Mardi 7 juin 2 07 /06 /Juin 07:48

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Bienvenue dans la famille

Ecrit par Bernard

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Le lundi matin suivant, tôt, Roxanne se présente au bureau de Bernard. Avec Marc, la situation est bloquée. Ils sont tous les deux furieux. Elle de ce qu’il a dit, et lui de ce qu’elle ait pris la mouche pour une bêtise ; il trouve qu’elle n’est vraiment pas cool, et même un tantinet coincée. Elle a décidé de faire abstraction de ce problème et de profiter de cette semaine.


Il n’attendait qu’elle pour partir. Ils doivent aller sur trois sites : deux châteaux et une abbaye. Pour chacun, deux jours de visites sont prévus : ils ne rentreront donc pas avant samedi.


Ils quittent Paris. Sur la route qui les mène au premier château, Bernard explique par le menu qu’après avoir été délaissé pendant plusieurs années, il vient d’être racheté par le département qui, après restauration complète, envisage d’en faire un musée du savon. C’est une première approche, une prise de contact.


Bernard laisse Roxanne aux bons soins du responsable de la partie musée du projet, tandis qu’il fait sa visite d’évaluation. Le soir, au restaurant de l’hôtel, tandis qu’il lui donne ses impressions sur l’état des lieux, elle lui rapporte ce qu’elle a retiré de sa journée. En consultant ses messages, car quand il est en rendez-vous Bernard éteint son téléphone, il trouve un message de Servane qui lui annonce qu’elle va s’absenter trois semaines car elle part aux États-Unis pour sa boîte et ne pourra hélas pas venir dimanche.


De retour dans sa chambre, Roxanne reçoit un appel de Marc qui lui propose une sortie pour le lendemain soir afin de mettre de l’huile dans les rouages. Mais elle décline en lui expliquant qu’elle est partie en déplacement pour la semaine avec Bernard qui lui a proposé de l’accompagner durant une tournée de visites. Marc, qu’elle n’avait pas mis au courant, prend la chose plus que fraîchement ; un mot en entraîne un autre, les choses s’enveniment encore plus. Avant de lui raccrocher au nez, Marc lance :


  • « Après tout, tu fais ce que tu veux. Tu es libre. Tu as le droit, pour faire avancer ta carrière, d’aller remuer ton cul devant un mec qui a presque le double de ton âge, en mettant à profit ta ressemblance avec la fille qu’il a aimée. Après une semaine jour et nuit (il appuie sur ce mot), tu devrais l’avoir à tes pieds ! »


Roxanne est furieuse de ce procès d’intention. C’est vrai qu’elle profite des bonnes dispositions de Bernard et qu’elle est bien contente des petits coups de pouce qu’il lui donne et des portes qu’il lui ouvre. Mais ce n’est pas cela qui a motivé son désir de le connaître. C’est l’évocation de son amour défunt et la manière dont il en parlait qui ont suscité son intérêt, renforcé par le fait qu’Ariane était sa cousine. Elle voulait connaître l’homme qui l’avait fait se dresser contre ses parents et la famille. C’est vrai aussi qu’elle s’est imposée auprès de Bernard ; elle a même dû paraître envahissante. En cela, Marc n’a pas tout à fait tort. Mais il se trompe quant à ses motivations. Elle n’a jamais été intéressée. Curieuse, mais pas intéressée. Et puis Bernard est d’agréable compagnie, aimable, cultivé, avec de l’humour et en plus ils ont en commun la passion de l’art et de l’histoire. Elle a plaisir à le retrouver, et regret à le quitter.


De son côté, Bernard se demande si emmener Roxanne avec lui une semaine durant est une si bonne idée. Avoir ainsi en permanence à ses côtés ce reflet d’Ariane lui provoque des sentiments contradictoires. Un certain plaisir, c’est indéniable ; mais aussi une grande peine. Ne se raccroche-t-il pas trop à cette jeune fille, troublé qu’il est par sa ressemblance avec Ariane ?


L’un comme l’autre peinent à s’endormir et ne connaissent pas une nuit paisible.


Le mardi après le déjeuner, ils partent pour l’abbaye où Bernard doit présenter ses plans d’aménagement pour que l’endroit puisse accueillir des congrès et des colloques. Le projet est en phase terminale. De nombreuses discussions ont déjà eu lieu, les plans ont été remaniés plusieurs fois pour tenir compte de certains des desiderata des clients. Les travaux vont bientôt pouvoir commencer. Ce soir-là, Bernard reçoit un appel de Servane qui lui explique qu’elle doit partir quelque temps en Nouvelle-Zélande ; elle ne sait pas trop quelle sera la durée de ce séjour.


