travaux pratiques car, si la théorie c’est bien, dans certains cas sache que c’est insuffisant et qu’il faut passer à l’application. Je pense que cela se passera très bien. »


Plutôt amusée et peut-être pas mécontente de voir sa sœur dans l’embarras, Roxanne entre dans la danse à son tour :


  • « Le conseil est bon, mais Jade est déjà passée au stade des travaux pratiques. Elle a peut-être besoin de quelques compléments d’information ; ce n’est jamais inutile de s’instruire, mais hélas elle ne peut plus mettre en application ses nouvelles connaissances car elle a dû se séparer du condisciple avec qui elle étudiait le domaine, celui-ci ayant voulu compléter sa propre formation avec Judith. Alors tu comprends, l’expérimentation toute seule, ce n’est pas pareil. »


Jade pousse un « Roxanne » suppliant, mais celle-ci poursuit malgré tout :


  • « Elle doit penser que pour ne pas perdre, et peut-être même s’améliorer, elle doit potasser la partie théorique. »
  • « Alors, évidemment, dans ce cas-là … Mais je lui conseille vivement de trouver un autre expérimentateur, car le manque de pratique la perturbe. »


Voyant que Bernard prend la chose plutôt du bon côté, Roxanne se risque à suggérer :


  • « En attendant, pour l’équilibrer, on pourrait peut-être la laisser œuvrer avec la caméra de papa ; mais pas pour ses archives : pour les nôtres. »


Bernard regarde Roxanne un moment. Celui-ci paraît une éternité à cette dernière ; elle se demande si elle n’est pas allée trop loin, elle commence à avoir la gorge qui se noue quand il se décide enfin à parler :


  • « Cela te tente vraiment ? »


Roxanne pèse soigneusement ses mots, ne voulant pas faire une trop grosse boulette.


  • « Pour dire vrai, cela ne me serait pas venu à l’esprit ; mais en y pensant, je ne serais pas contre, d’autant que maintenant que Jade nous a déjà vus, ce n’est plus la même chose. Alors, pourquoi pas ? Et j’avoue que nous puissions nous voir m’excite quand même un peu. »
  • « Moi non plus, je n’y aurais pas songé ; mais si cela peut te faire plaisir … »


Il pense qu’avec un peu d’habileté, il réussira à faire passer ce projet à la trappe. Jade, qui voit l’horizon se dégager et son projet prendre bonne tournure, se sent toute ragaillardie et émoustillée ; elle lance :


 

  • « Si tout le monde est partant, je vais chercher le caméscope de papa. Comme ça, on pourra faire un premier tournage dès ce soir. »
  • « Un premier ? Dès ce soir ? Mais ce ne sera pas possible. Ce soir, je rentre chez moi. », dit Bernard, abasourdi, mais malgré tout amusé.
  • « Je peux me déplacer. En plus, ce sera mieux de faire ça chez toi parce qu’avec tout le monde qu’il y a la maison … »
  • « Nous pourrions avoir des spectateurs ! », la coupe Bernard. « Des oreilles et des yeux indiscrets. Je ne me sens pas faire des démonstrations publiques. »


L’interruption ne gêne nullement Jade, maintenant tout à fait à l’aise, et la tête à son projet :


  • « Papa et maman n’ont pas besoin de leçons sur le sujet, et mes frères et sœurs sont encore un peu jeunes pour l’aborder. »


Après un temps, elle ajoute sur le ton de la confidence :


 

  • « Sauf Judith, qui a déjà commencé à travailler la matière et qui se débrouille très bien. »
  • « Tiens … Elle s’est confiée à toi ? », s’étonne Roxanne, qui pensait être la seule à qui Judith avait fait des confidences.
  • « Euh … Pas tout à fait, à vrai dire. Un jour que je voulais chercher quelque chose dans une malle au grenier, Judith et Pierre … (Elle se tourne vers Bernard pour expliquer). Pierre et Judith se connaissent depuis le berceau : c’est le fils des voisins de la maison d’à côté, qui sont aussi des amis de papa et maman. Depuis toujours, ils sont inséparables. Ils se sont arrangés pour être toujours dans les mêmes classes ; ils partent à l’école ensemble, en reviennent ensemble, font leurs devoirs ensemble ; bref, ils font tout ensemble. Pendant les vacances, ça faisait de tels drames quand ils devaient se séparer que les parents ont très souvent emmené Pierre quand ce n’était pas Judith qui partait avec ceux de Pierre. Je disais donc, en arrivant au grenier, j’ai vu que Judith et Pierre avait squatté l’un des lits qui y sont stockés. Et ce n’était pas pour y jouer au Monopoly. Ils n’en étaient visiblement pas à leur coup d’essai … Je peux vous assurer qu’ils y mettaient de l’ardeur ! Heureusement, ils prennent leurs précautions et utilisent un préservatif, même si cette fois-là il n’y avait pas trop de risque. Ils ont fini en 69 et elle a tout avalé. »
  • « À eux aussi, leur as-tu proposé tes services de reporter ? », demande Bernard.
  • « Ben non ! Ils ne s’étaient pas aperçu que je les avais surpris. »
  • « On pourrait en conclure que tu es un peu voyeuse, et que mater tes sœurs est un de tes passe-temps. »


