Dimanche 15 mai 7 15 /05 /Mai 07:36

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Cocu et content

Ecrit par Christophe

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  • « Servane … Est-ce que tu le vois en dehors de ces soirées qu’on passe avec lui ? », je demande en sachant qu’il y avait de grandes chances que la réponse ne soit pas celle que j’attends et surtout espère.
  • « Est-ce que tu veux vraiment connaître la réponse Christophe ? »,me rétorque-t-elle avec un regard noir plus que sérieux.

Puis Servane poursuit sans vraiment me laisser le temps d’enchainer.

  • « Chéri … Tu connais la règle que je n’ai moi-même pas oublié ! Je reste ta femme avant tout. Ce ne sont que des expériences physiques et en aucun cas autre chose. »
  • « Que t’a t’il proposé exactement ? », je demande en signe d’abandon face à une éventuelle dispute à venir si nous continuons sur le sujet.

Je ne suis pour autant pas dupe et j’ai du mal à me contenir.

  • « Il nous invite à dîner prochainement. Et d’y passer la soirée bien sûr … », enchaine Servane sans demander son reste.
  • « Pour ?… »
  • « Pour nous deux banane ! Il a également précisé qu’il y aura des surprises. », continue-t-elle presque méprisante à mon égard.
  • « Franchement Servane tout cela commence à m’inquiéter un peu. Je ne voudrais pas mettre en péril notre amour … »
  • « J’ai très envie d’y aller. Découvrir, avec toi, de nouveaux plaisirs met mes sens en émoi ! Ecoute … Franck doit nous envoyer quelques petits conseils et quelques éléments concernant la soirée. Si tu le veux, on attend de recevoir cette lettre et on décide après. »
  • « Ok … »

Alors que j’attendais des mots ou un geste rassurant je n’ai qu’une faible concession qui n’engage que celui qui y croit. C'est-à-dire moi …

 Nous n’en avons pas reparlé pendant deux jours, néanmoins chacun de nos regards était chargé d’envie pour Servane et surtout de défi me concernant. Qui se dégonflera ? Enfin nous avons reçu cette lettre tant attendu, enfin plutôt les lettres ; une pour Servane, une pour moi, avec interdiction de lire celle de l’autre. La mienne disait en substance :

« Votre charmante épouse est informée des grandes lignes de la soirée et, en acceptant de répondre positivement à mon invitation, accepte donc librement les évènements qui en découleront. Elle pourra se retirer du jeu quand elle le voudra dès lors qu’elle prononcera les mots suivants « S’il vous plait arrêtons-nous là ».

Quant à vous, vous serez libre de participer comme bon vous semble ainsi que d’arrêter le jeu par les mêmes mots que votre épouse. Néanmoins, par expérience, je vous conseille de la laisser choisir le moment au risque qu’elle ne vous en veuille.

Je vous remercie d’apporter un soin particulier à votre tenue … »

Tout était dit. En gros c’est du genre « regarde ta femme et laisses la se faire baiser tranquillement sinon tu vas la perdre ». Même si j’avais déjà compris ça depuis un moment, le fait de le voir écrit, par un autre homme en plus, m’achevait presque. Ainsi seule Servane avait le programme de la soirée. Ma lettre n’avait que pour seul but d’essayer de me rassurer tout en produisant l’exact effet inverse. Elle a toutes les cartes en mains et peut donc seule décider. Je regarde alors Servane qui lit avec beaucoup d’attention sa propre lettre. Son sourire d’envie se fige peu à peu en une espèce de grimace que je ne sais interpréter. Elle lève enfin les yeux et me fixe. Nous restons quelques secondes les yeux dans les yeux sans rien dire. Puis elle me déclare fièrement qu’elle aimerait beaucoup aller à cette soirée à la seule condition que j’accepte.

 La manière avec laquelle elle me demande mon autorisation ne laisse planer aucun doute sur les conséquences découlant d’un éventuel refus. Dieu comme je ne connais pas ma femme ! Contraint et forcé par la situation que j’ai moi-même laissé s’installer, je ne peux qu’accepter l’invitation avec la sensation d’un piège qui se referme.

Servane se rapproche de moi et m’embrasse tendrement. Nos langues se cherchent, se trouvent, se lient dans l’annonce d’une nuit torride. J’ai du mal à en profiter pleinement tellement la récompense me parait faible par rapport au sacrifice que je consens. Ma femme me refuse même ses fesses pour me faire boire le calice jusqu’à la lie.

Nous sommes invités le vendredi soir suivant, nous n’avons que 2 jours. Servane prend un jour de congé pour bien se préparer me dit-elle. Je rentre vers 18h30 et je trouve sur la table de l’entrée juste un petit mot.