Le lendemain, en fin d’après-midi, ils quittent les lieux pour le château suivant. C’est une demeure privée qui appartient à la même famille depuis plus de quatre siècles. Il connaît bien les propriétaires ; ils logeront sur place. C’est un château à l’origine médiéval, mais qui a été remanié jusqu’au XVIIIème siècle, chaque époque ayant laissé sa marque. Il se visite ; le comte et la comtesse ont fait un effort particulier sur les jardins ces derniers temps, et ils ont en projet d’aménager une partie des communs pour l’accueil de classes, l’orangerie l’ayant déjà été pour les réceptions, les mariages, etc …


Après avoir salué leur hôtes, Bernard emmène Roxanne découvrir le domaine depuis la lanterne du pigeonnier. Arrivés en haut, il lui explique le bâtiment, les jardins, les projets. L’étroite plateforme n’est pas faite pour accueillir deux personnes ; pour y tenir, ils ont dû se serrer. Elle est devant lui, un peu sur le côté ; il a posé une main sur son épaule et de l’autre il lui désigne ce dont il parle. Vient le moment magique du coucher de soleil. Le paysage se pare d’or et de feu. Roxanne est émue, mais le spectacle n’est pas seul en cause. De le sentir contre elle, de sentir sa main sur son épaule ne la laisse pas de marbre. Il se dégage de lui une force, un magnétisme qui la troublent. Elle réalise qu’elle se voilait la face, que l’intérêt qu’elle lui porte n’est pas que motivé par son histoire avec sa cousine. Elle est attirée par l’homme. Elle se laisse aller un peu plus contre lui.


Quand le paysage s’est enflammé, Bernard s’est tu pour ne pas rompre la magie du moment. Il sent Roxanne s’appuyer plus lourdement contre lui, mais il attribue ça à la fatigue. La nuit et son voile noir remplacent progressivement les couleurs chatoyantes. Il suggère de retourner au château. Roxanne ne bouge pas, mais Bernard se trompe quand il pense qu’elle veut profiter de la disparition progressive du jour ; elle se sent simplement trop bien près de lui. C’est la première fois qu’ils sont si proches. Les minutes s’écoulent ; il s’agite un peu, mal à l’aise et troublé lui aussi maintenant. Elle le sent. Elle se redresse, mais au lieu de descendre par l’échelle, elle se retourne. Elle voit encore son visage. Il va parler. Elle n’a pas besoin de boule de cristal pour savoir qu’il va proposer de passer le premier pour l’aider à descendre ou quelque chose de ce genre. Ce n’est pas ce qu’elle espère, ce n’est pas ce que maintenant elle désire. Mais si elle attend que Bernard fasse quelque chose, elle sait aussi qu’il gèlera en enfer avant. Elle ne peut pas laisser passer ce moment ; dieu sait quand un autre aussi favorable se présentera. Presque comme on se jette à l’eau, elle l’enlace et pose ses lèvres sur les siennes. Il se raidit et ne répond pas à son baiser ; des pensées contradictoires bouillonnent dans sa tête. Il se recule, dans la mesure où il le peut, et d’une voix défaillante il murmure :


  • « Roxanne, c’est de la folie ! »


Elle se serre plus contre lui.


 

  • « Vous méritez mieux … »
  • « Mieux que quoi ? »
  • « Mieux qu’un homme qui a vingt ans de plus que vous ; mieux qu’un homme qui, lorsqu’il vous voit, revoit son passé ; mieux qu’un homme qui, égoïstement, cherche en votre compagnie quelque chose qu’il ne sait même pas. Vous ressemblez tant à Ariane, pas seulement physiquement, et pourtant vous êtes tellement différente … »
  • « J’ai compris pourquoi elle t’aimait, pourquoi elle s’est battue pour être avec toi et c’est aussi pourquoi je suis prête à le faire. »


Tout en parlant elle se rend compte qu’elle l’a tutoyé, qu’elle exprime tout ce qu’elle avait voulu ignorer jusqu’à présent et que la première personne avec laquelle elle devra se battre c’est lui. Elle se presse encore plus contre lui, trouve à nouveau ses lèvres. Il se sent perdu. Il désirait la serrer dans ses bras, mais le redoutait par-dessus tout, craignant de n’être attiré par la jeune fille qu’à cause du reflet de son amour perdu qu’elle lui offre et non pour elle-même. De sa langue, elle force ses lèvres. S’il ne répond pas à son baiser, au moins n’a-t-il pas eu de recul. Elle regrette de ne pas être en jupe pour pouvoir prendre sa main et lui faire constater l’effet qu’il lui fait. Avec un pantalon, c’est un peu plus compliqué. Elle glisse sa main entre leurs ventres pour déboutonner son pantalon, mais des pas et des appels retentissent. Charles, l’un des fils du propriétaire, vient les chercher avec une lampe électrique. Ils se séparent ; elle en hurlerait de rage et de frustration. Bernard répond aux appels, l’aide à descendre et remercie Charles d’être venu ; elle aussi, bien qu’elle ait plutôt envie de le vouer aux gémonies.