Jade rosit en se défendant :


  • « Non ! Non ! Tout ça est arrivé par hasard. »


Cette fois, c’est Roxanne qui prend la relève, pas mécontente d’accentuer l’embarras de sa sœur :


  • « Pour Judith et Pierre, je veux bien te croire ; mais pour Bernard et moi, c’est par hasard que tu as ouvert la porte de ma chambre ? Et dans les deux cas, c’est par hasard que tu es restée jusqu’à la fin des opérations ? »


Jade, qui croyait que l’épisode était clos, se trouble derechef :


  • « Euh, non … Euh, oui … Oh, et un peu plus, un peu moins, ça ne change pas grand-chose. »


Roxanne, qui repense à son attitude quand elle avait surpris ses parents, ne peut que se montrer indulgente avec sa sœur :


  • « Allez ! On te pardonne. Grâce à tes petites indiscrétions, nous allons pouvoir avoir quelques souvenirs. »
  • « Je fonce chercher la caméra de papa ! », enchaîne Jade, soulagée.


Et elle s’éclipse rapidement avant que le vent ne tourne de nouveau. Sitôt la jeune fille sortie, Bernard ne peut s’empêcher de faire remarquer :


  • « Ta sœur est un sacré numéro… Elle ne manque pas d’air ! »
  • « C’est vrai ; mais avoue que c’est tentant, quand de telles occasions se présentent, de ne pas laisser traîner un œil. Moi-même, je n’aurais probablement pas résisté. »


Elle se garde bien de raconter qu’effectivement, en des circonstances identiques, elle n’avait pas résisté et était restée à regarder ses parents en pleine action.


oooOooo


Les parents de Roxanne retiennent Bernard pour le déjeuner. Ils l’invitent alors officiellement à la prochaine réunion familiale, ce qui n’est pas forcément fait pour le ravir, eu état aux souvenirs d’une certaine réunion qu’il avait quittée presque en claquant la porte tant il s’était senti humilié ; mais il ne décline pas franchement. Ce n’est donc qu’après les repas que tous deux reprennent le chemin de l’appartement de Bernard. Jade, munie de la caméra paternelle, ne s’est pas laissée oublier et accompagne le couple.

 

Plus ils approchent, plus Bernard trouve l’idée dérangeante. Il pense qu’avec ce genre de plan, les problèmes ne devraient pas tarder à survenir. Il essaie, sans s’opposer frontalement, de faire changer d’avis ces demoiselles. Mais l’une comme l’autre sont trop émoustillées pour s’apercevoir de ses réticences et renoncer. C’est donc sans rien avoir obtenu qu’ils arrivent chez lui. Il espère encore par des manœuvres dilatoires pouvoir faire capoter le projet. Il n’en a pas le loisir, les deux sœurs voulant se mettre en action dès la porte franchie. Il tente bien de différer, mais toutes à leur idée géniale, elles ne s’en laissent pas détourner et Roxanne n’est pas la dernière à se montrer empressée. Il se résout, pour les beaux yeux de sa belle, à suivre le mouvement, reconnaissant volontiers qu’il y a pire épreuve. Mais malgré tout, alors que Roxanne est déjà en tenue d’Ève dans la salle de bain, c’est en traînant les pieds qu’il commence à l’imiter. Tant et si bien qu’elles finissent quand même par s’apercevoir de quelque chose et lui demander ce qu’il a.