 

« Je passe te prendre vers 20h. Je t’aime ... »

20h juste. Un coup de klaxon devant la porte. Je sors et rejoins ma femme dans la voiture. Un doux parfum monte vers mes narines. Elle est là près de moi, belle, maquillée, désirable, le sourire aux lèvres, dans son manteau qui me cache sa tenue. Ma main s’avance vers sa cuisse en éclaireur mais elle me repousse fermement.

  • « Je ne t’appartiens pas ce soir Christophe … »,m’assène Servane sans la moindre émotion.
  • « J’ai la douloureuse impression que cela ne date pas de ce soir « chérie » … », je lance en serrant les dents.

Pas de réponse ni même un regard de sa part. Juste un silence lourd et pesant. Du coup j’enchaine :

  • « Puisque je ne peux en voir plus peut-être me diras-tu où nous allons ? »
  • « Chez des amis à Franck. Ce n’est qu’à quelques kilomètres. »

Nous arrivons au pied d’un bel immeuble versaillais. Je regarde celle qui est encore ma petite femme adorée et lui demande simplement :

  • « Es-tu prête ? »
  • « Bien sûr. Et toi l’es-tu ? »
  • « Si je réponds « non » on rentre ? »

Servane me jette un regard presque provocateur mais emplit d’un sentiment que je ne saurais décrire. Elle ne me répond pas et, sans un mot, elle descend de la voiture. Je la rejoins dehors et nous nous dirigeons vers l’entrée. Toujours dans le silence le plus absolu nous prenons l’ascenseur. Arrivés au sixième étage, je vois ma tendre femme sortir un objet noir de son sac à main puis me demander :

  • « Aide-moi à mettre mon masque s’il te plait. »

Une fois en place, celui-ci lui cache uniquement les yeux, le bas du visage disparaissant sous une fine voilette en dentelles. C’est incroyable, le masque cache ses traits si bien qu’elle n’est pas reconnaissable, pourtant à l’évidence il ne peut y avoir de doute sur son identité lorsqu’on la connaît bien. C’est très troublant. Elle sonne à la porte et Franck nous ouvre rapidement.

  • « Bonsoir. Soyez les bienvenus ... », nous dit-il en nous accueillant avec un large sourire.

Je lui serre la main un peu angoissé. Servane reste là entre nous deux. Franck se rapproche d’elle et tendrement lui dépose un baiser sur les lèvres en soulevant légèrement son voile puis il la débarrasse de son manteau. Enfin je peux voir son accoutrement ; robe noire dos nu descendant jusqu’au bas des reins et s’arrêtant au-dessous des genoux tout en étant largement fendue sur le devant, visiblement pas de soutien-gorge, escarpins noirs, probablement des bas. Très classe et follement aguichante. Pourtant un petit quelque chose me tracasse, un je ne sais quoi qui me trotte dans la tête. Tout d’un coup j’aperçois une chaînette autour de la taille de Servane. Celle que je lui avais offerte et qu’elle n’avait jamais voulu mettre car elle la gênait. Elle se rapproche et me chuchote :

  • « Je sais que c’est toi qui me l’a offerte et que je ne la porte jamais chéri. Mais Franck m’a demandé de la mettre. Pour lui prouver mon attachement … A lui et aux yeux des autres invités …. »

Je reste sans voix ne réussissant même pas à grimacer et encore moins à hurler mon désaccord. Je suis tellement assommé que je ne me souviens même plus du code à utiliser pour tout arrêter. Je suis en train de tout perdre. Plus seulement le corps de ma femme mais tous nos petits secrets qui font le ciment d’une vie de couple.

Quelques minutes plus tard un couple arrive à son tour. Ils sont visiblement très à l’aise. Franck et Servane les accueillent. Je reste en retrait comprenant rapidement que mon rôle est d’être spectateur ; spectateur de ma femme qui n’est plus la mienne mais celle d’un autre. Je n’existe presque même plus.

Un jeune homme nous sert du champagne. Rapidement l’ambiance se détend. Nous prenons place autour de la table. Nos hôtes nous offrent un succulent dîner, agrémenté de délicieux vins. Nous passons une excellente soirée dans une ambiance feutrée.

Après le café, au son des notes de musique les deux femmes se mettent à danser, bientôt rejointes par l’homme du couple qui est arrivé en dernier. L’ambiance monte alors d’un cran ; la femme se faisant embrasser par Franck sous le regard de son mari.

Franck se tourne vers Servane et lui demande d’aller l’embrasser. Sans hésiter, docilement, ma « chère femme » traverse le salon et roule une pelle profonde à cet inconnu. Décidément je ne m’habitue pas ! D’autant plus que je constate que Servane met tout son cœur à l’ouvrage !

