DECADENT LABORATORY

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13 avril 2016

sur Facebook

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Pour vous tenir au courant de la suite et la fin de cette histoire aux multiples rebondissements, voici une dernière petite rubrique... 

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Magali m'ayant envoyée chier alors que je lui disais des vérités qu'elles ne voulaient pas entendre (oui c'est ça pour elle l'amitié), je me suis montrée assez aggresive dans mes publications la concernant au lendemain de leur rupture avec Franck. En réponse elle utilise sont profil fantôme pour me répondre en se faisant passer pour la colombe blanche qu'elle est loin d'être.  

Du coup c'est Franck qui lui répond avec encore plus de véhémence que je ne l'aurais fais moi-même... : 

"Nous avons bien lu ton post sur ton profil fantôme Magali. Comme d'habitude le courage ne t'étouffant pas, impossible d'y répondre alors je le fais ici. Tu veux présenter la note ? Très bien, pas de souci, mais je crois que le montant est faible. Je te fais même une remise puisque je te laisse ma tasse. 

Par contre ça fait bizarre que tu mettes en avant tes enfants maintenant pour te protéger, non ? T'en quittes un que tu humilies devant eux en lui donnant tous les surnoms du monde, tu les présentes à un autre avec qui ils commencent à tisser des liens et tu finis par reprendre le premier histoire de bien leur mettre la tronche à l'envers. 

Ce qui me dérange le plus en fait dans ta réflexion pitoyable et lâche, c'est que pendant que je me battais pour essayer de construire quelque-chose de solide et durable avec tes enfants justement, tu ne te préoccupais pas des masses de leur bien-être alors que tu te faisais sauter dans la chambre d'à côté pendant qu'ils dormaient ... 

Quant à la note, je t'ai dis déjà quand je la présenterai. Contrairement à toi je ne te prends pas en traître vu que c'est affiché sur mon profil. Après les autres ils font ce qu'ils veulent s'ils veulent te laisser tranquille ou pas en attendant. 

Je t'ai envoyé une lettre mais je vais la poster ici puisque Facebook est ta meilleure façon de t'exprimer. La seule qui te permet de ne rien assumer d'ailleurs. Je te préviens ça va piquer un peu ..." 

A suivre : 14 avril 2016 - La lettre