  • « Je ne me sens pas à l’aise avec Jade nous regardant, là, toute en rouge. »
  • « C’est vrai que mon survêt est un peu flashy ; mais si ce n’est que ça, je peux arranger le problème. »


Elle pose sa caméra qu’elle avait déjà au poing et, incontinent, sous le regard médusé de Bernard, retire le susdit survêtement et dans la foulée slip et soutien-gorge avant de déclarer fièrement :


  • « Voilà ! Comme ça, plus de problèmes ! On sera tous à la même enseigne et je ne ferai plus tache dans le décor. »


Ce n’est pas exactement ça que Bernard espérait. Roxanne, quant à elle, ne s’attendait nullement au strip-tease de sa sœur. Inconsciemment, elle est un peu jalouse de la voir se montrer ainsi à son chéri. Non qu’elle ait quelque chose à lui envier, mais quand même. Elle n’était au fond pas mécontente du tout que Jade l’ait reluquée en pleine action avec Bernard. Secrètement fière que quelqu’un ait pu apprécier les performances de son amant. Déjà en avoir parlé avec sa cousine Christine était assez jubilatoire ; mais que sa sœur ait pu le constater de visu l’était encore plus. Pour en revenir à l’effeuillage de Jade, elle en est, avec une certaine inconséquence, presque irritée. Mais doit bien s’avouer que sa sœur lui ressemble décidemment beaucoup, non seulement voyeuse, mais aussi quelque peu exhibitionniste. Elle s’abstient de toute remarque, d’autant que, malgré cet imprévu, l’envie de faire immortaliser ses parties de jambes en l’air avec son étalon adoré la tenaille toujours.


Elle se suspend donc à son cou, l’embrasse, le déshabille et l’entraîne sous la douche. Sa sœur, caméra rivée à l’œil, n’en perd pas une miette et les suit pas à pas. Sous l’eau ruisselante, grâce aux bons soins de Roxanne et malgré sa gêne, il se retrouve au garde-à-vous, Jade s’attardant en gros plans sur l’engin dressé. Elle demande aux amoureux de s’essuyer réciproquement et de gagner la chambre. Une fois celle-ci gagnée, Roxanne conserve l’initiative, lui se montrant décidemment peu entreprenant. Elle l’entraîne dans un 69 grand cru. Ensuite, tout y passe. Cravate de notaire en le suçant, baise dans toutes les positions ; en levrette, en missionnaire, jambes sur les épaules, sur le côté, elle au-dessus.


Après avoir chevauché quelque temps, Roxanne estime qu’une pause s’impose. Elle entraîne de nouveau Bernard dans la salle de bain. Elle fait les choses en grand, allant jusqu’à dévisser le pommeau de douche pour introduire le flexible dans son cul pour qu’il soit bien net. Elle complète l’opération en oignant l’endroit d’huile d’amande douce. De retour dans la chambre, Roxanne s’allonge sur le dos, relève ses genoux, écarte de nouveau ses fesses pour bien dégager l’endroit qu’elle vient d’apprêter et, sans sourciller en le fixant dans les yeux, dit simplement à Bernard :


  • « Encule-moi. »


Il obtempère avec plaisir tandis que Jade tourne autour d’eux, toujours filmant. À un moment, pour avoir un nouvel angle sur la sodomie de sa sœur, elle l’enjambe. Cette dernière se voit donc ainsi présenter la vision d’une chatte humide et luisante. Impulsivement, elle s’agrippe aux hanches de sa sœur, soulève la tête pour embrasser le minou offert. Jade laisse échapper un « Oh ! » de surprise et de contentement. Elle se laisse aller vers cette langue qui commence à la fouiller. Les sensations sont si fortes qu’elle en oublie sa caméra. Bernard s’en aperçoit et la lui retire des mains sans qu’elle ne s’y oppose. Une fois en sa possession, lui aussi se sent une âme de reporter et se met à filmer les deux sœurs. Insistant sur la langue agile de Roxanne ou le visage extatique de Jade qui, la bouche grande ouverte, halète au même rythme que les ondulations de son bassin. Par moments, il descend jusqu’à son sexe toujours planté dans le fondement de Roxanne. En voyant Jade se pencher pour rendre la politesse à sa sœur, il préfère se retirer pour laisser les deux filles œuvrer à loisir, ce qu’elles ne manquent pas de faire en un 69 plein d’entrain. Elles finissent, épuisées de jouissance, par s’effondrer et s’assoupir toujours tête-bêche. Il en profite pour poser la caméra et aller se rafraîchir.