  • « Assez ! Il n’y a que l’échantillon qui est gratuit. Si cela t’intéresse tu sais ce qu’il te reste à faire. », intervient Franck.

Je regarde ma tendre chérie interloqué par ce que je viens d’entendre et complètement stupéfait par sa réaction. Sans un regard pour l’homme, les yeux baissés, elle se recule soumise à Franck qui me regarde avec un sourire pervers. L’homme contemple Servane et demande à voir. 

  • « Tu vas voir que je l’ai bien préparée pour ce soir … », assène Franck.

Ce dernier se positionne derrière ma femme et lentement écarte l’échancrure de sa robe noire. Les bas apparaissent aux yeux de tous, puis ses cuisses blanches, puis enfin son pubis complètement rasé qui porte à la place de son habituelle petite touffe de poils que j’aime tant la lettre « F » inscrite au marqueur !

Impudique, obscène, ma femme est offerte comme une vulgaire pute. Je vais crier pour mettre fin à cette soirée lorsque je vois Servane qui, d’elle-même, commence à dénouer le haut de sa robe afin de libérer ses petits seins fermes. Je sens une présence derrière moi. C’est l’autre femme qui vient se coller à moi, m’embrasse dans le cou, me caresse lascivement. Mon excitation est à son comble. Je ne sais plus que penser.

J’aperçois l’homme donner des billets à Franck puis emmener Servane dans une pièce voisine. Je ne peux plus réagir, je ne le veux plus, je veux moi aussi avoir du plaisir. Je me laisse aller totalement dans les bras de cette femme sensuelle. Je sens des mains me caresser, puis ouvrir ma braguette et libérer mon sexe. Elle m’embrasse avec beaucoup de sensualité lorsque je sens une autre bouche sur mon sexe ! C’est le jeune serveur qui, agenouillé devant moi, commence une fellation. Je ne veux pas qu’elle cesse et malgré tous mes préjugés je le laisse faire. Au bout de quelques minutes, la femme me chuchote à l’oreille :

  • « Pour moi … Prends-le dans ta bouche … »

Je la regarde tétanisé !

  • « Suce-le et baise-moi après … », insiste-t-elle.

Le vocabulaire cru, l’ambiance, l’érotisme de la soirée m’ont fait accepter ! Je le relève, il veut m’embrasser, je détourne légèrement la tête, puis me glisse jusqu’à son sexe déjà en érection. Je le masturbe un peu, c’est étrange de sentir une autre queue que la mienne dans ma main. Lentement ma bouche s’approche et accueille ce membre jusqu’au fond de ma gorge. J’ai un haut le cœur puis commence à le sucer comme j’ai vu faire ma tendre Servane.

La femme se couche prêt de nous et se caresse la chatte longuement tout en me masturbant. Nous sommes là tous les trois concentrés sur nos émotions, nos sensations. La femme me branle tout en répétant un mot comme un leitmotiv. Je finis par comprendre « viens ». Je me couche sur elle, délaissant le jeune homme et, d’un coup la pénètre, jusqu’à la garde. Elle gémit. Nous faisons l’amour sauvagement. Enfin je ne peux me retenir plus longtemps et éjacule au fond de son vagin pour accompagner son orgasme.

Je reprends mes esprits pour entendre Servane gémir puissamment dans la pièce d’à côté. Je ne peux m’empêcher de ressentir une sorte de vengeance à l’idée que je viens de baiser une autre femme.

Lentement je me lève et m’approche de la porte. Elle est en levrette sur le lit, l’homme la limant avec ardeur. Ces mots crus me semblent de rigueur tellement le spectacle est hallucinant. Ma tendre Servane, nue, à quatre pattes, les seins tressautant à chaque coup de bite, se faisant prendre contre de l’argent comme une vulgaire pute. Mon érection repart immédiatement. J’entends Franck me dire :

  • « Si tu veux tu pourras la prendre aussi. »

Dans un état second je m’entends répondre :

  • « C’est combien ? »
  • « 100 euros pour toi. Je prends les chèques. »
  • « Ça marche. »

Je ressors rapidement et remplis à la hâte un chèque. En revenant dans la chambre je vois l’homme qui, dans un râle, s’écroule sur Servane tout en se vidant les couilles en elle.

Il se relève à peine que je me jette sur cette pute qui n’est autre que ma femme et la pénètre d’un coup. Elle sursaute. Sa chatte largement ouverte m’accueille sans problème. Je la défonce brutalement, comme pour me venger d’elle, de sa perversité, de sa débauche. En fait plus je suis violent plus elle semble aimer. Malheureusement je ne peux tenir longtemps et je la remplis à mon tour de foutre au bout de quelques petites minutes. Franck me regarde en souriant, une coupe de champagne à la main. Il recommande à Servane d’aller faire un brin de toilette avant de nous rejoindre et me prend à part :

  • « Voulez-vous continuer ? », me demande-t-il.
  • « Je pense que je n’ai pas vraiment le choix. C’est à Servane qu’il faut demander. », je lui réponds d’un air blasé.