Avant de rejoindre la salle à manger, Roxanne passe par sa chambre pour changer de culotte, celle qu’elle porte ayant quelque peu souffert de l’humidité. Il lui semble que le repas n’en finit pas ; pourtant ses hôtes sont charmants, mais elle a d’autres idées en tête. Dès que la décence le lui permet, elle se déclare fatiguée, s’excuse et regagne sa chambre tandis que Bernard reste à discuter. Après un passage par la salle de bain, elle retourne à sa chambre d’où elle épie son retour. Et il s’attarde, perturbé par ce qui vient de se passer dans le lanternon ; il poursuit la conversation pour éviter d’y trop penser, mais il ne peut retenir son hôte indéfiniment et se résout à quitter la salle à manger deux heures après Roxanne.


De son côté, elle bout d’impatience en l’attendant ; elle doit se retenir de se précipiter quand il arrive à l’étage. Il rentre dans sa chambre. Elle se prépare à s’y glisser à son tour quand elle l’entend tirer le loquet. Elle est arrêtée dans son élan ; elle en pleurerait. Elle hésite un long moment sur la conduite à tenir et retourne dans sa chambre. Un peu plus tard, elle entend Bernard se diriger vers la salle de bain. Dès qu’il y a disparu, elle se précipite dans la chambre pour l’y attendre. La chemise de nuit qu’elle porte, en coton, à manches longues, qui lui arrive à mi-mollet, n’a rien de sexy. Elle hésite à la retirer illico. Elle se rend bien compte que déjà elle se jette littéralement dans ses bras et se conduit comme une salope ; alors elle garde cet ultime rempart à sa fierté, mais elle n’a pas l’intention de la conserver très longtemps. De toute manière, si elle veut faire bouger les choses, il faut qu’elle les prenne en main.


Ayant terminé ses ablutions, Bernard hésite devant la porte de Roxanne. Il faudrait qu’ils parlent, qu’il mette les choses au point. Il se décide, malgré l’heure tardive, à toquer discrètement. Point de réponse. Il est partagé entre déception et soulagement. Il regagne sa chambre. Il voulait la voir, il la voit. Il voulait parler avec elle, c’est raté. Elle ne lui laisse pas placer un mot. C’est une véritable tornade qui s’abat sur lui. Roxanne lui saute carrément dessus, clouant sa bouche en reprenant le baiser là où l’arrivée de Charles l’avait interrompu. Pour la repousser, il faudrait littéralement se battre. Elle sent à nouveau ses réticences. Elle se recule un peu, sans le lâcher pour autant, le regarde dans les yeux et murmure « s’il te plaît… », avant de ressouder ses lèvres aux siennes.


Depuis le début, il est tombé sous son charme ; mais les circonstances de leur rencontre, la différence d’âge, Ariane, la famille Tanson-Leplantier et Servane l’avaient entraîné à ne songer à elle que de manière désincarnée. La sentir palpitante, femme, accrochée à son cou, font voler cette ambiguïté en éclats. Il la prend dans ses bras, répond à son baiser jusqu’à ce qu’elle se laisse glisser à genoux et descende son pantalon de pyjama. Elle regarde, étonnée par ce qu’elle vient de dévoiler. Même s’ils ne sont pas légion, Bernard est plus gros et plus long qu’aucun des copains qu’elle a eus jusqu’à maintenant. Sa surprise passée, elle se met à l’ouvrage avec cœur. Après l’avoir laissée s’activer pendant une dizaine de minutes, il la redresse. Elle en profite pour retirer prestement sa chemise de nuit avant de se suspendre à nouveau à son cou pour l’embrasser fougueusement. Il la soulève et, leurs lèvres toujours unies, il la porte jusqu’au lit. Il abandonne ses lèvres du haut pour s’occuper de ses lèvres du bas. Elle apprécie et roule des hanches. Il n’arrête que pour plonger ce qu’elle a si bien réussi à dresser au fond de son puits d’amour. Il se met à la ramoner, changeant rythme et puissance de ses coups de queue.


Après être grimpée aux rideaux, elle se remet à le sucer. Elle est de nouveau surprise, mais par sa résistance cette fois. Les muscles de ses mâchoires devenaient douloureux quand il l’avertit qu’il va cracher son foutre. Ses lèvres restent soudées à son gland, et c’est au fond de sa gorge qu’il se répand enfin. Avec ses ex, quand elle les pompait, aucun ne tenait aussi longtemps avant de lâcher la sauce. Ils lui reconnaissaient un talent certain de suceuse. Après avoir avalé, elle ne peut s’empêcher de lui faire une remarque sur sa résistance. Il explique qu’il peut avoir des éjaculations difficiles à venir. Elle avait entendu parler d’éjaculations précoces, mais pas de l’inverse. Cela l’étonne. Il précise que ce n’est pas forcément une bénédiction. Elle lui demande pourquoi ; il essaye d’éluder mais, devant son insistance, il finit par expliquer qu’il lui est arrivé d’épuiser sa partenaire sans arriver à l’éjaculation. C’est vrai qu’elle commençait à fatiguer. Un rapide calcul, et elle voit que cela faisait plus d’une heure qu’il était en action. Elle demande :