Ce faisant, il songe à cette folle journée. Décidemment, les filles de cette famille ont le sang chaud ! Il repense à Ariane qui, elle aussi, pouvait avoir le feu aux fesses. Lui reviennent en mémoire quelques moments torrides passés avec elle. Comme cette fois où elle avait invité sa meilleure copine et son fiancé. À la fin de la soirée un peu arrosée et où le sexe avait été un sujet abondamment abordé, les deux filles s’étaient retrouvées en tenue d’Ève, chevauchant leur homme sur le canapé avant de se faire enculer (Ariane aussi aimait ça) face à face à quatre pattes sur le tapis.


Et cette autre fois dans le métro bondé, où ils étaient serrés l’un contre l’autre. Il en avait profité pour la lutiner un peu. Une place s’était libérée. Elle l’avait fait s’asseoir pour s’installer sur ses genoux. À son tour, elle s’était mise à le caresser à travers son pantalon, usant de son sac et de son manteau pour dissimuler, pas assez aux yeux de Bernard, ses agissements. Cela finit par devenir gênant et même presque douloureux, à l’étroit qu’il était dans son slip. Elle s’en rendit compte. Profitant d’un mouvement lié à l’entrée en station, avec des doigts de fée, une discrétion de Sioux et une totale inconscience, elle réussit à défaire sa braguette et à extraire son sexe qui, trouvant la liberté, se redressa. Plutôt que d’essayer de lui faire regagner son abri normal, ce qui pouvait s’avérer délicat vu les proportions prises, elle choisit de le dissimuler à sa manière.


Aujourd’hui encore Bernard se demande comment elle avait pu faire pour agir avec une telle célérité. Elle réussit, en moins de temps qu’il faut pour une respiration, à se dresser un peu, repousser sa jupe et faire entrer dans son puits d’amour le pieu dressé. L’opération avait été facilitée parce qu’Ariane avait la chatte déjà bien lubrifiée et par le fait que, ce jour-là, elle ne portait pour tout sous-vêtement qu’un porte-jarretelles et des bas, slip et soutien-gorge étant restés au placard.


Il lui prenait de temps à autre ce genre de fantaisie, surtout les soirs où ils allaient au cinéma. La pénétrer ainsi au milieu de la foule avait été une expérience inédite. Bien sûr, ils n’avaient pas pu bouger, mais Ariane avait un certain talent pour contracter son vagin, et grâce à son sac disposé avec art, elle avait pu glisser sa main pour se caresser le bouton. Il l’avait sentie jouir. Leur station approchant, le problème avait été de retrouver une attitude décente. Si, pour extraire le sexe de Bernard et l’introduire en elle, Ariane avait trouvé l’art et la manière, l’opération inverse, en l’occurrence lui faire réintégrer l’abri de son slip, s’est avérée beaucoup plus difficile. Surtout qu’il y avait moins de monde debout pour faire écran. Les gens debout regardent généralement devant eux et non vers le bas. En plus, assis non loin d’eux, il y avait des personnes regardant dans leur direction. Et les stations passaient. Vint la leur, sans qu’ils aient pu résoudre le problème. Ils durent continuer jusqu’au terminus et attendre que les gens descendent pour pouvoir se rajuster en sécurité et repartir dans l’autre sens. Se résignant de bon gré, Ariane avait profité de la fin du voyage pour recommencer son petit jeu des contractions et prendre à nouveau son pied. Le clou du voyage avait été une station avant le terminus, alors qu’Ariane atterrissait, une petite dame à cheveux gris s’était approchée avant de descendre pour lui glisser :


  • « C’était bon, n’est-ce pas, mademoiselle ? »


Tous deux furent saisis. Pendant un moment, Ariane eut l’air d’une biche aux abois, la bouche ouverte, sans qu’aucun son intelligible ne réussisse à en sortir. Elle parvint néanmoins à finir par pouvoir souffler :


  • « Oh oui ! »


La dame enchaîna :


  • « Faites quand même attention, même si des fois ça vous démange énormément. Il faut mieux savoir attendre. Il y a des gens intolérants ou mal intentionnés. »


Sur ces très dignes paroles, elle sortit de la rame.