Il me toise d’un air presque méprisant lorsque mon ange toujours masquée nous rejoint.

  • « Veux-tu continuer ? Puisqu’à priori c’est toi qui prend les décisions … »
  • « Non … On va rentrer … », répond Servane à contre cœur.

Ma femme a senti le profond malaise qui s’est installé en moi et préfère mettre un terme à la soirée. Les regrets de devoir abréger s’entendent dans sa voix en même temps qu’une pointe de colère qui m’est adressée. Je n’en peux plus, autant de mes propres expériences vécues que de la voir ainsi épanouie avec un autre homme. Mais une dernière claque derrière la tête m’achève presque.

  • « Je n’ai rien eu de ta part ce soir. Viens me tailler une pipe avant de partir. Sucer un vrai mec ça te changera … », lance Franck en me jetant un regard noir.

Avant même la fin de la phrase Servane s’agenouille et sors le braquemart de Franck afin de le sucer. La fellation dure, dure longtemps, très longtemps et nous regardons, fascinés, cette petite bouche enserrer cet énorme sexe, cette langue lécher ce gland, cette main aux ongles rouge-carmin aller et venir le long de cette queue interminable. Enfin, dans un sursaut, Franck éjacule dans la bouche de ma femme. Elle le regarde dans les yeux tout en avalant le sperme avant de déposer un petit baiser sur cette bite qui reste fièrement dressée.

Il l’aide à se relever, elle lui sourit tendrement. Je craque presque mais arrive à retenir avec peine des larmes de tristesse mêlée à une colère profonde. Ma femme montre à tout le monde, sans la moindre pudeur, qu’elle préfère s’envoyer en l’air avec un autre homme plutôt qu’avec son propre mari. J’imagine sans peine à quel point nos hôtes se foutent de ma gueule depuis que nous sommes partis.

Servane me dégoûte et je le lui fais bien sentir tout le long du trajet de retour en ne décochant pas le plus petit mot. Un silence pesant qui explose à peine la porte d’entrée franchie puisque que je me jette sur elle, la gifle, lui arrache ses quelques vêtements, lui crache dessus. Le pire c’est que je ne fais même pas attention au fait que ma Basque au caractère si bouillant d’habitude ne se défend même pas. Les insultes que je lui adresse couvrent ses gémissement tandis que je la baise sur le carrelage, que je l’encule à grands coups de bite. Je ne me rends pas compte que je bande comme un âne sans discontinuer même après deux éjaculations. Après m’être relevé je termine en lui pissant dessus avant de partir me coucher, la laissant ainsi qui git sur le sol.

Au petit matin, lorsque j’ouvre les yeux, je me demande si tout cela n’a pas été qu’un cauchemar. Servane est encore paisiblement endormie à mes côtés. Je descends et constate que l’entrée qui aurait dû être en bordel et souillée selon mes souvenirs est en fait parfaitement rangée et propre. Cette vision me conforte dans l’idée d’un mauvais rêve. Je pénètre alors dans la cuisine et fait couler le café. Ce n’est que plusieurs minutes après que je remarque sur la table un papier sur lequel est griffonné un mot que Servane a laissé à mon attention.

  • « Tu as enfin compris mon amour. Je t’aime. Ta Servane … »

J’ai enfin compris les désirs de ma femme et, avec le recul, je me rends maintenant compte que les précédentes aventures n’ont fait qu’augmenter notre appétit sexuel. Quelques jours plus tard, nous avons longuement parlé de cette dernière soirée et des sensations qu’elle nous a procurées.

  • « J’ai beaucoup aimé te voir appartenir à Franck. Lui demander la permission pour me servir de ton corps était génial ! », dis-je à ma femme alors que nous venons de faire l’amour.
  • « Ouais … Tu disais pas ça sur le coup espèce de mytho … » me retourne Servane en riant.
  • « Oui … Bon … Ok je l’avoue … »
  • Nous partons dans un fou rire complice.
  • « Mais je dois t’avouer quelque chose chérie … J’ai fait l’amour avec l’autre femme de la soirée… »
  • « Je le sais. Franck me l’a dit. Je t’aime et je suis contente pour toi. Je ne vais de toutes manières pas te jeter la pierre … »
  • « J’ai également eu des relations avec le jeune serveur. »
  • « Explique-moi s’il te plait. »

Servane me regarde avec beaucoup de tendresse et de douceur. Comme si elle savait déjà ce que je vais lui avouer. Elle me caresse lentement les cheveux, me susurre des mots doux.