  • « Combien de temps peux-tu tenir ? »
  • « Je ne sais pas trop, mais ça arrive à trois heures, même à quatre heures, et je m’arrête toujours en érection. De toute manière, je dois me concentrer pour arriver à éjaculer, et des fois ça ne marche pas. »


Elle est ébahie. Elle demande presque timidement :


  • « Tu veux dire que tu peux baiser sans discontinuer pendant trois heures ? »


Sur sa réponse positive, elle reste rêveuse. Elle essaie d’imaginer ce que ça peut être de se faire baiser pendant trois ou quatre heures d’affilée, mais elle a du mal. Après un brin de toilette, elle va finir la nuit dans sa chambre.


Le lendemain, l’étude du projet les accapare ; mais plus la journée avance, plus elle pense à ce que Bernard lui a confié la veille et ça l’émoustille. En se rendant au dîner, elle lui glisse :


  • « Ce soir, on ne s’attarde pas à table, appuyant son propos d’un regard langoureux. »


Il lui répond d’un sourire. De fait, dès que la bienséance le permet, il donne le signal du départ. Elle le rejoint rapidement dans sa chambre. Elle est chaude comme la braise. Depuis avant le repas, elle mouille en pensant à la nuit à venir. Elle est malgré tout dubitative sur ce qu’il lui a dit la veille. Elle n’y croit pas tout à fait ; elle est comme Saint Thomas, elle veut le voir pour le croire. À peine entrée, elle se suspend à son cou et lui murmure :


  • « J’essaie de te faire craquer le plus vite possible, et toi de résister le plus longtemps possible. »


Il va répliquer ; elle lui pose la main sur la bouche et ajoute :


  • « Ne dis rien. On va voir ce que l’on va voir … »


Elle sort sa queue et commence à s’en occuper avec sa bouche. Après l’avoir laissé œuvrer à son aise, il l’emmène sur le lit pour un 69. Elle l’a sucé, léché, avalé, pompé, s’est aidée de la main, y a mis tout son savoir-faire, mais sans venir à bout de la résistance de Bernard qui, lui, l’a amenée deux fois au plaisir. Elle commence à fatiguer des maxillaires. Elle se dégage et l’enjambe pour le chevaucher. Elle monte et descend le long de cette tige inébranlablement dressée. Il en profite pour s’emparer de ses seins. Roxanne jouit de nouveau. Ce sont maintenant ses cuisses qui protestent. Elle se fait prendre en levrette, puis en missionnaire, puis allongée sur le côté avant de recommencer à le sucer et de nouveau se faire baiser dans toutes les positions. Elle ne sait plus combien de fois elle a pris son pied. Il la prend en levrette quand elle pense à porter sa botte secrète. D’une voix un peu éraillée, elle lui dit :


  • « Encule-moi ! »


Deux ans auparavant, un copain l’avait initiée. Malgré son a priori, les choses s’étaient plutôt bien passées ; un peu ardu la première fois seulement. Elle sait que ça fait souvent craquer les hommes quand on leur octroie cette faveur. Bernard marque une pause, pas sûr d’avoir bien entendu.


  • « Encule-moi … », répète-t-elle. « Maintenant. Vas-y ! »


Il tâte un peu ce terrain qui semble prêt à accueillir favorablement un hôte. Aussi n’hésite-t-il pas. Il se retire de la chatte pour se positionner un peu plus haut. Il appuie légèrement ; la porte s’ouvre. La zone est largement inondée et les muscles relâchés. Roxanne n’a jamais accueilli un calibre aussi gros dans son petit cul. Elle avait oublié les proportions de son partenaire quand elle avait fait sa demande. C’est en le sentant entrer que cela se rappelle à son bon souvenir. Elle se sent comme ouverte en deux et pense un moment lui demander d’arrêter, mais renonce. Si ce n’est pas agréable, ce n’est pas douloureux non plus. De toute manière, c’est à moitié entré maintenant. Bernard se rend compte du flottement de Roxanne. Il marque une pause et se prépare à un repli stratégique quand il la sent tendre encore plus les fesses dans une invite sans équivoque à poursuivre sa prise de possession, ce qu’il fait avec précaution. Son engin finit par disparaître complètement. Elle sent les poils de son pubis lui chatouiller les fesses. Il commence à lui labourer le croupion. Pour Roxanne, toute sensation désagréable s’estompe ; elle va maintenant au-devant de ce pieu qui l’envahit. Elle prend son pied comme jamais elle ne l’avait pris en se faisant sodomiser.