Il laisse s’évanouir le passé pour revenir à aujourd’hui ; cette journée si animée le laisse dubitatif. L’intrusion de sa « belle-sœur » dans leur intimité lui laisse un sentiment mitigé. Les choses ont quand même beaucoup dérapé. Il n’a rien contre les « fantaisies », mais là cela va un peu loin pour lui. Jusqu’où cette frangine au sang si chaud serait-elle allée si Roxanne n’avait pas calmé ses ardeurs ? Il est prêt à parier qu’elle aurait volontiers laissé tomber la caméra, histoire de lui montrer qu’elle aussi pouvait avoir un bon coup de reins. Qu’en aurait-il résulté ? L’arrivée de Roxanne, sortie de sa torpeur, interrompt le cours de ses réflexions. Celle-ci se jette dans ses bras en lui répétant qu’elle l’aime. Il la sent mal à l’aise. Il l’amène à lui confier ce qui la préoccupe. Elle se met à expliquer, au bord des larmes, qu’elle ne sait pas ce qui lui a pris ; que devait-il penser d’elle d’avoir insisté pour que sa sœur vienne les filmer, d’avoir laissé cette dernière se mettre nue, et surtout de s’être mise à lui lécher la chatte et de permettre qu’elle lui rende la pareille ? Elle n’avait jamais fait ça avant, ni avec aucune autre fille d’ailleurs. Il la calme et la rassure en lui disant qu’il aurait dû mettre le holà dès le début et ne pas accepter l’immixtion de Jade dans leur intimité. Ils finissent d’un commun accord par décider que les choses en resteront là.


Quand, après qu’elle ait elle aussi émergé, il annonce à Jade cette décision, celle-ci est un peu désappointée, mais n’ose pas insister malgré son espoir de continuer ces prises de vue si excitantes. C’est malgré tout un peu dépitée qu’elle repart pour Versailles.


Après son départ, Bernard, à qui Roxanne avait raconté « l’incident Olivier » et ses conséquences, songe tout haut que ce serait une bonne chose qu’elle se retrouve rapidement un copain, et qu’au besoin il ne faudrait pas hésiter à aider un peu le destin. Roxanne l’approuve hautement, pensant aussi que si Jade avait un garçon pour s’occuper de ses fesses, elle aurait été moins encline à s’occuper des leurs. Elle demande :


  • « Tu n’aurais pas quelqu’un par hasard, car je crois qu’il y a urgence. »


Après un moment de réflexion, Bernard répond :


 

  • « Peut-être bien que oui. J’ai le fils d’un ami qui a récemment rompu lui aussi et qui est un peu secoué. Je crois qu’il conviendrait parfaitement à Jade, et réciproquement. »
  • « Il faut organiser ça le plus vite possible. »
  • « J’ai une idée. J’ai promis à Adrien de lui repasser ma vieille moto. Il sera motivé pour venir. Une fois ici, je lui raconterai que j’ai oublié les clefs, que je les ai laissées au bureau, qu’il patiente le temps que l’on aille les chercher. En même temps on fait venir ta sœur pour qu’elle récupère la caméra de ton père et on s’arrange pour qu’elle arrive pendant notre absence et on laisse la nature faire. Il ne faudra pas oublier de planquer la caméra, pour qu’elle ne la prenne pas et parte aussitôt. »
  • « Tu es diabolique. On va croiser les doigts pour que ça marche. »
  • « À propos de caméra, il faut penser à effacer le contenu. Imagine que tes parents tombent dessus … »
  • « Je préfère ne pas imaginer. »


Après un moment de silence, Roxanne lance presque timidement :


  • « Maintenant qu’il est tourné, avant de l’effacer, on pourrait peut-être transférer le film sur l’ordinateur. »
  • « Si tu veux … », répond-il en riant. « Ce serait effectivement dommage de perdre une telle œuvre ! »


Dans la foulée, les coups de fil sont passés à Adrien et Jade, qui acceptent tous deux. Il n’y a plus qu’à espérer qu’il n’y ait pas de problèmes d’horaires. Retard de l’un, avance de l’autre.


Après le dîner, ils rejoignent la chambre et s’endorment rapidement, la journée ayant été fertile en événements.


oooOooo


Après le petit déjeuner, Roxanne rappelle qu’il faut s’occuper de la caméra. Ce qui est fait. Une fois le film transféré et toute trace effacée, elle est soigneusement rangée dans un endroit qui n’est pas en évidence. En y réfléchissant, ils ont pensé que ce serait une bonne idée d’inviter Jade et Adrien à déjeuner pour prolonger leur mise en présence.


Ce denier arrive à l’heure dite. Après lui avoir présenté Roxanne, Bernard lui sert son histoire de clefs. Adrien propose de les accompagner. Ils ont toutes les peines du monde à l’en dissuader. Tout cela a pris plus de temps que prévu et l’heure d’arrivée de Jade approche furieusement. C’est presque en courant qu’ils quittent l’appartement en prenant bien soin de ne pas prendre leur portable pour que Jade ne puisse pas les contacter. Ils vont à un café non loin pour observer la porte d’entrée.