  • « J’ai pris son sexe dans ma bouche. »
  • « Tu as aimé ? »
  • « Oui … Même si je crois que l’atmosphère de la soirée y était pour beaucoup … »
  • « Je t’aime Christophe … »
  • « Moi aussi mon amour. »

Puis nous avons longtemps parlé de son plaisir à être offerte, du mien à la voir ainsi. Suite à ces premières expériences finalement très réussies, nous avons voulu continuer. Un soir, à la faveur de l’intimité de notre lit conjugal, nous avons repris notre discussion. Servane me déclare alors son envie de recommencer une soirée avec Franck et ses amis. Je ne sais que répondre. L’envie me taraude aussi mais un brin de peur de la perdre refait quand même son apparition. Je la mets en garde gentiment :

  • « Franck ne se contentera pas de revivre la même chose. Probablement en voudra t’il plus. »
  • « Je m’en doute et je suis prête à le lui donner. », lance Servane sûre d’elle.
  • « Toi oui, mais moi ? »
  • « Je reste avant tout à toi et seulement à toi. Tout ce que je vis, ce que nous vivons n’est que physique pas sentimental ! Et puis tu pourras peut être revoir cette jolie femme de la dernière fois … »

Cette diablesse sait comment me piquer au vif.

  • « Tu y as beaucoup pensé ? », je lui demande.
  • « Oui … Et  je suis sûre de le vouloir. S’il te plait permet-le moi ! Il me faut ton plein accord Christophe … »
  • « Ok appelle donc Franck. »

Le lendemain, dans la journée elle est parvenue à le joindre. Il s’est évidemment montrer très enthousiaste à l’idée de nous rencontrer à nouveau d’autant plus que Servane l’avait invité à prendre le café pour le samedi suivant.

Vers 14h30, elle était partie faire quelques courses lorsque Franck est enfin arrivé un magnifique bouquet de fleurs à la main. Je l’ai fait entrer et lui ai proposé un café agrémenté d’un cognac. C’est à ce moment que Servane est arrivée dans le salon. Franck, toujours gentleman s’est levé. Elle s’est approchée de lui. Très lentement tout en me regardant dans les yeux, elle s’est laissée embrasser sur la bouche longuement.

Le message était clair ! Je l’avais à nouveau « perdue ». Franck s’est rassis et nous avons repris notre discussion, Servane nous laissant quelques minutes.

  • « Je te félicite encore d’avoir une épouse aussi épanouie. Aussi libre dans sa tête et dans son corps. Tu as beaucoup de chance ! », me lance-t-il en me tutoyant dorénavant.
  • « Oui en effet. Je te remercie pour elle et pour moi. »

Servane nous rejoint à cet instant. Elle a entendu la fin de notre conversation et nous sourit tendrement. Je m’aperçois qu’elle s’est changée. Elle est à présent en robe, bas et talons hauts. Franck lui demande de venir s’asseoir près de lui, ce qu’elle fait docilement. Nous continuons à deviser tout en buvant notre cognac.

Franck, tout en me parlant, demande à mon ange de venir s’asseoir sur ses genoux. La discussion continue et je vois la main de notre invité qui commence à caresser le bras nu de Servane. Elle me regarde, me sourit ; elle est heureuse dans les bras de cet homme.

Franck prend son verre, boit un peu, puis le porte aux lèvres de ma chérie qui en avale une gorgée à son tour. Je suis dans un état d’excitation incroyable et nous n’en sommes qu’au début. Son amant lui déboutonne le haut de sa robe, puis sa main en écartant le bustier ainsi ouvert, libère un sein. Je regarde ce spectacle fasciné en attendant la suite.

Franck me parle de notre maison mais je ne l’écoute plus. Mon attention se porte exclusivement vers cette main qui caresse, vers ces doigts qui font rouler ce téton, qui le tirent, le pincent. Mon érection est douloureuse dans mon pantalon. Je n’ai qu’une envie, celle de me branler.

Servane apprécie visiblement la caresse et se détend complètement. Ce petit jeu dure quelques minutes puis Franck s’adresse à ma femme en me lançant un clin d’œil :

  • « Chérie … Ressert-nous du cognac. »

J’ai cru que j’allais jouir dans l’instant. Ce diable d’homme me volait ma femme, ma vie. Je devenais l’invité.

  • « Oui … Pardonne moi … Je manque à tous mes devoirs … »,répond-t-elle tout en se levant pour nous remplir généreusement nos verres.

Elle se penche, ses seins sont complètement sortis de sa robe. Son décolleté me dévoile son corps jusqu’à ses cuisses. Elle porte sa chaîne autour de la taille mais pas de culotte. Après avoir rempli nos verres elle me regarde en souriant. Je l’aime à la folie !