Tout comme Roxanne, Bernard commence à fatiguer, mais il tient toujours. Après une pause toilette, ils reprennent leurs ébats. Elle l’accueille à nouveau dans sa chatte, dans sa bouche. Elle le chevauche presque comme un automate. Elle se soulève un peu plus ; la queue luisante de Bernard sort complètement de sa chatte. Elle se laisse retomber pour la faire disparaître d’un coup dans son autre trou. Elle monte, elle descend de plus en plus vite et jouit, pour la deuxième fois de la soirée, de se faire prendre le cul. Dans un état second, elle se dégage pour tomber à genoux et dans la foulée se mettre à le sucer. Elle réalise qu’elle vient de le prendre dans sa bouche directement sorti de son cul. Hier encore, cette idée lui aurait soulevé le cœur et elle aurait poussé les hauts-cris si on la lui avait suggérée. Aujourd’hui, cela ne l’arrête pas ; elle continue de plus belle. C’est une queue nickel que Bernard plonge pour la énième fois dans son con. Brusquement, épuisée, elle s’endort d’un coup, le sexe de Bernard encore en action dans le sien. Il s’en aperçoit et se retire délicatement, et met peu de temps à la rejoindre dans le sommeil.


La nuit a été courte ; le réveil est difficile. C’est Roxanne qui a le plus de mal à démarrer. Elle a l’impression d’être passée à la moulinette. Ses seins, objet de nombreuses attentions, sont lourds. Sa chatte est encore congestionnée ; quant à son cul, il est plus que sensible. Elle a l’impression que le membre de Bernard y est encore planté. De son côté, son gland lui rappelle qu’il a été longuement sollicité. Après quelques tendres bisous et des ablutions, ça va un petit peu mieux. Elle reconnaît sa défaite, mais ajoute qu’elle accepte volontiers et même souhaite en connaître d’autres comme ça. En se rendant au petit-déjeuner, elle a malgré tout la démarche d’un cow-boy qui vient de passer une journée en selle. Le petit-déjeuner achevé, elle suit Bernard et leur hôte qui vont étudier les projets du comte et leur faisabilité. Le reste de la journée est à l’image de la matinée : studieuse. Le soir, elle rejoint Bernard dans sa chambre pour s’endormir serrée contre lui, la tête sur son épaule.


Le lendemain sonne l’heure du retour. Après le petit-déjeuner, ils reprennent le chemin de Paris. Alors qu’ils roulent, Bernard aborde ce qui l’a préoccupé une grande partie de la nuit. La semaine s’achève et, avec le retour, il s’interroge sur l’avenir. Si lui se pose beaucoup de questions sur lui et sur les réactions de sa passagère et ne sait plus très bien où il en est, Roxanne, elle, le sait parfaitement. Maintenant qu’elle se l’est avoué, elle sait qu’elle l’aime et n’envisage pas que la fin de ce voyage soit synonyme de la fin de leur relation. Elle sait qu’il lui faudra se battre contre sa famille, d’autant que Marc, fils d’un ami fortuné d’un de ses oncles, était bien vu, et que certains de ses ami(e)s jaseront. Elle peut compter sur ledit Marc, qui ne lui pardonnera pas d’avoir été largué, pour souffler sur le feu. Dans la foulée, elle raconte à Bernard sa relation avec Marc et ses derniers soubresauts. Sans fausse pudeur, elle lui dit qu’elle est prête à tous les combats pour lui. Elle lance cela d’un tel ton, à la fois fougueux et désespéré, que cela le touche au plus profond de lui. Pour commencer, elle abandonnera son studio pour aller vivre avec lui, ce qu’elle n’avait jamais accepté de faire pour Marc malgré ses demandes répétées.


En l’entendant, il sent son cœur bondir de bonheur. Les mâchoires du piège de l’amour s’étaient refermées sur lui depuis ces derniers jours. Depuis qu’il avait réalisé qu’il l’aimait pour elle-même, pas comme un reflet ou un succédané d’Ariane. Mais il se contraint, justement parce qu’il l’aime, à modérer son enthousiasme. Il ne veut pas qu’elle s’embarque dans la précipitation avec la fougue de la jeunesse, sans lui donner la possibilité de se poser, de faire le point, de prendre le temps de réfléchir avant de faire basculer sa vie. Bien qu’elle ait espéré une autre réponse, Roxanne se rend compte que ce qui fait parler Bernard n’est pas de la distance avec elle, mais au contraire un amour profond qui ne veut pas l’enchaîner en profitant de son exaltation. Aussi se rend-elle à ses raisons, bien que sachant que maintenant plus rien ne pourra la détacher de lui. Ce soir, elle ira donc coucher chez ses parents à Versailles, et le lendemain elle participera à la réunion de famille chez sa grand-mère.


Ainsi est fait. Il la dépose, avec sa valise, devant la propriété de ses parents ; ils se séparent après un long baiser. Il la voit dans le rétroviseur, debout, immobile sur le bord de la route, regardant désemparée sa voiture s’éloigner. En la voyant ainsi il doit faire appel à toute sa volonté pour ne pas faire demi-tour pour la chercher. Elle reste encore quelques secondes à regarder la rue où la voiture vient de disparaître avant d’ouvrir la grille du jardin.