Ils n’y sont pas depuis cinq minutes que la sœurette arrive. Ouf ! Jusqu’à présent, tout va bien. Il ne reste plus qu’à laisser macérer. Ce n’est qu’une heure et demie plus tard qu’ils reviennent. Quand ils rentrent, ils ne peuvent se rendre compte si la mayonnaise a pris. Quand l’invitation à déjeuner est lancée, Adrien proteste qu’il ne veut pas les déranger. Ils ont bien du mal à le faire rester, d’autant que Jade s’y est mise aussi. Enfin ils y réussissent. Roxanne dit qu’ils vont aller faire les courses et qu’ils ne seront pas de retour avant midi et demie, soit une heure plus tard. Bernard se retient de dire qu’à part le pain, il y a tout ce qu’il faut pour manger, entre le frigo et le congélateur ; mais il comprend que Roxanne fait cela pour prolonger le tête-à-tête.


Une fois dehors, Roxanne regrette de ne pas pouvoir voir là-haut le résultat de leurs manœuvres. Après un moment d’hésitation, Bernard dit que c’est possible, en rentrant par la porte de service, et qu’ils pourraient observer l’évolution des choses par l’œil de bœuf qui donne sur le salon. Le pain acheté, ils entrent le plus discrètement possible et se rendent à leur poste d’observation. Ils constatent tout de suite que les choses ont été encore plus vite qu’ils ne l’avaient espéré. Jade a déjà quitté son fauteuil pour venir s’asseoir tout contre Adrien, qui a un bras passé autour du cou de Jade, son autre main tenant celle de cette dernière. Ils se parlent tout bas en se regardant dans les yeux. Ça a été visiblement le coup de foudre. Un baiser vient confirmer si besoin était la chose. Les jeunes y mettent de l’ardeur.


Rassuré, Bernard va pour se retirer mais Roxanne le retient ; ils hésitent à peine, pensant que pour l’indiscrétion Jade a largement montré l’exemple, ce sera la réponse du berger à la bergère. Le baiser dure, et si leurs mains se lâchent, c’est pour s’égarer l’une dans une braguette et l’autre sous une jupe. Quand il s’interrompt, Jade vient s’installer sur les genoux d’Adrien, non sans avoir pris le temps de retirer slip et soutien-gorge pendant qu’il défaisait son pantalon pour laisser jaillir son sexe qui devait se trouver à l’étroit. Quand Bernard se tourne vers Roxanne pour lui dire qu’ils ne perdent pas de temps et que le courant passe vraiment très bien entre eux, il voit que sa chérie filme la scène. Il ne s’en était pas aperçu jusque-là, accaparé qu’il était par ce qu’il voyait. Il n’est même pas tenté de faire une objection ; autant être fou jusqu’au bout ! Il se contente de murmurer ce qu’il pensait, ce que Roxanne approuve hautement sans lâcher la caméra. Précisant qu’elle se doutait bien qu’après les dernières heures, sa sœur devait être sacrément chaude.


Partis comme ils le sont et sachant que le temps leur est compté, les deux jeunes abrègent les préliminaires. Jade se retrouve rapidement à genoux sur le tapis, appuyée sur le canapé à se faire baiser. Ils l’entendent couiner. Roxanne note d’ailleurs que sa sœur et son partenaire se montrent quand même imprudents, car ils n’utilisent pas de capote. Mais elle doit s’avouer qu’elle non plus avec Bernard n’en a pas plus utilisé. Les deux tourtereaux montrent moult ardeur à leurs ébats. Roxanne avait raison. La journée de la veille a dû visiblement chauffer Jade à blanc et mise dans les meilleures dispositions pour une partie de jambes en l’air, et Adrien, assurément un chaud lapin, n’est nullement en reste. Après s’être fait sauter en levrette sur le tapis, Jade se dégage pour faire s’allonger Adrien, l’enjambe pour offrir sa chatte aux caresses de sa langue, ce qui l’amène au ciel plusieurs fois avant qu’elle-même ne s’empare du sexe dressé devant elle pour le lécher, le sucer, le gober avec un entrain digne d’éloges. Soumis à pareil traitement, ils voient Adrien finir par tressaillir. Jade ne lâche pas le morceau pour autant, gardant ses lèvres rivées au gland, accueillant au fond de sa gorge les jaillissements.