Puis ma tendre chérie se blottit à nouveau dans les bras de son amant qui aussitôt reprend ses caresses. La discussion a alors pris un tour plus sérieux lorsque Franck nous a déclaré avec beaucoup de douceur et de tact :

  • « Vous formez tous les deux un couple magnifique et extrêmement sympathique. Mais je suppose que ma présence ici va un peu plus loin qu’un simple verre. Aussi je me permets de vous demander ce que voulez exactement de moi et ce pour notre plaisir à tous. »

Nous nous sommes longuement regardés avec Servane. Au bout de quelques secondes je me suis rappelé de ses paroles, « ton plein accord ». J’ai alors pris la parole :

  • « Nous voulons tout simplement vivre d’autres soirées, vivre d’autres aventures. Servane aime t’appartenir et j’ai découvert grâce à la dernière fois que j’aimais la voir ainsi. »

Franck s’est alors tourné vers Servane. Elle lui a alors sourit, puis l’a embrassé tendrement pour lui témoigner ainsi son plein accord.

Celui-ci, devant cette situation très érotique, n’a pu cette fois éviter de se laisser entraîner par son envie. Franck, généralement très maître de lui, presque flegmatique, semblait alors très excité, embrassant ma femme avec passion tout en caressant son corps. Je ne pus résister plus longtemps, et baissais mon pantalon pour me masturber.

Franck demande alors à Servane de venir me tailler une pipe. Elle se lève et s’agenouille devant moi. Sa bouche sensuelle s’ouvre et gobe la totalité de mon sexe d’un seul coup. Notre invité regarde la scène en souriant. Je vois une bosse imposante se former dans son jean. Servane me suce divinement, je suis au bord de l’explosion lorsque j’entends Franck lui dire :

  • « Ma chérie … Suce le bien parce que nous partons tous les deux dans dix minutes. Il faut qu’il garde un bon souvenir de toi ! »

A ces mots j’éjacule dans la bouche de ma femme qui ouvre des yeux immenses. Elle ne sait que dire, que faire, à part tout avaler. Après avoir déglutit Servane me regarde interrogative. Je lui souris et lui chuchote :

  • « Vas-y si tu le veux mon amour. Ça m’excite tu sais … »

Elle se relève et m’embrasse longuement en guise de remerciement pour lui permettre de s’offrir ainsi seule à son amant, même si ce n’est pas ce que nous avions prévu. Franck est déjà debout son blouson à la main. Pendant que Servane va chercher le sien il me dit :

  • « Ne t’inquiètes pas. Je prendrai soin d’elle. Nous passerons la soirée avec toi. »

Je les raccompagne à la porte et, après un dernier baiser, je laisse partir ma femme avec son amant. Je reste seul dans notre maison vide. Toutes les pièces exhalaient le doux parfum de Servane me laissant encore plus seul et encore plus excité.

J’ai pu donc régler tous les problèmes d’intendances rapidement. Je suis resté un long moment dans notre chambre conjugale puis, après m’être préparé, j’ai attendu avec beaucoup d’impatience le coup de téléphone de Servane ou de Franck.

C’est lui qui m’a appelé vers 19 heures 30. Sans aucun autre détail il me donnait rendez-vous vers 20 heures 30 chez lui. Dans un état d’excitation et d’énervement incroyables je suis arrivé un peu en avance. Servane et Franck m’attendaient. Je regarde mon ange. Elle porte une robe noire à large décolleté et surtout arbore un sourire radieux. Sa tenue est très provocante et, surtout, pleine de promesses. Après un apéritif très copieux, Franck me remercie pour la merveilleuse après-midi passée en compagnie de ma femme avec un sourire énigmatique.

  • « Je me suis permis de faire quelques magasins avec Servane. Elle s’habille d’un rien ! », me raconte-t-il.
  • « Que dois-je comprendre ? »
  • « Que ta charmante femme a essayé quelques robes sous mon regard et sous le regard de quelques vendeurs. »

Le souvenir de Servane sans dessous en début d’après-midi s’est ravivé dans ma mémoire.

  • « Et ? », je demande un peu tendu.
  • « Visiblement elle aime être exhibée… », continu Franck.

Je regarde ma femme. Elle me rend mon regard avec un léger sourire.

  • « Décidément, tu as beaucoup de chance. Il suffit de demander et elle s’exécute. »

Franck tout en me regardant ajoute :

  • « Chérie vient t’asseoir près de moi … »

Il pose sa main sur le canapé, le majeur pointé vers le plafond pendant que Servane, docilement, sans un regard pour moi, s’approche, soulève le bas de sa robe et s’assoit en s’empalant sur ce doigt.