Avec son arrivée, la tribu est au complet. Il y a sa mère, Marie-Thérèse, qui a quarante-deux ans, d’un an plus jeune que Bernard, et son père, Louis, de cinq ans plus âgé. Et bien sûr ses frères et sœurs. Elle est l’aînée. Ses parents ont mis cinq ans avant de se décider à avoir un nouvel enfant ; la suivante est Jade, qui a passé le cap des 18 ans. Mais après, ce fut d’une régularité d’horloge suisse que les bébés arrivèrent tous les deux ans. Viennent donc ensuite Judith, Joëlle, Jasmine et Jeanne, qui clôt la période filles. Roxannen, 7 ans, est le premier des garçons, suivi de Jérémie, Jérôme et Jonathan. Et sa mère a la chance de garder malgré ses grossesses une ligne de jeune fille, sauf actuellement où une nouvelle grossesse arrondit sa silhouette. Elle ne cache pas qu’elle aime être enceinte. Ce qu’elle ne proclame pas sur tous les toits, par contre, c’est qu’elle aime aussi beaucoup faire ce qu’il faut pour y arriver. Cela, Roxanne l’a découvert il y a bien des années. Ses parents lui ont, ce jour-là, bien involontairement, à leur insu, donné son plus magistral cours d’éducation sexuelle.


Une nuit, elle avait été éveillée par un cauchemar. Angoissée, elle a voulu chercher consolation auprès de ses parents. La consigne à la maison est de frapper avant d’entrer dans une chambre, qui que ce soit et quelle que soit la chambre (ses parents eux-mêmes observent cette règle). De plus, ses parents poussent le loquet de leurs portes pour pallier les éventuels oublis. Mais cette nuit-là …


Au lieu d’aller frapper à la porte du couloir, Roxanne est passée par la penderie plus près de sa chambre. Elle franchit la première porte pour toquer à la seconde, mais celle-ci était grande ouverte sur la chambre brillamment éclairée. Elle s’avança et s’arrêta, sidérée, en découvrant sa mère entièrement nue, cheveux défaits, tournant autour de la table, poursuivie par son père dans la même tenue. Le manège dura quelque peu avant qu’il ne parvienne à l’attraper. Ils échangèrent alors un long baiser avant que son père ne pousse sa mère vers le lit où elle se laissa choir, jambes écartées. Son père s’agenouilla et enfouit sa tête entre les cuisses amplement ouvertes pour lécher et sucer ce qui était si généreusement offert. Roxanne aurait dû partir ; au contraire, elle s’approcha, tout en restant dans l’ombre, pour voir sa mère onduler en secouant la tête. De la sexualité, elle en causait avec les copines ; il y avait eu des cours. Mais là, de voir ses parents, c’était autre chose. De sa place, elle avait un double point de vue : le premier, direct ; le second, par l’intermédiaire du miroir de l’armoire. D’une voix sourde mais distincte, qu’elle reconnaissait à peine, elle entendit sa mère dire :


  • « Chéri ! Vas-y, bouffe-moi la chatte. Oh oui, enfonce ta langue. C’est bon ! C’est bon ! Ah, mon salaud … Oui ! Continue sur le bouton. »


Après être restée un temps silencieuse, sa mère repoussa la tête de son mari qui se redressa. Ce fut alors elle qui se mit à genoux devant lui pour s’emparer de ce qui fait de lui un homme ; et cela n’avait rien à voir avec le petit bout de chair rose de ses cousins qu’elle apercevait lorsqu’on les changeait. Sa mère gratifia la chose de petits baisers et de coups de langue qui la firent encore grossir. Elle la prit ensuite dans sa bouche pour la sucer comme un gros sucre d’orge, ce qui fit dire à son père :


  • « Tu es vraiment une suceuse de première. »


Sa mère s’interrompit un moment pour répondre :


  • « C’est grâce à une pratique régulière que je me suis perfectionnée ; de plus, j’ai une bonne connaissance du sujet. »


Elle se mit ensuite à quatre pattes. Son père se plaça derrière elle, la saisit par les hanches, pointa son pieu et l’enfonça d’un coup. Sa mère n’eut pas un mouvement de recul ; au contraire, elle tendit les fesses et se cambra encore plus, allant au-devant de l’assaut. Après un moment de silence seulement rompu par des halètements, son père lança :


 

  • « Tu le tends, ton cul de chienne en chaleur ? »
  • « Oui. Je ne suis qu’une chienne en chaleur. Je suis ta chienne. »
  • « Tu aimes ça, la queue, hein salope ?!? »
  • « J’aime ça. Vas-y ! Défonce-moi avec ta grosse queue ! »
  • « Tu es comme les scouts : toujours prête. Eux, c’est pour faire leur BA, et toi c’est pour te faire sauter … Tu aimes tellement écarter les cuisses que je me demande comment tu peux marcher normalement. »
  • « Oui … Je suis une salope qui aime se faire ramoner la chatte. »
  • « Alors profites-en, remue ton cul ! »


Pour ça, la mère de Roxanne n’avait pas besoin d’être encouragée ; pour le remuer, elle le remuait avec beaucoup de conviction, et pas seulement lui. Tout son corps accompagnait le mouvement, jusqu’à ses seins qui semblaient animés d’une vie propre et s’agitaient en tous sens.