Midi approchant, Bernard et Roxanne se retirent sur la pointe des pieds pour faire leur retour officiel, d’autant que visiblement l’action se termine. Ils rentrent donc, sans se faire discrets cette fois-ci. Au salon, les deux jeunes gens sont sagement assis l’un à côté de l’autre sur le canapé. Le rose de leurs joues, leur respiration rapide, mais surtout le slip que Jade a oublié sous le canapé trahissent leur activité récente.


Le repas se passe dans la bonne humeur. Adrien et Jade se jettent de fréquents et éloquents coups d’œil qu’ils croient discrets. Le repas touche à sa fin quand le téléphone d’Adrien sonne. C’est son père qui lui rappelle qu’il est attendu, la famille ne devant pas tarder à partir pour l’anniversaire de sa grand-mère. Bernard, in petto, le regrette ; il espérait faire raccompagner Jade en moto jusqu’à Versailles, histoire de prolonger la rencontre. Mais il se console en se disant que vu la tournure des choses, ce n’est probablement pas indispensable. Adrien parti, Roxanne demande innocemment à sa sœur :


  • « On est désolé de t’avoir fait tant attendre. Tu ne t’es pas trop ennuyée ? »
  • « Non. Non. »
  • « Avec Adrien, ça a été ? »
  • « Oh oui, ça s’est pas mal passé. »
  • « Pas mal ? »


Roxanne se lève afin de se diriger vers le canapé sous lequel elle récupère le slip de Jade pour le faire tourner au bout de son doigt, en ajoutant :


  • « Qu’aurait-il fallu pour que tu dises que cela s’était bien passé ? »


Bernard jubile intérieurement en voyant la tête de Jade qui fixe, l’air un peu égaré, sa culotte tournoyante. Elle se lève précipitamment pour récupérer l’objet, mais Roxanne esquive en reprenant la parole :


  • « Je me pose vraiment la question, parce que sincèrement, il m’a semblé que tu avais l’air de trouver fort plaisante sa compagnie. Exprimant un certain contentement, et même un contentement certain en de nombreuses occasions. »
  • « Mais, mais … Vous m’avez espionnée ! »


C’est Bernard qui prend le relais :


  • « Tout de suite les grands mots ! Non. Nous avons simplement voulu vérifier que nos leçons avaient bien été assimilées. »


Roxanne enchaîne :


  • « Indéniablement, tu as admirablement retenu. Tu n’as nullement besoin de cours supplémentaires. Je dirais même plus, tu pourrais en donner ! J’avoue que ta manière de sucer est digne d’être montrée en exemple. D’ailleurs, pour que tu puisses faire de l’autocorrection, nous avons filmé tes travaux pratiques. »


Jade les regarde alternativement, la bouche ouverte. Puis brusquement elle éclate de rire. Son fou-rire se calmant, elle peut articuler :


  • « Oh vous, alors ! Oh vous, alors ! Et si on les regardait, ces films ? »


Après avoir lancé un coup d’œil à Bernard qui ne pipe mot, Roxanne lance :


  • « OK ! »


Tout le monde de se rendre au salon devant la télévision. Tandis que Jade s’assoit sur un fauteuil, sur le canapé Roxanne se colle contre Bernard, la tête sur son épaule. Il en profite pour l’enlacer d’un bras et laisser sa main s’égarer dans le décolleté de sa chérie. En première partie, c’est la prestation Roxanne / Bernard qui passe. Les deux sœurs échangent leurs commentaires. La projection est commencée depuis une vingtaine de minutes quand Jade s’affale un peu plus sur le fauteuil, écarte les cuisses et passe la main sous sa jupe. Ses récents exercices n’ont visiblement pas éteint sa libido. Comme elle n’a pas remis sa culotte, elle accède directement au vif du sujet. Roxanne, elle aussi chauffée, non seulement par le film mais aussi par les effleurements de Bernard sur sa poitrine, se dégage de son étreinte pour pouvoir se débarrasser de sa jupe, et surtout de sa fâcheuse culotte pour ne garder que son chemisier déjà largement déboutonné qui lui fait comme une ultra-minijupe arrivant avec peine à couvrir son postérieur. Elle se rassoit, non directement sur le canapé, mais sur les genoux de Bernard en se blottissant contre lui. Il comprend l’invite et ses mains deviennent baladeuses.