Je ne reconnais plus ma femme, mais la voir soumise ainsi m’excite. Franck continue de parler de choses et d’autres interrompu parfois par de petits soupirs de Servane. Au bout de quelques minutes notre hôte me regarde et dit en s’adressant à mon ange :

  • « Chérie prépare toi nous allons sortir. »

Servane, obéissante, se lève et attend près de lui. Nous sortons rapidement et prenons la voiture de Franck. Ma femme prend place à côté de lui. A un feu rouge les deux amants se regardent et s’embrassent longuement, presque amoureusement.

Nous arrivons enfin à notre destination qui prend la forme d’un parking désert faiblement éclairé. La voiture arrêtée, Franck allume le plafonnier du côté de ma femme. Un silence pesant tombe dans l’habitacle ; nous savons tous ce qui va se passer. Quelques secondes ont suffi pour qu’un premier homme s’approche lentement. Franck caresse la cuisse de Servane tout en chuchotant à son oreille. Je ne peux entendre ce qu’il dit mais je vois ma femme respirer profondément et soupirer, signes de son trouble.

Le voyeur est là près d’elle. Alors lentement, tout en continuant de lui parler, Franck déboutonne complètement la robe de Servane afin d’exhiber son corps. L’homme a sorti son sexe et se masturbe à quelques centimètres de ma femme, séparés seulement par la vitre.

Franck demande à ma femme de se caresser, ce qu’elle fait sans aucune gêne, avant de lui dire d’ouvrir la portière. L’homme d’une bonne quarantaine, assez laid peut ainsi toucher ma Servane qui se laisse faire. Sa main pétrit ses petits seins avec rudesse, maladroitement, puis descend jusqu’à sa chatte. Franck donne alors un préservatif à Servane. Le message est clair… Sous mes yeux éberlués je vois ma tendre épouse, la mère de nos deux enfants, mettre le préservatif dans sa bouche et le dérouler ainsi avec maîtrise sur le sexe tendu de cet homme. J’ignorais totalement qu’elle était capable de cela ! Elle entreprend alors une fellation sous le regard goguenard et les commentaires salaces du vieux vicelard.

Rapidement celui-ci se tend et jouit avec un râle dans la bouche de Servane qui se fait un devoir de lui retirer la capote afin de la garder en souvenir. Nous repartons le laissant là à attendre d’éventuelles autres voitures.

Franck regarde Servane avec beaucoup de tendresse. Nous nous garons devant un club privé situé dans le centre de notre ville. La soirée n’est donc pas terminée. Je ne sais que penser, mais cette situation m’excite et j’ai envie de continuer.

L’ambiance est feutrée, des tables sont disposées tout autour d’une piste de danse. Il n’y a pas beaucoup de monde. Seuls quelques couples dansent, plusieurs hommes disséminés dans la salle les observant.

Nous nous installons à une table et nous dégustons une bouteille de champagne. Nos sens se réchauffent rapidement. Servane a les yeux qui brillent de bonheur. Franck lui demande d’aller au bar s’asseoir. Avec un sourire complice elle se lève et s’installe au bout du zinc dans une demi-pénombre. Je regarde ma femme avec amour assise sur un tabouret haut, souriante, les jambes croisées, dévoilant ainsi largement une de ses cuisses à la vue de tous. Elle est belle, désirable, je suis fier d’elle, d’être son mari !

Au bout de quelques minutes un couple s’approche d’elle et lui offre une consommation. Elle accepte en riant. Elle boit encore. Devant la réaction de Servane, l’homme rapidement s’enhardit et pose une main à la lisière de sa robe. Il se rapproche d’elle et lui chuchote quelques mots à l’oreille, profitant de sa position pour lui glisser un baiser dans le cou.

Ma tendre Servane renverse sa tête en arrière comme une invitation. L’homme passe derrière elle, la prend par la taille et, doucement, tourne le tabouret afin de la placer en face de sa compagne. Tout doucement celle-ci se rapproche et pose sa main sur la cuisse nue de Servane. Cette dernière tourne la tête vers nous ; du coin de l’œil j’aperçois Franck lui sourire, comme un ordre muet lui intimant de continuer.

Alors Servane regarde la femme et très doucement approche son visage, sa bouche. Pour mon plus grand plaisir je vois ces deux femmes s’embrasser tendrement, longuement. La situation m’excite énormément, quel homme n’a jamais rêvé de voir cela ?

Toujours avec beaucoup de douceur, la femme attire Servane vers une espèce d’alcôve située tout au fond du club. Franck, l’homme et moi les suivons sans un mot.