  • « Tu la sens, ma pine dans ton con de garce, et tu veux que je continue à la mettre ? »
  • « Ne t’arrête pas ! Continue à baiser ta petite pute … »


Les phrases continuèrent à se succéder. Roxanne n’en revenait pas de la violence de l’action et de la crudité des propos où il était question de cul, de con, de chatte, de queue, et où sa mère se faisait traiter et se traitait elle-même de pute, de chienne, de salope et autres gracieusetés qu’elle ne comprenait pas toujours.


Soudain, sa mère se raidit, frémissante, étouffant un gémissement la tête dans l’oreiller. Son mari redoubla d’activité avant de se figer à son tour, fiché en elle jusqu’à la garde. Il se recula doucement. Roxanne aperçut son sexe luisant qui perdait de sa rigidité. Son père rejoignit sa mère sur le lit. Ils échangèrent des baisers, des « je t’aime » et des mots d’amour qui contrastaient singulièrement avec ceux qu’ils échangeaient quelques instants plus tôt. Roxanne, jusque-là hypnotisée, revint sur terre avec l’accalmie. Elle prit conscience qu’elle risquait d’être découverte ; elle se recula doucement vers le couloir et retourna dans sa chambre, ses angoisses oubliées.


Dans celle-ci, elle retira sa chemise de nuit et se planta devant le miroir pour se détailler. Elle l’avait déjà fait, mais là elle se regarda d’un œil différent. Elle se compara à sa mère. Chez elle, tout était moins développé. Cuisses, seins, fesses … Elle avait moins de poils sur son minou. Assise sur son lit, elle observa particulièrement celui-ci, le tâta, écarta les lèvres, essaya d’y mettre un doigt mais ça lui fit mal. Elle pensa que jamais quelque chose d’aussi gros qu’un sexe comme celui de son père ne pourrait passer par là. Elle se demanda si elle était normale, si elle pourrait un jour faire l’amour avec un garçon. Cette inspection détaillée lui avait par contre permis de faire une découverte intéressante : le petit bouton dissimulé entre ses lèvres. Elle l’avait fait sortir de sa cachette pour l’étudier. Ces effleurements la mirent en émoi. Elle insista, et tout comme sa mère tout à l’heure, elle écarta les cuisses et ondula du bassin jusqu’à un feu d’artifice qui la laissa pantelante. Son sexe avait bavé, ses doigts étaient poisseux. Elle alla se laver, mais dut être particulièrement délicate, son bouton étant très sensible.


Combien de fois avait-elle mis cette découverte en application ? Des centaines et des centaines, parfois plusieurs fois par jour. Aujourd’hui encore, elle ne dédaigne pas de laisser sa main s’égarer …


Il y a quelques mois, elle avait eu confirmation, si besoin était, du goût de ses parents pour la bagatelle. Elle était passée un après-midi à Versailles pour récupérer des affaires. La maison aurait dû être déserte, son père au travail, sa mère à l’une de ses activités ; c’était le jour où elle laissait les petits à la garderie pour avoir du temps pour elle, et les grands à l’école ou au lycée. Or, en rentrant, elle avait entendu du bruit. Elle s’était dirigée vers celui-ci pour apercevoir son père assis sur un canapé, le pantalon sur les mollet et sa mère seulement vêtue de son chemisier, à genoux au-dessus de son mari, montant et descendant sur le pieu planté en elle. Contrairement à ce qu’elle avait fait dix ans plus tôt, Roxanne s’était éclipsée pour revenir à l’heure de sortie des écoles. Non sans se poser, une fois dehors, la question de savoir si sa mère n’accueillait pas son père là où elle ne pouvait concevoir un autre enfant.


Même si son dépucelage avait été un peu laborieux, Roxanne souriait en repensant à ses craintes de ne pouvoir faire l’amour. Au moins n’a-t-elle pas de doute sur l’origine de son goût pour le sexe : c’est un héritage familial.