Dix minutes plus tard, elle s’écarte de nouveau de lui, mais cette fois-ci pour défaire son pantalon et faire sortir ce qu’elle sent de si dur qui s’y cache. Ce qu’elle vient de libérer, elle le fait disparaître dans son antre d’amour. Le spectacle n’est plus seulement sur l’écran, mais aussi en direct. Chacun jette alternativement un coup d’œil aux films et à ce que font les autres protagonistes. D’un côté, Jade, une jambe sur chaque accoudoir, se fait reluire consciencieusement ou s’introduit deux ou trois, et même parfois quatre, dans la chatte, et pour que ceux de l’autre main ne restent pas inoccupés, elle s’occupe avec eux de son petit trou. Ainsi occupé, l’après-midi file à toute vitesse et le soir arrive déjà quand Jade prend le chemin du retour avec la caméra paternelle, à la mémoire allégée, bien sûr, des dernières prises de vue. Une fois la jeune fille partie, Bernard fait remarquer :


  • « J’aime bien ta sœur, mais il ne faudrait pas qu’elle continue de s’immiscer trop dans l’intimité de notre couple. Je crains que si l’on persiste dans cette voie, cela ne finisse par dégénérer. »


Roxanne admet volontiers qu’ils sont peut-être allés un peu loin. Fatigués par l’après-midi, ils se couchent presque sitôt dîné ; mais si Roxanne s’endort rapidement, Bernard, lui, a plus de mal. Il pense à Servane ; vu le décalage horaire, ils ne se sont pas téléphoné mais selon un message qu’elle lui a tout de même envoyé, elle pense que son séjour américain ne devrait plus s’éterniser, le séjour néo-zélandais devant être plus bref. Il faudra qu’il ait une discussion avec elle à son retour pour lui annoncer l’évolution de la situation ; et à cela s’ajoute la perspective de rencontre avec le reste de la famille Tanson-Duplantier bien des plaisirs en perspective.

 

Bienvenue dans la famille - Part 5

 

Par Decadent Laboratory - Publié dans : RECITS
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Pas vraiment besoin de description pour ce qui suit. Des séries de photos d'amatrices tout simplement.

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Videos-copie-1.jpg

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Comme son nom l'indique c'est un petit règlement de compte personnel. Enfin, pour être franche c'est surtoit moi (Roxanne) qui tenait à ce que cette rubrique soit présente. Eh ouais, même si je ne suis pas la principale concernée (quoique j'ai bien mangé quand même), j'ai la rancune plus que tenace.

Petit-reglement-de-compte-entre-ami-e-s-copie-1.jpg

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ERRATUM

Petite précision qui a son importance concerant la rubrique "Petit règlement de compte entre ami(e)s"... Pour ne pas qu'il y ait de malencontreuses coïncidences, les prénoms des protagonistes ont été changés. Par exemple, le compagnon de la protagoniste principale suce nommée (oui je sais ça ne s'écrit pas comme ça mais ça me fait rire), ou pour être plus précise le "plouc", ne se prénomme pas Laurent et n'habite pas Chaussy dans le Val d'Oise. En tous cas selon les informations fournies par la CAF.


A moins que... Noooooon !!! Des gens si honnêtes et si vertueux que ça ce n'est pas possible ! J'ai vraiment l'esprit mal tourné ! Après, par souci de clarification, si cela pose problème, on peut toujours aller leur demander de procéder à une vérification des pièces justufucatives fournies ? Non ?  

Ce point éclaircie, je vous souhaite une bonne lecture... "Amicalement", Roxanne ou chérie coquine.

Nous

Couple libertin de région parisienne, vous aurez vite compris que le sexe tient une place primordiale dans notre vie. Pour le reste nos adorons le rock, les Harley, les voyages et plein d'autres choses dont vous vous foutez royalement. Non ? Bandes de menteurs !

 

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Le libertinage et ses plaisirs n'ont de sens que lorsqu'ils sont vécus au sein d'un couple à la complicité sans faille ... Roxanne (29 ans) et Franck (42 ans), notre indéfectible amour ne nous empêche aucunement d'être des épicuriens convaincus et des adeptes assidus des plaisirs de la chair ... Le feeling, la complicité et la séduction tiennent une place importante dans notre recherche qui s'oriente vers des couples à la partie féminine bisexuelle ou vers des femmes elles aussi tentées ou pratiquant les plaisirs saphiques ... Nous ne ferons pas une liste des pratiques que nous acceptons ou nous refusons, mais n'hésitez à nous contacter afin d'en savoir plus. Cela sera peut-être le début d'une belle amitié et plus si affinité.

 

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Dans le cas contraire, on vous souhaite une bonne visite et surtout : NE SOYEZ PAS SAGES !!!

 

Roxanne & Franck

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