Tout en s’embrassant, lentement la femme ouvre la robe de Servane et commence à caresser son corps. Franck et moi ne bougeons plus admirant ce spectacle d’une rare tendresse, d’une rare délicatesse. Les deux femmes se déshabillent mutuellement. Elles s’embrassent, se lèchent, se mordillent ; petit à petit les caresses se font plus précises, plus franches. Mon sexe me fait mal mais je n’ose rompre l’harmonie de cet instant en le libérant. Pas un mot d’échangé, seulement des soupirs, des petits cris de bonheur et des respirations haletantes.

Elles se retrouvent bientôt tête bêche. La femme est la première à poser sa bouche sur le sexe de sa partenaire. Servane semble hésiter une seconde puis tout doucement pose ses lèvres sur la vulve luisante d’excitation de cette fille totalement inconnue. Avec toujours beaucoup de douceur elles se lèchent, se pénètrent avec leurs langues, s’aspirent, se goûtent, se délectent de leurs sécrétions. Le spectacle qui nous est offert est merveilleux. Dans un parfait synchronisme ces deux corps se tendent une dernière fois dans un orgasme simultané.

L’homme, Franck et moi restons silencieux un long moment en les laissant récupérer. Elles se cajolent tendrement puis Servane lève enfin son regard brillant vers nous, comme si elle venait juste de se rappeler notre présence. Elle respire le bonheur. Dieu qu’elle est magnifique, que je l’aime ! Elle rit doucement et dit :

  • « Nous devrions peut être nous occuper de nos hommes à présent … »
  • « Tu as raison, même si je crois sincèrement qu’ils ne se sont pas gênés pour nous regarder ! »

Servane, entièrement nue, se relève et se dirige vers nous. Mon cœur s’arrête presque. Je la désire tant. Regardant Franck elle s’arrête devant lui et lui dit :

  • « Merci … »

Franck lui prend la main, l’attire vers lui et l’embrasse avant de s’éclipser. Nous laissant ainsi tous les deux vivre notre nouvelle sexualité débridée …

 

FIN

 

Par decadent - Publié dans : RECITS
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Pas vraiment besoin de description pour ce qui suit. Des séries de photos d'amatrices tout simplement.

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Comme son nom l'indique c'est un petit règlement de compte personnel. Enfin, pour être franche c'est surtoit moi (Roxanne) qui tenait à ce que cette rubrique soit présente. Eh ouais, même si je ne suis pas la principale concernée (quoique j'ai bien mangé quand même), j'ai la rancune plus que tenace.

Petit-reglement-de-compte-entre-ami-e-s-copie-1.jpg

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ERRATUM

Petite précision qui a son importance concerant la rubrique "Petit règlement de compte entre ami(e)s"... Pour ne pas qu'il y ait de malencontreuses coïncidences, les prénoms des protagonistes ont été changés. Par exemple, le compagnon de la protagoniste principale suce nommée (oui je sais ça ne s'écrit pas comme ça mais ça me fait rire), ou pour être plus précise le "plouc", ne se prénomme pas Laurent et n'habite pas Chaussy dans le Val d'Oise. En tous cas selon les informations fournies par la CAF.


A moins que... Noooooon !!! Des gens si honnêtes et si vertueux que ça ce n'est pas possible ! J'ai vraiment l'esprit mal tourné ! Après, par souci de clarification, si cela pose problème, on peut toujours aller leur demander de procéder à une vérification des pièces justufucatives fournies ? Non ?  

Ce point éclaircie, je vous souhaite une bonne lecture... "Amicalement", Roxanne ou chérie coquine.

Nous

Couple libertin de région parisienne, vous aurez vite compris que le sexe tient une place primordiale dans notre vie. Pour le reste nos adorons le rock, les Harley, les voyages et plein d'autres choses dont vous vous foutez royalement. Non ? Bandes de menteurs !

 

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Le libertinage et ses plaisirs n'ont de sens que lorsqu'ils sont vécus au sein d'un couple à la complicité sans faille ... Roxanne (29 ans) et Franck (42 ans), notre indéfectible amour ne nous empêche aucunement d'être des épicuriens convaincus et des adeptes assidus des plaisirs de la chair ... Le feeling, la complicité et la séduction tiennent une place importante dans notre recherche qui s'oriente vers des couples à la partie féminine bisexuelle ou vers des femmes elles aussi tentées ou pratiquant les plaisirs saphiques ... Nous ne ferons pas une liste des pratiques que nous acceptons ou nous refusons, mais n'hésitez à nous contacter afin d'en savoir plus. Cela sera peut-être le début d'une belle amitié et plus si affinité.

 

Si elle vous intéresse et vous correspond, n'hésitez pas à nous contacter à l'adresse suivante :

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Dans le cas contraire, on vous souhaite une bonne visite et surtout : NE SOYEZ PAS SAGES !!!

 

Roxanne & Franck

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