Roxanne a décidé de ne pas encore parler de Bernard, mais sa mère lui donne l’occasion de préparer le terrain quand elle lui propose d’inviter Marc pour le dîner. Elle explique que Marc et elle se sont séparés après avoir eu des mots, et qu’il est hors de question qu’elle le revoie. Sa mère n’insiste pas, ne pose pas de questions et, alors que son mari ouvrait la bouche pour parler, d’une pression sur le bras, elle l’en dissuade. Un peu plus tard, Joëlle, qui avait tout entendu, lui dit :


 

  • « Alors, toi aussi, tu as largué ton mec ! »
  • « Pourquoi, moi aussi ? »
  • « Ben, Jade aussi a viré le sien. »
  • « Quand ? »
  • « Ça doit faire dans les deux semaines. »


Roxanne se garde bien de poser d’autres questions ; mais lorsqu’elle se retrouve avec Jade, elle lui demande innocemment des nouvelles d’Olivier, le petit copain. Sa sœur le traite d’un certain nombre de noms d’oiseaux avant d’expliquer qu’il avait demandé à un copain de les filmer et photographier, et dans le même temps il essayait de sauter Judith. Roxanne met un temps avant de réaliser que ce qu’Olivier voulait faire filmer, c’était lui et Jade en train de faire l’amour, et que s’il n’avait pas essayé de sauter Judith, sa sœur aurait accepté. Aussi lui fait-elle la leçon, lui expliquant que si elle ne veut pas que tout le lycée la voie faisant des galipettes et se retrouver un jour sur internet dans des sites pour adultes, elle aurait intérêt à éviter ce genre de plaisanteries. Jade, échaudée, l’admet volontiers. Pour tarir les recommandations de sa sœur, Jade change de sujet pour mettre Marc sur le tapis, visiblement au courant de la rupture. Le téléphone arabe fonctionne vite et bien dans la famille, pense Roxanne, Jonathan devant bien en être le seul membre non informé. Jade finaude, sent qu’il est remplacé. Après s’être fait un peu prier, Roxanne en convient et après lui avoir fait jurer le secret, elle raconte à sa sœur depuis sa première rencontre avec Bernard dans le métro jusqu’à la semaine écoulée et sa prise de conscience de son attachement pour lui. Elle est médusée. Ainsi, sa sœur est amoureuse d’un homme de 20 ans plus âgé qu’elle, et de surcroît l’ancien petit ami d’une cousine morte il y vingt ans justement alors qu’elle se battait pour le faire accepter par la famille ? Jade demande :


 

  • « Et vous avez couché ? »
  • « Tu es bien curieuse ! »
  • « Allez, tu peux me le dire, je ne dirai rien. »
  • « Oui. »
  • « Et c’était bon ? »
  • « Oui. »
  • « Meilleur qu’avec Marc ? »


L’arrivée de Jeanne et Roxanne se chamaillant dispense Roxanne de répondre et lui permet d’échapper à la curiosité de sa sœur.

 

Bienvenue dans la famille - Part 3

Par Decadent Laboratory - Publié dans : RECITS
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Comme son nom l'indique c'est un petit règlement de compte personnel. Enfin, pour être franche c'est surtoit moi (Roxanne) qui tenait à ce que cette rubrique soit présente. Eh ouais, même si je ne suis pas la principale concernée (quoique j'ai bien mangé quand même), j'ai la rancune plus que tenace.

Petit-reglement-de-compte-entre-ami-e-s-copie-1.jpg

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ERRATUM

Petite précision qui a son importance concerant la rubrique "Petit règlement de compte entre ami(e)s"... Pour ne pas qu'il y ait de malencontreuses coïncidences, les prénoms des protagonistes ont été changés. Par exemple, le compagnon de la protagoniste principale suce nommée (oui je sais ça ne s'écrit pas comme ça mais ça me fait rire), ou pour être plus précise le "plouc", ne se prénomme pas Laurent et n'habite pas Chaussy dans le Val d'Oise. En tous cas selon les informations fournies par la CAF.


A moins que... Noooooon !!! Des gens si honnêtes et si vertueux que ça ce n'est pas possible ! J'ai vraiment l'esprit mal tourné ! Après, par souci de clarification, si cela pose problème, on peut toujours aller leur demander de procéder à une vérification des pièces justufucatives fournies ? Non ?  

Ce point éclaircie, je vous souhaite une bonne lecture... "Amicalement", Roxanne ou chérie coquine.

Nous

Couple libertin de région parisienne, vous aurez vite compris que le sexe tient une place primordiale dans notre vie. Pour le reste nos adorons le rock, les Harley, les voyages et plein d'autres choses dont vous vous foutez royalement. Non ? Bandes de menteurs !

 

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Le libertinage et ses plaisirs n'ont de sens que lorsqu'ils sont vécus au sein d'un couple à la complicité sans faille ... Roxanne (29 ans) et Franck (42 ans), notre indéfectible amour ne nous empêche aucunement d'être des épicuriens convaincus et des adeptes assidus des plaisirs de la chair ... Le feeling, la complicité et la séduction tiennent une place importante dans notre recherche qui s'oriente vers des couples à la partie féminine bisexuelle ou vers des femmes elles aussi tentées ou pratiquant les plaisirs saphiques ... Nous ne ferons pas une liste des pratiques que nous acceptons ou nous refusons, mais n'hésitez à nous contacter afin d'en savoir plus. Cela sera peut-être le début d'une belle amitié et plus si affinité.

 

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Dans le cas contraire, on vous souhaite une bonne visite et surtout : NE SOYEZ PAS SAGES !!!

 

Roxanne & Franck

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